Qu'est-ce qu'un égrégore ?

Un égrégore est, au départ, une pensée qui prend forme, quel que soit le sujet. Cette forme pensée va rejoindre une pensée collective qui lui ressemble et les deux vont se coller et en "appeler" 10, 100, 1000, et cela devient une entité énergétique.

Un égrégore est produit par un puissant courant de pensée collective. Lorsque plusieurs personnes se focalisent ensemble sur un même objet, avec une même intensité, ils développent une énergie commune. Nous connaissons tous cet effet stimulant éprouvé lorsque l'on partage avec d'autres un projet passionnant ou un moment fort, qu'il soit de bonne nouvelle, ou d'une catastrophe.

Alors quel égrégore allons-nous créer ?

Toutes nos pensées d'amour ou de colère vont créer ce courant, à chacun de savoir ce qu'il veut voir fleurir dans son monde. La focalisation de plusieurs personnes sur un même sujet, comme aujourd'hui, ce que nous vivons, engendre un égrégore de colère, de frustration. Cependant, cela génère encore plus de négatif, et attire des pensées sombres en maintenant cet état de fait.

Créons des égrégores de solutions, de sorties de situation pénible. Envoyons de la lumière, pas du brouillard sur notre humanité.

Oui, tout est en train de se déconstruire. Oui, ce n'est ni simple ni facile à vivre, cependant en restant dans un état d'esprit négatif de masse, nous ne pouvons atteindre la paix en soi.

Créons des égrégores de joie, d'amour, de paix pour tous et c'est à cette condition que nous sortirons du marasme ambiant. Plus les énergies de lumière monteront en puissance, plus vite le sombre partira, plus vite nous sortirons de la peur véhiculée, plus sereinement nous vivrons.

Texte original de MONIQUE DAMEL

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Le pouvoir de l'humour fin

Il est permis à la loi de la légèreté de prendre le pas sur celle de la gravité.

R.A. Lafferty

Un tempérament solide s'articule autour des sept vertus fondamentales que sont le courage, la modération, la sagesse, la justice, la créativité, l'honneur et l'humour. Cet article traite de la plus puissante de toutes : l'humour. Et plus particulièrement, l'humour fin.

Comment y accède-t-on ? En gravissant les échelons des vertus où un caractère sain mène à un émerveillement sain, lui-même menant à un sens de l'humour sain. Lequel nous propulse au-delà de la pertinence et de l'inconvenance, du bien et du mal, de la gravité et de l'égocentrisme, dans les vastes panoramas de l'humour fin. Du véritable carburant pour fusée pour accéder au méta. Et c'est dans le méta-paradigme que nous découvrons le génie de la légèreté.

Là, nous avons la liberté d'entretenir des pensées bizarres. Courageuses. Libres. Audacieuses. Magiques. D'entretenir des pensées tout court plutôt que de simples croyances. Lorsqu'au lieu de croire nous réfléchissons, nos pensées deviennent plus sincères que sérieuses. Elles se chargent de légèreté, se teintent d'ironie et se laissent traverser par le plaisir du jeu. C'est la plus puissante des sept vertus fondamentales parce qu'elle englobe toutes les autres.

L'humour fin englobe toutes les valeurs

Le sens de l'humour est supérieur à n'importe quelle religion conçue jusqu'à présent.

Tom Robbins

Là où le courage libère le personnage, où la modération l'équilibre, la sagesse le guide, la justice le stabilise, la créativité le fait grandir, et l'honneur le fédère, l'humour fin le dépasse. C'est la seule vertu qui soit transcendante. Elle voit le personnage pour ce qu'il est : pris au piège d'une tragi-comédie et se pavanant sur une scène bien trop mortelle. Elle voit ses pieds d'argile. Mais aussi ses ailes. Et les honore tous par le rire né de la légèreté.

Là où l'humour feint est tentateur, l'humour fin est dévastateur. Ce n'est pas une comédie burlesque. Il ne joue pas la comédie pour remplir ce rôle comme c'est le cas pour l'humour feint. L'humour fin n'est jamais sérieux mais toujours sincère. Il s'assied toujours à une grande table pour le jeu et la dérision.

L'humour fin est la seule vertu fondamentale qui puisse bluffer Dieu et le Diable en même temps. Parce qu'il incorpore les six autres valeurs fondamentales. Il les absorbe, les cultive, les synthétise, et les met à contribution de manière créative comme une seule entité. Pour ce faire, il a recours à l'insouciance de l'audace et la désinvolture de la nonchalance. Ce type d'humour est élevé parce que les enjeux le sont : vivre à fond avec humour (fin) ou mourir à petit feu sans.

Il n'y a rien que l'humour fin ne puisse surmonter. Il en faut une bonne dose pour supporter la prise de conscience que nous sommes les dindons de la farce d'une blague cosmique. Mais il n'y a rien de plus important pour rendre l'ombre consciente que de cultiver un bon sens de l'humour. Surtout lorsque l'on vise à l'intégration saine, la complétude, l'équilibre, la réalisation de soi, l'anti-fragilité et l'illumination.

L'humour fin relie le fini à l'infini

Afin de pouvoir vivre, un homme doit soit ignorer le fini ou le relier à l'infini.

Leo Tolstoy

L'humour fin que nous absorbons dans les eaux cosmiques de la légèreté nous offre l'outil le plus puissant connu à ce jour : le non-attachement.

C'est par le détachement sain que nous pouvons voir comment tout est attaché, relié à tout le reste. Nous percevons le cosmos interconnecté comme une gigantesque toile de fréquences et d'énergie sur laquelle nous ne sommes qu'une minuscule goutte de rosée. Mais qui peut affecter la toile entière. Et de cette réflexion vient le pouvoir de créer du sens là où, sans cela, il n'y en aurait pas.

C'est par l'humour fin que nous découvrons notre miroir intérieur, notre miroir primordial, notre contribution vitale au Cosmos : la présence.

L'humour fin engendre la présence en nous incitant à chercher le sens caché des choses. Non pas de manière co-dépendante, rigide ou tenace, mais détachée, ouverte et fluide. Le sens devient alors un acte de création plutôt que de croyance.

Lorsque nous sommes co-dépendants du sens, nous nous prenons trop au sérieux. Lorsque nous en sommes détachés, nous sommes libres de le créer ou le détruire comme bon nous semble. Nous ne sommes pas ancrés à la Vérité mais plutôt portés par le courant, nageant et naviguant à travers les eaux tumultueuses de cette dernière.

C'est par le miroir de l'humour fin que nous pouvons voir que la Vérité n'est jamais figée. Qu'elle est toujours en mouvement, toujours impétueuse, toujours incertaine. Le sens de l'humour est une qualité qui permet de nager dans ces eaux hostiles.

Selon Alan Watts, « ce dont on a besoin dans cet univers n'est pas de certitude mais du courage et du sang froid du joueur ; pas de conviction arrêtée mais d'adaptabilité; pas d'une terre ferme sur laquelle se tenir mais de savoir nager ».

L'humour fin nous autorise à jouer

Un individu ne joue que lorsqu'il est une personne au plein sens du terme et cela n'est le cas que lorsqu'il joue.

Friedrich Schiller

Le sens de l'humour est une armure vulnérable. Une protection flexible. Une force pliable.

L'humour fin est une vertu radicale qui radicalise le courage, la modération, la sagesse, la justice, la créativité et l'honneur. À travers la vertu radicale naît l'humour fin, un sens du jeu si puissant qu'il prend le dessus sur le Pouvoir lui-même. Il est si gratifiant qu'il imprègne notre vie de bravoure, d'authenticité, de présence, de joie et de passion.

Munis de l'armure vulnérable de l'humour fin, nous devenons sans peur.

Et avec une telle absence de peur, nous sommes libres d'expérimenter. De transformer les tragédies en enseignements, la douleur en enseignante, le labeur en laboratoire. Parce que nous réalisons que la vie elle-même n'est qu'une vaste expérience dont nous sommes les expérimentateurs. Nous sommes les savants fous et notre vie est notre folle invention.

Ceux qui expérimentent avec la vie, qui prennent des risques, tendent à avoir une vie bien remplie (et sans peur). Ceux qui ne le font pas, mènent plutôt une existence stagnante de morts-vivants (emplie de peur). Les sans-humour se retrouvent généralement dans cette dernière catégorie au contraire de ceux dotés d'un sens de l'humour fin que l'on retrouve dans la première.

Les sans-peur à l'humour fin voient à quel point il est important de travailler dur mais aussi de jouer davantage. Parce que le sens du jeu ne crée pas que de la légèreté mais un bon moral. Il engendre un environnement créatif, un espace pour prospérer, cultiver, se réaliser. Un espace sacré d'insouciance nietzschéenne et d'audace prométhéenne pour y agir de manière décomplexée. Comme le disait Machiavel, « mieux vaut agir et se repentir que de ne rien faire et regretter ».

L'humour fin est un humour radical, vorace et intrépide, primal et inestimable. Il est implacable dans sa quête. C'est l'animal de notre appétit le plus féroce qui se nourrit de sens — de sens élevé, de méta-sens. Le genre à emplir la panse de l'âme à la faire éclater.

Il transforme l'animal en dieu puis le dieu en animal. Il fait cela en permanence, encore et encore, se gaussant de la fragilité de la condition humaine et esquissant un pied de nez à la blague cosmique tel un phénix fumant la pipe de ses propres cendres.

Texte original de GARY Z. MCGEE traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Cinq « théories du complot » qui ont été validées en 2021

2021 a été témoin d'événements dramatiques dans les tentatives des gouvernements de « combattre le COVID ». Ce qui était alors perçu comme des théories paranoïaques, de la science-fiction ou des concepts hollywoodiens a désormais intégré le quotidien de l'année écoulée. En 2020, nous avons fait l'expérience des confinements, des dépistages de masse et des masques, lesquels se sont poursuivis en 2021. Mais cette année a vu l'émergence de nouvelles mesures anti-COVID ainsi que de nouvelles révélations justifiant ce que certains qualifiaient de théories du complot, jusqu'ici marginalisées sur la toile.

Les passeports vaccinaux

Les passes vaccinaux ou passeports immunitaires furent d'abord considérés comme des théories du complot paranoïaques qui ne seraient jamais mises en œuvre au niveau national dans les sociétés libres. Mais comme on l'a appris en 2021, de nombreux politiciens et décideurs politiques ont d'abord écarté cette idée pour ensuite changer de cap et imposer ce mécanisme invasif et contrôlant sous prétexte de vouloir libérer la société des confinements qu'ils avaient préalablement imposés. En dépit du manque d'éthique et de fondement épidémiologique d'un tel concept, en 2021, les passes vaccinaux se sont propagés dans le monde entier. Le Premier Ministre britannique Boris Johnson s'est opposé aux passes COVID sur le territoire national en début d'année pour les mettre en place en fin d'année. Le Premier Ministre canadien Justin Trudeau s'est également opposé aux passeports vaccinaux en début d'année, les qualifiant de « sources de division » pour les adopter ensuite. Un scénario semblable s'est joué dans l'ensemble des pays développés, ce qui fut écarté comme une théorie du complot est désormais une politique gouvernementale.

Les « camps COVID »

Une autre rumeur circulait en 2020 selon laquelle les gouvernements prévoyaient de construire des camps de quarantaine. On craignait que le gouvernement détienne les gens (même ceux en bonne santé) dans des camps d'internement — ce que les médias et les politiques assimilèrent à de la désinformation supplémentaire. Fin 2020, la question des camps fut soulevée par le député Randy Hillier à l'assemblée législative de l'Ontario, au Canada. Il s'est fait huer, hurler dessus en lui intimant de se rasseoir et s'est vu désactiver son micro. En Australie, des camps ont été évoqués mais uniquement pour les voyageurs et quiconque disant qu'ils pourraient servir pour d'autres personnes se voyait taxer de complotiste et de propagateur de fausses informations. Avec le temps, ces camps ont été construits et ouverts au Canada comme en Australie. Au Canada, ces installations n'ont pas servi que pour les voyageurs ou pour ceux qui cherchaient à « s'isoler volontairement » mais surtout pour tous les autres Canadiens détenus pour refus de se conformer aux lois anti-COVID.

L'Australie a également construit des camps sous prétexte d'aider les voyageurs à trouver un endroit pour s'auto-isoler mais s'est mis à placer des citoyens en détention sans procédure légale pour violation des lois anti-COVID. Il y a eu des cas comme ces trois adolescents qui s'étaient enfui de leur séjour « volontaire » dans un camp où ils étaient détenus malgré qu'ils aient été testés négatifs au COVID. Harley Hodgson qui dans une interview a décrit comment elle a été détenu sous menace d'arrestation et placée dans un camp pendant deux semaines alors qu'elle n'était même pas atteinte du COVID. Pour rendre les choses encore plus spectaculaires, l'armée Australienne a été appelée pour « assister » au transport de personnes dans les camps de quarantaine. Même s'il manque des précisions, les aborigènes ont lancé un appel à l'aide à la communauté internationale. Ce qui avait commencé par une théorie délirante marginalisée sur la toile a fini par être mis en place (d'aucuns diront même que les autorités en ont abusé) et est désormais un fait avéré : les camps COVID existent bel et bien. Le Canada a décidé d'étendre son programme, le même existant aussi en Allemagne et en Nouvelle-Zélande.

La 5G et le COVID

Au démarrage de la pandémie, certains ont avancé l'hypothèse que le COVID n'existait pas et que cette maladie était provoquée et transmise par la 5G — une spéculation sans fondement véritable qui n'a jamais été prouvée. Parallèlement, beaucoup se sont inquiétés que les rayonnements hertziens pourraient induire des symptômes grippaux identiques à ceux du COVID ou que ces rayonnements pourraient entraîner une dépression du système immunitaire rendant les individus plus vulnérables au COVID. Les rayonnements micro-ondes ont-ils rendu les gens malades avec des symptômes covidiens ? Cette affirmation a été « vérifiée » et écartée comme « infondée » du fait que « rien ne prouve que la 5G soit nocive pour les humains ». La BBC citant un scientifique a traité cette allégation de « ramassis de mensonges ». La politique anti-COVID de Facebook interdit toujours de telles affirmations sur sa plateforme.

Avance rapide en septembre 2021 où l'Institut national de la santé (NIH) a publié une étude confirmant justement que « les données présentées ici soutiennent l'hypothèse que les rayonnements des communications mobiles (WCR) et en particulier la 5G qui implique une densification de la 4G, pourraient avoir aggravé la pandémie en affaiblissant l'immunité de l'hôte et en accentuant la virulence du SARS-CoV-2 ». Et surtout qu'elle « amplifie le dysfonctionnement immunitaire dont l'immunodépression, l'auto-immunité et l'hyper-inflammation » et « accroît le Ca2+ (calcium) intracellulaire essentiel à l'entrée du virus, sa réplication et sa libération, en plus de favoriser les voies pro-inflammatoires ». Cette étude explique qu'elle n'est certainement pas la première à conclure que les WCR peuvent induire des dommages corporels : « Des décennies durant, des chercheurs scientifiques indépendants du monde entier ont souligné les risques sanitaires et le préjudice cumulé induits par les WCR. Les données présentées ici viennent renforcer l'important corpus de recherche existant ». Malheureusement, cette recherche doit encore influencer les décideurs politiques à l'heure où les systèmes de communication sans fil continuent d'être déployés dans le monde entier.

Les origines du COVID

Selon les institutions en place, les origines du CoV-SARS-2 étaient simples : le virus était passé de l'animal (vraisemblablement une chauve-souris) à l'homme au marché de produits frais de Wuhan. C'est l'évaluation que fit l'Organisation mondiale de la santé (OMS) au début 2020. Pour renforcer encore la théorie de l'origine naturelle, un groupe de scientifiques a publié une déclaration ferme dans le Lancet (revue scientifique prestigieuse — N.d.T.) disant qu'ils « condamnaient fermement les théories du complot laissant entendre que l'origine du COVID-19 n'était pas naturelle » et que « l'écrasante majorité des scientifiques concluent que ce coronavirus est issu de la faune sauvage ». Appuyée la censure des géants de la technologie, cette théorie s'établit comme une vérité indiscutable.

En 2021, l'argument incontestable de la cause naturelle a commencé à battre de l'aile. David Asher, qui instruisit l'enquête du Département d'état américain sur la question, révéla que plusieurs employés de l'institut de virologie de Wuhan avaient été hospitalisés pour une maladie ressemblant très fortement au COVID environ un mois avant l'identification du nouveau virus. Une étude rédigée par Steven Quay et Richard Muller en février et publiée plus tard dans le Wall Street Journal a analysé la séquence d'acides aminés dans le génome du virus et a découvert que « dans toute la classe des coronavirus existants dont fait partie le CoV-2, la combinaison de (tri-nucléotides) CGG-CGG n'a jamais été décelée à l'état naturel », en concluant que « la présence d'une double séquence CGG constitue une preuve tangible d'épissage de gène et l'absence de diversité dans l'épidémie est l'indice d'une accélération par gain de fonction. Cette preuve scientifique permet de conclure que le virus a été développé en laboratoire ».

Dans la culture populaire, la présomption d'une fuite de laboratoire est devenue plus palpable après l'ordre d'enquête lancé par le Président Biden à la NSA et le passage de Jon Stewart, humoriste américain très prisé dans The Late Show (émission de variétés à grande écoute aux États-Unis — N.d.T.), où dans une diatribe pleine d'humour, il dit qu'il existe des raisons évidente de soupçonner le labo puisque le nouveau virus est apparu dans la ville même où se trouve le labo qui fait des expériences avec des virus. Sur les 27 scientifiques ayant co-signé l'article du Lancet demandant le retrait de la théorie de la fuite de laboratoire, il s'avère que 26 ont des liens avec le labo de Wuhan en question et vers la fin de l'année, le rédacteur en chef du Lancet a finalement admis qu'il y avait de sérieux conflits d'intérêt au sein des co-signataires.

Le micropuçage de la population

Les théories concernant de nouvelles tentatives des gouvernements et des géants de la technologie de pister les gens circulent depuis des décennies. Depuis le COVID, deux principales théories portent sur l'implantation de micropuces à la population. La première est que le vaccin lui-même contiendrait une espèce de dispositif de communication mais a été invalidée. La seconde était qu'un passe vaccinale une puce RFID serait implantée chez les gens et utilisée pour maintenir ou restreindre leur liberté de mouvement. Cette théorie a été invalidée par Reuters en avril 2020.

En novembre 2021, les autorités suédoises ont annoncé qu'elles exigeraient une preuve de vaccination pour participer à des rassemblements de plus de 100 personnes. Parallèlement, une compagnie suédoise du nom de DSruptive, fabriquant de microélectronique implantable, a découvert une nouvelle application pour leurs produit. Au lieu d'avoir sur soi un passe vaccinal sous forme papier ou numérique via une application sur son téléphone, cette société l'implantera directement dans la main des personnes. Dans une courte vidéo (en anglais), son PDG, Hannes Sjoblad, explique le processus et comment les gens trouvent cela plus pratique. Actuellement, les implants ne tracent pas la localisation d'un individu et ne transmettent aucune donnée biométrique qui n'ait été mise sur la puce. Bien que les autorités aient permis que les micropuces implantées puissent servir de passe vaccinal, elles n'ont pas (encore) été rendues obligatoires.

Les pandémies et les périodes de mutations sociales rapides éveillent inévitablement la suspicion et la méfiance envers les événements. Même si certaines théories du complot restent à l'état de théories et ne seront peut-être jamais validées, 2021 a vu des révélations très importantes autrefois considérées comme tirées par les cheveux et peu probables devenir réalité dans notre quotidien.

Texte original de DAVID HELLER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Les cinq épées de Mercure

Comme si la confusion et la désinformation n'avaient pas déjà atteint leur paroxysme ces jours-ci, voilà que Mercure, planète du mental et de la communication, passe aujourd'hui en mode rétrograde — et ce jusqu'au 3 février. Juste à temps pour la Nouvelle Année du Tigre d'eau et le changement de signe (après 20 ans) du Grand Réformateur Pluton et des nœuds lunaires du karma. Pour lors, je tenais à partager avec vous les réflexions de Sasha Marchetti et le petit échange que j'ai eu avec elle, sur Instagram, à propos d'un tirage de carte récent d'un tarot illustré par son père, Ciro Marchetti dont je suis une grande fan. Je possède d'ailleurs plusieurs de ses oracles dont les illustrations m'inspirent bien plus que les représentations traditionnelles (Tarot de Marseille, Lenormand, Kipper). J'aime tout particulièrement son Oracle des Visions avec ses lames dépourvues de mots-clés laissant libre court à l'intuition.

Ey@el

Le Cinq d'Épées. Généralement pas considéré comme très positif. Cette carte est souvent synonyme de conflits, de gagnants et de perdants dans une situation donnée. Son côté particulièrement négatif peut conduire à une attitude de « vouloir gagner à tout prix ». Si nous vivions tous sur un champ de bataille, une épée à la main, alors oui, une telle situation justifierait peut-être un tel état d'esprit. Mais dans le monde d'aujourd'hui, la forme de conflit la plus répandue est verbale. Et il est un peu plus difficile de justifier ces « prises à la gorge » dans les différends actuels qui (la plupart du temps) ne sont pas exactement des situations de vie ou de mort.

J'ai trouvé intéressant de tirer cette carte (souvent associée au Verseau) au moment où Mercure (la planète liée à la communication et la manière dont nous nous exprimons/interagissons avec autrui) se trouve en Verseau. Au lieu de m’appesantir sur les aspects négatifs de cette lame, il m'a semblé que c'était le moment opportun pour analyser comment nous interagissons avec les autres dans ces situations. Et de réaliser qu'il nous faut nous demander si ces querelles et ces « victoires » potentielles en sont vraiment. Nous devons aborder les tensions et les problèmes avec autrui avec la démarche mentale insouciante, objective et détachée du Verseau. Nous devons choisir nos batailles. Ce qui ne signifie aucunement que nous devrions toujours garder nos pensées pour nous ou ne pas défendre nos points de vue. Nous avons le droit d'exprimer nos pensées et de le faire avec conviction. C'est juste que nous devons faire preuve de discernement dans notre approche. Nous devons être sûrs de pouvoir le faire sans avoir besoin de recourir à des coups bas ou un comportement sournois et équivoque. Si nous devons tricher, agir en douce, insulter ou tromper pour gagner ou faire valoir nos arguments, nous ne sommes pas des gagnants. Il n'y a pas de mal à perdre parfois, à quitter le champ de bataille sur un sentiment de défaite. Mieux vaut être un perdant intègre qu'un « gagnant » indigne.

Quand un différend ou un conflit prend une tournure de combat déloyale, personne ne gagne. Tout le monde souffre, tout le monde s’énerve et tout le monde est fâché. Gagnant ou perdant, les deux parties participent à une interaction inutilement négative. Pour quoi ? Pourquoi prendre part à de tels drames et échanges émotionnels exacerbés qui déchaînent le pire en nous ? Même le gagnant, après avoir balancé des coups de couteau de parts et d'autres, se retrouve tout seul sur le champ de bataille, à réparer les dégâts qu'il a causés, au risque de se blesser ce faisant. Ou, au mieux, avec la conviction que ce qu'il a pu dire ou faire n'était pas correct. De savoir qu'il n'a pas vraiment mérité cette « victoire ». Personne ne devrait se satisfaire d'une victoire mal acquise. Cela relève du déni et indique que vous ne vous croyez pas capable de gagner autrement. Ce qui, par défaut, est plutôt une attitude de « loser » en soi, non ?

Nous sommes tous coupables de vouloir « avoir raison ». Et peut-être en sommes-nous réellement persuadés. Quoi qu'il en soit, ça n'en vaut toujours pas la peine.

Puisse cette carte vous rappeler qu'il n'est pas toujours nécessaire de gagner (ou de participer à un conflit). DÉTENDEZ-VOUS. Et quand la bataille est inévitable, assurez-vous d'y prendre part avec intégrité. Gagnant ou perdant.

Note : Ceci n'est pas la signification générale de cette carte mais l'interprétation que j'en fais en cette période précise et l'enseignement que je pense en retirer.

pensine_mutine : 100% d'accord. Juste pour information, après avoir utilisé le zodiaque tropical pendant des décennies, j'ai récemment été amenée à expérimenter avec le zodiaque sidéral (avec une ayanamsa différente de celle utilisée par les astrologues hindous, c.-à-d. avec le centre galactique comme point de référence plutôt que des étoiles fixes arbitraires) et globalement, c'est selon moi beaucoup plus juste avec les thèmes étudiés. Ainsi, Mercure est actuellement en Capricorne ce qui cadre bien avec l'énergie [de la lame] du Diable où il faut passer outre les couches d'illusion et dépasser la surface des choses dans notre communication et notre réflexion. C'est juste mon opinion et mon ressenti mais j'ai pensé que cela valait la peine de le partager si cela pouvait inciter d'autres personnes à expérimenter.

ciromarchetti.art : Merci pour ce partage. Très instructif et intéressant. J'ai aussi moi-même récemment commencé à explorer divers systèmes et je pense qu'il est très utile de prendre le temps de les tester, de voir les similitudes et les différences de ce « qui se passe » selon les points de vue ou de référence. Une infinité de manière d'interpréter tout ceci et toujours quelque chose à y gagner ! - Sasha

Texte original de SASHA MARCHETTI traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : Ciro Marchetti

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Notre réalité est une simulation

Brûlez comme des esclaves,
Tournez comme des rouages,
Nous sommes enfermés dans des simulations.
Les algorithmes évoluent,
Nous éliminent, nous rendant obsolètes...

"Algorithm", Muse (2018)

Nous pouvons explorer la nature de la force à l'origine de cette secte mondialiste. Cette force vénérée par les satanistes de la secte mondialiste dans leurs rituels. Je me suis intéressé et j'ai rencontré tant de gens de cultures différentes à travers le monde et à ce que ces cultures, ces légendes et ces récits racontent et toujours et encore, on retrouve la description d'une force non humaine manipulant la société des hommes et qui semblerait prendre une forme reptilienne. Non seulement ça mais qui serait la force dominante tirant toutes les ficelles.

On peut aussi creuser davantage et se dire que c'est sans importance que l'on ait affaire à quelque chose d'humain ou non, qu'il s'agisse de Reptiliens ou de Gris. Cela n'influe aucunement sur le fondement même parce que la manière dont cette forme se comporte, si vous voulez, dépend de sa perception. Ainsi ce que vous découvrez au fond du terrier est un état de perception. Et cela fait des décennies que je parle d'un virus mental. Un virus mental qui manipule la perception et contrôle la psychologie humaine.

Plus récemment, je suis tombé sur le concept, la description d'un virus mental que les Amérindiens appellent le Wetiko — du moins la tribu des Cris. Ce que j'ai pu lire sur le Wetiko m'a fait penser que c'était exactement ce même virus dont j'avais parlé. Il s'agit d'un état de conscience incroyablement déformé et inversé, qui de fait inverse tout. Et quand on regarde le mot EVIL (le MAL en anglais), c'est en fait le mot LIVE (la VIE) à l'envers. Ce qui est très à propos parce que cette conscience Wetiko qui anime les Reptiliens et la secte mondialiste — qui anime les Gates, les Fauci et les Klaus Schwab — est une inversion de l'amour.

En fait, ma définition du mal est l'absence d'amour. Vous retirez l'Amour et vous avez le Mal. Vous ajoutez l'Amour et le Mal disparaît. Cela peut sembler banal et simpliste, mais ça ne l'est pas. C'est très profond. La solution au Mal n'est pas davantage de mal (on devient ce que l'on combat) mais l'Amour. Et ce qui s'est passé (et qui a été systématiquement déformé à dessein) est que l'on a perdu la signification de l'Amour. Nous nous connectons à son expression humaine, celle de l'amour-attirance. Il peut être cela en partie. Il peut être une attirance physique, mais l'amour dont je parle est bien plus que cela. L'Amour est ce qui nous relie en dehors de cet asile de fous (que je qualifierais de simulation) à ce qui, en réalité, anime l'immense majorité de la conscience infinie, du potentiel infini.

Les humains ont donc été manipulés dans une simulation de fausse réalité (pensez Matrix) qui a cherché à nous déconnecter, à nous séparer de cette immensité d'amour. Et qu'est-ce que l'Amour ? L'Amour est tout ce qui est, ce qui a été et sera jamais. L'Amour est le tout possible. L'Amour est le tout potentiel. L'Amour est ce qui dit : « Je ferai toujours ce que je sais être juste et je ne penserai pas aux conséquences. Parce que penser conséquences revient à envisager de ne pas faire ce que je sais être juste. Je fait ce que je sais être juste parce je viens de l'amour. »

L'Amour est ce qui nous permet de nous connecter, par le biais de ce vortex du cœur, à l'au-delà hors de la prison mentale (car c'est ce qu'est cette simulation — cette matrice est une prison mentale, une prison perceptuelle). Et l'idée est de rompre cette connexion afin de nous séparer, de maintenir notre point de mire, notre source de perception et notre subconscient immédiat dans les cinq sens. Leur but est de nous isoler dans les cinq sens pour ensuite les programmer avec une version de la réalité. Ainsi cette version de la réalité (perception) devient celle qui permet à cette force contrôlante de nous contrôler à loisir car dans cet état, on n'y voit littéralement pas plus loin que le bout de son nez.

Lorsque l'on voit comment les cinq sens décodent la réalité, ils ne peuvent percevoir que certaines fréquences appelées « formes » ou solidité. Ce n'est pas vraiment le cas, mais elles semblent agir sur les cinq sens. Seulement, entre les formes, ces derniers ne perçoivent que de l'espace vide et rien d'autres. Ainsi pour eux, tout est séparé de tout, c'est la seule manière dont ils perçoivent le monde. Alors que lorsque vous élargissez votre conscience au-delà des cinq sens, vous commencez à réaliser que tout est relié. Il n'y pas d'espace vide mais entre ce que ces derniers perçoivent comme tel, se trouve en fait la conscience telle un vaste champ de wifi connectant tout. Et nous interagissant avec. Il nous affecte et nous l'affectons à l'instar des poissons et de la faune sous-marine nageant dans l'océan. L'océan est ce qui connecte tout mais il ne veulent pas que nous réalisions que nous faisons partie d'un immense tout unifié infini dominé par l'Amour bien au-delà de la compréhension que nous en avons.

Ils veulent que nous pensions être des individus impuissants et insignifiants, séparés de tous les autres individus, séparés de toute autre expression de la vie comme les arbres, l'air et la nature en général. Afin que nous agissions comme un vulgaire système informatique isolé alors qu'en fait, nous sommes tous reliés.

Ils diront que personne ne peut nous voir,
Que nous sommes isolés et tout seuls.
Ils sont persuadés que rien ne peut nous atteindre
Et nous tirer de cette obscurité sans fin.
Ils ont tort...
Ils ont tort...

"The Void", Muse (2018)

Texte original de DAVID ICKE traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Couard intérieur, fasciste extérieur : les deux doivent mourir

La mort peut en effrayer plus d'un. Il faut une grande maturité spirituelle pour accepter totalement le fait qu'elle n'est pas une fin, mais juste un nouveau chapitre dans l'évolution de l'esprit, libéré du vaisseau dans lequel il a voyagé.

Il y a rien à craindre. Pourtant l'inconnu s'accompagnera toujours d'une certaine part d'appréhension, d'un sentiment de crainte. Il faut du courage pour affronter ce qui nous est totalement étranger. Mais la vie n'a jamais été censée être une aventure dépourvue de risques et nous ne venons pas au monde en cherchant à éviter ce qui nous demande de relever des défis.

Actuellement, nous sommes face à sans doute le plus grand défi de tous et nous ne pourrons remporter la victoire dans cette confrontation entre la lumière et l'ombre que lorsque nous accepterons que le couard en nous doit mourir. Il doit mourir pour que nous puissions vivre. Vivre pour remettre en cause le mensonge anti-vie — aussi longtemps qu'il faudra pour qu'il prenne fin.

Le tâche en souffrance à laquelle chacun de nous se retrouve confronté aujourd'hui est de surmonter cette fragilité intérieure généralisée qui nous empêche d'agir pour libérer le monde des mains de ceux qui le retiennent en otage.

Cet animal misérable, qui participe à notre sentiment d'insécurité intérieure, est le plus bas dénominateur de vie, transformant instantanément l'homme en une créature faible et insipide, effrayée par ce qu'être en vie et un humain à part entière implique. Je fais référence à cette pathologie qu'on nomme la « lâcheté ».

Tous ceux qui se cherchent une excuse à l'intérieur pour ne pas participer à la bataille qui se joue afin d'empêcher une dictature inhumaine de s'emparer de la gestion quotidienne de la vie sur cette planète, doivent reconnaître l'appel de la lâcheté. Tout comme ceux qui « font ce qu'on leur dit » quand en leur for intérieur ils savent qu'ils ne devraient pas.

La « lâcheté » est un terme terriblement offensant. Il n'y a certainement rien de plus humiliant que de se faire traiter de lâche. Quiconque doté de ne serait-ce un soupçon d'amour propre se sent atteint dans ses tripes. Être lâche n'est pas quelque chose que l'on aime à penser de soi, à moins d'avoir complètement renoncé à se soucier de prendre sa vie en main.

Dans les mois qui viennent, le « couard intérieur » survivant devra être confronté pleinement. Cette période va constituer l'épicentre absolu d'un choix décisif pour chacun de nous : se lever pour faire partie de la résistance ou bien tomber encore plus bas dans la capitutlation à l'état d'esclavage abject.

Le premier nous conduira à une victoire sans précédent pour la libération de l'humanité arrachée aux griffes de l'ombre. Le second sera synonyme de servitude ininterrompue envers les mécanismes démoniaques d'une secte anti-vie avec pour seul objectif de prendre le contrôle absolu — et de torturer — tous ceux qui ne se seront pas levés pour la défier.

La situation est tellement affligeante que c'en est devenu presque insoutenable d'assister à la capitulation aveugle de nos semblables envers ces chiens enragés qui divisent pour conquérir. Ceux-là dont l'infamie pure et simple s'est répandue durant la grande fraudémie. Et qui n'a eu d'égale que l'incroyable passivité de ces millions s'offrant comme « victimes-carburant » pour accroître le mal.

Tant d'humains ont sombré dans ce que l'on peut uniquement qualifier de « race des couards ». Les défis principalement physiques du passé, qui ont soutenu la détermination de faire de son mieux quoi qu'il arrive, devraient dès lors avoir été transposés dans le domaine spirituel.

Cette même détermination extérieure nécessaire pour surmonter les actualités physiques aurait désormais dû être transformée en volonté canalisée de conquérir l'ego rampant et le couard intérieur. Mais ce processus (logique) d'évolution ne s'est pas produit. Au lieu de cela, tout élan vers l'avant s'est figé, le quotidien a perdu son rythme et la dépression a pris le pas sur l'auto-discipline.

Dans un tel état, les humains sont très facilement contrôlables. Par la télé, la commodité fatale des champs électromagnétiques des appareils mobiles et l'ingénierie sociale des malveillants au pouvoir — pour ne citer que quelques-uns des facteurs de ce lavage de cerveau planétaire.

Tout défi majeur, comme celui de se lever contre le retrait de libertés fondamentales essentielles acquises au fil des siècles, a été écarté et la résilience individuelle remplacée par l'indécision irresponsable.

Bien trop de personnes ont sombré dans un état de passivité abject, menant une existence de somnambules comme si elles n'y avaient aucun rôle à jouer, transférant la responsabilité de gérer leur vie à un petit groupe de carpettes « dirigeants politiques » bidons. 

Alors aujourd'hui, le cran nécessaire pour instaurer le soulèvement radical nécessaire pour nous émanciper, « nous le peuple », d'une dictature fasciste dominante à l'échelle mondiale fait cruellement défaut.

Toutefois, le champ de bataille stratégique au sein de ce drame ne repose non pas sur la défaite extérieure d'un adversaire physique mais sur celle du poltron intérieur fuyant. Pour faire partie de la résistance contre des actes de génocide de masse centralisés, nous devons nous assurer de ne laisser aucune marge d'expression au couard qui nous habite.

Ce dernier qui sévit à l'intérieur de chacun de nous doit d'abord mourir avant que la majeure partie de l'humanité puisse vivre.

Cela peut sembler irréalisable pour ceux qui tremblent à l'idée que le guerrier en eux puisse s'élever et les pousser à agir. Mais à ceux-là je dirai : contentez-vous d'envisager cette alternative. La capitulation à des décennies d'esclavage sans fin sans plus aucune liberté ni droit civique. Plus rien.

Micro-pucés, contrôlés mentalement, torturés psychologiquement, bloqués spirituellement et physiquement remaniés ou assassinés par des vaccinations bidons ; contraints de consommer des aliments de synthèse conçus en laboratoire ; incapables d'enfanter en raison de la stérilisation de vos organes reproducteurs ; dépossédés de tous vos biens matériels y compris du droit de revendiquer la propriété de votre propre corps, et enfin mais surtout, sous la surveillance constante d'un tiers invisible disposant du pouvoir de supprimer tout courage émotionnel que vous pourriez éventuellement trouver pour vous échapper de cette prison.

Vous ne vous autorisez sans doute pas à croire qu'il pourrait en être ainsi ; mais vous pourriez vous tromper, tout est dit dans le livre de Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, intitulé La Grande Réinitialisation.

Dans cet ouvrage, vous y avez tout émanant directement de la plume d'un des principaux architectes du contrôle mondial centralisé. Un maître artisan de l'état totalitaire avec Gates, Zuckerberg, Rockefeller, Rothschild, les rois de la technologie de Silicon Valley et une poignée de multi-milliardaires, banquiers et « personnel royal » tyranniques des imposteurs de l'ombre.

Ce sont des faits et non de la fiction et tous les chefs de file despotiques dont c'est l'agenda sont coupés du monde réel de par les richesses financières démesurées qu'ils ont accumulées. Ils vivent dans une construction parallèle et c'est depuis un cocon de froideur insensible et calculatrice, dépourvue d'empathie envers les personnes réelles, les émotions réelles et le monde réel, qu'ils poursuivent leur lente asphyxie de la vie sur Terre.

Quand vous comprenez comment cette planète est gérée dans l'intérêt de ces vampires — et que c'est vous qui permettez cela, la pilule bleue n'exerce alors plus la même attraction. Toute tentative de continuer à vous réfugier derrière un état délirant d'incrédulité ressemble de plus en plus à une porte ouverte sur un monde souterrain sans lumière.

Nous avons tous atteint le niveau zéro. Il est temps, ma jamais, de soutenir la noble marche pour l'émancipation de l'humanité de tous nos actes et pensées. Et non de se retrancher derrière l'ombre croissante de l'auto-implosion.

Je me suis exprimé aussi crûment que possible parce c'est ce que je vois devant nous. Ce choix. La liberté versus le fascisme.

Il s'agit juste de se saisir du fier drapeau de la liberté et de sauter le pas. Sauter le pas pour rejoindre les rangs de la famille humaine qui ne cesse de s'agrandir pour avancer en résistance contre les maîtres esclavagistes mondialistes qui veulent vous soumettre à leur captivité et y entraîner le reste du monde avec vous.

Ceux qui n'ont pas encore déplacé leur pion seraient bien avisés de le faire dès maintenant — et de virer pour de bon leur couard intérieur — plutôt que leur âme infatigable, toujours à l'écoute et toujours là pour les guider.

Nous sommes les représentants vivants uniques d'une force supérieure universelle. Des Émissaires de la Conscience suprême. Ne craignons pas de rendre justice à cet héritage hors du commun. Afin d'honorer ce don précieux qui nous a été accordé.

Nous sommes venu ici pour reprendre le contrôle et donner une direction nouvelle au destin de l'humanité. Pour perpétuer la lignée terrestre au nom de son divin créateur. Pour nous offrir pleinement et vaillamment à ce qui exige un engagement sans faille.

Texte original de JULIAN ROSE traduit de l'anglais par EY@EL
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Le début de la fin

Ce qui est énervant avec les complotistes, c'est qu'ils ont souvent raison et, qu'à terme, leurs théories ont tendance à devenir des faits avérés. Ainsi je ne m'étais pas trompée en vous annonçant que 2021 serait bien pire que 2020 et que nous allions vers une scission de l'humanité, une séparation des chemins où, qu'on le veuille ou non, nous serions confrontés à un choix. Choix crucial que nous avons tous dû faire bon gré mal gré, même si certains regrettent déjà d'avoir cédé aux injonctions ou au chant des sirènes qui leur promettaient de leur rendre leur vie d'avant (que pourtant beaucoup exécraient par tous les pores).

Si seulement la majorité pouvait prendre le recul nécessaire pour se poser en observatrice impartiale de sa propre logique et voir à quel point elle faille de tous côtés... cette farce macabre prendrait fin immédiatement. Nous pourrions alors nous atteler à construire un monde nouveau sur des bases saines et qui ne ressemblerait en rien à celui que nous avons laissé derrière nous. Parce qu'à force de se mordre la queue, le Serpent aura fini par s'auto-phagocyter.

Le Talion est mort ce soir

La sensation de tourner en rond,
Dans une cage de règles sans fin...
Délivrez-moi ! Délivrez-moi !
Délivrez-moi de ce monde
Auquel je n'appartiens pas,
De cette erreur
Qui retient mon âme prisonnière...

"Explorers", Muse (2012)

L'Ouroboros, ce symbole de la boucle éternelle, représente en fait la roue du karma perpétué par l'application de la loi du Talion qui emprisonne l'humanité dans un cycle de cause à effet sans fin. Imaginez être condamnés à vivre à perpète dans le tambour d'une machine à laver ou d'une centrifugeuse. Quid de l'œuf ou la poule... Un hasard si 2022 ressemble à une famille de cygnes tractant un œuf géant ?

L'Enfer me ment. La rend-cœur m'emprisonne. L'âme-hors n'est pas la fin.

La loi du Talion est l'apanage des faibles car il faut beaucoup de courage (cœur) pour pardonner (à soi-même encore plus qu'aux autres). Le pardon n'a bien entendu rien à voir avec le cautionnement. Quant au faux sentiment d'impunité souvent invoqué par le pilote automatique déréglé (l'ego) qui refuse d'écouter les conseils de son aiguilleur (l'âme), il n'est rien d'autre qu'une erreur volontaire de programmation destinée à nous empêcher de décoller de la piste en nous libérant de notre excédent de bagages.

L'ego ignore tout des lois universelles de la vie. La loi causale vient encadrer celle du libre-arbitre. En clair, vous êtes entièrement libre de tous vos choix, pensées, croyances, paroles, décisions, actes mais vous en êtes également entièrement responsable.

La réalité ne se limite pas à ce que vos cinq sens en perçoivent et par conséquent vous êtes dans l'erreur et l'illusion lorsque vous pensez que l'impunité existe pour certains. Personne n'est dans la tête ni le cœur de personne et ne peut savoir ce qui s'y déroule à huis clos. Les apparences sont souvent trompeuses. Les voies du Grand Tout sont impénétrables et de sa vérité nous ne possédons chacun qu'une infime parcelle, comme autant de pièces d'un puzzle inachevé.

L'arrogance entraîne au fond du lac. L'humilité élève au-dessus des montagnes.

L'allégorie du miroir

Comme vous n'aurez pas manqué de le remarquer, toutes les valeurs sont désormais inversées et les fous ont pris la direction de l'hôpital. C'est normal, il s'agit de la fameuse scission dont je vous parlais où certains ont choisi de traverser le miroir et d'autres non. Ainsi chaque partie est persuadée que sa réalité est la vraie et que c'est l'autre qui inverse tout. Comment savoir si on est du bon côté alors ?

C'est simple, prenez du recul. La réalité factice ne vous permettra pas de sortir de la boite et de voir au-delà du champ de réflexion du miroir. Au contraire, l'autre réalité n'aura de limite que votre désir et capacité à prendre le recul nécessaire aussi loin que vous serez prêt à vous aventurer. La réalité factice n'offre qu'un point de vue étriqué qui se rétrécit sans cesse (la pensée unique) tandis que l'autre ne cesse de s'élargir. La seule manière d'échapper à l'enfer-me-ment serait de briser la glace mais comme il s'agit d'une métaphore mentale de l'échelle vibratoire de Hawkins (ci-contre), c'est uniquement en élevant votre vibration que vous pourrez vous sortir du piège à mouches.

Voyez-vous enfin le véritable enjeu de cette guerre d'usure menée contre l'humanité qui se joue dans nos esprits et non sur un champ de bataille ?

Élargir sa perspective est essentiel pour ne pas devenir ce que l'on combat et tomber avec l'ennemi invisible.

L'année de l'ascension

Quand l'être place l'Amour dans une strate purement émotionnelle, il se rend esclave de ses tourments et peut redouter les bons moments par leur caractère éphémère voire inquiétant. Il se préoccupe davantage de ce qui pourrait manquer et mal se dérouler que d'investir la gratitude du moment. Le contrôle le rassure et le bonheur devient une quête perpétuelle, le maintenant à l'écart de la Lumière du présent.

Dans ce monde qui s'ouvre sous nos pieds, les uns doivent incarner le présent pour le faire prospérer dans la félicité et la Lumière retrouvée. Les autres composeront avec leurs propres prisons intérieures jusqu'à ce que leur regard puisse, un matin, se porter en eux-mêmes comme une première lueur d'infinité.

Personne ne pourra enlever les barrières intérieures de ses frères et sœurs, mais vous tous, vous pouvez inspirer profondément les êtres autour de vous. Non pas en leur montrant le phare dans la nuit mais en incarnant la Lumière de ce phare. Tel le soleil qui propose uniquement sa présence lumineuse et son immense aura dont chaque être est baigné.

On ne peut tirer sur une fleur pour qu'elle pousse plus vite. Mais on peut créer et nourrir les conditions favorables pour qu'elle puisse s'épanouir.

Lulumineuse
26 déc. 2021

2022 en numérologie est une année universelle 6 de responsabilité, d'amour et de service amplifiant le besoin de coopération par la présence de trois fois le nombre 2 et du zéro de l'infini. Le 6 qui correspond à l'arcane de l'Amoureux  dans le tarot de Marseille (ou de la Croisée des chemins) « devient le principe du choix conscient, conscience des liens que l’on se crée au fil des expériences qui se tissent, pour mieux s’impliquer  et y retirer les leçons bénéfiques à la lumière de ses propres besoins. [...] L’amour dans toute sa diversité et sa multiplicité deviendra le lien unificateur. » (Source)

Le 22 est un maître-nombre correspondant à l'arcane du Mat (ou Fou) qui représente l'évolution, « le principe de la liberté et de la vérité, qui s’impose comme un aboutissement final à une étape de vie pour en recommencer une autre tout aussi évolutive. Tout est mouvement circulatoire et spiralé nous faisant avancer vers d’autres expériences et apprendre la vérité sur chacune d’elles. L’apprentissage et le désir de se connaître deviendront des clés importantes pour avancer vers sa propre étoile ou le contraire, tourner en rond sans jamais risquer ou oser l’inconnu. » (Source)

Une nouvelle année qui démarre par une nuit sans lune (nouvelle lune demain), un dernier bras de fer historique entre Saturne et Uranus et l'entrée du Grand Réformateur Pluton dans le signe du Capricorne sidéral (pouvoir, institutions, ordre établi) début février après deux décennies dans celui du Sagittaire (croyances, religions, dogmes, philosophie, finances internationales). Mais nous aurons tout le loisir d'en reparler ultérieurement à l'occasion de la célébration de l'année du Tigre d'eau dans un mois.

Que la Force soit avec vous.

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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