Les personnes intuitives ne sont pas fragiles

Dans le langage des oiseaux, l'intuition est l'enseignement (tuition) qui vient de l'intérieur (in) ou de l'Un. Selon Wikipédia, l'intuition serait « le fait de pressentir ou de comprendre quelque chose sans analyse ni raisonnement ». De quoi énerver les cartésiens purs et durs agonisant dans leur dissonance cognitive et autres sociopathes de Davos persuadés que l'humain est piratable. C'est justement cette guidance intérieure que j'ai suivie pour réaliser ma toute première vidéo à partir de ce texte merveilleux partagé par Abellina Saint Juste sur VK. Je ne maitrise pas encore la technique alors merci de votre indulgence. N'hésitez pas à la liker sur YouTube, cela me motivera peut-être à en faire d'autres. Un grand merci également à Purusha pour avoir pris le temps de me relire et me corriger sur la version anglaise et à Marilyn qui m'a rappelé sans le savoir que la voix était la vibration de l'âme et par conséquent un outil très puissant. Enfin, désolée pour le ton nasillard (allergie saisonnière et chemtrails).

Namaste,

Ey@el

Les personnes intuitives ne sont pas fragiles,
Elles sont sensibles.
Elles peuvent sembler faibles
Mais elles contiennent en fait
La force des vieilles âmes.

Votre soutien n'est pas la force physique
Mais un soutien émotionnel,
Éduqué par les différentes situations de la vie.

Ce sont des âmes qui ont vécu
D'innombrables existences,
Qui ont approfondi leurs passions,
Qui sont tombées et se sont relevées
Devant les enseignements universels.

Elles pleurent plus que les autres
Car elles sont sincères dans leurs sentiments.
Elles sont loin d'être incontrôlables,
Elles savent juste que les émotions,
Lorsqu'elles oppriment,
Ont besoin d'un canal pour sortir.

Elles ressentent – et ressentent trop.
Elles sont comme une antenne
Extrêmement sensible
Qui capte tout signal ou ondulation
Dans l'environnement.
C'est pourquoi elles sont enchantées
Par les choses simples de la vie.
Elles apprécient les parfums,
Les couleurs,
La poésie qui écrit les sens de l'existence.

Une personne intuitive est toujours quelqu'un
Qui voit au-delà
Des couches solides de la matière.
Cela leur permet de sentir
Ce qui ne s'est pas encore passé,
Ou de savoir exactement
Où elles devraient et ne devraient pas aller,
Ou quel type d'énergie les gens transportent.

Ce sont des gens qui aiment,
Ont un lien fort avec la nature,
Les animaux,
Les livres,
Et tous les enseignements que la spiritualité
Apporte au monde.

Elles regardent généralement les étoiles
Et sourient,
En se souvenant inconsciemment
De leur maison.
Elles savent qu'elles sont là
Mais qu'elles viennent d'en haut !

Ne sous-estimez donc jamais
La force d'une personne intuitive.
Elle connaît les bonnes âmes,
Et celles qui sont encore en chemin
Pour trouver leur lumière.

Elle peut tomber
Mais elle se relèvera toujours.
Car elle apprendra toujours de chaque erreur,
De chaque expérience,
Et en fera sa plus grande force.
Car elle a déjà appris
À développer sa lumière.
Et elle sait qu'elle est capable d'éclipser ceux
Qui ne la comprennent pas encore
Et d'illuminer ceux qui sont
Dans l'éveil de la conscience.

Une personne intuitive est celle
Qui porte dans ses pas et dans ses yeux
La force qui vient de l'âme.

Et cette force anime toute existence !

Texte original de ALEXANDRE GRUBER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Deux raisons pour lesquelles les ovnis, désormais appelés « pans », pourraient être obsédés par nos armes nucléaires

Les objets volants non identifiés (OVNI), désormais officiellement rebaptisés « phénomènes aérospatiaux non identifiés » (PAN) par le Pentagone, se sont généralisés et banalisés. Des images vidéo, des données de suivi radar et le témoignage d'anciens employés du ministère de la défense américaine ont introduit et légitimisé la question auprès de millions voire de centaines de millions de personnes dans le monde entier. Ce qui inquiète les ufologues qui ont passé des décennies à fournir des sources crédibles démontrant que ce phénomène est vraiment « quelque chose de réel et non pas visionnaire ou fictif » comme l'expliquait le Général Nathan Twining de l'armée de l'air en 1954. Le fait que cette légitimisation intervienne après ce qui fut décrit par Roscoe Hillenkoetter, le tout premier directeur de la CIA, comme une campagne de « secret et de ridicule » sur plusieurs dizaines d'années, a de quoi rendre perplexe.

Pourquoi maintenant ?

Nous vivons à une époque où un « fact-checker » orwellien patrouille l'Internet en disant aux gens ce qui est et ce qui n'est pas. Toute preuve, opinion ou discussion remettant en question ce que les gouvernements nous disent sur tel sujet en particulier, qu'il s'agisse du COVID-19, du changement climatique, de la géopolitique, etc., est censuré. Il en ira de même pour la question des ovnis. Comme toujours, les gouvernements veulent contrôler le narratif. Ce que nous obtiendrons probablement et que les gouvernements sont en passe de nous fournir en rapport avec la transparence sur les ovnis est une version édulcorée, plus en accord avec les intérêts de ces derniers et non représentative du phénomène de manière précise ou adéquate.

Le processus de « transparence des pans » s'accélère de manière exponentielle. Une audience sur la question doit se tenir la semaine prochaine au congrès des États-Unis. L'attaché de presse du Pentagone, John Kirby, a déclaré qu'ils n'avaient pas la moindre idée de ce qu'étaient ces objets mais qu'ils étaient bien réels et qu'on les voyait souvent près des camps d'entraînement militaires.

Pour l'ufologue aguerri que je suis, c'est tout bonnement faux. Certes, on peut généralement les apercevoir à proximité des installations militaires, en particulier près des armes et des sites de production d'armes nucléaires, mais à mon avis les gouvernements, ou du moins certains parmi eux, savent déjà ce que représentent ces objets. Cela fait des décennies qu'ils étudient le phénomène aussi quand ils nous racontent que les investigations sur la question ne font que commencer, c'est louche.

Il y a certains narratifs qui ne seront jamais présentés au grand public. Quant à savoir pourquoi, c'est un tout autre débat. Ce n'est un secret pour personne que les crises, la peur et la panique servent avantageusement les agendas des multiples gouvernements et organisations comme le Forum économique mondial. Ceci dit, cet article se concentrera sur le lien entre les ovnis et nos armes nucléaires en proposant une explication purement spéculative quant à la raison pour laquelle ils semblent tant obsédés par ces dernières.

Cela fait très longtemps que des ovnis sont aperçus par des civils et des militaires à proximité de sites de stockage et de fabrication d'armes nucléaires. En juin 2021, Luis Elizondo, ancien directeur du programme avancé d'identification des menaces aérospatiales a souligné ce fait lors d'un entretien avec le Washington Post dans lequel il a expliqué en quoi il s'agit d'un phénomène mondial et comment ces objets ont interféré et complètement désactivé les capacités de lancement d'armes nucléaires. Nous parlons des installations militaires les plus sécurisées et sophistiquées se faisant « pirater » par ces objets. Dans certains cas, ils ont même initié des comptes à rebours de lancement.

Nous avons quelques exemples. En 1967, des témoins militaires sur la base aérienne de Malmstrom dans le Montana ont vu un ovni rougeoyant juste au-dessus de la grille d'entrée. Peu après, tous les missiles nucléaires se sont désactivés et ne répondaient plus. Un incident similaire s'est produit en 1980 devant la base aérienne de l'armée de l'air britannique (RAF) à Woodbridge en Angleterre, utilisée à l'époque par l'armée de l'air américaine (USAF). Le personnel de l'USAF, dont le commandant adjoint, le Lieutenant Colonel Charles I. Halt, ont décrit l'événement, et le vaisseau comme un objet métallique rougeoyant subdivisé en une multitude d'objets, finissant par projeter un faisceau sur les armes nucléaires entreposées dans la base.

L'incident de Bentwaters fut décrit, selon le ministère de la défense britannique, comme sans incidence sur le plan défensif. Ce qui était absurde : comment pouvait-on affirmer que dans une base nucléaire, un colonel et ses subalternes aient soit vécu ces événements ou bien tous souffert d'une gigantesque hallucination collective sans que cela ait une incidence sur le plan défensif ? On penserait plutôt que l'une ou l'autre des explications aurait une très haute importance.

Alors c'est quoi l'explication ?

Nous sommes en train de jouer avec le feu

Une des explications serait que nous sommes en train de jouer avec le feu. Dans le cas où les occupants de ces objets ou ceux qui les contrôlent à distance nous mettraient en garde contre le danger que représentent les armes nucléaires. Comme vous le savez, une guerre nucléaire détruirait complètement la Terre et y anéantirait quasiment toute vie. Il y a peut-être d'autres civilisations sur d'autres planètes qui ont atteint notre stade actuel de développement technologique pour s'autodétruire ? D'aucuns pensent que c'est ce qui est arrivé par le passé à l'Atlantide, ici sur cette planète.

Il y a lieu de croire à cette première explication pour peu qu'on se plonge dans les récits en lien avec ce phénomène. Ces histoires d'entités visitant les gens et exprimant leur inquiétude pour nous, notre planète, la direction que nous prenons et cette capacité que nous avons de nous autodétruire, sont très répandues.

À titre d'exemple, en 1994, plus d'une soixantaine d'écoliers à Ruwa au Zimbabwe ont été témoins de l'atterrissage d'un vaisseau spatial dans leur cour de récréation. De nombreux êtres en sont sorti et ont apparemment été vus par les enfants.

Ce qui est fascinant dans cette histoire est que tous les enfants qui ont été interviewés par beaucoup de personnes dont le Dr John Mack, un psychiatre de Harvard, ont raconté exactement la même histoire. Ils l'ont fait de manière si précise et semblaient tellement sincères à propos de leur expérience, ce qui n'est pas difficile pour les enfants.

Autre fait remarquable dans ce cas : les dessins des enfants représentant les objets et les entités étaient tous très cohérents entre eux. Ils racontaient, selon Mack, une histoire comme si elle s'était réellement produite, ils croyaient à ce qu'ils disaient et il n'y avait aucun signe de psychose ou de délire chez ces derniers.

Comme dans bien d'autres exemples de prétendus contacts, les enfants ont été mis en garde contre la direction prise par l'humanité et comment nous sommes en train de détruire à petit feu notre planète et toute la vie qu'elle abrite.

Le Colonel Ross Dedrickson de l'USAF a été affecté à la commission de l'énergie atomique américaine et a officié à leurs côtés de 1950 à 1958. Son travail consistait à assumer les tâches administratives des sites d'essais nucléaires du Nevada et du Pacifique à l'ouest d'Hawaï, de la fabrication et du contrôle de qualité des armes nucléaires à Albuquerque, et de l'inspection d'installations nucléaires et non nucléaires à travers le pays.

Selon lui, des armes nucléaires envoyées dans l'espace « ont été détruites par des extraterrestres ». Il affirme que leur souci principal est « la préservation de notre planète ». Et aussi que des armes nucléaires envoyées sur la lune pour la recherche scientifique ont également été détruites par des extraterrestres.

Il est de notoriété publique qu'un rapport déclassifié du centre d'armes nucléaires de l'armée de l'air américaine datant de juin 1959 indique à quel point ils prenaient très au sérieux le plan baptisé Projet A119. Ils veulent surtout étudier les capacités d'armes dans l'espace et acquérir une meilleure connaissance de l'environnement spatial et de l'explosion d'engins nucléaires dans cet environnement.

Le professeur Robert Jacobs (le premier officier a avoir jamais été décoré de l'insigne du missile guidé de l'USAF) en charge de l'instrumentation optique à la base aérienne de Vandenberg, fut responsable de la supervision de la photographie d'instrumentation de chaque missile au banc d'essai.

À l'époque, les missiles nucléaires étaient surnommés « missiles balistiques intercontinentaux » (MBIC) du fait que la plupart explosaient au lancement. Leur tâche était également d'apporter des informations sur les raisons de leur explosion afin de fournir aux ingénieurs des séquences- photos d'ingénierie leur permettant de voir ce qui n'allait pas avec le missile au moment de son envol.

Selon lui, un ovni aurait désactivé un tir d'essai nucléaire en plein vol.

La liste d'exemples de sources « crédibles » est interminable. Peut-être des forces bienveillantes sont-elles là pour veiller sur nous et à la préservation de notre planète. Ce pourrait être une des raisons pour lesquelles ces objets et leurs occupants, quoi qu'ils soient et d'où qu'ils viennent, semblent si concernés par nos armes nucléaires depuis que nous avons commencé à les fabriquer.

Ce phénomène a été documenté non seulement depuis le siècle dernier mais depuis des milliers d'années à travers l'art, l'introduction de la presse écrite et bien plus encore. On est en droit de penser que s'ils avaient eu des intentions véritablement hostiles, ils les auraient déjà manifestées. Mais il s'agit d'un phénomène compliqué autant de facteurs bienveillants que malveillantes entrant en ligne de compte.

Un signe de supériorité

Il est tout à fait clair que quoi que ces objets soient, ils ont une avance technologique de centaines, de milliers ou même de millions d'années par rapport à nous.

Ils ont été filmés, suivis au radar et observés simultanément en train d'effectuer des manœuvres qui défient notre entendement de la physique et de l'aérodynamique. Voici (en anglaisun cas fascinant en Iran si vous voulez en apprendre davantage sur la question qui n'est qu'un exemple parmi des milliers d'autres.

Christopher Mellon, sous-secrétaire adjoint au renseignement entre 1997 et 2002, décrit une vidéo de la marine américaine publiée en 2017 :

Dans certains cas, selon les rapports d'incidents et les entretiens avec le personnel militaire, ces véhicules sont descendus d'altitudes supérieures à 18.000 mètres à des vitesses supersoniques pour s'arrêter brusquement en vol stationnaire aussi bas que 15 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Le fait que les comptes à rebours de nos armes nucléaires aient été initiés par ces objets est plutôt inquiétant et pourrait sans doute être une démonstration de supériorité. Mais il y a tant de choses que nous ignorons et peut-être ces entités se soucient-elles tellement de notre planète que notre existence même est une menace pour elle ? Par conséquent, tout acte hostile serait en fait un acte de bonne volonté. En quelque sorte.

Peut-être que l'explosion d'armes nucléaires a un impact sur leurs propres caractéristiques de fonctionnement et leur aptitude à piloter leurs vaisseaux dans notre atmosphère ? Peut-être l'énergie d'une explosion nucléaire a un impact négatif sur l'espace-temps, sur d'autres dimensions ou quelque chose que nous ne parvenons toujours pas à comprendre ?

C'est vraiment difficile à dire voire quasiment impossible, mais au vu des caractéristiques avancées de ces objets et du fait de leur présence depuis des milliers voire des millions d'années, réagir à leur encontre de manière hostile et agressive ne semble pas envisageable.

Ces civilisations elles-mêmes, d'où qu'elles viennent et qu'elles soient d'origine extraterrestre et/ou extra-dimensionnelle, sont peut-être passées par les mêmes stades de développement technologique et ont également connu les mêmes inquiétudes concernant l'armement nucléaire ?

Hermann Oberth, père fondateur des fusées et de l'aéronautique, également connu pour être à l'origine des vols spatiaux, disait croire que « les soucoupes volantes sont réelles » et qu'il « existe des vaisseaux spatiaux en provenance d'un autre système solaire ». Il pensait qu'ils étaient « surveillés par des observateurs intelligents, membres d'une race qui doit étudier notre planète depuis des siècles ».

Il a écrit ces mots dans un article intitulé "Les soucoupes volantes viennent de planètes lointaines" paru dans la revue American Weekly le 24 octobre 1954, précisant que « les ovnis sont des sortes de sentinelles dont la mission est d'observer et de rapporter ; parce que le stade de développement politique et moral de la race humaine aussi douée soit-elle pour l'invention et la recherche, représente une menace pour l'ensemble du cosmos ».

Texte original de ARJUN WALIA traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Défendre la bonne cause

Nous sommes à l'époque de la grande bataille entre l'ombre et la Lumière et pour cette raison, les choses vont probablement empirer avant d'aller mieux. Mais c'est pourquoi il est si important de trouver des moyens d'aimer cette vie au risque de laisser le désespoir s'installer. Au final, l'espérance et l'espoir ne sont même pas nécessaires car tout se retourne toujours contre ceux qui contrôlent ce monde.

Je connais un certain nombre de personnes envahies par le désespoir qui sont malheureuses et tiennent des propos tels que « je ne veux plus être sur cette planète », « je hais cette vie », « ce n'est pas ce pour quoi j'ai signé » (et pourtant si). Et il n'y a rien que je puisse faire pour elles à part bien vivre en espérant que ça devienne contagieux.

Oui, il y a beaucoup de choses qui se passent sur cette planète que je déteste. Je n'ai jamais employé un langage aussi coloré que depuis ces deux dernières années. Mais je ne vais pas donner aux forces de l'agenda égoïste de contrôle négatif la satisfaction d'une existence diminuée, malheureuse, triste, dans la colère ou la dépression. Oh que non ! Ils vont devoir s'accommoder de ma vie joyeuse et pleine d'entrain d'être libre et souverain vécue à fond.

Il y quelques vérités mantriques que je respecte absolument parce que je les ai vues se vérifier maintes fois dans ma vie.

À quelque chose malheur est bon

Je n'ai connu aucun événement négatif dans ma vie qui n'ait jamais eu de contrepartie entièrement lumineuse et positive. En fait, l'autre jour, alors que mon gagne-pain était menacé, je savais qu'alors quelque chose de très bon allait en résulter. Et je me suis sentie tout excitée à propos de mon avenir.

Un enseignement de la Kabbale dit que plus l'obscurité est grande, plus il y de chances pour que la Lumière ressorte par lien de cause à effet. En observant nos vies et le monde, on peut se rendre compte que c'est vrai.

La persévérance triomphe

Un autre mantra que j'ai observé en tant que vérité en ce bas monde : juste quand vous pensez ne plus pouvoir continuer une seconde de plus, si vous insistez, c'est là que votre adversaire (et c'est triste de devoir employer un tel mot) abandonne. J'ai vu les personnes et les organisations les plus fortes renoncer contre toute attente parce que leur opposant ne se laissait pas arrêter. Un peu comme l'histoire de David et Goliath. Même si nous avons l'impression d'avoir une force gigantesque liguée contre nous, si nous visons juste nous pouvons trouver les points faibles du géant et le renverser. Et nul besoin d'une force majoritaire non plus.

Ce qui m'amène à une réflexion récente de que quelque chose que j'ai aussi vu se jouer toute ma vie durant.

Il y aura toujours ceux qui croient à la même chose que nous mais gardent le silence. Ils passent inaperçus et je suppose qu'ils sont ainsi à l'abri du danger. On ne peut pas les blâmer. Ils laissent les plus éloquents prendre la parole, envoyer des messages, livrer les combats pour ensuite profiter du succès des plus véhéments lorsqu'ils réussissent. Il y aura toujours des gens comme ça.

Les plus archarnés aussi vont toujours donner de plus en plus dans la controverse parce qu'il n'ont pas raison 100% du temps. Mais ce n'est pas grave parce que cette classe de vie n'a pas besoin que les choses soient à 100% parfaites. Juste que nous fassions quelque chose et en tirions des leçons. En fait, si vous ne créez pas de controverse, VOUS NE VIVEZ PAS PLEINEMENT.

Je ne vole pas sous les radars et je suis certaine que vous non plus. Je faisais partie d'un groupe dans lequel je suis devenue en quelque sorte une figure controversée alors je sais très bien de quoi je parle. Mais je sais égalemetn que je n'ai jamais besoin de regarder en arrière en disant que j'aurais aimé vivre plus ou défendre quelque chose davantage. Je n'aurai jamais à dire que je n'ai pas tout donné à 110%. Nous allons continuer avec une résolution bien plus forte que celle des forces de l'ombre liguées contre nous. Dès que vous pressez l'interrupteur dans une pièce sombre, l'obscurité est annulée.

Nous n'avons besoin ni d'espoir ni d'espérance. Nous devons juste continuer à savoir (ce qui va au-delà de la foi) que tout se retourne toujours contre l'ombre. Cela aussi a été prouvé à maintes reprises. Leur châtiment arrive. Je ne sais pas quand mais je suis prête à tenir aussi longtemps qu'il faudra. Ils peuvent se prétendre forts mais ils n'ont pas le soutien de la Lumière que nous avons et qui nous rend plus forts et plus endurants.

Je dit aux gens que je connais qui ne font pas entendre leur voix dans les réseaux sociaux que je suis sur Twitter pour défendre la bonne cause. Et c'est un combat juste, en effet. Certains n'aiment pas les termes de « combat », « guerre » et « bataille » lorsqu'il est question de notre lutte actuelle pour la vérité et la liberté. Je pense que ces mots sont chargés d'émotion et constituent notre carburant nécessaire pour aller de l'avant. Parfois, nous chipotons un peu trop avec le langage. Je ne souscris pas à dégrader l'autre camp en les insultant ou me moquant de leur apparence. Je pense que dire la vérité sur les problèmes est suffisant et que ridiculiser ou humilier est une marque de faiblesse. C'est un combat que nous ne pouvons vraiment pas livrer avec une plume mais avec les épées de lumière que sont essentiellement nos paroles intentionnelles et nos messages soutenus par nos actions.

Et ça va le faire. Les choses vont probablement empirer avant d'aller mieux mais il s'agit d'une réaction de guérison homéopathique classique et un très bon signe que nous nous rapprochons du but. A un moment ou un autre, la résolution devra se produire. Alors continuons à défendre la bonne cause ensemble.

Texte original de PURUSHA traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Comment la « science » s'est transformée en dogme religieux pendant le COVID

Le dogme est une croyance (ou un ensemble de croyances) acceptée par les membres d'un groupe particulier qui n'est ni questionnée ni mise en doute. Le dogme n'implique pas que quelque chose puisse être « mauvais », « mal » ou faux. La religion en est un exemple parfait. C'est normal de croire peu importe ce que vous croyez et vous devriez avoir la liberté de pouvoir le faire.

La science, par contre, est fondée sur le doute, le questionnement, l'examen et le test, or cela a brusquement changé durant la pandémie.

Pendant le COVID, des médecins, épidémiologistes, professeurs et nombreux autres universitaires dans ce domaine ont été réprimandés de mille et unes façon pour avoir questionné tout ou partie des politiques sanitaires mises en place par divers gouvernements. Le discours public et politique a normalisé la stigmatisation non seulement des universitaires mais également des individus hésitant à se faire vacciner.

Des termes dégradants comme « antivax » ont été employés tout comme des formules telles que « faites confiance à la science » et « retour à la normale » n'ont fait qu'isoler encore plus les non-vaccinés, les accusant d'être responsables du prolongement de la pandémie, des confinements et de l'encombrement des hôpitaux.

D'autre part, la science mettant en doute l'efficacité et l’innocuité des vaccins anti-COVID a été enterrée. La multitude de données montrant que, selon le Dr Jay Bhattacharya de l'école de médecine de Stanford, les confinements furent « en matière de santé publique, la pire catastrophe de l'histoire de l'humanité », a été complètement ignorée.

La science remettant en question l’innocuité et l'efficacité des masques a également été écartée tandis que les victimes d'effets secondaires vaccinaux graves n'ont pas été reconnues.

Les « pouvoirs en place » semblent avoir rendu ce type de langage et de perspective acceptables. Il en résulte une société encore plus divisée, physiquement et psychologiquement, avec pratiquement aucun débat sur la raison pour laquelle certains refusaient de se conformer/étaient en désaccord avec les mesures sanitaires. Aucun discours approprié, juste la ridiculisation et la singularisation.

Aujourd'hui, nous vivons à une époque où une vision particulière de la science s'est apparentée à une sorte d'autorité religieuse ; ceux qui la remettent en question se voyant qualifiés de dangereux hérétiques punis en conséquence.

Même le British Medical Journal (revue médicale britannique) s'est fait « vérifier factuellement » et censurer par les « fact-checkeurs » tiers de Facebook. La revue avait obtenu des dizaines de documents, photos, enregistrements audio et courriels internes à la société, détaillant la fraude inquiétante mise en place durant les essais cliniques des vaccins anti-COVID Pfizer/BioNTech. Le FDA (agence sanitaire américaine) n'a toujours pas enquêté sur cette affaire.

Facebook a déjà retiré au moins 16 millions d'éléments de contenu de sa plateforme et ajouté des avertissements à environ 167 millions d'autres. YouTube a également retiré près d'un million de vidéos apparentées, selon eux, à des « informations médicales dangereuses et erronées sur le Covid-19 ».

Il s'agit là d'un type de « musellement » sans précédent qui viole notre droit de partager et de consulter l'information et continue à gagner du terrain au fil des ans car cela a commencé bien avant le COVID.

Le plus souvent, dire la vérité est devenu un crime.

Le cas de Julian Assange, par exemple, qui a exposé divers crimes de guerre des États-Unis, en est l'illustration parfaite. Le gouvernement a engagé des poursuites pénales contre un éditeur pour avoir publié des informations véridiques. Ce qui établit un dangereux précédent pouvant être utilisé pour cibler tout organe de presse demandant des comptes au gouvernement. Le ministère américain de la sécurité intérieure a déclaré que partager de « fausses informations » en ligne pourrait être assimilé à du terrorisme domestique.

Barack Obama s'est récemment exprimé bruyamment sur le fait que la désinformation constitue une grande menace pour la démocratie américaine. Est-ce vraiment la désinformation qui est une menace ou bien juste l'information ? Les gouvernements ont-ils peur d'être exposés ?

Mais qui décide de ce qui est de la « désinformation » ? Le gouvernement ? Les laboratoires pharmaceutiques ? Les « fact-checkeurs » tiers subventionnés ? On ne cesse de nous dire que les gouvernements et ses organismes affiliés sont la référence absolue en matière de vérité.

Ce qui me fait penser à une citation du Dr Julie Ponesse, professeur de philosophie en Ontario, au Canada, congédiée pour refus de se faire vacciner.

Ne vous sous-estimez pas en tant que source d'information fiable. Prenez note des preuves autour de vous. Vous n'avez pas besoin d'externaliser votre raisonnement au gouvernement, aux médias ou à quiconque vous demande de le faire.

Le dogme scientifique n'est pas un phénomène nouveau et se présente sous bien des formes. Par exemple, un rapport de 2006 de la firme Glaxo Smith Kline dans la revue médicale de Nouvelle Angleterre a conclu qu'Avandia était un très bon médicament pour traiter le diabète. À l'époque, Lawson McCartney, le vice-président principal de la société, avait déclaré dans un communiqué de presse :

Nous avons désormais la preuve évidente de par une grande étude internationale que son usage initial (Avandia) est plus efficace que les thérapies traditionnelles.

L'essai utilisé pour autoriser le médicament avait été financé par Glaxo Smith Kline, chacun de ses onze auteurs ayant perçu de l'argent de ces derniers. Quatre faisaient partie de leurs employés et détenaient des parts dans la société tandis que les sept autres étaient des universitaires auxquels la firme avait versé ayant des subventions ou des honoraires de consultation. On estime que ce médicament a été à l'origine d'environ 80.000 crises cardiaques et décès, un signal d’innocuité qui aurait dû être très clair au moment de son autorisation.

Il existe une multitude d'exemples où des laboratoires pharmaceutiques ont sciemment promu une « science » manipulée. C'est pourquoi les condamnations pénales, indemnités civiles et remises de prix à Pfizer, entre autres, s'élèvent à des milliards de dollars. C'est la racine même de l'origine du dogme, la fraude.

Le type de censure rencontré pendant le COVID est un indicateur de tyrannie. La pandémie a crée un environnement dans lequel des médecins et des scientifiques ont couru le risque de perdre leur emploi par le simple fait de questionner le narratif officiel.

De nos jours, les dictatures tyranniques procèdent de manière différente. Elles ont recours à un déluge de propagande afin d'influencer la perception de l'esprit collectif du public et toute opinion autre ou élément de preuve se voit rapidement écarté sous diverses formes, le plus souvent par la censure et la ridiculisation. Toute pensée ou information ne soutenant pas le gouvernement semble représenter une menace pour eux.

La question qui se pose alors est « que peut-on y faire ? ».

La réponse est assez simple. Continuez de parler, de partager l'information et d'employer tous les moyens dont vous disposez pour ce faire. Le nombre de personne ayant pris conscience des problèmes évoqués dans cet article pendant le COVID est très important et c'est plutôt encourageant.

Il est devenu très clair que les crises telles que celle du COVID sont utilisées et dans certains cas créées par ceux qui veulent en tirer profit sur les plans politique et financier. On pousse le monde à la conformité et l'auto-censure.

Je terminerai sur cette citation d'Edward Snowden comme je l'ai déjà fait :

À mesure que l'autoritarisme s'étend, que les lois d'exception prolifèrent, que nous sacrifions nos droits, nous sacrifions aussi notre capacité de mettre fin au glissement vers un monde moins libéral et moins libre. Croyez-vous sincèrement que lorsque la première vague de coronavirus, la seconde, la seizième sera de l'histoire ancienne, que ces capacités ne seront pas conservées ?

Texte original de ARJUN WALIA traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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