Le langage des étoiles

Ceci aurait dû être ma soixante-dixième participation au projet Eklabugs victime de la culture de l'annulation. Qu'importe, j'ai récemment pris mon parti de lâcher prise et ne plus regarder en arrière pour voyager léger et être plus libre de mes mouvements, alors laissons l'ancien monde mourir en paix et focalisons-nous sur le nouveau qui ne demande qu'à éclore. Voyons donc ce que nous disent les astres à ce propos puisque c'est d'astrologie, et plus précisément d'horoscope dont nous allons parler, telle étant la carte de l'oracle Belline que j'avais piochée en guise de thème pour cette ultime session. Un grand merci à Gaellah qui a tenu à se joindre à moi et dont je vous invite à lire le bout d'histoire (lien en fin d'article).

L'astrologie pour les nuls

Un bon ami à moi
Étudie le étoiles,
Vénus et Mars
Sont favorables ce soir.

"Venus And Mars", Wings (1975)

L'astrologie est aussi vieille que le monde et tire son nom du grec astro et logos signifiant « le langage des étoiles » — à ne pas confondre avec l'astronomie qui est « la science des étoiles » même si par le passé, astrologie et astronomie allaient de pair.

Quant au terme horoscope, du grec horo (« heure ») et skopos (« observer »), il désignait autrefois la carte des positions planétaires dans les constellations établie pour un individu à partir de ses coordonnées de naissance (date, heure et lieu). Aujourd'hui, il ne sert plus qu'à désigner des prévisions souvent fantaisistes basées uniquement sur la position moyenne du soleil natal, ce qui a grandement contribué à décrédibiliser cette discipline qui, rappelons-le, n'a jamais prétendu être une science mais un outil de connaissance de soi en tant qu'être cosmique incarné dans la matière pour parfaire son évolution.

Une carte du ciel (ou thème natal) se compose du double cercle zodiacal découpé en douze secteurs égaux de 30° d'arc appelés signes astrologiques, correspondant aux douze constellations traversées par le Soleil au cours de l'année (en réalité, ce n'est pas le Soleil qui se déplace mais la Terre or comme celle-ci sert de référentiel, on a cette impression). On appelle ce type de carte géocentrique par opposition aux cartes héliocentriques qui utilisent le Soleil comme point de repère central.

Sur cette carte sont disposés le Soleil bien sûr et les neuf planètes du système solaire : la Lune, Mercure, Vénus et Mars pour les plus rapides qu'on appelle également planètes personnelles ; Jupiter et Saturne dites planètes sociales qui séjournent environ un à deux ans par signe ;  et enfin Uranus, Neptune et Pluton, les planètes lourdes ou transgénérationnelles qui vont se taper l'incruste pendant des années voire des décennies.

À ces astres viendront s'ajouter la ligne d'horizon avec son extrémité orientale connue sous le nom d'Ascendant (AS) et celle du méridien local qui coupe le cercle zodiacal en deux points opposés par rapport au centre de la Terre dont le point culminant est appelé Milieu du ciel (MC). C'est à partir de ces deux axes fondamentaux ou angles (Fig. 3), que l'on découpe le ciel en douze secteurs inégaux ou pas appelés maisons astrologiques (il existe plusieurs systèmes de domification, le plus courant étant celui de Placidus).

En astrologie karmique, on utilise également l'axe des nœuds lunaires, à savoir les deux points de l'orbite de la Lune où cette dernière traverse l'écliptique solaire (Fig. 1) ; la Lune noire, le point vide où se trouve le second foyer de l'ellipse lunaire, le premier étant occupé par la Terre  (Fig. 2) ; et le vertex qui est l'intersection de l'écliptique et de la verticale principale (Fig. 3).

Fig.1 : Les nœuds lunaires
Fig.2 : La Lune noire
Fig.3 : Le vertex et les autres angles du ciel

Comme je l'avais déjà expliqué précédemment, le thème natal représente une carte des énergies au moment que l'âme a choisi pour s'incarner dans la matière. Je vois les signes comme des énergies, les planètes comme des prismes et les maisons comme les domaines de l'existence dans lesquels ces énergies filtrées s'exprimeront. Selon leur positionnement les unes par rapport aux autres et les angles ainsi formés, les planètes s'influencent mutuellement de manière fusionnelle (conjonction 0°), complémentaire (opposition 180°), harmonieuse (sextil 60°, trigone 120°), conflictuelle (carré 90°) ou encore karmiques (quinconce 150°, mélange instable de carré conflictuel 90° et de sextil harmonieux 60°) et avec plus ou moins de force suivant une multitude de facteurs à prendre en compte.

Pourquoi vous n'êtes pas nés sous le signe que vous croyez

Emporté par le courant, le son résonne
Autour des eaux glacées souterraines.
Jupiter et Saturne, Obéron, Miranda et Titania,
Neptune, Titan... les étoiles ont de quoi effrayer.

"Astronomy Domine", Pink Floyd (1967)

« Le problème est que le zodiaque avec lequel nous travaillons est faussé. Actuellement les constellations ne coïncident plus avec les signes du même nom » nous explique l'astrologue Pierre Lassalle.

« Le début de l'année zodiacale, le point vernal ou degré zéro du Bélier est censé coïncider avec le premier des douze secteurs ou signes découpés dans le ciel sur le chemin annuel du soleil. Or en raison de la précession des équinoxes (Fig. 4), le soleil ne se lève plus aujourd’hui le 21 mars dans la constellation du Bélier alors qu'en 228 après JC c'était le cas.

« L'axe de la terre tourne lentement sur lui-même en 26.000 ans et c'est ce phénomène appelé précession des équinoxes qui fait se lever le soleil à chaque 21 mars un peu plus en arrière dans les signes. À cause de ce décalage progressif, les 12 secteurs de 30° découpés dans le ciel ne coïncident plus avec les constellations qui leur avaient donné leur nom. Les astrologues indiens connaissent parfaitement ce décalage qu'il appellent ayanamsa. Les astrologues de la Perse ancienne, chaldéens et babyloniens tenaient compte de ce phénomène et corrigeaient en conséquence leurs horoscopes. Mais les Égyptiens puis les astrologues du bas Empire romain, leurs successeurs du Moyen-Age puis les modernes oublieront l'ayanamsa qui ne cesse de croître de siècle en siècle.

« En conclusion, l'astrologie occidentale ordinaire actuellement travaille sur des bases en partie fausses, à moins de tenir compte de l'ayanamsa (Fig. 5). »

Fig.4 : La précession des équinoxes
Fig.5 : L'ayanamsa

Je vous épargnerai le fait qu'il existe plusieurs ayanamsas, les astrologues ne s'accordant pas tous sur le référentiel à utiliser. Pour ma part, j'en ai testé plusieurs et celui qui me semble le plus correct est assez récent (1958) et se base sur l'équateur galactique à 0° du Sagittaire plutôt que l'étoile fixe Spica, ce qui décale au jour d'aujourd'hui toutes les planètes de 30°22. Toutefois quel que soit l'ayanamsa choisi, ce décalage augmente d'un degré tous les 72 ans, ce qui fait qu'au moment de votre naissance, il était inférieur à sa valeur actuelle de quelques minutes d'arc.

Ainsi, la grande majorité d'entre vous n'êtes pas nés sous le signe que vous croyez.

Comme le souligne Michel du site NostreDame, « la plupart des gens sont habitués à leurs signes de naissance, délivrés par une astrologie erronée, et je sais par expérience, et pour des raisons diverses, qu'ils n'aiment pas en changer, surtout ceux qui se trouvent affublés d'un signe de feu tel que le Bélier ou le Lion représentant force et esprit de réussite qui convient bien dans cette société phallocratique où seule domine la course à l'argent et bien d'autres compétitions encore ».

À ceux qui ont déjà fait dresser et analyser leur carte de naissance et s'y sont globalement reconnus, je dirais que c'est un peu normal car hormis les énergies dans lesquelles baignent les éléments du thème, le reste ne change pas — les positions en maisons et les relations des planètes entre elles restent les mêmes. Par contre, elles peuvent gagner ou perdre en puissance et voir leur régence modifiée du fait que lorsqu'une cuspide (ligne de démarquation marquant le début d'une maison) passe dans un signe voisin, elle tombe de fati sous la gouvernance d'une autre planète (sauf dans le cas d'un passage du Verseau au Capricorne, tous deux étant régis par Saturne).

A titre d'exemple, je m’identifiais totalement à ma Lune en Bélier, très impulsive et vivant mes émotions intensément. Pourtant rien dans mon thème n'indiquait cette forte intuition et surtout ce côté éponge émotionnelle qui est en quelque sorte ma marque de fabrique. Mais tout s'explique par la précession des équinoxes avec ma Lune en réalité en Poissons, signe de l'empathie par excellence. Quant à son côté fougueux et passionnel, il provient tout simplement du trigone de Mars (maître du Bélier) en Scorpion, son second domicile.

Les véritables énergies en action

L'hiver a été long, froid et solitaire
C'est comme si ça faisait des années qu'on ne l'avait pas vu
Voilà le soleil ! Voilà le soleil !
Alors tout va bien.

"Here Comes The Sun", The Beatles (1969)

De même sur le plan collectif, la Grande Conjonction historique de Jupiter et Saturne lors du solstice d'hiver ne s'est en réalité pas produite en Verseau mais en Capricorne, signe  des traditions et du pouvoir établi également régi par Saturne. Quant à Uranus, le Grand Éveilleur avec qui ce dernier se livre à un bras de fer musclé, il ne baigne pas non plus dans la nonchalance matérialiste et hédonistique du Taureau mais plutôt dans les énergies fougueuses et belliqueuses du Bélier. Chaud devant !

Et on le voit très bien avec les gouvernements qui durcissent leurs mesures liberticides afin de mettre les esprits en ébullition et pousser le peuple à la révolte (rappelez-vous quand Jacques Attali avait dit qu'il y aurait une révolution avant 2022). Pourquoi un gouvernement chercherait-il sciemment à ce qu'on le renverse ? Posez-vous sérieusement la question.

Contrairement à ce que soulignait Nikki Harper en se basant sur l'astrologie tropicale, les rôles ne sont pas inversés avec « Saturne en Verseau qui est le rebelle et Uranus en Taureau qui se bat becs et ongles pour préserver sa position » mais chacun se trouve au contraire bel et bien à sa place dans l'ordre symbolique des choses : Saturne s'accroche à son pouvoir et cherche à le renforcer tandis qu'Uranus veut tout foutre en l'air sans réfléchir. La bonne nouvelle c'est que ce carré ne se produit pas en signes fixes (Verseau/Taureau) mais en signes cardinaux (Capricorne/Bélier) où l'issue de la confrontation des deux bêtes à cornes ne risque pas de se solder par un match nul et une séance de tirs au but. Situation explosive. Attention donc à ne pas se laisser emporter sous tous les sens du terme. À cet égard, le transit du Nœud Nord en Taureau (encore une bête à cornes) nous demande d'ailleurs de nous ancrer, de garder la tête froide, et d'agir prudemment.

Ajoutons aussi le fait que Pluton, le Grand Réformateur, séjourne toujours en Sagittaire (sauf pour ceux qui utilisent les ayanamsas traditionnelles hindoues), le signe des dogmes, de l'évolution, des croyances et également des finances internationales. L'assèchement du marais, c'est lui. Tous les scandales bien puants qui remontent des égouts, c'est encore lui. Quand, à l'issue de sa dernière rétrogradation, il s'installera pour de bon en Capricorne, ce sont les structures traditionnelles qu'il va purger définitivement. En quelque sorte, Uranus lui prépare le terrain en faisant trembler les murs de Babylone.

N'oublions pas enfin Neptune, le Maître de l'Illusion, qui n'est pas encore chez lui en Poissons mais toujours dans le signe du Verseau (médias, politique, technologie) où il s'illustre parfaitement dans la dissimulation, les tours de passe-passe, les mensonges et la propagande merdiatique.

L'arnaque du Nouvel Age

Quand la Lune entrera dans la septième maison
Et que Jupiter sera aligné avec Mars
Alors la paix guidera les planètes
Et l'amour orientera les étoiles
Nous sommes à l'aube de l'ère du Verseau.

"Aquarius", Hair (1968)

L'ère du Verseau est une étape de l'évolution de l'humanité qui aurait débuté en 2012 ou encore lors la Grande Conjonction historique en Verseau lors du dernier solstice d'hiver. En réalité, selon l'astrologie sidérale (et l'ayanamsa utilisé), il faudra encore attendre plusieurs centaines d'années. Une chose est certaine toutefois, c'est que le Grand Éveil dont il est serait question pour l'ère du Verseau est surtout lié à l'élévation de la fréquence vibratoire de la Terre qui, de 7,8 Hz depuis la nuit des temps, a commencé à augmenter en 2008 pour atteindre 57 Hz en 2020, raison pour laquelle les psychopathes dégénérés qui ont la mainmise sur ce monde tiennent absolument à trafiquer notre ADN pour nous empêcher d'ascensionner vibratoirement et échapper ainsi à leur prison.

Pour terminer, je me contenterai de rappeler que la tradition affirme depuis toujours : Astra inclinant, sed non cogunt, c'est-à-dire : « les astres influent mais n'obligent pas ». Seuls les gens qui ont des notions très superficielles d'astrologie s'imaginent encore qu'elle est déterministe et que notre destin serait réglé d'avance dans les moindres détails (dixit Pierre Lassalle).

En espérant que vous aurez réussi à lire cet article jusqu'au bout et qu'il vous aura apporté un regard nouveau sur l'astrologie et pourquoi pas insufflé l'envie de vous y intéresser de plus près.

Notes et références

  • ^ La position du Soleil au solstice d'hiver, son point le plus bas, est actuellement dans la constellation du Sagittaire, l'une des deux constellations dans lesquelles le zodiaque intersecte la Voie lactée. Chaque année, au solstice d'hiver, le Soleil et la Voie lactée semblent, depuis la Terre, être alignés et chaque année la précession entraîne un léger changement de la position du Soleil dans la Voie lactée. Étant donné que la Voie lactée mesure entre 10° et 20° de large, il faut entre 700 et 1400 ans au Soleil pour précessionner au travers. Ce dernier se trouve actuellement au milieu de la Voie lactée et coupe l'équateur galactique. (Source)

Projet EklaBugs #72

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Comment la culture « woke » détruit l'individu

Chaque fois que vous voyez une INVERSION, c'est l'ombre qui est à l'œuvre. Les INVERSIONS sont les signaux de l'ombre. Le terme pour désigner un état de pleine conscience est « AWAKE » et non « woke ». « Woke » est une inversion linguistique subtile qu'on se prend en pleine figure. Et beaucoup de gens ont été incités à l'employer.

Purusha

Notez qu'en français il n'existe aucune équivalence pour l'adjectif « woke », un néologisme pour « éveillé » avec une connotation péjorative du fait de l'enlisement dans des paradoxes irréconciliables de ceux qui s'en revendiquent. La haine qui émane de cette idéologie devrait pourtant déclencher les signaux d'alerte de tout être humain doté d'un minimum d'empathie c.-à-d. tout le monde sauf les psychopathes. Ce qui est vraiment très alarmant quand on voit l'ampleur de ce mouvement manipulé qui vise non pas à une société plus juste et plus équitable mais, tout au contraire, à la destruction de tout ce qui assure sa cohésion. Les wokes se servent de leur mentalité de victimes pour justifier leur attitude d'oppresseurs. Malgré les couleurs emblématiques de l'arc-en-ciel qu'ils arborent, leur vision de la réalité est totalement monochromatique. Pour eux, tout est soit blanc soit noir. Leur bien-pensance n'est au service que d'eux-mêmes mais cela ne les empêche nullement de traiter d’égoïstes tous ceux qui ne pensent pas d'abord à eux. L'ego sur la main et l'âme au placard (vendue à Satan pour un euro symbolique?).

Songez donc à cette polémique stupide autour du baiser non consenti du Prince Charmant à Blanche Neige endormie (il ne lui roule pas une pelle non plus !) ; à l'écriture inclusive qui fait que l'on ne doit plus utiliser l'adjectif « enceinte » au féminin (parce que des hommes pourraient tomber enceints ?) ; à Harry Potter qui serait désormais raciste (j'aimerais bien qu'on m'explique, je l'ai pourtant lu plusieurs fois et dans deux langues différentes) ; ou encore des noirs qui se font taxer de suprémacistes blancs lorsqu'ils refusent de soutenir le racisme inversé et le pillage des villes. Toutes les vies comptent. Et pas juste celles des humains. La Vie est sacrée. C'est en commençant à penser autrement que l'on glisse progressivement vers une mentalité psychopathe, à vouloir décider de qui mérite et ne mérite pas d'exister. Et si c'était le seul moyen de réveiller l'humanité que de nous confronter à cette déchéance ?

Ey@el

Dans de nombreux pays occidentaux, au cours de ces dernières années, des efforts considérables ont été déployés pour gommer les différences entre nous dans le but de réduire voire mettre un terme à la discrimination en supprimant les barrières touchant à tous les aspects de l'identité.

Dans les grandes lignes, c'est plutôt positif. La plupart s'accorderont que se voir refuser l'accès à une école, un emploi ou tout autre opportunité à cause d'une caractéristique protégée telle son sexe ou son origine ethnique est une mauvaise chose. Mais cela peut rapidement aller trop loin.

L'essor du guerrier « woke »

La culture « woke », issue au départ d'une expression visant à refléter la sensibilisation pour une justice sociale pour les Afro-américains, s'est étendue pour englober n'importe quel aspect touchant à l'identité. Malheureusement, au lieu de rapprocher et d'éduquer, elle est devenue synonyme d'agression verbale automatique.

Quiconque dira « ce qu'il ne faut pas » ou « ce qu'il faut » mais en employant les « mauvais » termes ou encore qui adoptera la « mauvaise » opinion sera instantanément pris à partie. Cela se produit surtout en ligne sur les réseaux sociaux (principalement sur Twitter) parce qu'on peut y avoir des échanges en quasi-simultané.

Annulez ça

Quand un discours public d'une personne avec la « mauvaise » opinion est annoncé, les guerriers woke manifestent et harcèlent les propriétaires de la salle pour leur faire annuler l'événement Cette pratique a même désormais un nom : la culture de l'annulation.

Comme Barack Obama nous a avertis le mois dernier, ces évolutions vont à l'encontre de la démocratie. Elles réduisent la liberté d'expression et étouffent le changement au lieu de le promouvoir. Comment peut-on espérer que ceux qui ont des points de vue différents des « woke » puissent en changer ? Insulter les gens n'a rien à voir avec de l'activisme, a-t-il déclaré.

Bien sûr, quand des gens se servent d'une plateforme publique pour inciter à la haine et à la violence, ils dépassent les limites et cela devient un acte criminel envers lequel il existe des mesures légales pour y remédier.

Mais lorsque des individus ne font qu'exprimer une opinion, les attaques personnelles virulentes sur les réseaux sociaux ne servent qu'à attiser les positions tranchées ou à humilier publiquement quelqu'un qui a commis une erreur de bonne foi. Et les arguments ad hominem ne s'attaquent jamais aux structures qui donnent lieu à ces points de vue « inacceptables ».

Dans quelles cases vous situez-vous ?

La culture woke demande à chacun de nous de choisir une série catégories de plus en plus détaillées et souvent de nature sociale dans lesquelles on peut nous caser pour rapidement déterminer notre « identité » et au bout duquel processus, nous recevons une étiquette spécifique.

Hétérosexuel, blanc, mâle, cisgenre, non-handicapé, neurotypique, athée.

Le problème avec cet étiquetage est lorsqu'il focalise notre attention et produit l'opposé de l'effet escompté. Loin d'encourager l'individualisme, ces étiquettes créent des groupes d'inclusion ou d'exclusion dans lesquels on nous range.

Comme des décennies de recherches en psychologie sociale l'ont démontré à maintes reprises, lorsque l'on catégorise, on stéréotype. Nous lisons ou entendons une étiquette et nous en attribuons les caractéristiques à cette personne bien avant de les rencontrer. La culture woke nous empêche de les traiter comme des individus, les réduisant au lieu de cela à un ensemble d'étiquettes.

Pas d'étiquette (sauf si j'ai besoin de savoir qui je suis)

L'ironie dans tout cela est que beaucoup d'adeptes de la culture woke (qui font partie des générations millénaires et post-millénaires) refusent qu'on leur colle des étiquettes. Ce sont les générations « flocon de neige » où tout le monde est unique et spécial.

Rien d'étonnant à ce que la culture woke se voit taxer d'incohérence. Et cela avant même d'entamer un débat philosophique sur la manière dont les guerriers woke défendent simultanément deux positions incompatible : le déterminisme et le libre arbitre.

Les catégories ethniques sont déterminées à la naissance et ne peuvent être altérées. Ceux qui transgressent leurs frontières sont accusés d'appropriation parce que cet espace ne leur « appartient » pas. Mais l'identité de genre est totalement fluide et peut changer au jour le jour au gré des ressentis de la personne : l'expression pure du choix.

Alors qu'est-ce donc : déterminisme ou libre arbitre ? On ne peut avoir les deux.

Il y a ceux qui préconisent d'abandonner carrément le terme « woke » arguant que son emploi s'étendant à toute forme de politique identitaire, le terme s'en voit dilué et perd toute signification ou valeur.

D'aucuns affirment que notre obsession identitaire et le fait que nous nous mettons dans de petites cases est la conséquence de la vie moderne qui nous vide de notre individualisme. Les modes de vie homogénéisés (en lien avec les changements technologiques, l'effondrement de la communauté et le rôle de moins en moins important de la religion) ont engendré un vide dans les vies de beaucoup de gens. Adhérer à la culture ne serait-il pas juste un moyen de combler ce trou en nous disant qui nous sommes ?

N'oubliez pas l'individu

Dans le domaine de la santé mentale, il y a eu un mouvement contre le diagnostique ou des étiquettes comme « psychotique » ou « dépressif » sont considérées comme contre-productives parce qu'entre autres raisons elle stigmatisent l'individu. Au lieu de cela, on préconise de se focaliser sur la personne : qui elle est et quelle est son expérience. Cela empêche de leur attribuer des caractéristiques qui ne leur correspondent peut-être pas.

À partir de cet exemple, pourrions-nous trouver une position équilibrée sur l'identité ? Du style qui tienne compte des différences qui nous caractérisent et qui nous préserve d'une potentielle discrimination facilitée. Mais qui s'intéresse aussi à l'individu sans se focaliser sur les micro-catégories dans lesquelles il entre. Actuellement, ce sont ces micro-catégories qui ont la mainmise sur l'individu mais il n'est pas trop tard pour changer cela.

Si nous n'oublions pas l'individu, nous aurons parcouru la moitié du chemin.

Texte original de RICHARD WOLMAN traduit de l'anglais par EY@EL
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Message du peuple aux artistes, sportifs et autres célébrités

Bonjour à tous, Black Bond Patriot TV sur Telegram.

Faites circuler ce message au maximum de manière à ce qu'il arrive aux oreilles des sportifs, des artistes et des célébrités.

Écoutez-moi bien messieurs les artistes et les sportifs : on ne vous voit pas, on ne vous entend pas et c'est très très grave.

Alors je vais commencer par les artistes parce que je viens de là-bas, je les connais et je sais qu'il y en a pas mal d'entre vous qui me connaissent. Je sais comment vous fonctionnez. Je sais que c'est d'abord vous, vous, vous, votre ego, votre ego, votre ego, briller, briller, briller... et le reste après. Je comprends. Je ne vous juge pas, je fais un constat. Mais là, l'heure est très très grave, les amis. Il n'y a pas que votre petite personne qui compte.

Je sais que vous avez peur de perdre vos contrats. Vous avez peur que la presse vous descende. Mais moi je vous dis pensez à vos enfants, vos parents, vos amis. Ayez du courage, l'heure est très très grave, les amis. L'heure est très très GRAVE. Arrêtez de ne penser qu'à vous.

On rentre dans une nouvelle ère où effectivement c'est le collectif qui va primer par rapport à l'individuel donc arrêtez de penser à vous. Et moi je vous dis ça, ce n'est pas pour vous menacer. Je suis un mec pacifique mais je suis juste réaliste, les pieds sur terre. Il n'est pas trop tard parce que là, ce que vous faites, c'est que vous allez DÉTRUIRE votre carrière pour de vrai. Les gens ne vous pardonneront pas de ne pas avoir pris position.

J'ai vu qu'il y a des artistes qui font la promotion du vaccin et patati et patata. Moi, je vous dis un truc les amis : pourquoi vous associez-vous et faites-vous confiance à des gens qui vous ont menti depuis le début ? Ils ont menti sur les masques. Ils ont menti sur les tests. Ils ont menti sur le traitement. Ils ont menti sur l'origine du virus — hein, le pangolin, vous vous rappelez ? Et j'ai envie de vous dire attention, on a affaire à des gens qui ferment des lits pour vous dire à quel point ils sont INHUMAINS. Ils ferment des lits alors qu'on est en pleine pandémie ! Et c'est ces gens-là avec qui vous vous associez. On ne vous pardonnera pas.

Je vous dis : ON NE VOUS PARDONNERA PAS. Vous vous associez avec des criminels juste pour continuer à briller et à avoir des privilèges mais quand la roue va tourner — parce qu'elle va tourner brutalement — ON NE VOUS OUBLIERA PAS.

Et c'est pareil pour les sportifs — les footballeurs. Vous vous mettez à genou pour des Black Lives Matter et tout, c'est bien, c'est beau, même si ce n'est pas trop votre décision. On sait que ce n'est pas vous qui décidez. C'est la fédération qui décide, ce n'est pas vous. Donc, les footballeurs, je sais que vous êtes conditionnés. Moi, je vous aime bien, je suis un fan de foot, à la base je n'ai rien contre vous mais là, c'est grave.

Je sais que vous êtes dans votre bulle, ok. Mais dans votre bulle, vous avez quand même de la famille, des amis donc je sais que vous aussi, vous avez peur de perdre des contrats mais ayez un peu de couilles, devenez des hommes ! Parce qu'être un homme, ce n'est pas courir après un ballon. Ce n'est pas ça être un homme. Être un homme, c'est prendre ses responsabilités. Vous devenez des hommes et des femmes. Parce qu'il n'y a pas que les hommes, il y a les femmes aussi.

Et prenez exemple sur Novak Djokovic qui a dit que lui ne se ferait pas vacciner. Numéro un mondial, je pense qu'il est beaucoup plus fort que beaucoup d'entre vous. Donc faites baisser un petit peu votre petit ego et arrêtez de penser à vos petites gueules et pensez au peuple. Parce que vous venez du peuple.

Si maintenant vous voulez vous associer avec l'élite de là-haut (les gens qui n'en ont rien à foutre de vous, qui veulent nous briser, qui veulent nous détruire, et surtout qui veulent nous diviser), continuez à faire comme vous voulez. Mais vous aussi, ON NE VOUS OUBLIERA PAS.

Je vois que Mbappé... parce que lui, je n'ai pas oublié, il va faire la promotion du vaccin avec ce criminel de Macron. Mbappé, réveille-toi, il n'est pas trop tard ! Toi et tes amis, il n'est pas trop tard. Réveillez-vous vite ! Vite, très très VITE.

Et surtout (là, je m'adresse aux artistes et aux sportifs en même temps), allez vous renseigner un petit peu par rapport aux effets secondaires du vaccin. Allez vous renseigner par rapport à ça. Après c'est votre choix. Si vous voulez vous faire vacciner, il n'y a pas de problème. Mais tous ceux qui font la promotion du vaccin, qui incitent les autres à se faire vacciner, il ne faudra pas fuir vos responsabilités quand il y aura des problèmes.

Je dis bien TOUTES les personnes parce qu'on vous a en images tous ceux qui font la promotion du vaccin. On vous a en images. Et là c'est encore pire : tous ceux qui soutiennent le passe sanitaire, ON NE VOUS OUBLIERA PAS non plus. Je vous garantis qu'on ne va pas vous oublier.

Donc trop, c'est trop.

TROP, C'EST TROP.

À un moment donné, il faut que ça cesse. Il faut que ça STOPPE.

À bon entendeur.

Texte original de BLACK BOND PATRIOT transcrit par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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10 raisons pour lesquelles la spiritualité est supérieure à la religion

1. La religion prétend avoir toutes les réponses tandis que la spiritualité remet en question toute allégation

Les gens qui ont peur de perdre leur vérité ont tendance à être plus violentes que celles qui regardent le monde sous différents angles. En règle générale, les questions auxquelles vous ne pouvez répondre sont souvent meilleures pour vous que les réponses que vous ne pouvez pas remettre en question.

Yuval Noah Harari

La religion fait preuve d'étroitesse d'esprit parce qu'elle est persuadée de détenir toutes les réponses alors que la spiritualité fait preuve d'ouverture d'esprit parce qu'elle ose remettre en question toutes les réponses. Le simple fait de considérer comme blasphème la mise en doute des réponses apportées par la religion crée un barrage pour les esprits curieux. Bloquer la curiosité se traduit par un manque d'imagination. Le manque d'imagination conduit à une spiritualité figée. Et la spiritualité figée est foncièrement nuisible aux êtres humains.

On peut être devenu religieux en voulant être spirituel, mais la spiritualité figée résulte presque toujours de la peur de remettre les choses en question. La seule issue à une telle stagnation est de retrouver à la fois sa curiosité et son imagination et de poursuivre sa quête spirituelle en s'interrogeant sur toutes les soi-disantes réponses. Nul besoin de religion pour ce faire.

2. La spiritualité englobe toutes les religions tout en éliminant les dogmes

Pour ébranler une hypothèse, il suffit parfois de ne rien faire d'autre que la pousser aussi loin qu'elle pourra aller.

Denis Diderot

Aucune religion n'est hors limite à la véritable disposition spirituelle. Toutes les religions sont englobées. Tous les dogmes sont rejetés parce que reconnus comme des pièges existentiels de la plus grande et la plus perfide espèce. La « spiritualité » contenue dans une petite boite de peur (la religion) n'est plus spirituelle et est devenue à la fois dogmatique et fermée sur elle-même.

Le chercheur spirituel est avisé d'aplatir la boite du dogme religieux et de penser hors de l'influence « à sens unique » de certaines religions pour élargir la zone de confort de sa spiritualité et renforcer son ouverture d'esprit, son empathie et sa compassion envers les aptitudes spirituelles de la condition humaine.

3. La religion est un moteur de recherche dépassé alors que la spiritualité est un moteur de recherche actualisé

Le temps rend frustre le bien d'antan.

James Russell Lowell

Tout change. L'univers est dans un flux constant. La seule permanence est dans l'impermanence. La seule chose qui ne change pas est le changement lui-même. La spiritualité accepte ces faits. La religion s'efforce en vain de les ignorer. Enlisée dans ses valeurs paroissiales, cette dernière est incapable de réévaluer sa quête de vérité.

La religion est un moteur de recherche dépassé par ce qu'elle est figée dans des schémas défunts d'anciennes programmations. Elle a abandonné sa quête de vérité avec l'audace de prétendre qu'elle l'a déjà trouvée. La spiritualité est une quête continuelle et sans fin de vérité et se trouve donc toujours à l'avant-garde du cheminement spirituel. Ce n'est que lorsqu'un chercheur spirituel enferme et dogmatise sa spiritualité qu'il abandonne la quête et devient religieux.

La véritable spiritualité ne se ferme jamais à la vérité même si le dogme est très convaincant.

4. La religion est une affaire de foi aveugle alors que la spiritualité repose sur l'ouverture d'esprit

Choisir la voie de l'honnêteté, c'est risquer de sacrifier sa popularité ; choisir l'aventure, c'est mettre en danger sa sécurité.

Guy Claxton

La croyance aveugle est une des pierres d'achoppement de la religion. Croire quelque chose uniquement parce qu'une autorité religieuse le dit n'est pas vraiment spirituel. Au mieux, c'est de l'endoctrinement, au pire du lavage de cerveau. Le fait que les religions requièrent une foi aveugle en des concepts aussi absurdes que le pastafarisme et les zombies juifs porte préjudice à la spiritualité elle-même. Surtout lorsque de telles affirmations sont considérées comme spirituelles par les fanatiques religieux (à côté les adeptes de la Terre plate font figure de sages :D — N.d.T.).

La véritable spiritualité n'a rien à voir avec la croyance ou la foi mais avec l'ouverture d'esprit et l'unicité. Elle a tout à voir avec la flexibilité existentielle et l'aptitude à envisager les choses en profondeur sans avoir besoin de mettre tous ses « œufs » dans le même « panier ».

Pour la religion, la destination est la « foi » tandis que la spiritualité fait du voyage son objet.

5. La spiritualité est fondée sur le courage alors que la religion repose sur la peur

Ce qui peut être détruit par la vérité devrait l'être.

P.C. Hodgell

Le pari de Pascal, c'est du réchauffé. Le conditionnement par la peur est anti-spirituel. Avoir recours à des tactiques de peur pour matraquer les chercheurs de vérité autrement bien-intentionnés et les obliger ainsi à se conformer est la marque de fabrique des religions traditionnelles. Les véritables chercheurs spirituels sont au-dessus de ce genre de bassesse. Ils ne craignent pas Dieu. Ils sont Dieu. Ils sont amour. Ils ne font qu'un avec l'interconnectivité de toutes choses (Dieu).

La véritable spiritualité est au-delà du bien et du mal. Elle concerne l'unité avec toutes choses, la coexistence saine, la compassion, l'ouverture, l'empathie et l'amour. Elle n'a rien à voir avec la peur, la trépidation ou les menaces d'enfer illusoires, de diables, de démons et de dieux vengeurs courroucés. Méfiez-vous de toute religion qui vous menace de damnation éternelle et a ensuite le culot de se revendiquer comme spirituelle.

6. La spiritualité est une évolution douloureuse et la religion une stagnation confortable

Je ne veux pas du confort, je veux Dieu. Je veux de la poésie, je veux du vrai danger, je veux la liberté, la bonté, le péché.

Aldous Huxley

Là où la religion repose sur le confort et la sécurité (apaisement), la spiritualité concerne l'honnêteté et l'aventure (contemplation).

L'aventure de la découverte de soi, la quête de vérité personnelle est essentielle pour le chercheur spirituelle. Sans elle, le voyage ne peut être l'objet. Il atteint sa destination finale. Et là où le voyage s'achève commence la religion.

Un vraie chercheur spirituel ne laisse jamais le voyage s'achever. Il y a toujours quelque chose en plus à apprendre. Dieu est infini. Il n'y a aucune fin à l'évolution spirituelle mis à part la mort elle-même et même cette dernière remet la croissance spirituelle en perspective.

7. La religion est co-dépendante ; la spiritualité est interdépendante

Désormais je suis agile, je peux voler, je peux me voir. Désormais un dieu danse en moi.

Nietzsche

Une personne religieuse a une relation de co-dépendance avec Dieu ; elle dépend d'un dispenseur de loi divine pour son salut. Un chercheur spirituel a une relation d'interdépendance avec Dieu ; il comprend qu'il est aspect fini d'un tout infini interconnecté : le Grand Mystère.

Comme disait Plutarque : « L'œil avec lequel je perçois Dieu est le même que celui avec lequel Dieu me perçoit ».

La spiritualité est une connexion holistique à un cosmos interconnecté où nous sommes tous liés par des lois universelles. La religion repose sur la sainte obéissance à une divinité décrétant la loi. La première est cosmique, la seconde est dogmatique.

8.  La religion, c'est de l'intimidation réactive alors que la spiritualité est une méditation proactive

La mort détruit l'homme, mais l'idée de la mort le sauve.

E.M. Forster

La peur n'est pas le seul moyen employé par la religion pour intimider les gens ; elle se sert aussi de l'amour et de l'apaisement de façon à endormir le chercheur spirituel qui n'est pas sur ses gardes. Là où la religion vous procure une béquille pour boitiller aveuglement à travers la foi, la spiritualité vous enlève cette béquille pour vous forcer à être responsable avec votre foi. En se complaisant dans la co-dépendance, le fanatique religieux réactif est à la merci de sa foi. Libéré des chaînes dogmatiques, le chercheur spirituel proactif est libre d'interroger sa foi sans peur du blasphème.

Là où le fanatique religieux craint la mort et Dieu, le chercheur spirituel canalise cette colère existentielle vers la méditation proactive. Un chercheur spirituel se sert de la mort pour ne pas perdre de vue la vie par le biais de la méditation. Un fanatique religieux est obsédé par la mort et l'après au détriment de la vie par l'intimidation qu'il s'inflige. La religion est angoissée et intimide ses membres. La spiritualité est audacieuse et libère tout le monde.

9. La spiritualité permet au Grand Mystère de rester grand et mystérieux

La plus belle expérience que nous pouvons avoir du mystère — l'émotion fondamentale qui est la pierre d’achoppement de l'art véritable et de la science.

Là où la religion cherche vainement à caser l'infini dans un concept fini qu'elle appelle « Dieu », la spiritualité permet à l'infini d'être infini et l'appelle le Grand Mystère. Là où le Dieu religieux prétend détenir toutes les réponses, le Grand Mystère les remplacer par le point d'interrogation tout puissant. Il est vital que le concept de Dieu et du Grand Mystère demeurent mystérieux, de peur que l'organe de notre imagination ne se ratatine et meure.

Le Dieu de la religion tente de nous convaincre que nous ne sommes qu'un grain de sable dans l'univers. Avec le Grand Mystère, il est que nous sommes tout l'univers contenu dans un grain de sable. Et de notre position précaire, nous sommes libres d'être ébahis, bouleversés et investis de la puissance de ce mystère de tout. La religion essaie de nous voler ce mystère en le reconditionnant en donneur de lois divines, critique et dénué de mystère.

10. La spiritualité parle une langue plus ancienne que les mots alors que celle de la religion est limitée par les mots

Cessez d'agir sans ouverture. Vous êtes l'univers en mouvement extatique.

Rumi

En fin de compte, nous ne savons tout simplement pas ce qu'est le Grand Mystère (Dieu). Quiconque (groupe, religion) prétend le savoir devrait être écouté avec la plus grande incrédulité et circonspection. Notre langage humain est tout bonnement inadapté à cette tâche. Le Grand Mystère, l'interconnectivité de toute chose des quarks aux quasars, des vers aux trous de ver, est fondamentalement ineffable — si profond et intense qu'il défie toute description. Il parle un langage plus ancien que les mots, une danse plus ancienne que la musique. C'est une force de vie unificatrice qui circule à l'intérieur et au travers de toute chose, liant le cosmos en un réseau d'énergie transformatrice perpétuellement en essor. Cela ne peut s'expliquer. Uniquement se ressentir.

La religion essaie en vain d'expliquer tout cela en l'emballant dans un texte sacré écrit par des hommes faillibles percevant une univers faillible. La spiritualité ressent, suit le flux et médite avec. Elle n'essaie jamais de se l'approprier et ne prétend jamais le connaître car le grand Mystère ne peut être ni possédé ni connu. Le Grand Mystère est tout autant au-delà de notre contrôle qu'à l'intérieur de nous. On ne peut le connaître totalement ni l'expliquer, il ne peut même pas être conçu mais uniquement ressenti par le mystère du temps, le mystère de l'impermanence, le mystère de la conscience. Et il peut être interprété par un langue plus ancienne que les mots qui n'est même pas un langage mais une force unificatrice reliant toute chose. L'erreur est de tenter de l'emprisonner, de se l'approprier, de l'utiliser pour contrôler les gens. Mieux vaut simplement le ressentir, se laisser porter et méditer avec.

Cela fait beaucoup trop longtemps que les gens confondent la spiritualité avec la religion. Il est grand temps d'effacer cette confusion plus que néfaste. Cet article est un témoignage pour faire briller cette lumière.

Texte original de GARY Z. MCGEE traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Honte nationale

L'amour est notre manière de résister.
Ils veulent nous séparer
Et ils n'auront de cesse de nous briser...

"Resistance", Muse (2009)

Parce que je ne trouvais pas les mots — et parce que les mots sont aujourd'hui détournés, dénaturés, bafoués, censurés et, de toute manière, bien en deçà de l'abjection qu'ils entendent décrire, j'ai choisi de m'exprimer par le biais du langage universel. Pour ce qui est du contexte, je me contenterai de relayer cette information publiée il y a une dizaine de jours.

Ey@el

Alors que le gou­ver­ne­ment fran­çais vient de perdre toute légi­ti­mi­té popu­laire lors de la der­nière consul­ta­tion élec­to­rale (le Pouvoir ne s’ap­puie plus que sur une infime mino­ri­té popu­laire infé­rieure à 10 %), il accé­lère le pro­ces­sus de vac­ci­na­tion géné­rale. Des textes sont actuel­le­ment en cours d’é­tude par les par­le­men­taires pour rendre la vac­ci­na­tion obli­ga­toire :

  • Covid-19 : le Sénat recom­mande la vac­ci­na­tion obli­ga­toire pour les 24–59 ans [source : Public Sénat]
  • Covid : Castex ouvre le débat sur une obli­ga­tion vac­ci­nale large [source Les Échos]

Les jour­na­listes de la presse sub­ven­tion­née sont mis à contri­bu­tion pour pré­pa­rer l’o­pi­nion à cette vac­ci­na­tion obli­ga­toire. Certains d’entre eux recom­mandent de menot­ter les récal­ci­trants pour les ame­ner de force à la vaccination.

Une course contre la montre se joue dans les coulisses

Tandis que le Pouvoir ne dis­pose plus de légi­ti­mi­té démo­cra­tique, une autre menace le met gra­ve­ment en péril : une plainte pour crime contre l’humanité, atteinte à la digni­té humaine, ser­vi­tude et géno­cide.

Ci-des­sous le com­mu­ni­qué offi­ciel du CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) :

Cour pénale inter­na­tio­nale (CPI)
Vendredi, 2 juillet 2021

Le CSAPE vous informe qu’une plainte contre des diri­geants fran­çais vient d’être dépo­sée à la CPI avec demande d’ou­ver­ture d’en­quête pour crime contre l’humanité, atteinte à la digni­té humaine, ser­vi­tude et géno­cide sous le numé­ro OTP-CR-271/21.

Nous ren­dons publique la plainte et nos décou­vertes au niveau mon­dial et nous vous inci­tons à vous asso­cier à l’action du CSAPE en dépo­sant éga­le­ment plainte avant que la situa­tion ne devienne irré­ver­sible pour cause d’absence de résis­tance effec­tive. Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pou­vez prendre connais­sance de la plainte jointe. Après avoir décou­vert les infor­ma­tions révé­lées, toutes fac­tuelles, vous serez cer­tai­ne­ment convain­cus de la néces­si­té d’agir.

Dans ce cas le CSAPE peut vous aider dans la démarche.

VOUS POUVEZ TÉLÉCHARGER LA PLAINTE ET LA NOTE DE DIFFUSION ICI.

En paral­lèle à cette plainte en bonne et due forme, une autre démarche se des­sine sous l’é­gide de l’a­vo­cat alle­mand Reiner Fuellmich.

Bonus de la rédac­tion : pour mieux com­prendre ce qu’il se passe, pre­nez la capsule #56 (durée : 16 minutes) !

Texte original de GEORGE GOURDIN

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Division vaccinale et émergence d'une société ségrégationniste (2)

La division vaccinale et une nouvelle classe de VIP

Dans mon article intitulé "Passeports vaccinaux et loi martiale médicale", je rassemblais des informations montrant comment Israël était devenu de facto un régime d'apartheid en créant des privilèges spéciaux pour les vaccinés et je mettais en garde contre l'avènement de quelque chose de similaire aux États-Unis. Tout de suite, des societés, des états et des villes ont commencé à implémenter des projets d'ouverture des commerces et des salles de spectacle aux clients « vaccinés uniquement ». Un article de WebMD a qualifié cette nouvelle classe de privilégiés de « VIP : Personnes Immunisées & Vaccinées ».

Si l'été dernier était celui du Confinement, celui de cette année risque de prendre la forme d'été « VIP » pour personnes immunisées & vaccinées. Pour des événements allant de simples barbecues dans le jardin à des fêtes plus formelles, des concerts, des mariages ou autres rassemblements, la vaccination risque souvent de servir de billet d'entrée.

– Kathleen Doheny

Voici une sélection de gros titres récents montrant comment les vaccinés se voient gratifiés de « privilèges » spéciaux autrefois appelés droits humains fondamentaux :

  • "Des zones réservées aux vaccinés uniquement validées par l'état pour booster les capacités sportives et paroissiales"
  • "Plan de salle pour les vaccinés uniquement approuvé en Oregon"
  • "Les Chicago Cubs et les White Sox vont proposer des sections réservées aux vaccinés uniquement"
  • "Seuls les supporters vaccinés pourront acheter des billets pour les matchs éliminatoires"
  • "Seuls les supporters vaccinés des Bills et des Sabres pourront assister aux matchs à l'automne"
  • "Un concert en Floride facturera les billets d'entrée 18 $ pour les vaccinés contre 1000 $ pour les non-vaccinés"
  • "Le Radio City Music Hall va réouvrir à 100% de sa capacité au public vacciné uniquement"
  • "Tous les paquebots de croisière vont exiger que les passagers soient vaccinés avant d'embarquer"
  • "Les restaurants de Chicago ont désormais des zones « vaccinés uniquement »"
  • "Un bar au nord d'Hollywood veut se transformer en club privé pour vaccinés uniquement"
Au Texas, 61% des Républicains blancs se disent réticents à se faire vacciner ou sont même prêts à refuser. Vous pouvez coller l'euphémisme « hésitation vaccinale » au problème, mais au final le GOP (parti républicain) et les enfants de Dieu propagent un virus qui rend malade et tue les gens en grand nombre.

Une grande part du problème provient de la relation sectaire qu'entretiennent de nombreux évangélistes et Républicains avec l'ancien président. Ils ont absorbé ses inlassables efforts à minimiser le danger du virus et à transformer les précautions de santé publique en un mouvement politique libertaire. Mais le temps d'analyser pourquoi ces bouillons de culture humains ont choisi d'ignorer la science médicale qui pourraient les sauver eux et nous est révolu. Nous avons besoin d'une stratégie différente. Je propose l'évitement. (source)

L'ancien président Donald Trump s'est également joint à la partie en taxant les critiques du vaccin de colporteurs de « pseudo-science dérangée » tout en remettant en question le besoin d'interrompre les injection de J&J afin d'investiguer les problèmes de caillots sanguins dans un tweet :

L'augmentation des cas Covid se poursuivant à l'échelle nationale, c'est de la pure folie de retarder des millions de vaccinations et d'alimenter les peurs des résistants au vaccin... En effet, cette mesure stupide est un cadeau pour le mouvement anti-vax : la bureaucrates de la science fournissent le grain à moudre à la pseudo-science dérangée.

Traiter les anti-vax comme des terroristes

À un moment donné, fuir et traiter les non vaccinés comme des parias sociaux ne suffira plus aux Covidiots qui font pression pour imposer cette idée collective comme quoi il faut que tout le monde soit vacciné pour que chacun puisse être protégé.

Maintenant, ces grouillots sous contrôle mental taxent quiconque remettant en cause l’innocuité des vaccins ou s'opposant à l'obligation vaccinale d'anti-vax en les assimilant à des terroristes. Ces tactiques sont similaires à traiter quiconque de complotiste à la seconde même où ils expriment leur scepticisme sur un narratif quelconque auquel le gouvernement veut vous faire croire. C'est pourquoi par leurs tentatives de censurer tout information contredisant les sources officielles, les GAFAM se sont transformés en Big Brother, désignant toutes les personnes qui remettent en cause le narratif du Covid-19 et les injections expérimentales comme propagateurs de rumeurs anti-scientifiques.

Un éminent vaccinologue, le Dr Peter Hotez, assimile la désinformation vaccinale à une menace de même niveau que le terrorisme, les cyberattaques et l'armement nucléaire. Il veut y mettre un terme en créant une force opérationnelle internationale s'en référant aux Nations Unies :

La désinformation anti-vaccinale a transformé des interrogations et préoccupations raisonnables concernant de rares effets secondaires en inquiétudes complotistes, en craintes exagérées et en indignation à être traités comme des « cobayes ».

Les efforts doivent s'étendre au domaine de la cybersécurité, de l'application des lois, de l'éducation du public et des relations internationales. Un force opérationnelle interinstitutionnelle de haut niveau pour s'en référer au secrétaire général de l'ONU pourrait évaluer le plein impact de l'agression anti-vaccinale et proposer des mesures fermes et équitables. Cette force opérationnelle devait intégrer des experts ayant affronté des menaces d'ordre mondial comme le terrorisme, les cyberattaques et l'armement nucléaire parce que l'anti-science est en passe d'atteindre de tels niveaux de péril. Il devient de plus en plus clair que promouvoir l'immunisation requiert une contre-offensive.

Le fait est que la majorité de ceux qui remettent en cause l’innocuité et la nécessité des « vaccins » contre le Covid ne sont ni contre la science ni contre les vaccins. Ce sont juste des étiquettes pratiques pour écarter et traiter de complotiste tout individu prêtant attention à la vraie science. Mais c'est ce qui arrive lorsque l'on tire des conclusions qui ne collent pas à l'agenda actuel de vaccination des masses.

L'état de surveillance par sécurité biométrique est le véritable enjeu

Ceux qui préconisent le confinement, les masques, l'accès réservé aux vaccinés, l'évitement et autres politiques pour détruire la liberté individuelle et l'autonomie physique se servent de cette « crise sanitaire » comme prétexte pour instaurer un état de surveillance par sécurité biométrique. Alors que le pays est de plus en plus fragmenté par une pléthore de problèmes, des familles se déchirant sur le statut vaccinal, l'administration Biden a discrètement avancé une proposition de créer une nouvelle agence fédérale axée sur la santé et calquée sur le modèle du DARPA pour « exploiter les atouts fédéraux existants en matière de recherche avec des percées en biotechnologie, super-informatique, données massives et intelligence artificielle pour guérir les maladies ».

Le DARPA est l'agence militaire fédérale à l'origine de la création de l'internet, la technologie de reconnaissance vocale, la navigation GPS, Night Vision, les machines à interface cérébrale, Siri, les robots-chiens et bien d'autres encore. Une fois adoptées pour un usage généralisé, bon nombre de ces inventions ont profité à l'humanité mais ces technologies ont également permis l'espionnage à grande échelle, le recueil de données massives, la censure et la surveillance secrète.

HARPA, la nouvelle agence proposée et d'abord introduite sous l'administration Trump, veut créer un projet baptisé "Safe Home" (sécurité domestique — acronyme anglais de Stopper les Événements Fatals Aberrants en Aidant à Surmonter les Extrêmes Mentaux) pour utiliser les données de bénévoles afin d'identifier les « signes neurocomportementaux » de « personnes sur le point d'exploser et de commettre un acte de violence ». En cas d'approbation, cette agence inaugurera l'ère du précrime médical où des individus innocents pourront être présumés malades mentaux ou porteurs de maladies contagieuses à moins de se soumettre à la médecine prédictive et aux thérapies géniques à venir qui court-circuiteront la médecine classique.

La violation du consentement informé et du Code de Nuremberg

Si les « vaccins » fonctionnent comme l'affirme la propagande, seuls ceux qui refusent les injections prennent un risque. Un risque d'ailleurs peu conséquent si l'on considère que le taux de survie aux États-Unis est de plus de 98% pour ceux qui contractent le Covid-19, un virus avec des symptômes assez similaires à ceux de la grippe qui tue également des milliers de personnes chaque année (sauf en 2020 où elle a mystérieusement disparu). Alors pourquoi une telle coordination autour d'un programme d'urgence mondiale pour obliger les gens à se soumettre à des injections « expérimentales » qui n'ont toujours pas reçu la pleine approbation d'aucune agence gouvernementale ou sanitaire ?

Les efforts déployés par les États-Unis et les autres pays pour faire pression et soudoyer leurs populations afin de leur faire accepter ces « vaccins autorisés pour usage expérimental » devraient agir comme des sonnettes d'alarme chez toute personne dotée de raison. Ces tentatives de coercition enfreignent également les règles du Code de Nuremberg sur le consentement informé, stipulant que :

Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne intéressée doit jouir de capacité légale totale pour consentir, qu'elle doit être laissée libre de décider sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d'autres formes de contrainte ou de coercition. Il faut aussi qu'elle soit suffisamment renseignée et connaisse toute la portée de l'expérience pratiquée sur elle afin d'être capable de mesurer l'effet de sa décision. Avant que le sujet expérimental accepte, il faut donc le renseigner exactement sur la nature, la durée et le but de l'expérience, ainsi que sur les méthodes et moyens employés, les dangers et les risques encourus et les conséquences pour sa santé ou sa personne qui peuvent résulter de sa participation à cette expérience.

Ils violent aussi l'article 6 de la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme de l'UNESCO :


1. Toute intervention médicale de caractère préventif, diagnostique ou thérapeutique ne doit être mise en œuvre qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, fondé sur des informations suffisantes. Le cas échéant, le consentement devrait être exprès et la personne concernée peut le retirer à tout moment et pour toute raison sans qu’il en résulte pour elle aucun désavantage ni préjudice.

2. Des recherches scientifiques ne devraient être menées qu’avec le consentement préalable, libre, exprès et éclairé de la personne concernée. L’information devrait être suffisante, fournie sous une forme compréhensible et indiquer les modalités de retrait du consentement. La personne concernée peut retirer son consentement à tout moment et pour toute raison sans qu’il en résulte pour elle aucun désavantage ni préjudice. Des exceptions à ce principe devraient n’être faites qu’en accord avec les normes éthiques et juridiques adoptées par les États et être compatibles avec les principes et dispositions énoncés dans la présente Déclaration, en particulier à l’article 27, et avec le droit international des droits de l’homme.

Nombre de ceux qui vouent une confiance aveugle aux autorités, aux experts, aux médias, aux artistes ou à quiconque affirmant avec aplomb combien ces technologies expérimentales sont sûres sans en reconnaître les risques d'atteintes graves, s'exposent à un réveil brutal. Croyez-vous une seule seconde que ceux qui ont permis aux troupes de la Garde nationale d'injecter les vaccins anti-Covid sur place au 7-Eleven et dans les bars locaux ont été informés de tous les faits avant de consentir à se faire inoculer ? Et ceux dans les sites de vaccination éphémères ou les drives ?

Même si vous n'avez aucun effet secondaire ou juste des symptômes bénins après l'injection, il n'existe absolument aucune donnée pouvant prédire les effets à long terme de ces thérapies géniques expérimentales présentées comme étant des vaccins. Tous ceux qui ont retroussé leurs manches, volontairement, sous la pression ou sous la menace, servent de cobayes. Que Dieu leur vienne en aide et à nous tous.

Texte original de JESSE SMITH traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Division vaccinale et émergence d'une société ségrégationniste (1)

La pression exercée pour que tout le monde se fasse piquer contre le Covid-19 est sans doute le plus grand projet d'ingénierie sociale que le monde ait jamais connu. Gouvernements, lobby pharmaceutique, multinationales, célébrités, professionnels de la santé et médias ont pu convaincre des millions de personnes de se faire inoculer des « vaccins » expérimentaux reposant sur une technologie jamais utilisée auparavant sur des humains. Le FDA et le CDC (autorités sanitaires américaines — N.d.T.) les ont déclarés sûrs (à quelques effets secondaires mineurs près) au bout d'à peine quelques mois d'essais cliniques pour les lancer prématurément sur le marché bien avant l'échéancier des 18 mois prévus. Les tours de passe-passe utilisés pour accélérer le recours généralisé à ces vaccins auraient de quoi rendre David Copperfield vert de jalousie.

Dès le début de la « pandémie », les responsables gouvernementaux, les spécialistes de la santé et des gens comme Bill Gates, Zeke Emanuel et Tedros Adhanom Ghebreyesus n'ont cessé de répéter en boucle qu'aucun retour à la normale ne serait possible tant qu'un vaccin ne serait pas disponible pour rendre la société sécuritaire à nouveau. Ce mantra rabâché à l'infini sur toute la planète a servi à plonger la majorité des peuples du monde dans un état d'hypnose paranoïaque. Des doses massives de gros titres anxiogènes, des conférences de presse sensationnelles et des sujets de discussion quotidiens répétitifs ont rendu les gens totalement incapables de comprendre ce opération psychologique à grande échelle se jouant devant leurs yeux en réaction à un ennemi invisible connu sous le nom de SARS-CoV-2.

La propagande de promesse de liberté grâce à une injection

Ceux qui désirent abandonner la liberté fondamentale pour obtenir temporairement un peu de sécurité ne méritent ni l'une ni l'autre.

Benjamin Franklin

Tout le monde n'a pas eu besoin d'incitation à se faire vacciner contre le Covid-19 quand les inoculations ont commencé fin 2020. Beaucoup étaient impatients de se faire piquer et de s'en vanter, persuadés de protéger leur santé et de contribuer à enrayer cette « pandémie ». Toutefois, l'hésitation, voire dans certains cas, le refus catégorique chez les militaires, le personnel soignant, les minorités, les Républicains et les Évangélistes, de faire vacciner ne pouvait être toléré par les autoritaristes convaincus de savoir ce qui est le mieux pour la santé de chacun. À mesure que le nombre de candidats exubérants volontaires à la vaccination s'est étiolé, des vaccinodromes ont commencé à fermer dans tout le pays. Suite à quoi, en mars dernier, l'administration Biden a lancé une campagne d'intimidation d'un milliard et demi de dollars visant à inciter chaque Américain à se faire vacciner.

"It's Up to You" (la balle est dans votre camp), une campagne issue d'un partenariat entre la Maison blanche et le Ad Council (organisme à but non lucratif en charge de la diffusion et promotion des annonces gouvernementales aux États-Unis. — N.d.T.) met en scène tous les anciens présidents américains encore en vie et leurs épouses (à l'exception des Trump) pour encourager tout le monde à « retrousser leurs manches et faire leur part ».

Des campagnes ont été lancées sous l'égide de l'initiative d'éducation sur la vaccination anti-Covid du Ad Council ciblant les communautés hispaniques et afro-américaines, les églises, les femmes et les parents. Divers spots publicitaires destinés aux jeunes enfants mettent en scène des personnages de Sesame Street suggérant que la vaccination permet le retour des libertés perdues telles qu'aller voir ses grand-parents et jouer avec les autres enfants.

Quand au cours des cent premiers jours de son mandat, le président Biden a annoncé son objectif d'administrer 200 millions de doses vaccinales, la campagne de propagande s'est de nouveau intensifiée en avril où les centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) ont reçu un financement supplémentaire de 3 milliards de dollars du ministère de la santé (HHS) afin de « renforcer la confiance au vaccin ». La campagne publicitaire "We Can Do This" (nous pouvons le faire) a été lancée, englobant les efforts des réseaux sociaux, de la télévision et de la base populaire et mettant en scène un corps communautaire d' « intervenants de confiance dans les communautés à travers tout le pays ».

Ce corps communautaire a été créé pour « ... mobiliser professionnels de la santé, scientifiques, organismes communautaires, chefs religieux, commerces, acteurs ruraux, organisations de défense des droits civiques, athlètes, ligues sportives, et Américains de toutes les couches de la société à devenir des leaders au sein de leurs communautés respectives afin d'aider les amis, la famille et les voisins à se faire vacciner ».

La mission de ces Community Corps est de sensibiliser de toutes les manières possibles ceux qui hésitent à se faire piquer. Des chapiteaux montés à la va-vite et centres de vaccination mobiles aux campagnes de porte-à-porte, ils sont habilités à faire vacciner les gens dans les endroits les plus inaccessibles. Pour ce faire, on leur a fourni une panoplie remplie d'argumentaires élogieux pour tenter de convaincre les récalcitrants de se faire injecter leur dose parce que « la vaccination leur permettra de passer plus de temps avec ceux qu'ils aiment et de s'engager avec la communauté ». Comme par hasard, leur panoplie ne fait aucun état de la clause de non-responsabilité comme quoi il n'existe actuellement aucun vaccin homologué par le FDA pour protéger du Covid-19 pourtant bien spécifiée sur les fiches techniques de chaque vaccin autorisé pour une utilisation en urgence (EUA) par le cette même agence.

Depuis le début de la « pandémie », les GAFAM et le géant des réseaux sociaux Facebook censurent les informations qui contredisent le narratif officiel sur le Covid-19 et les vaccins. Par contre, ça ne leur a posé aucun problème de permettre aux internautes de téléverser leurs photos pour la campagne "We Can Do It" créée pour aider les Américains à « partager leur intention de se faire vacciner avec leurs amis, leur famille et leurs abonnés ».

Au cours des derniers mois, bon nombre de spécialistes, de responsables gouvernementaux et de célébrités ont fait des apparitions coordonnées dans les médias, renforçant ainsi les efforts de propagande à coups de milliards de dollars pour que les Américains cessent de mettre en doute la nécessité et l’innocuité des « vaccins ». Certaines de ces déclarations comportent des menaces voilées telles celles d'experts souvent présents sur CNN comme le Dr Leana Wen et l'éthicien médical Arthur Kaplan.

Après la vaccination [...] nous continuerons à porter un masque [...] Nous sommes maintenant dans cette course aux vaccins contre les variants [...] Nous avons besoin de comprendre que les masques et les vaccins constituent notre billet de retour vers la normalité pré-pandémique [...] Ensuite vous pourrez voyager et voir votre famille.

Leana Wen sur PBS News Hour

Vous voulez revenir travailler en présentiel ? Il faudra me présenter un certificat de vaccination. Vous voulez vous rendre dans un bar ou un restaurant ? Il faudra me présenter un certificat de vaccination [...] Si vous promettez aux gens davantage de mobilité, plus de chances de décrocher un emploi, de voyager, voilà une excellente incitation à se faire tous vacciner.

Arthur Kaplan on CNN

Ces déclarations ont été reprises par le président Biden qui a menacé :

Après un an de dur labeur et tant de sacrifices, la règle est désormais simple : faites-vous vacciner ou portez un masque jusqu'à ce que vous le fassiez.

President Joe Biden

Outre-Atlantique, l'ancien premier ministre britannique Tony Blair a également ajouté son grain de sel au cours d'un entretien sur Good Morning Britain, déclarant :

… les gens doivent comprendre qu'au final, la vaccination sera la voie vers la liberté.

Tony Blair

La vaccination par tous les moyens nécessaires

Une nation qui fait passer tout avant la liberté perdra cette dernière et le comble est que si le confort et l'argent sont ce qui compte le plus à ses yeux, elle les perdra également.

W. Somerset Maugham

Les campagnes de marketing traditionnelles n'ont pas été très efficaces à convaincre beaucoup de non-vaccinés à se faire inoculer contre le Covid. À mesure que les gens découvrent une pléthore d'effets indésirables rapportés via le système VAERS du CDC ou ceux de l'UE (EudraVigilance) et de l'OMS (VigiAccess), l'hésitation vaccinale et le refus catégorique n'en sont que renforcés.

À cette vague croissante de scepticisme viennent s'ajouter les diverses mises en garde contre le danger potentiel à venir de ces vaccins émises par de nombreux médecins, professionnels de la santé et scientifiques n'ayant pas peur de s'attaquer au système.

Ces faits n'ont nullement découragé la Gestapo vaccinale qui a sans vergogne inventé de nouvelles manières de caresser le plus de personnes possible dans le sens du poil afin qu'elles se fassent vacciner contre le Covid. En total désespoir de cause, les gouvernements, sociétés et organismes se sont abaissés à des tactiques sordides pour inciter les non-vaccinés à participer à la plus grande expérience médicale au monde en offrant gratuitement des bières, des beignets, des joints, des hamburgers-frites, des cartes-cadeau, des billets d'avion pour un an ou des voyages allez-retour gratuits, des obligations d'épargne, des bourses d'étude, et des courses en taxi.

La Californie, le Colorado, l'Ohio, l'Oregon et l'état de New York offrent tous aux vaccinés la possibilité de gagner à la loterie et dans certains cas jusqu'à 5 millions de dollars.

Dans un article argumentatif sur CNN intitulé "Oui, c'est une bonne idée de soudoyer les gens pour qu'ils se fassent vacciner", l'auteur y approuve ces démarches « prêtes à tout » pour inoculer les gens :

Au cours de ces derniers mois, en Amérique, les acteurs publics et privés en matière d'innovation se sont ralliés autour d'un but unique : soudoyer les gens de manière à ce qu'ils se fassent vacciner contre le Covid-19. Faire vacciner les gens est quelque chose de noble, nécessaire à la santé publique, nécessaire pour défendre ceux qui ne peuvent être vaccinés et s'il faut les soudoyer pour en arriver là alors je suis tout à fait pour.

On ne devrait pas avoir à employer de telles méthodes pour vacciner. Et même si les gens peuvent faire ce qu'ils veulent de leur corps, il n'ont pas le droit de véhiculer des maladies mortelles dans les espaces publics. Pour que les gens se fassent vacciner on devrait juste exiger un certificat de vaccination ou une exemption médicale documentée pour retourner à l'école, dans les commerces ou les espaces publics très fréquentés.

Des beignets à la marijuana, de la bière à l'argent, les entités publiques et privées font preuve d'une créativité judicieuse lorsqu'il s'agit de convaincre les gens de se faire vacciner. Mais ce ne sont que des carottes. Il nous faut aussi un bâton.

Dans une apparition sur CNN, ce concept de la carotte et du bâton a également été repris par le Dr Leana Wen, ancienne directrice évincée du Planned Parenthood (planning familial) qui a déclaré :

If faut que nous leur fassions bien comprendre que le vaccin sera leur billet de retour à la vie d'avant la pandémie.

Et le temps presse vraiment. Vous parliez de tous ces états qui réouvraient. Ils le font à 100%.

Et nous avons une marge de manœuvre très étroite pour lier la politique de réouverture au statut vaccinal.

Parce qu'autrement si tout est réouvert, quelle sera la carotte ? Comment allons-nous inciter les gens à se faire vacciner ?

C'est pourquoi je pense qu'il faut que le CDC et l'administration Biden aient le courage de dire : « Si vous n'êtes pas vaccinés, vous ne pouvez pas faire ces choses. Voici toutes les libertés qui s'offrent à vous ».

Est-ce une coïncidence si peu après les déclarations du Dr Wen, le CDC et l'administration Biden ont commencé à émettre des recommandations pour un assouplissement du port du masque et de la distanciation sociale, permettant aux commerces d'accueillir davantage de gens vaccinés ?

Les pandémies et les campagnes de vaccination de masse constituent un business juteux. Je me demande quel pourcentage des 20 milliards de dollars investis chaque année par Big Pharma pour commercialiser leurs produits auprès des médecins et autres professionnels de la santé a atterri dans les poches du Dr Wren et de ses homologues pour se faire les porte-parole de « vaccins » expérimentaux ? On a aussi l'émergence d'une quarantaine de nouveaux milliardaires en lien avec les sociétés luttant contre la pandémie tandis que les vaccins anti-Covid à eux seuls en ont engendré neuf.

Ceux qui promeuvent la subordination du statut vaccinal à la réouverture de la société sont en fait le problème. La plupart travaillent pour des sociétés directement ou indirectement financées par Big Pharma et ne vont donc pas oser critiquer les produits de leurs maîtres du cartel pharmaceutique. D'aucuns ont subi un lavage de cerveau qui leur a fait croire que la seule chose qui puisse les sauver cette « pandémie mortelle » est un vaccin, tout en ignorant ou réprimant délibérément les faits suivants :

  • Des traitements efficaces comme l'hydroxychloroquine, le zinc, l'azithromycine, l'ivermectine, la budésonide et la vitamine D ont été dénigrés et toute discussion portant sur ces derniers s'est vue souvent censurée.
  • Selon le centre de ressources anti-Coronavirus John Hopkins, le taux de cas mortels aux États-Unis est de 1,8%, ce qui signifie que le taux de survie pour ceux qui contractent le Covid-19 est de 98,2%. Pour les enfants, ce taux de morbidité est quasi non-existant.
  • 94% des décès imputés au Covid-19 pourraient également être attribués à d'autres causes. Ces 94% de personnes décédées du Covid-19 avaient en moyenne quatre pathologies supplémentaires qui, d'après le CDC, auraient pu directement contribuer à leur décès.
  • Les tests PCR ont gonflé les nombres de cas Covid avec un taux de faux positifs extrêmement élevé.

Les médias traditionnels et tous les garde-chiourme officiels refusent d'admettre que les vaccins anti-Covid ont provoqué une somme sans précédent de souffrance et de mort depuis le début des inoculations de masse. En fait, à ce jour 4406 morts après injection anti-Covid ont été rapportées au VAERS. Ce total pour six mois excède déjà les 2149 décès enregistrés entre 1997 et 2013 pour tous les autres vaccins réunis. Comme le VAERS ne reflète qu'entre 1 et 10% de tous les autres incidents, le véritable bilan de mortalité pourrait avoisiner les 440.600. Aucun de ces décès ou préjudices corporels n'aurait dû se produire parce que des signes de complications graves avaient déjà été mis en évidence au cours des brefs essais cliniques :

  • Le vaccin Moderna induisait des effets indésirables chez plus de la moitié des participants aux essais.
  • Moderna et Pfizer ont tous deux admis que leur vaccin pouvait provoquer des symptômes similaires à ceux du Covid-19.
  • Vingt volontaires ont eu des réactions graves au vaccin Johnson & Johnson au cours de ses phases expérimentales I/IIa.
  • Les essais cliniques pour le vaccin AstraZeneca ont été suspendus après qu'un participant ait eu une réaction indésirable appelée myélite transverse.
  • Deux participants et quatre du groupe témoin sont décédés lors des essais cliniques du vaccin Pfizer.
  • Quatre volontaires ont développé une paralysie de Bell (paralysie faciale) après avoir reçu une injection du vaccin Pfizer.

À suivre : deuxième partie à paraître prochainement

Texte original de JESSE SMITH traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : Christophe Kiciak

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