La « reprise » des glaces de l'Antarctique surprend les scientifiques — les médias de masse n'en parlent pas

Il y a deux ans à peine, les principaux médias grand public annonçaient que les glaces du Pôle Sud étaient en train de fondre à une vitesse ahurissante.

Comme l'a récemment souligné le site notrickszone.com, en juin 2019, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung rapportait que les glaces de l'Antarctique avaient perdu 1,8 million de kilomètres carrés, qualifiant d’impressionnante « la disparition massive de la banquise ».

Et même s'il s'agissait d'un rapport techniquement factuel, il s'est avéré relevant davantage de la volonté obscurantiste du réchauffement climatique anthropique et d'une sélection subjective que d'indications bien fondées d'un phénomène climatique inquiétant.

Et aujourd'hui, en 2021, alors que les glaces connaissent une reprise significative, ces mêmes médias de masse se murent dans un silence qui en dit très long...

La reprise massive des glaces est passée sous silence

Les médias de masse exploitant la cause climatique ont cessé de parler de la situation de la banquise dans l'hémisphère sud.

Et on comprend aisément pourquoi :

En 2020 et 2021, les glaces du Pôle Sud ont enregistré une reprise d'un niveau comparable à celui d'il y a trois décennies.

En outre, l'évolution au cours de ces quarante dernières années, voire plus (l'ère des satellites), est celle d'une forte croissance (d'environ 1% par décennie). 

En 2021, les glaces de l'Antarctique sont bien au-dessus de la moyenne multidécennale (voir ci-dessous).

C'est le scénario catastrophe qui a disparu, pas la banquise :

Le site du NSIDC (centre d'information et de référence de la recherche polaire et cryosphérique aux États-Unis) est temporairement hors service, je ne peux donc pas partager ici les données impressionnantes de ce mois d'août 2021.

Toutefois, si l'on regarde le graphique ci-dessus pour le mois de juin, la ligne magenta autour de la banquise côtière de l'Antarctique qui représente la limite des glaces médianes entre 1981 et 2010 — on voit clairement que cette année, elle s'étend largement au-delà de la norme.

La reprise des glaces de l'Antarctique au cours de ces deux dernières années montre qu'il y a toujours une multitude de facteurs naturels qui demeurent inconnus, écrit le Die kalte Sonne — il semblerait que les cycles océaniques tels que l'ENSO (El Niño Oscillation australe), le MAS (mode annulaire sud) ou l'océan indien jouent un rôle important dans leur variabilité, et non l'augmentation linéaire du CO2.

Une technique classique de désinformation

« Les chercheurs s'accordent sur le fait que le recul de la banquise de l'Antarctique entre 2016 et 2019 est dû à des causes naturelles » écrit le Die kalte Sonne. « Ce qui n'est manifestement pas un bon sujet pour le Süddeutsche Zeitung qui préfère ne pas parler de la reprise des glaces. »

Ne pas informer le public de faits nouveaux en le laissant sur une fausse impression reposant sur des données sélectionnées de manière subjective et vieilles de deux ans,  est là une technique classique de désinformation parfaitement maîtrisée par les médias activistes.

Les GRAND FROIDS sont de retour, les latitudes moyennes connaissent un REGEL en alignement avec la Grande Conjonction, le taux d'activité solaire historiquement bas, les rayons cosmiques provoquant la nucléation des nuages, et le flux du jet stream méridional (entre autres forçages).

En lisant entre les lignes, l'agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) et la NASA semblent s'accorder sur le fait que vers la fin des années 2020, nous allons entrer dans une « véritable » période de Grand Minimum solaire. ICI (en anglais), la NASA considère ce cycle solaire (25) imminent  comme « le plus faible de ces deux derniers siècles », faisant la corrélation entre les précédents arrêts solaires et les périodes de refroidissement planétaire.

En outre, nous ne pouvons ignorer la flopée de nouvelles parutions scientifiques faisant état de l'énorme impact que pourrait avoir le gyre de Beaufort (tourbillon océanique situé dans l'océan Arctique — N.d.T.) et par conséquent sur le climat en général.

Texte original de CAP ALLON traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Pardonnez-moi

À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner,

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.

Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.

Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.

Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.

Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de s’encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.

Vous avez raison le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.

Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.

Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.

Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital.

C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du Doliprane et de rester à la maison.

C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du Doliprane.

C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de doses de Remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires !), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.

C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long terme.

C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.

C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du covid.

C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.

C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.

C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.

C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.

C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.

C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du covid une majorité de gens morts avec le covid.

C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.

C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.

C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.

C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.

Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.

Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.

Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre :

Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.

Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.

Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.

Que si une personne âgée meurt en ayant le covid, elle meurt du covid mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.

Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre :

Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.

Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.

Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième dose et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre :

Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.

Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.

Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.

Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.

Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.

Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.

Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.

Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.

Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.

L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.

Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.

Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.

Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.

Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.

Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.

Merci de nous dispenser de penser.

Texte original de REZA MOGHADDASSI

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Combien de temps reste-t-il à vivre aux personnes vaccinées ?

Selon le Dr Mylo Canderian, 95% de la population est constituée de « mangeurs inutiles » qui doivent être euthanasiés au plus vite !

À la question « Combien de temps reste-t-il à vivre aux personnes vaccinées ? », la réponse est donc entre trois et dix ans ! Personne ne sait si cela est vrai ou faux mais Steven Fishman est un contributeur fiable disposant d'informations de première main.

Nous nous demandons souvent ce qu'il adviendrait si nous nous faisions vacciner. Combien de temps vivrions-nous ? Et c'est à cette question qu'a répondu le Dr Mylo Canderian, à l'origine de l'élaboration du brevet de l'oxyde de graphène comme arme biochimique hématologique en 2015.

« Mondialiste génocidaire », le Dr Canderian mène sa vie conformément à sa devise « Ne soyez pas un cancer pour cette planète, laissez place à la nature ”.

Collaborateur médical à l'OMS et partisan de Klaus Schwab et de la « Grande Réinitialisation », selon lui 95% de la population serait constituée de « mangeurs inutiles » qui devraient être euthanasiés au plus vite.

« Regardez les centres-villes de Chicago, Baltimore ou Los Angeles, a-t-il déclaré, et vous comprendrez clairement pourquoi ces mangeurs inutiles doivent être piqués comme des chiens enragés. »

En outre, le Dr Canderian a publiquement affiché son mépris envers ces « éducateurs contagieux » qui font la promotion de la théorie critique de la race et confie que le vaccin va mettre un terme au « cancer humain sur Terre ». Il soutient le devoir et l'obligation de la Franc-maçonnerie d'éradiquer la Peste humaine de ce monde.

Il a dû répondre à cette question : « Combien de temps restera-t-il à vivre aux gens une fois qu'ils se seront fait vacciner ? »

Et partager cette « formule de fin de cycle » : « Le Pouvoir de la simplicité. Il y a un cycle maximum de dix ans à partir de l'injection jusqu'à la fin du cycle [ou mort] et c'est très facile à déterminer » a-t-il déclaré. 

N'importe quel hématologiste peut détecter cela au microscope. « Le pourcentage de sang affecté [ou contaminé] par ou avec l'oxyde de graphène est la réciprocité du calcul de fin de cycle » a-t-il ajouté.

En bref, après inoculation si vous avez 20% de détérioration sanguine par l'oxyde de graphène, vous vivrez huit ans. Ceux qui ont un taux de 70% vivront environ trois ans.

Stew Peters a interviewé le Dr Jane Ruby qui lui a donné quelques exemples de ce à quoi ressemble une détérioration sanguine.

L'oxyde de graphène est un élément des protéines spike (péplomères) de l'ARN messager qui se disputent l'oxygène avec le cœur, les poumons, le cerveau et le sang.

L'oxyde de graphène absorbe l'oxygène des organes vitaux, provoquant chocs, caillots de sang nocifs, paralysies pulmonaires fatales et cancers mitochondriaux ou endothéliaux.

Toutefois la vision du Dr Mylo Canderian est similaire en tous points à celle de Klaus Schwab, Bill Gates et Big Pharma : TOUT LE MONDE DOIT MOURIR.

Lors de la réunion autour de la fin de cycle, il a aussi parlé des effets de la seconde ou troisième injection  :

« Tout est mesurable par test sanguin. Plus ces imbéciles feront d'injections et de rappels, plus l'état de leur sang apparaîtra détérioré au microscope et plus vite ils serviront d'engrais. »

Et la dernière question à Canderian était : « Comment ce complot pour tuer autant de gens a-t-il pu demeurer secret et impliquer toujours autant de groupes de l'élite ? »

Et la réponse fut : « Vous ne savez pas grand chose de la Franc-maçonnerie, hein Steve ? »

Je pense que désormais tout est clair !

Texte original de ADDISON WILSON traduit de l'anglais par EY@EL
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Ni dirigeants ni maîtres ni dieux

La tradition devient sécurité et lorsque l'esprit est sécurisé, il tombe en déclin.

Jiddu Krishnamurti

Nous n'avons pas besoin de dirigeants parce que nous pouvons nous gouverner nous-mêmes. Nous n'avons pas besoin de maîtres parce que nous pouvons nous maîtriser tous seuls. Nous n'avons pas besoin d'un dieu parce que tout est déjà Dieu.

Des problèmes surviennent lorsque nous laissons les autres nous diriger nous ou autrui.

Des problèmes surviennent lorsque nous laissons les autres nous maîtriser nous ou autrui.

Des problèmes surviennent lorsque nous laissons les autres nous imposer Dieu à nous ou à autrui.

Quels problèmes se manifestent ? Ils sont nombreux : violence, viols, coercition, asservissement et exécution forcée en dépit du consentement sont les plus flagrants et caractéristiques.

Lorsque la solution sociétale à un problème est la violence, le viol, la coercition, l'asservissement ou l'exécution forcée, c'est là qu'on comprend à quel point cette société est profondément malsaine. Selon David Graeber, « pour qu'ils fassent ce qui est juste, il faut menacer les gens d'un recours à la force, de pénalités financières ou d'emprisonnement (ou de commandements divins). Nous pouvons nous organiser et nous policer nous-mêmes. En fait, c'est le seul moyen d'y parvenir en maintenant respect et dignité. »

Pour maintenir notre respect et notre dignité en évitant ces problèmes, nous devons apprendre à nous auto-gouverner, à nous maîtriser et comprendre l'implication divine dans le cosmos. Analysons les choses...

Aucune gouvernance hormis l'auto-gouvernance

Étant donné que peu d'hommes disposent d'une sagesse suffisante pour se gouverner eux-mêmes, encore moins se trouvent aptes à diriger les autres.

Edward Abbey

Rebelles. Anticonformistes. Dissidents. Les autonomes adoptent des règles en alignement sain avec les lois universelles (valides) mais enfreignent courageusement celles qui ne le sont pas (non valides).

Partant du principe que les humains sont faillibles, imparfaits et prédisposés à commettre des erreurs, surtout en matière de pouvoir, il va sans dire que faire confiance à un système constitué d'humains exerçant un pouvoir sur les autres est absurde. Au pire, un raisonnement circulaire.

Il doit y avoir des freins et contrepoids. En acceptant notre propre faillibilité, nous sommes plus enclins à éprouver de la compassion envers d'autres êtres faillibles. Mais nous sommes également plus à même de reconnaître la faillibilité pour aider à la corriger.

Des individus faillibles contrôlant le pouvoir de systèmes constitués d'autres individus faillibles est la seule manière d’éviter que le pouvoir au sein desdits systèmes faillibles soit dévoyé. Sans parler de tout corrompre.

Il va donc sans dire qu'essayer de nous gouverner nous-même (en dépit de notre faillibilité personnelle) est bien mieux que de se laisser gouverner par autrui (vu que le pouvoir tend à corrompre). L'aptitude à diriger devient alors une chose que nous enseignons aux autres plutôt qu'une chose que nous nous imposons mutuellement.

Gardez bien en tête que « sans dirigeants » ne veut pas dire « sans règles ». Des règles se mettront toujours en place de manière organique sur le plan social par le biais des mécanismes naturels de freins et contrepoids des autonomes. Selon Peter Kropotkin, « l'anarchisme c'est le soutien mutuel, l'aide mutuelle et la défense mutuelle ».

Dans cet avion en train de s'écraser qu'est notre société malade, les autonomes mettent leur masque à oxygène en premier avant d'aider les autres qui ne sont peut-être pas autant en mesure de le faire. Ainsi, ils montrent la voie par le bon exemple.

Sans maître excepté de soi

Elle n'avait pas peur d'être elle-même. Quand tout le monde lui disait « Sois un agneau » Elle montrait les crocs et se transformait en loup.

Autodidactes. Divergents. La maîtrise de soi concentre l'individu sur ce qu'il peut contrôler au lieu d'essayer de contrôler les autres.

Actuellement, la programmation axée sur la peur et les narratifs ciblant les masses dominent le statut quo. La solution est dans la volonté individuelle de s'écarter du troupeau et de cultiver la maîtrise de soi par une reprogrammation basée sur le courage et des narratifs autonomes qui transcendent le statut quo.

La maîtrise de soi rend obsolète la maîtrise d'autrui. Quand tout le monde aura appris à s'auto-corriger directement, il est plus que probable que ce système s'auto-corrige indirectement. Un système d'individus pratiquant la maîtrise de soi finira par contrebalancer un système corrompu de maîtres et esclaves. C'est simplement en s'attachant à construire un nouvel équilibre en dépit de l'ancien déséquilibre que nous amorcerons ce virage sociétal.

La maîtrise de soi consiste précisément à se focaliser sur un nouvel équilibre en dépit de l'ancien déséquilibre. C'est la pleine acceptation que nous ne pouvons (et ne devrions pas) essayer de contrôler autrui, surtout quand nous peinons déjà à nous contrôler nous-mêmes. Au lieu de cela, nous nous attachons à cultiver la maîtrise de soi, l'auto-correction, l'auto-perfectionnement en faisant fi du paradigme maître-esclave qui nous entoure.

Une stratégie ascendante de direction, c'est quand des individus apprennent la maîtrise d'eux-mêmes. Leurs enseignants sont la Nature, la Douleur, la Validité et les autres individus qui sont parvenus à cette maîtrise d'eux-mêmes. Il s'agit d'une maîtrise d'ancrage partant du bas (racines) pour aller vers le haut (couronne). Une philosophie axée sur la santé, le corps et la Terre.

La maîtrise de soi ascendante obéit à la règle d'or et au principe de non agression tout en instillant le courage de désobéir à toute loi/règle/ordre allant à son encontre. La stratégie ascendante de direction relève de la maîtrise de soi en dépit des maîtres autoproclamés.

Dans le grand ordre des choses, nous sommes indissociables du Cosmos. Le concept d'interdépendance naît de cette indissociabilité. Dans la mesure où nous contrôlons notre mental-corps-esprit, l'étape logique suivante sur la voie de la maîtrise de soi est celle du contrôle de l'interdépendance et de l'interconnectivité.

Pour ne pas succomber à la folie émanant du pouvoir établi, nous devons demeurer des individus autonomes en quête de maîtrise d'eux-mêmes plutôt que des personnes auto-insensibles suivant aveuglément une chaîne d'obéissance qui perpétue la corruption du pouvoir en place.

Comme l'a suggéré Albert Camus, « c'est le rôle de ceux qui pensent (les autonomes) de ne pas se ranger du côté des bourreaux ». Et nous devons dépasser cela et nous apprendre les uns les autres à ne pas être des bourreaux.

Aucun dieu hormis la fusion avec tout ce qui est

Faites que je me tienne à l'écart, toujours, de ceux qui pensent détenir les réponses. Faites que je cherche la compagnie, toujours, de ceux qui disent « Regarde ! » et rient d'émerveillement en s'inclinant.

Mary Oliver

Sceptiques. Hérétiques. Non-croyants. Ceux qui permettent à Dieu d'être « tout » (illimité) ont tendance à douter de tout dieu qui prétend être « quelque chose » (limité).

Tout est déjà Dieu. Toute personne ou presque, qu'elle soit religieuse, spirituelle ou profane, s'accordera probablement avec cela.

Le problème est que trop de gens essaient de s'intimider et de se forcer les uns les autres à accepter un Dieu en particulier par la foi aveugle et l'allégeance. Quand ils sont suffisamment nombreux à nourrir des idéaux divergents de ce qu'est Dieu, cela engendre du conflit, de la violence et même des guerres.

La solution est simplement de laisser « Tout » être Dieu. Toute tentative de forcer « Tout » à devenir « Une chose » devrait être raillée, ridiculisée, tournée en dérision mais également tolérée. Les mécanismes de nivellement culturel sont essentiels au maintien d'un équilibre sain de la société. Surtout lorsqu'il est question de Dieu.

« Aucun dieu hormis la fusion avec tout ce qui est » simplifie l'angoisse existentielle. Au lieu de nous opposer, nous rions. Plutôt que d'enfermer Dieu dans une case limitante, nous lui permettons d'être infini. Plutôt que de décréter que Dieu est « il » ou « elle » ou même sans genre, nous lui permettons simplement d'être Tout ; des quarks aux quasars, des gluons aux galaxies, du microcosme au macrocosme, du Big Bang au Big Crunch et tout ce qui se situe entre.

En permettant à Dieu d'être l'interconnectivité de toutes choses, nous risquons moins d'adopter une attitude défensive à propos de ce qu'il devrait être et sommes plus enclins à nous montrer tolérants de ce qu'il pourrait être. Quand quelqu'un dit que Dieu, c'est le Soleil, nous tendons plus à répondre : « Oui, pourquoi pas ? » Lorsqu'un autre dira que Dieu est un monstre en spaghetti volant ou un Zombie juif ou encore un extraterrestre venu d'une planète d'êtres super intelligents, nous serons plus à même de hausser les épaules en disant « Bien sûr. Si Dieu est tout ce qui est, il est aussi ça. Pourquoi pas ? »

Paradoxalement, nous seront probablement plus tolérants envers les autres en ne croyant pas en un dieu en particulier mais en permettant simplement à Dieu d'être tout ce qui est plutôt qu'en croyant à un dieu en particulier et en essayant de forcer tout le monde à penser comme nous. C'est facile. Nous tendrons davantage à agir avec bienveillance et ouverture en envisageant Dieu comme un moyen plutôt qu'en lui accordant un aspect déterminé pour une fin en soi.

Permettre à Dieu d'être Tout nous sort de notre propre ornière en crucifiant l'ego et en ouvrant ainsi la voie à l'âme. Nous passons de l'état de rouage précaire co-dépendant du mécanisme à celui de force confiante indépendante dans un cosmos interdépendant. En clair, nous devenons une force interdépendante de la nature.

Actuellement, il y a trop de « meneurs » types (religieux ou laïques) qui disent aux gens quoi penser. Nous avons désespérément besoin de davantage de meneurs radicaux (autonomes, dans la maîtrise de soi, des forces interdépendantes de la nature) qui enseignent aux autres comment penser... par eux-mêmes.

Texte original de GARY Z. MCGEE traduit de l'anglais par EY@EL
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Purple Mousse

Histoire de relâcher un peu la pression, je vous propose aujourd'hui ce raffraîchissant dessert de saison issu de mes expérimentations culinaires. Une recette 100% végane, sans gluten et sans sucre, qui a le mérite d'être archi simple et ultra rapide à préparer.

Cette mousse, qui n'en est pas vraiment une au sens propre (il fallait bien lui donner un nom), doit son goût acidulé légèrement fruité et sa belle couleur pourpre à la poudre d'hibiscus, une épice riche en antioxydants, vitamines A et C et acide gras essentiels. L'onctuosité est apportée par la purée de coco (à base de chair de coco déshydratée) et la consistance gélatineuse par les mucilages du psyllium.

Que de superaliments pour conjuguer santé avec plaisir des papilles.

Ingrédients

Pour 3 ramequins :

- 220 ml lait de noisette ou d'amande
- 2 cuil. à café purée de coco
- 1/2 cuil. à soupe psyllium
- 2 cuil. à café poudre d'hibiscus
- 10 gouttes huile essentielle citron vert
- coco râpé (facultatif)

Réalisation

Faire chauffer le lait avec tous les ingrédients (sauf l'huile essentielle et le coco râpé) en fouettant bien pour éviter les grumeaux jusqu'à épaississement. Attention : une fois que le mélange prend, il va continuer à épaissir pendant la phase de refroidissement donc ne pas attendre que la consistance soit trop épaisse.

Retirer du feu et ajouter l'huile essentielle. Bien mélanger et répartir dans les ramequins.

Une fois bien refroidis, saupoudrer de coco râpé et conserver au réfrigérateur.

NOTE : En cas de préparation au dernier moment (ou pour davantage de fraîcheur), vous pouvez placer les ramequins une quinzaine de minutes au congélateur pour que les desserts soient bien frais. Vous pouvez bien sûr utiliser de l'huile essentielle de citron ordinaire mais je vous déconseille d'utiliser un autre arôme car cela risque de dénaturer le goût. Traditionnellement, dans les infusions, menthe et gingembre sont souvent utilisés avec l'hibiscus mais dans le cadre de cette recette, il vaudrait mieux ne pas excéder une goutte de l'une ou l'autre car ces essences sont beaucoup plus puissantes que celles d'agrumes.

Bonne dégustation !

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L'homme blanc à l'origine de Black Lives Matter

Vous dites que vous voulez une révolution,
Ouais, on veut tous changer le monde.
Vous dites que c'est l'évolution,
Ouais, on veut tous changer le monde.
Mais quand vous parlez de destruction,
Ne comptez pas sur moi.

"Revolution", The Beatles (1968)

En guise d'introduction, je reprendrai cette citation d'un certain Ed sur Twitter qui disait : « Pour information, je ne suis ni de "droite" ni de "gauche" et je ne suis à aucune extrême de l'une ou de l'autre. Si vous raisonnez toujours en termes de gauche et droite ou de noir et blanc, vous vous faites le jouet de ceux qui cherchent à diviser l'humanité. Nous ne faisons qu'Un ».

Alors ceux qui ne comprennent toujours pas que l'évolution n'est pas inverser les polarités (renverser les rôles entre oppresseurs et oppressés) sont des hypocrites bien-pensants qui derrière leur façade de pisse & love, suintent la haine par tous les pores. Des bobos intellos qui n'ont rien compris à leurs classiques dystopiques et qui confondent être Un avec destruction de l'individu. La pensée unique mène à la déconnexion absolue de l'âme et du cosmos pour se mettre au service des ennemis de la vie. Ce n'est pas l'évolution mais la régression. Être Un, c'est reconnaître que chaque être est une expression unique de l'Un et que c'est ainsi que nous sommes tous Un dans toute la richesse de la diversité.

Le discernement vibratoire, c'est pourtant très simple : si ça ne vibre pas l'amour, ça ne peut être que délétère à l'humanité. Et il y a un monde de dissonance cognitive entre parler d'amour et le vibrer. Avec la montée vibratoire de Gaïa, ceux qui resteront calés sur ces fréquences de division et de désalignement ne pourront survivre au basculement vers une nouvelle réalité. Alors il est peut-être encore temps pour ces personnes  d'entamer un travail sur elles pour changer. Toutes les clefs se trouvent à l'intérieur. Jamais à l'extérieur ni dans les livres. Écoutez la voix de votre cœur, pas celle de votre ego. Ensemble nous pourrons transformer ce monde sans le mettre à feu et à sang.

Ey@el

Selon le YouTuber Mr Reagan, « les gens pensent que Black Lives Matter est une organisation populaire issue de la communauté noire mais ce n'est pas du tout le cas » et dans cette vidéo (en anglais), il explore en profondeur ce mouvement qu'il qualifie d'« organisation raciste dont l'objectif déclaré est de détruire la civilisation occidentale qu'ils considèrent "impérialiste" ».

« Ils sont anti-Américains, anti-famille, anti-hétérosexuels, anti-chrétiens, sexistes envers les hommes et racistes envers les blancs. Ils ne sont que haine à 100%. En d'autres termes, ils veulent "ébranler la conception occidentale du noyau familial". »

Black Lives Matter a soi-disant été fondé par trois femmes d'origine africaine, Alicia Garza, Opal Tometi et Patrisse Cullors. Cullors a été formée pendant de nombreuses années par le Labor/Community Strategy Center (centre de stratégie communautaire pour l'emploi), créé par Eric Mann, ancien membre du Weather Underground qui l'avait baptisé « centre pour révolutionnaires ».

Le mentor de Cullors, Eric Mann, serait le grand-père du mouvement de justice sociale et aurait appartenu au Weather Underground, un groupe terroriste national violent qui a fait exploser des bombes dans plusieurs bâtiment fédéraux dans les années 70 y compris le Capitole et le Pentagone.

À la tête du Weather Underground, on trouvait Bill Ayers qui connut un regain de notoriété pendant l'élection présidentielle de 2008 où on apprit que son chemin avait croisé celui de Barack Obama par les fondations Anneberg et the Woods pour le déclenchement de l'ascension fulgurante de ce dernier. Comme évoqué dernièrement, depuis plus d'un siècles, les oligarques américains financent activement la subversion communiste.

À bien des égards, Black Lives Matter est une résurrection du Weather Underground. C'est de ces derniers qu'ils tirent leurs pratiques d'infliger le plus de dégâts matériels possible et leur extrême racisme anti-blancs. Mr Reagan raconte que « selon Wikipédia, le Weather Underground a adopté la croyance que tous les bébés blancs sont entachés du péché originel de privilège lié à la couleur de leur peau, déclarant que tous les bébés blancs sont des "porcs" ».

Eric Mann était donc le mentor de Patrisse Cullors, fondatrice des Black Lives Matter dont la philosophie de base et les tactiques sont les mêmes que celles du Weather Underground. Mr Reagan vous demande de « garder à l'esprit que Bill Ayers, Bernadine Dohrn et plusieurs autres membres du Weather Underground ont fini par enseigner à l'université...»

« Les marxistes ont cette théorie du Long Parcours vers les Universités où l'idée est que, si les concepts marxistes peuvent être enseignés à plusieurs générations d'étudiants, une bascule culturelle finira par se produire vers le marxisme — et cela a porté ses fruits comme on peut le constater. Ironiquement, c'est peut-être Eric Mann qui a eu le plus grand impact en ayant inspiré le mouvement Black Lives Matter à Patrisse Khan Cullors. »

L'organisme dans lequel Cullors a rencontré Eric Mann est le Labor/Community Stategic Center qui se décrit lui-même comme une « expérience urbaine d'organisation populaire focalisée sur les les communautés noires et hispaniques avec des liens historiques profonds avec la résistance anticolonialiste, anti-impérialiste et pro-communiste à l'empire américain... »

En d'autres termes, comme l'explique Mr Reagan, « ils sont contre ce pays. C'est leur position. Ils sont contre l'Amérique... »

« Black Lives Matter semblent n'être rien de plus que le prolongement d'une ancienne organisation terroriste, le Weather Underground... Ils ont l'air d'avoir les mêmes motivations, la même philosophie et les mêmes objectifs. Ces deux groupes semblent croire que les États-Unis sont l'incarnation du Mal, que la police est l'ennemi et que le pays doit être détruit afin qu'un nouvel état marxiste émerge de ses cendres. »

« Black Lives Matter ne se soucient pas de la vie des noirs. Ils ne sont intéressés que par la destruction du pays. Et ils exploitent le peuple noir à cette fin. »

Texte original de ALEXANDRA BRUCE traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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La Loi du Retour

Quand je touche le fond, je repars vers le sommet,
Je m'arrête, j'amorce le virage puis j'entame la descente
Jusqu'à ce que je retouche le fond et que je te voie à nouveau...

Helter Skelter", The Beatles (1968)

Selon les Égyptiens, le huit serait le nombre de l'équilibre et de l'ordre cosmique. Dans sa symbolique la plus pure, il est à l'image même de la dualité et représente l'alliance de deux états : en dessous comme au dessus et au-dessus comme en dessous. Il correspond à la lettre hébraïque Heith associée à la Loi du Retour.

La Loi du Retour ne fonctionne pas en mode réciprocité parfaite dans le sens où les retours ne se font pas forcément dans l'immédiat, en même lieu ou par ceux à qui vous avez donné, mais sous des formes subtiles et au moment le plus opportun — le temps n'existant que dans les structures de la matrice de dualité dans laquelle nous sommes encore englués et qui est en train de s’effriter à vitesse vertigineuse. Le niveau de conscience 3D.

« La 3D dans laquelle nous vivons depuis pas mal de temps est en fait le monde de la dualité, avec tout ce que cela implique : la séparation. C’est le monde dominant du « moi je », de l’ego, de la personnalité, du mental, de l’émotionnel, de la survie. Tout est basé sur la différenciation entre moi et les autres à tous les niveaux : physique, sexe, âge, race, caractère, famille, social, travail, richesse, pouvoir…Tout nous fait croire qu’il n’y a aucun lien entre moi et les autres, et que c’est chacun pour soi. Évidemment, la confrontation entre moi et les autres (par les chakras inférieurs) qui me sont complètement séparés, différents, donc incontrôlables, crée sans cesse des peurs, heurts, disputes et autres problèmes. C’est une lutte permanente pour maintenir la tête hors de l’eau en s’appuyant sur celle des autres. » (Source)

Pourquoi, je vous parle du nombre huit et de la Loi du Retour ? Parce qu'aujourd'hui, la Pensine fête ses huit ans d'existence. Le Grand Huit !

Huit années de montagnes russes ponctuées de hauts, de bas, d'accélérations, de décélérations, de pauses, de chutes vertigineuses et de remontées spectaculaires aussi bien dans le nombre de visites, les commentaires, les contenus que dans ma motivation à continuer ces partages extrêmement chronophages sans jamais rien demander ni attendre en retour. Mais j'y trouve toujours mon compte car c'est ce que j'aime faire.

Alors tout simplement merci d'être encore là — à tous ceux qui me suivent depuis le début dans l'ombre et à tous les nouveaux venus qui découvrent et me laissent des mots gentils. C'est toujours un plaisir de lire vos retours et de savoir que mes publications vous ont apporté un petit quelque chose.

Alors encore une fois, chers lecteurs : merci, merci, merci !

Merci du fond du cœur.

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Le Vaccinateur des Lilas

Je suis le vaccinateur des Lilas
Que tu vas voir pour ton AstraZeneca.
Ou bien si ce n'est pas obligatoire,
Ce serait barbare
Mais si tu ne te vaccines pas
Tu ne seras bon qu'à rester chez toi.

Pourtant, on nous avait dit :
« On ne mange pas de ce pain-là dans notre pays ».
Mais n'allez pas croire qu'on se paye notre tête
Sur cette planète,
Et ne me parlez pas d'effets secondaires
Ou je vous remets une dose de Pfizer !

Je fais des trous, des petits trous,
Encore des petits trous.
Dans les bras, je fais des trous,
Des petits trous, toujours des petits trous.
Des trous pour un passe,
Pour un verre en terrasse.

Je fais des trous, des petits trous,
Encore des petits trous.
Des petits trous, toujours des petits trous.
Des petits trous, des petits trous, des petits trous...

Je suis le vaccinateur des Lilas,
Viens me voir si tu veux retourner au cinéma.
Je fais des shoots toute la journée,
Drôles de camés.
Et si tu joues les gros bras,
Je vais t'en coller du Moderna !

Pour que tu puisses partir en voyage
Et prendre des bains de foule sur la plage.
Et si tu passes à l'hôpital,
Drôle de scandale,
Mais ne va pas dire qu'on te fait du chantage,
C'est la piquouse ou le chômage.

Je fais des trous, des petits trous,
Encore des petits trous.
Des petits trous, toujours des petits trous.
Un trou pour un code,
Il n'y aurait pas d'autre méthode.

Alors viens te faire un trou, un joli petit trou.
Je fais des trous, des petits trous,
Encore des petits trous.
Des petits trous, des petits trous, des petits trous...

Je suis le vaccinateur des Lilas,
Vous préférez le bras gauche ou bien le bras droit ?
J'attends avec impatience
De prendre des vacances
Mais pour partir aux Caraïbes,
Il y a une de ces queues sur Doctolib.

Mais avec tout mon fric, je t'assure
Qu'un jour je m'évaderai dans la nature.
Quand j'en aurai marre, quand j'en aurai ma claque
De cette arnaque,
Je pourrai jouer les filles de l'air,
Je laisserai ma blouse au vestiaire.

Mais pour l'instant, je fais des trous,
Toujours des petits trous.
Des petits trous, toujours des petits trous.
Allez fais pas le dingue
Si tu veux faire la bringue.

Allez juste un trou, un joli petit trou.
Un petit trou, un petit trou,
Pour sortir de ton trou.

Après ce trou, ce sera tout.
Promis, tu n'entendras plus parler de trous !
Enfin ce trou, le deuxième trou
Et puis peut-être un troisième trou
Tous les six mois, un petit trou
Un petit trou, un petit trou, un petit trou...

Texte original de MARIE RENO

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