Ils vivent parmi nous : anatomie d'une secte

Malgré la prépondérance de preuves démontrant que le Covid est un non-événement pour la plupart d'entre nous, plus d'un million de personnes ont subi des préjudices vaccinaux. Cela devrait suffire à en stopper la plupart dans leur élan. Mais ce n'est pas le cas. Beaucoup ressortent d'une expérience de mort imminente plus pontifiants que jamais, nous montrant du doigt pour ne pas prendre part à ce jeu de roulette russe mortel. En reportant leur indignation bien-pensante sur nous, c'est celle des autres qu'ils alimentent. Une boucle perpétuelle de blâme et de honte.

Il n'y a pas moyen d'éviter ces gens. Cette espèce d'armée du masque provisoire. Ceux qui agissent en conscience au profit des super-propagateurs de vertu morale de surenchère.

Ils croiront tout ce qu'ils entendent et feront tout ce qu'on leur dit.

Ils ont été formatés par quelque chose de bien plus puissant que la vérité, appelé « la Science », qu'ils suivront jusqu'au bord du précipice.

Mais ce n'est pas tout. Si malgré vos efforts, vous avez le malheur de décéder dans les deux semaines suivant votre inoculation, le CDC1 risque de vous classer parmi les « non vaccinés », les commentateurs dire que vous êtes « mort subitement des suites d'une maladie de courte durée », et les membres de votre famille trouver du réconfort dans le fait que « les choses auraient pu être pire ».

Le lessivage du tissu moral

Ce merdier sans nom fonctionne parce que le tissu moral a été balayé par une nouvelle idéologie.

À moins de subir une intervention médicale expérimentale de tous les dangers, vous dansez sur les tombes de tous ceux qui sont morts. Les charger de culpabilité enlève tout pouvoir aux gens et l'obéissance aveugle à l'autorité fait le reste, comme l'a découvert Milgram2 dans son expérience historique.

Mais le fait que l'humanité entretienne une relation abusive avec ses gouvernements ne constitue qu'une partie du problème. Les sectes infiltrant la bonne société ne datent pas d'hier. Le culte de la personnalité de Lénine et plus tard de Staline captivèrent jadis une nation tout entière. Pourtant, jamais dans l'histoire le monde entier n'avait succombé à une secte.

Là où la Nouvelle Norme se distingue des autres archétypes cultistes est dans les instruments de communication de masse aux mains de quelques fanatiques qui ont infiltré les communes3 et créé une apothéose autour du Covid-19, dans une apologie d'une ampleur divine chrétienne. On sait depuis longtemps que si l'on répète un mensonge suffisamment longtemps, il devient consensuel.

Ce qui revêt également une grande importance pour ces grands prêtres sont les décennies d'études comportementales réalisées par les plus éminents spécialistes de la psychologie sociale. Certes, tout le monde dans l'expérience de Asch4 ne s'est pas conformé, mais les raisons pour lesquelles beaucoup se sont solidarisés avec le groupe sont bien comprises par les spécialistes du comportement, à la solde des gouvernements mondiaux, qui encouragent les gens à la ruine existentielle.

Et une grande partie de ce qui se passe aujourd'hui au sein de la Nouvelle Norme est fortement empreinte des leçons du Troisième Reich. Si vous n'êtes toujours pas conscient de vous faire endoctriner par une secte, c'est sans doute parce que vous l'êtes déjà.

La fin est proche

Les sectes s'établissent dans le contexte d'événements importants, généralement de nature apocalyptique. Ces prophéties bibliques, extraterrestres ou virales parlent d'un désastre imminent et de rédemption. Un cadre explosif oblige les gens à se rassembler sous la protection du communautarisme et encourage ses membres les plus zélés à dénoncer, ridiculiser et intimider quiconque n'agit pas en accord avec le groupe. La désindividualisation, comme on sait, transforme ces groupes inoffensifs en foules psychologiques pour finir, très souvent, en voyoucratie.

Notre besoin de trouver refuge au sein du troupeau est encodé dans nos gènes tout comme la peur de l'exclusion sociale et le désir de coopérer sont des traits évolutifs hérités, expliquant pourquoi le Covid a commencé avec l'isolation sociale. Et pourquoi, après avoir cédé à toutes les exigences, nous continuons d'être pris en otage par la menace d'un isolement social accru. Malgré l'abus de pouvoir manifeste, les gens restent redevables à leurs ravisseurs par un lien émotionnel étrange, renforcé chaque fois qu'on les libère, bien que temporairement, de leur captivité.

Les hiérarchies

On peut identifier les sectes à leur structure organisationnelle. Comme dans l'expérience de la prison de Zimbardo5 à Stanford, chacun se voit attribuer un rôle et beaucoup surpassent leurs obligations. Le problème n'est pas tant que « nous sommes tous embarqués dans la même galère ». Ce n'est simplement pas le cas. C'est plutôt la noblesse de la secte qui règne sur nous. Toutefois, dans cet état d'urgence renforcé, les gens vont non seulement accepter davantage d'autorité de la part de ceux qui sont au-dessus des lois mais vont également émuler l'ordre autoritariste existant plutôt qu'en devenir la victime. Comme l'a découvert Hannah Arendt dans sa thèse historique6, les individus ordinaires en quête de but et d'orientation, qui se contentent de suivre consciencieusement les ordres, sont susceptibles de commettre les actes de barbarie les plus atroces.

Durant le Covid, ces agents bénévoles spontanés au sein des populations ont fait plus pour propager l'endoctrination que n'importe quel bureaucrate. Nous croulons sous les justiciers anti-Covid moralement supérieurs qui condamnent quiconque pour la moindre suggestion que la Terre pourrait bien, en fait, tourner autour du soleil. La pensée unique qui en découle (« si vous n'êtes pas avec nous, vous êtes contre nous ») ne fait pas juste qu'isoler les nouveaux initiés de toute influence extérieure mais leur retire aussi le droit de penser et d'agir par eux-mêmes en admonestant quiconque suffisamment courageux pour remettre en question le Rédempteur Tout Puissant. Au final, le désir des individus de faire l'unanimité avec le groupe supplante leur motivation à prendre des décisions rationnelles et intuitives.

Les bourreaux de la Nouvelle Norme

Les habituels mensonges, marches arrière et science qui ne résiste pas à la moindre investigation n'ont rien d'arbitraire. Les gens comprennent qu'ils se font manipuler mais refusent d'agir sur la base d'informations cruciales et s'habituent, au contraire, à l'âge d'or des faux narratifs. Les encourager à agir de manière contre-intuitive finira par les pousser à renoncer à toute action individuelle parce que ce barrage violent à la pensée critique, qu'on appelle le consensus, affirme le contraire de ce que vous avez sous les yeux.

D'un côté, Boris Johnson nous implore de nous faire vacciner en vertu du bénéfice-risque. De l'autre, il admet que « le vaccin n'empêche pas de contracter ni de transmettre le Covid ». Entre-temps, son co-conspirateur fait du chantage à Noël si les gens refusent une troisième injection et menace ceux qui constituaient auparavant le seul groupe à risque que ce fiasco intégral était censé protéger. Lorsque les lèvres bougent, se préparent à mentir, tout conflit avec des événements du monde réel est purement fortuit.

Anatomie d'une secte

Les sectes sont illusoires par nature. Une aberration battant faux pavillon d'un état normal des choses. Cela est rendu possible en incorporant les rituels cultistes au train-train quotidien et en convertissant les anciennes assises culturelles en de nouvelles frontières idéologiques jusqu'à ce que l'on ne puisse plus les distinguer les unes des autres. Les signes révélateurs que vous avez accidentellement rejoint une secte sont nombreux, des saluts du coude aux muselières, du gel hydroalcoolique à la règle des deux mètres.

Il existe, après tout, une longue tradition de manipulation des superstitions des gens pour les conduire à des actes irrationnels, si l'on peut au préalable les démoraliser en les poussant au désespoir. Dans de telles conditions, il arrive qu'ils commettent des suicides collectifs rituels, s'éviscèrent voire assassinent leur propres enfants.

Les choses ne sont pas si différentes aujourd'hui. Les gens se retiennent eux-mêmes prisonniers dans leur propre maison. Ils risquent la vie de leur propres enfants pour protéger ceux qui sont déjà sur leur lit de mort. Ils font cela pour une maladie qui a eu zéro impact sur la mortalité globale en 2021. D'aucuns ont été infantilisés par leur gouvernement, d'autres rassurés par Toccata7, et puis il y a ceux qui ont vendu leur âme à la Chambre mal famée. Dire que c'est un monde complètement absurde8 est bien loin du compte.

Les autres sectes que vous avez peut-être rejointes

Contre ce délire de persécution sanitaire, d'autres idéologies étranges viennent s'attaquer au tissu social. L'appartenance à la société dépend de votre éventail de pronoms. La nouvelle étiquette culturelle est le wokisme9. Votre affinité avec ceux qui ont permuté leur identité sexuelle détermine votre statut social tandis que la révulsion que cela vous inspire vous fait prendre pour cible.

Des théories sociales surnaturelles dissocient la maternité de l'accouchement, sexualisent les enfants, et encouragent les tout-petits à échanger leur genre. Il s'agit fondamentalement d'une attaque flagrante contre l'humanité, la nature et les organismes carbonés.

Il suffit d'observer le culte de la personnalité auquel sont confrontées les générations futures par l'encensement de Greta pour entrevoir comment le changement climatique va évoluer en un ordre religieux avec Greta dans le rôle du pontife suprême.

L'issue de tout ceci est la réquisition spirituelle de l'âme humaine et l'heure du bilan pour l'humanité 1.0.

Mais alors que le cirque s'embrase, il y a ceux qui observent sans participer et qui n'en veulent tout simplement pas. Ces vestiges de la rationalité abandonnée (les négationnistes ou refuzniks) ont fondé leur propre secte. La secte du scepticisme et de la non-conformité.

Selon certaines sources, ces gens risqueraient davantage de vivre plus longtemps et en bonne santé alors gare à la populace qui s'agite. Il y a des appels aux sanctions immédiates. Après vingt mois de dénonciations, l'hostilité publique est à son comble. À en juger par le traitement barbare pré-Auschwitz d'un autre groupe social déshumanisé, ce pourrait n'être qu'une question de temps avant que les négationnistes soient internés de force dans des camps, ou pire, alignés devant un peloton d'exécution.

D'autre part, la secte a dévoilé ses aspects plus sombres, des milliers de voix légitimes émanant de la science et de la médecine s'érigent en opposition et même les double-vaccinés commencent à se rendre compte que leurs libertés sont également en péril. Un grand sage a dit10 : « D'abord, ils vous ignorent, ensuite ils se moquent de vous, puis ils vous attaquent, et là vous gagnez ».

Notes et références

  1. ^ Centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis.
  2. ^ L'expérience de Milgram fut menée à la suite du procès du Nazi Adolf Eichmann à Nuremberg qui, pour sa défense, déclara « Befehl ist befehl », à savoir qu'« un ordre est un ordre ». Cette étude démontra clairement qu'un individu serait prêt à agir à l'encontre de son propre jugement et dans des mesures extrêmes de faire du mal à autrui juste parce qu'on leur demande de le faire.
  3. ^ La Chambre des communes ou les Communes est l'assemblée des représentants élus au suffrage universel en Grande-Bretagne.
  4. ^ La célèbre expérience de Asch était destinée à tester comment la pression des pairs à se conformer pouvait influencer le jugement et l'individualité d'un sujet dans une expérience. (Source)
  5. ^ L’expérience de Zimbardo (ou aussi appelée l’expérience de la prison de Zimbardo ou effet Lucifer) a été menée en 1971 à l’université de Stanford avec des sujets ayant le rôle de prisonniers et d’autres le rôle de gardiens de prison. L’expérience devait initialement durer deux semaines, mais elle dû être interrompue au bout de six jours en raison de dérives et du traitement affligeant et dégradant infligée aux faux détenus. Un tiers des gardiens avait un comportement sadique qui s’exprimait. (Source)
  6. ^ Universitaire de renom aux États-Unis, solidaire des victimes du totalitarisme dont elle a analysé les conditions d’émergence, Hannah Arendt a mené une réflexion originale et essentielle, qui a fait surgir la notion de crise de la culture allant de pair avec la perte du sens de la tradition. (Source)
  7. ^ Toccata est un gros oiseau jaune apparaissant dans l'émission pour enfants 1, rue Sésame. Il a été utilisé pour promouvoir la vaccination auprès des plus jeunes au Royaume-Uni.
  8. ^ En référence au tube des années 80 du groupe anglais Tears For Fears, "Mad World".
  9. ^ Contrairement à ce que prétend Wikipédia, l'encyclopédie en ligne biaisée et non libre, le terme anglo-américain woke ne signifie pas pas « éveillé » mais désigne les courants manipulés pour détruire la société tout en prétendant défendre les droits des groupes minoritaires. « Ces courants regroupent le mouvement Black Lives Matter et des formes connexes d'antiracisme, les marches pour le climat ainsi que des campagnes sur les questions relatives à la condition féminine (comme le mouvement #MeToo) et aux droits LGBT ». Il n'existe actuellement aucun terme équivalent en français. Pourquoi pas le « malveillisme » et les « malveillés » ?
  10. ^ Il s'agit de Mahatma Ghandi.

Texte original de DUSTIN BROADBERY traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Glorifiez-vous

Take A Bow

CORROMPUS
Vous êtes corrompus
Et corrompez
Tout ce que vous touchez

ATTENDEZ
Vous allez voir
Et devoir répondre
De tout ce que vous aurez fait

SORT
Jetez un sort
Et ensorcelez
Le pays que vous dirigez

RISQUEZ
Vous allez risquer
Et mettre en péril
Leurs vies et leurs âmes

Et
BRÛLEZ
Vous allez brûler
Vous allez brûler en enfer
Ouais, vous allez brûler en enfer
Vous allez brûler en enfer
Ouais, vous allez brûler en enfer
Pour vos péchés

Et notre liberté se consume
Nous sommes devenus
L'opposé de ce que nous voulions
Glorifiez-vous

MORT
Vous apportez mort
Et destruction
À tout ce que vous touchez

PAYEZ
Vous devez payer
Vous devez payer
Pour vos crimes envers la planète

MALÉDICTION
Nourrissez la malédiction
Nourrissez la malédiction
Sur le pays que vous aimez

PRIEZ
Vous allez prier
Vous allez prier
Pour leurs vies et leurs âmes

Et
BRÛLEZ
Vous allez brûler
Vous allez brûler en enfer
Ouais, vous allez brûler en enfer
Vous allez brûler en enfer
Ouais, vous allez brûler en enfer
Pour vos péchés

Texte original de MATT BELLAMY traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Les princesses contre-attaquent

Il y a ce documentaire terrifiant qui est sorti et s'appelle Slave Princess (version sous-titrée en français). C'est l'histoire de Britney Spears et en fait, concrètement, on y apprend comment fonctionne l'industrie musicale aux États-Unis.

Il existe une mafia. Vous avez soit un enfant talentueux, soit un artiste qui émerge. Il émerge, il fait une chanson qui marche, etc. et quand ce n'est pas un artiste qui est directement promu par les institutions qui sont contrôlées par toujours les mêmes, il y a une sorte de groupe de gangsters (des gangsters « chics ») qui se rapprochent de l'entourage de l'artiste — dans le cas de Britney Spears, ces personnes sont venues discuter avec la mère, le père et les frères et sœurs. Ils viennent comme ça et essaient de s'infiltrer dans la famille et de voir quel membre est le moins scrupuleux de tous.

Et du coup, une fois qu'ils l'ont trouvé, ils essaient de négocier un deal en disant : « Nous, on va faire en sorte à ce que l'artiste perde le droit de gérer sa fortune et ce droit-là, on va te le donner et toi, en échange, tu vas partager avec nous les bénéfices ». On appelle ça le droit de gérance. C'est comme ça qu'ils ont fait avec Britney Spears : ce groupe est allé voir sa famille, ils se sont approchés du père et aussi de la sœur et leur ont dit : « Nous, on faire croire au public que Britney Spears est tarée. De ce fait, on va lui enlever le droit de gérer sa fortune et vous allez prendre ce droit, mais par contre, nous, on veut de l'argent si on fait ça — on ne fait pas ça gratuitement pour vous ».

Alors que font ces gens ensuite ?

Ils utilisent les médias (qui sont vraiment là pour manipuler l'opinion publique autant que dans tout le reste) pour dire « Ah, regardez Britney Spears, elle s'est rasé la tête, elle a fait çi, elle a fait ça... ». Parfois, ils vont jusqu'à les droguer et les filmer drogués pour détruire l'image de la personne pour la reconstruire ensuite selon leur volonté. Et donc maintenant, repensez à tous les scandales qui se sont produits avec les artistes de renommée qui deviennent soit drogués ou vont dans des centres de désintoxication, chez les Alcooliques Anonymes, etc. Et en fait, le truc dans toutes ces histoires, c'est que si les artistes refusent cette chose-là et se mettent à vouloir parler, ils disparaissent.

Et là, je vous invite à penser à Amy Winehouse, par exemple. Elle a été genre « c'est une alcoolique et c'est comme çi et c'est comme ça » et c'est son père qui avait le droit de gérance et tous les médias disaient que son père était un mec cool, qu'il voulait son bien et tout. Hum... Pareil pour Britney Spears. Ils disaient que son père était un mec cool, qu'il voulait la sauver des méchants, etc., or c'était lui qui était en train de mettre tout l'argent que Britney gagnait dans ses propres poches. Est-ce que vous comprenez le deal ? Maintenant, pensez Christina Aguilera, la même chose. Lindsay Lohan...

Le documentaire commence avec Britney Spears puis parle de ce réseau mafieux qui s'est mis à l'entourer. Les fans de Britney Spears ont créé le mouvement Libérez Britney. Et devinez quoi ? Ce sont les fans eux-mêmes qui creusé, creusé, creusé et qui ont trouvé toutes ces choses-là et qui les ont rendues publiques. Ce groupe mafieux a essayé de faire tomber le mouvement parce qu'il était en train de révéler ces gangsters à la lumière du jour et ont utilisé les médias pour dire que les Libérez Britney étaient « des complotistes avec trop de temps pour eux ». Comme toujours, les médias servent à attaquer tous ceux qui ne sont pas d'accord avec un certain narratif qui va dans le sens des intérêts d'un petit groupe de personnes. C'est dingue toutes les similitudes de l'industrie de la musique avec tout ce qui se passe dans le reste du monde.

Donc il y a ce groupe de personnes qui entourent les parents de Britney Spears, la font passer pour une folle, prennent le contrôle de sa vie et ensuite le documentaire se focalise sur ce groupe de gangsters qui a fait ça avec plein de gens. Des tas de gens. Et à partir de là, il parle de Disney.

Disney qui est vraiment la maison des pédophiles. Et il vous donne plein d'exemples de personnes qui ont fait des films avec des enfants alors qu'elles étaient accusées de pédophilie. Non seulement, elles n'ont pas perdu leur travail mais on leur a dit « Non, non, faites plus de film, pas de soucis ». Et là, on apprend qu'il y a plusieurs enfants qui sont sortis pour dire : « Moi, on m'a touché de mes quatre ans jusqu'à mes douze ans ». C'était n'importe quoi. Des personnes traumatisées qui n'avaient pas le droit d'en parler, qui avaient peur et tout ça, parce que que c'était des enfants. Et en fait, tous ceux qui se présentent comme des gentils à Disney — « Ah regardez-moi, je suis gentil, tralala, faites-moi confiance avec votre enfant » — , ce sont de pervers d'un niveau terrifiant.

Et donc, on vous montre que Disney aussi est connecté avec... Epstein ! Hein ? Comment on a commencé à parler de Britney Spears et qu'est-ce qu'on a à faire chez Epstein ? Et c'est là où l'on apprend qu'en fait, le réseau d'Epstein prenait parfois certains de ces enfants ou de ces jeunes-là pour les trafiquer. Et que ces artistes étaient obligés d'aller se prostituer afin de pouvoir maintenir leur position de superstar. Ils se faisaient aussi droguer s'ils ne voulaient pas. C'est ça que veut dire « vendre son âme au diable ». Ils subissaient des choses qui allaient complètement à l'encontre de ce que les gens pouvaient imaginer.

Pour récapituler, on commence avec Britney, les gangsters qui l'entourent et qui sont connectés à Disney ; Disney qui est un centre de pédophiles et qui a un réseau de trafic d'enfants. Et en plus de cela, l'industrie musicale est, en fait, juste une façade pour un réseau de prostitution international de luxe. Et pour détourner de l'argent aussi car quand Britney est prostituée à quelqu'un (ce qui est déjà arrivé), ce n'est pas elle qui gagne l'argent, c'est son père.

Dans le documentaire, on parle de centaines de millions de dollars qui sont détournés du compte de ces artistes-là pour aller dans la poche de cette Lou Taylor.

Juste une chose que je voudrais souligner, c'est que de manière totalement par hasard, Liz Crokin, la journaliste de ce documentaire est aussi une de celles qui a perdu pas mal de plumes d'ailleurs en dénonçant le Pizza Gate. Le second point, c'est qu'en ce moment, l'affaire Ghislaine Maxwell est passée au stade où ils sont en train de sélectionner ses jurés, c'est-à-dire qu'on avance petit à petit dans son procès et qu'il est de notoriété publique que Ghislaine Maxwell sait piloter des sous-marins et il y aurait des histoires pas claires où des enfants auraient été pris de certains centres Disney pour être amenés sur la Pedo Island de ce dégénéré d'Epstein et que tout ça sort ces derniers jours. C'est intéressant.

Quelqu'un dans le tchat demande « Pensez-vous que la "malédiction des vingt-sept ans" soit due à ce réseau : Kurt Cobain, Jimi Hendrix, etc. ? »

Oui, je pense qu'il y a un lien et que ces individus sont ni plus ni moins sacrifiés en fait. C'est mon avis personnel. J'ai des raisons de croire que derrière tout ça, c'est un mouvement qui est carrément satanique. Pourquoi je dis ça ? Allez voir du côté de la famille de Mariah Carey. Allez voir dans la famille d'un certain journaliste où il y a des photos quand il était enfant avec des statues bizarres derrière... Il y a énormément de symbolisme satanique dans cette sphère-là.

On peut quand même mentionner l'affaire NXIVM qui est complètement avérée où il y a eu des trafics de personnes, des trafics sexuels et le gourou de la secte a pris 120 ans de prison. On peut aussi mentionner l'arrestation de Jeffrey Epstein. Pas besoin d'aller beaucoup dans l'hypothétique pour se dire que oui, il y a quelque chose. Sinon pourquoi personne n'en parle à part Karl Zéro ? Et pourquoi à chaque fois que quelqu'un en parle, on lui tombe dessus comme si c'était un dégénéré, un débile et qu'il fallait absolument qu'il se taise ?

Out of the Shadows (Sortir de l'ombre) était un documentaire qui disait plus ou moins la même chose mais au sujet de l'industrie du cinéma. Le pire, c'est que ce sont les mêmes qu'on retrouve derrière car même là, on parle de Harvey Weinstein et de Jeffrey Epstein comme dans Out of Shadows. Ce qui veut dire qu'il y a vraiment un réseau qui est à la tête et tous ceux qui reçoivent une sorte d'autorité de la part du public (c'est-à-dire qui ont un grand fan-club etc.) et qui ont un pouvoir sur l'opinion publique doivent impérativement être contrôlés par ceux qui sont tout là-haut. Parce s'ils ne le sont pas, ils deviennent dangereux. C'était le cas de Michael Jackson. Ils lui ont pourri la gueule et ils lui ont fait de la projection, l'ont accusé de pédophilie, etc. Or ce gars-là, non seulement il avait compris ce qui se passait mais il faisait partie des enfants victimes de ce réseau-là. C'est pour ça qu'il était bizarre, étrange : il faisait partie des enfants victimes.

Allez regarder ce documentaire ICI.

Texte original de LES DÉQODEURS transcrit par EY@EL

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Un étrange signal radio répétitif près du centre de la Voie lactée laisse les scientifiques perplexes

Un autre signe tangible que le passage à une vibration plus élevée est proche ? En tout cas, cela rejoint mes ressentis de plus en plus forts et mon vécu qui coïncide parfaitement avec cette canalisation retransmise sur Telegram :

Le mois de septembre sera la porte ouverte sur "le" passage, c'est-à-dire que vous vous préparerez à cette nouvelle civilisation qui s'approche et dans laquelle, et nous l'espérons réellement, vous pourrez vivre.

Ce mois de septembre sera le mois de tous les dangers, de tous les bonheurs.

Au mois de septembre, il y aura encore des vibrations très particulières qui vous pousseront à l'action et au positionnement. Ces vibrations, ces énergies, n'ont pas de « couleur », c'est-à-dire qu'elles ne sont ni bonnes, ni mauvaises, elles ne sont ni Lumière, ni ombre, elles se colorent avec ce que vous êtes.

Ces vibrations toucheront aussi les êtres inférieurs, les êtres coléreux, très violents, etc., elles pourront augmenter encore la violence, et même la nocivité de certains êtres, tout comme elles pourront augmenter d'une façon très importante les potentialités d'Amour, de générosité, de sagesse, de respect, et tout ce qui fait et qui fera l'homme nouveau.

Alors il y aura ceux qui seront touchés par ces vibrations et qui décupleront leurs énergies inférieures, et ceux qui seront touchées par ces vibrations qui décupleront tout ce qui est sacré en eux et leurs vibrations vraiment supérieures.

Concernant la France, surveillez réellement tout ce qui se passe en vous à partir de la semaine prochaine. Vous commencerez déjà à ressentir autre chose. Vous commencerez à vous ressentir un peu différent, et le miracle c'est que vos peurs, s'il y en a encore en vous, seront de plus en plus absorbées par ce que vous devenez, absorbées par les énergies, les ondes extraordinaires qui vous inonderont en permanence.

Selon ce que vous êtes, et nous le répétons « selon ce que vous êtes », vous irez beaucoup plus vite et beaucoup plus haut ou beaucoup plus bas.

Canalisation de Monique Mathieu du 28 août 2021

Arrêtez d'écouter les sirènes qui cherchent à vous conduire au naufrage et écoutez-vous enfin. Nous sommes tous faits d'ombre et de lumière et le seul moyen de faire disparaître nos zones sombres est de les illuminer en exprimant davantage notre lumière.

Ey@el

Des astronomes ont détecté un étrange signal radio répétitif près du centre de la Voie lactée qui ne ressemble à aucune autre signature énergétique jamais étudiée.

Selon un nouvel article validé pour publication dans The Astrophysical Journal (revue d'astrophysique) et posté sur le serveur de préimpression arXiv, cette source d'énergie est extrêmement sophistiquée, sa lumière apparaissant dans le spectre radioélectrique pendant des semaines d'affilée pour disparaître complètement un jour plus tard. Ce comportement ne cadre avec aucun profil de type de corps céleste, notent les chercheurs dans leur étude, et pourrait donc constituer « une nouvelle classe d'objets découverts par radio-imagerie. »

Cette radio-source,  identifiée sous le nom de ASKAP J173608.2−321635, a été détectée par l'ASKAP (réseau de radiotélescopes australien d'un kilomètre carré) situé dans les zones reculées du bush australien. Au cours d'un relevé effectué entre avril 2019 et août 2020, l'étrange signal est apparu 13 fois, ne restant jamais plus longtemps que quelques semaines dans le ciel, rapportent les chercheurs. Cette radio-source est extrêmement variable, apparaissant et disparaissant de manière imprévisible et ne semble figurer dans aucune autre donnée radiotélescopique avant ledit relevé.

Quand les chercheurs essayèrent de comparer cette source d'énergie aux observations d'autre télescopes — dont le Chandra X-Ray et le Swift (télescopes spatiaux à rayons X développés par la NASA) ainsi que le VISTA (télescope à rayonnements visible et infrarouge de l'observatoire européen austral) au Chili qui peut capter les longueurs d'onde du proche infrarouge — le signal disparut entièrement. Sans aucune émission visible dans aucune partie du spectre électromagnétique, ASKAP J173608.2−321635 est un signal fantôme qui défie l'entendement.

Des études préalables ont détecté des étoiles naines qui se rallument périodiquement avec l'énergie radioélectrique, mais généralement ces étoiles incandescentes ont des contreparties ondulatoires, notent les chercheurs. Ce qui rend improbable ici l'hypothèse d'une source stellaire.

Les étoiles mortes comme les pulsars et les magnétars (deux types d'étoiles effondrées ultra denses) sont également à écarter, ajoutent-ils. Même si les pulsars peuvent émettre des faisceaux brillants de lumière radioélectrique visibles depuis la Terre, leur période de rotation est prévisible, leur balayage lumineux passant devant nos télescopes se faisant généralement dans une échelle d'heures et non de semaines. Les explosions des magnétars, quant à elles, comportent toujours une puissante contrepartie de rayonnement X — ce qui n'est là encore pas le cas du ASKAP J173608.2−321635.

Ce qui s'en rapproche le plus serait une mystérieuse classe d'objets connus sous le nom de transits radioélectriques du centre galactique (GCRT), des radio-sources à incandescence rapide qui s'allument et se désintègrent près du centre de la Voie lactée, généralement en quelques heures. Jusqu'ici, seuls trois GCRT ont été confirmés et tous apparaissent et disparaissent bien plus rapidement que ce nouvel objet ASKAP. Toutefois, les quelques GCRT connus brillent d'un éclat similaire à ce signal mystérieux et leurs embrasements radioélectriques ne s'accompagnent jamais de rayonnement X.

Si ce nouveau radio-objet est un GCRT, ses propriétés repoussent les limites de ce dont les astronomes les pensaient capables, concluent les chercheurs. Les relevés du centre galactique à venir devraient permettre d'élucider ce mystère.

Texte original de BRANDON SPECKTOR traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : NASA / JPL

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La musique suscite 13 émotions désormais cartographiées

Des scientifiques de l'université de Berkeley en Californie ont interrogé plus de 2500 personnes aux États-Unis et en Chine sur leurs réactions émotionnelles à des milliers de chansons de genres diversifiés dont le rock, le folk, le jazz, le classique, la fanfare, la musique expérimentale ou encore le heavy metal.

Le résultat de cette expérience subjective de musique entre les cultures permet dresser une correspondance d'au moins 13 ressentis principaux : l'amusement, la joie, l'érotisme, la beauté, la relaxation, la tristesse, la rêverie, le triomphe, l'anxiété, la frayeur, l'irritation, le défi et l'optimisme.

Les opiacés ont également un rôle dans la multitude d'effets produits par la musique sur l'humeur, la douleur et le bien-être, nous donnant des indices sur la manière dont nous pouvons exploiter ses bienfaits même sur notre vieillissement.

À  l'instar de bien d'autres expériences agréables, deux facteurs entrent en jeu dans notre appréciation de la musique : l'anticipation d'entendre son morceau favori et le fait de l'écouter. La dopamine, une substance chimique cérébrale émettant des signaux liée à la récompense est impliquée dans ces deux phases. Mais depuis des décennies, les neuroscientifiques se sont demandés s'il y avait plus que cela et à quoi attribuer le pouvoir de la musique d'induire l'euphorie.

« Imaginez que vous classiez une bibliothèque musicale par émotion et captiez la combinaison de ressentis associée à chaque morceau. C'est essentiellement ce que nous avons accompli avec notre étude » a déclaré Alan Cowen, étudiant en doctorat de neuroscience de l'université de Berkeley et auteur principal de l'étude.

Les découvertes sont censées figurer dans l'édition en ligne de la revue Proceedings of the National Academy of Sciences (Délibérations de l'académie nationale des sciences).

« Nous avons rigoureusement documentés le plus large éventail d'émotions éprouvées de manière universelle par le langage de la musique » confie Dachr Keltener, professeur de psychologie à l'université de Berkeley et tuteur de l'étude.

Cowen et ses collègues chercheurs ont traduit les données dans une carte audio interactive où les visiteurs peuvent déplacer leur curseur pour écouter n'importe lequel des milliers d'extraits musicaux pour découvrir, entre autres choses, si leurs réactions émotionnelles correspondent à celles d'autres personnes de cultures différentes.

Les applications potentielles aux découvertes de cette étude peuvent aller de façonner des thérapies psychologiques et psychiatriques pour susciter certaines émotions à aider des services de diffusion de musique en ligne comme Spotify à adapter leurs algorithmes pour satisfaire les envies d'écoute de leurs clients ou créer une ambiance.

Même si les participants à l'étude aussi bien américains que chinois ont identifié des émotions similaires (comme la peur en écoutant la bande originale du film Les Dents de la mer), ils ne s'accordent pas sur le fait que ces émotions les font se sentir bien ou mal.

« Les personnes de cultures différentes peuvent s'accorder sur le sentiment de colère émanant d'une chanson mais leurs avis peuvent diverger sur la positivité ou la négativité du ressenti » explique Cowen, ajoutant que les notions de positif ou négatif, qualifiées de « valence » en jargon de psychologue, relèvent davantage du domaine culturel.

Dans toutes les cultures, les participants se sont le plus souvent accordés sur les descriptions générales des émotions attachées aux sons musicaux telles que la colère, la joie ou l'irritation. Mais leurs opinions variaient sur le niveau d'« excitation » qui, dans l'étude, fait référence au degré de calme ou de stimulation suscité par un morceau de musique.

Comment ils ont mené l'étude

Pour cette étude, plus de 2500 personnes aux États-Unis et en Chine ont été recrutées via Mechanical Turk, la plateforme de « crowdsourcing » d'Amazon.

Tout d'abord, les volontaires ont regardé des milliers de vidéos sur YouTube avec de la musique suscitant une gamme d'émotions. De là, les chercheurs ont constitué une collection de clips audio à utiliser pour leurs expériences.

Ensuite, près de 2000 participants aux États-Unis et en Chine ont chacun évalué une quarantaine d'extraits musicaux en fonction de 28 catégories différentes d'émotions ainsi que sur une échelle de positivité et négativité et de niveaux d'excitation.

En se basant sur les analyses statistiques, les chercheurs ont abouti à 13 grandes catégories d'expériences non affectées par la culture et correspondant à des sensations bien spécifiques comme « déprimant » ou « onirique ».

Pour assurer l'exactitude de ces découvertes dans une seconde expérience, près de 1000 Américains et Chinois ont noté plus de 300 extraits de musique occidentale et traditionnelle chinoise spécifiquement destinés à susciter des divergences de valence et d'excitation. Ce sont leurs réponses qui ont validé les 13 catégories.

La musique lente avec des violons a souvent été associée à la tristesse.

Avec les "Quatre Saisons" de Vivaldi, les gens se sentaient revigorés. "Rock The Casbah" des Clash les gonflait à bloc. "Let's Stay Together" de Al Greene évoquait la sensualité et "Somewhere Over The Rainbow" d'Israel "IZ" Kamakawiwo'ole suscitait la joie.

Alors que le heavy metal était largement considéré comme provocant et comme voulu par son compositeur, la musique de la scène de la douche du film Psychose, provoquait la peur.

Les chercheurs reconnaissent que certaines de ces associations pourraient être dépendantes du contexte dans lequel les participants ont pu déjà entendre certains morceaux de musique comme dans une film ou dans une vidéo sur YouTube. Mais c'est moins probable dans le cas de musique traditionnelle chinoise où les découvertes ont été validées.

Cowen et Keltner ont mené antérieurement une étude dans laquelle ils ont identifié 27 émotions en réaction à des clips vidéo visuellement évocateurs sur YouTube. Pour Cowen, issu d'une famille de musiciens, il semblait logique que la prochaine étape consiste à étudier les effets émotionnels de la musique.

« La musique est un langage universel, mais nous ne prêtons pas toujours suffisamment attention à ce qui est dit et la manière dont c'est compris » explique-t-il. « Nous voulions initier la première étape importante pour résoudre le mystère de la manière dont la musique peut susciter autant d'émotions si nuancées. »

Texte original de APRIL MCCARTHY traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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La Guerre Cognitive - L'OTAN s'attaque à votre cerveau

L'OTAN a une nouvelle cible en vue : votre cerveau. Leur rapport de « guerre cognitive » énumère un hybride de biotechnologie et de nanotechnologie, l'ingénierie sociale, la guerre de l'information, les opérations psychologiques et une surveillance totale dans le but déclaré de « porter atteinte au cerveau » (des civils y compris) en affectant la cognition et en désactivant la pensée critique. Nous approchons non seulement la fin de la liberté d'expression mais aussi celle de le libre pensée en assimilant toute remise en question du narratif officiel à de l'« extrémisme » et à du « terrorisme »...

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Et maintenant les confinements climatiques « pour le bien de la planète »

À ceux qui acceptent, sans se poser de questions, le dernier rapport apocalyptique du GIEC (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), il va vous falloir aussi accepter que les confinements climatiques ne sont plus qu'une formalité. Un terme sera mis aux déplacements, un rationnement alimentaire sera imposé, et vos libertés seront éradiquées ; tout ça pour une crise inventée de toute pièce à laquelle vous avez naïvement adhéré.

Le but des élites est de contrôler comme on pouvait s'y attendre — et ce dernier rapport en date du GIEC constitue l'impulsion finale pour en tirer le bénéfice maximum avant que les problèmes réels de pénurie alimentaire et les troubles sociaux que cela engendrera ne prennent le dessus sur notre société mondiale et la plongent dans le chaos.

Des récoltes déficitaires d'une ampleur inimaginable sont à prévoir à mesure que le Grand Minimum Solaire continue de s'intensifier.

En ce moment même, sur toute la planète, des phénomènes climatiques imprévisibles sont en train de dévaster les cultures : de fortes gelées en Amérique du Sud ont transformé l'Argentine et le Brésil en nations importatrices ; en Afrique du Sud, les cultures ont été ravagées par une récente poussée de froid sans précédent ; aux États-Unis, la sécheresse et les gelées persistantes ont vu les estimations sur la production de blé chuter de 70% ; alors qu'en Europe et en Chine, les inondations largement rapportées sont également en train de décimer les récoltes là aussi.

Et tout ceci aura un effet domino sur vos supermarchés locaux avec déjà une répercussion à la hausse sur les prix et des pénuries perceptibles.

Ce sont les réalités que nous expérimentons aujourd'hui.

Et l'influence humaine n'y est absolument pour rien (à part notre croyance naïve, en instaurant ces systèmes de mono-culture, que le climat demeurerait à jamais constant). Non, ces « changements climatiques » sont liés à une diminution de la production solaire et à une décroissance du champ magnétique — et imputer ces perturbations monumentales à des facteurs tels que les pets de vache constitue une honte pour la science. Ce n'est pas de la science, c'est du dogme, de la sorcellerie. Mais comme l'histoire nous l'a démontré, les humains sont nés pour suivre et une voix faisant autorité, peu importe l'incommensurable stupidité de son message, sera toujours convaincante.

Une élévation des températures permet à la vie et à la biodiversité de prospérer — ce qui est le cas depuis des temps immémoriaux. C'est pourquoi les forêts tropicales abritent la majeure partie de la flore et de la faune sur Terre, même si elles ne couvrent que moins de 12% de tout le territoire.

C'est lors d'un refroidissement que les problèmes surgissent – la vie se débat dans le froid. L'Arctique couvre 10% de la superficie territoriale de la planète, mais ne contient que 600 espèces végétales, 100 espèces d'oiseaux, aucun reptiles ni amphibien et seulement 20 mammifères.

Malheureusement, un refroidissement s'inscrit dans tous nos avenirs.

À ce qu'on dirait, le soleil s'approche de son prochain cycle de 400 ans de Grand Minimum Solaire qui marquera une chute d'activité prolongée qui, par l'action conjuguée de divers mécanismes, provoquera une chute drastique des températures terrestres.

Et le GIEC ne veut pas que le sachiez.

Ils ne veulent même pas que vous envisagiez cette éventualité, parce que cela menacerait leur théorie du réchauffement climatique anthropique (RCA).

Selon les affirmations du GIEC, ce serait parce que l'irradiation solaire totale (IST) ne fluctue pas beaucoup (dans une fourchette de 1360 à 1363 W/m2) que le soleil aurait très peu voire aucun impact sur les températures terrestres ; mais c'est une position bien trop simpliste.

Minimiser l'importance du soleil dans le climat frôle l'hilarité ; toutefois, minimiser la réalité cosmologique est un des traits distinctifs du GIEC.

En réalité, une faible activité solaire induit bien plus qu'une légère diminution de l'IST ; il y a bien plus de forçages qui affectent la température de notre planète. Une faible production solaire induit un afflux de rayons cosmiques provoquant la nucléation des nuages, un réveil de l'activité volcanique, et même une diminution des aurores boréales. Tout ceci ainsi que la diminution du champ magnétique terrestre est largement esquivé par des gens comme le GIEC et leurs pantins que sont les médias de masse.

Ce n'est que pure logique que de présumer que le soleil joue un rôle essentiel dans le climat terrestre.

Et une fois que vous admettez cela, le fait que notre étoile est actuellement à son plus bas niveau depuis cette dernière centaine d'années voire plus (et encore en train de s'affaiblir) devrait bien entendu constituer le fondement de toute théorie basée sur le climat. « Ils » s'attendent à ce que nous croyions que le fait que soleil enregistre son plus bas niveau depuis plus d'un siècle se produisant au même moment où les oscillations entre les extrêmes climatiques s'accentuent n'est que pure coïncidence. En fait, « ils » ne mentionnent même  pas que le soleil a atteint un seuil historiquement bas de son activité.

Également, pourquoi le GIEC n'écoute-t-il que les points de vue des scientifiques qui sont d'accord avec eux ?

Ce n'est pas très scientifique.

Il y a beaucoup de voix éminentes et respectées qui affirment non seulement que le GIEC se trompe sur le RCA, mais qu'une ère de refroidissement est en train de se profiler.

Néanmoins, on ne permet pas au public d'entendre ces visions alternatives tout aussi qualifiées et au lieu de cela, on l'abreuve de rhétorique anxiogène de fin du monde qu'on lui fait avaler au quotidien (rien de surprenant à ce que nos jeunes se soient faits autant corrompre par ces conneries — une fois encore, une voix ayant autorité sera toujours plus convaincante peu importe l'illogisme ou le caractère franchement irréaliste de son propos).

Aujourd'hui 10 août, le soleil est une fois encore « vierge » de toute tache solaire — et au cours de l'accélération vers le Cycle Solaire 25, pas moins — une période où il devrait tourner à plein régime.

Et pourtant, nous voilà au huitième jour sans tâche depuis la fin juillet.

Le soleil faiblit.

Le CS25 est en voie de devenir aussi déficient que le précédent (SC24), à savoir le cycle le plus faible du siècle dernier.

Depuis 2016, les températures planétaires ont chuté autour de 0,7°C. Encore un fait qui ne figure pas dans le dernier rapport alarmiste du GIEC, dont le but n'est bien sûr pas d'informer le public mais de faire la propagande pour préparer les masses à un avenir totalitaire de confinements permanents, pénuries alimentaires, et d'intensification des phénomènes électriques — « quelque chose se prépare ».

Le bilan médiocre du GIEC

Ce qui fait sans doute le plus peur est que le monde accepte aveuglement les inepties du GIEC.

Ce n'est pas comme si la commission affichait un bilan excellent voire même acceptable — ils ont eu tout faux depuis le début et à la moindre occasion : de leurs prédictions sur la disparition totale de la banquise arctique à leurs prévisions sur la température planétaire et l'élévation du niveau des océans (qui devait conduire à l'inondation des villes côtières d'ici l'an 2000).

Notez également la déformation du narratif quand les données du monde réel ne vont pas dans leur sens.

L'hypothèse du « réchauffement planétaire » était à l'origine très simple à comprendre, voire même cohérente et méritait une recherche plus approfondie : « l'augmentation des taux de CO2 atmosphérique induit des températures toujours plus élevées, ce qui donnera lieu à des étés plus chauds et des hivers plus doux avec moins de neige ».

Cependant, en 2021, alors que la planète affiche des signes de refroidissement qui ne trompent pas et que les données du monde réel continuent de sérieusement ridiculiser des scientifiques comme Michael Mann et des prophètes nombrilistes tels que Al Gore, « le grillage dévastateur de la terre ferme » comme j'aime à l'appeler, constitue désormais TOUT ÉVÉNEMENT MÉTÉOROLOGIQUE CONNU, y compris les records de froid, les chutes de neige sans précédents sur des hémisphères entiers, et l'expansion de la calotte glaciaire de l'Antarctique.

Voici juste deux points de position récents que les rapports originaux du GIEC auraient qualifiés d'impossible aujourd'hui :

En cette saison, la masse de neige totale pour l'hémisphère nord culmine à plus de 500 gigatonnes au-dessus de la moyenne de 1982-2012 [Institut météorologique finlandais].
La calotte glaciaire antarctique (qui comprend 90% de l'eau douce de la planète) est bien supérieure à la moyenne de 1979-1990 et en phase d'accroissement [NSIDC].

L'élévation des températures constitue la pierre angulaire de la théorie du réchauffement planétaire.

Par conséquent, rien d'autre n'a d'importance si le mercure ne grimpe pas.

Et nous y voilà : non seulement les températures ne s’élèvent pas, mais elles inversent maintenant la tendance observée à la fin des années 70 (depuis la fin de la mini-période de refroidissement).

Et maintenant les « confinements climatiques »

Des indicateurs actuels donnent à penser que nous allons bientôt faire face à des restrictions de déplacement, pas uniquement à cause de la pandémie mais aussi pour des raisons politiques et environnementales (je ne peux pas parler du virus sans être pénalisé, je ne peux absolument pas dire du mal des vaccins mais faites votre propre recherche sur la « protéine spike » itinérante et biologiquement active en commençant par la chaîne DarkHorse sur YouTube).

La menace exagérée du Covid demeurera pleinement en vigueur et le virus continuera en effet à circuler et à muter en souches plus résistantes aux vaccins — tout comme c'est le cas chaque année pour la grippe saisonnière à la différence, toutefois, que cela occasionnera davantage de confinements.

Dans une large mesure, les gouvernements maintiennent en place les restrictions de déplacement et les exigences de tests compliquées pour dissuader fortement les gens de voyager « pour des raisons autres que le Covid-19 » peut-on lire dans article récent de Forbes.com.

Ce qui nous amène à un autre prétexte pour dépouiller les masses de leurs libertés les plus fondamentales — la soi-disante « urgence climatique ».

Comme l'a rapporté The Telegraph, « les restrictions dues au Covid ont servi de test pour la manière dont nos habitudes de vie pourraient être à l'avenir restreintes pour le bien de la planète » où les gouvernements cherchent à endiguer les voyages bon marché et réduire les émissions carbone sous couvert d'« écologie » alors qu'en réalité, leurs intentions sont bien plus sinistres.

Une population déjà confinée avant les choses tournent mal est bien plus gérable. Ajoutez à cela le rationnement alimentaire (à cause des pénuries planétaires et des restrictions de déplacements susmentionnées) et pour aller de l'avant, le seul moyen de nourrir votre famille sera de vous plier à toutes les règles draconiennes qui seront mises en place par ce système global (encore invisible) de gouvernance mondiale.

Dans une telle situation, ils vous tiendront à leur merci.

Vous n'aurez aucun choix.

Aucune liberté.

Vous serez un vrai esclave de leur système, si vous ne l'êtes pas déjà.

C'est en effet une « alerte rouge pour l'humanité ».

Libérez-vous avant qu'il ne soit trop tard — enfuyez-vous et développez vos propres ressources.

Texte original de CAP ALLON traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : The Guardian

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Décorticage de la propagande : de quoi s'agit-il et que peut-on faire ?

L'Amérique (mais pas que — N.d.T.) est inondée d'une propagande nuisible et dangereuse, mais peu sont ceux qui comprennent de quoi il s'agit, comment ça fonctionne et ce que l'on peut faire pour la vaincre. Cet article examine la nature, la structure et l'intention de la propagande afin de permettre aux lecteurs d'accroître leur prise de conscience et leur discernement.

Définition de la propagande

D'après l'école supérieure de gestion politique de l'université George Washington, « la propagande et les relations publiques ayant pour objectif commun d'utiliser la communication de masse pour influencer la perception du public, il est facile de confondre l'une avec l'autre. La propagande, toutefois, a recours aux mensonges, à la désinformation, aux paroles incendiaires et à d'autres formes de communication négative pour atteindre un objectif relié à une cause, un but ou un agenda politique ».

L'encyclopédie Britannica confirme cette idée, définissant la propagande comme une « propagation d'informations — faits, arguments, rumeurs, semi-vérités ou mensonges — visant à influencer l'opinion publique ».

Pour le dictionnaire Oxford, c'est « la propagation systématique d'informations, en particulier de manière partiale ou trompeuse afin de promouvoir une cause politique ou un point de vue ».

La propagande moderne fut définie par Edward Bernays (1891-1995) au début des années 20. Bernays est considéré comme le « père des relations publiques » mais beaucoup de ses idées venaient de son oncle, le psychiatre Sigmund Freud. Aucun d'eux n'étaient des amis de la société.

Selon Bernays :

Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays. [...] nous sommes dominés par ce nombre relativement restreint de gens – une infime fraction des cent vingt millions d'habitants du pays – en mesure de comprendre les processus mentaux et les modèles sociaux des masses. Ce sont eux qui tirent les ficelles : ils contrôlent l'opinion publique.

L'intention de tromperie n'est jamais juste

Même si certains individus peuvent mentir et tromper de leur propre chef, la propagande se retrouve toujours dans les milieux gouvernementaux et corporatifs qui se servent d'instruments de communication de masse pour contrôler les comportements.

En clair, toute propagande manipule sciemment et fallacieusement les émotions afin d'opérer un changement de comportement au niveau individuel et collectif. En outre, les propagandistes les plus chevronnés mettent au point à l'avance des pièges et des défenses contre d'éventuels détracteurs.

La propagande fonctionne d'ailleurs mieux quand personne ne la remarque.

Heureusement, la reconnaître est simple une fois que l'on comprend ses techniques éprouvées, lesquelles ont été clairement identifiées et validées depuis de nombreuses décennies.

Les techniques de propagande normalisées ci-dessous, reconnues et documentées par de nombreux auteurs et chercheurs professionnels, sont utilisées dans diverses configurations pour obtenir le comportement souhaité.

Les techniques de propagande

La peur : L'émotion la plus puissante, la peur de perdre ou de subir des dommages physiques ouvre l'esprit à accepter les solutions apportées par le propagandiste qu'il n'aurait jamais acceptées autrement. La technique de la peur est à la base de toute propagande en lien avec une pandémie.

Le mouvement : On affirme que parce que tout le monde le fait, vous le devriez aussi. Cette technique est souvent combinée avec d'autres. « Tout le monde se fait inoculer parce que c'est sans danger et efficace ; vous devriez le faire vous aussi. »

L'empilage de cartes : Cette technique met en lumière la « bonne » information tout en écartant la « mauvaise ». En d'autres termes, seuls les faits soutenant l'agenda du propagandiste sont présentés tandis que tout le reste est intentionnellement supprimé. La censure est généralisée dans les médias, les réseaux sociaux et les moteurs de recherche.

Le simple citoyen : Le propagandiste laisse entendre qu'il n'est qu'un individu ordinaire comme vous, avec les mêmes rêves et les mêmes désirs, et que par conséquent vous devriez le croire.

Le témoignage : Le recours à un personnage non apparenté comme une célébrité pour témoigner de la véracité de la propagande et que l'on peut avoir confiance en ce qu'ils préconisent. Ils peuvent aussi se présenter comme de « simples citoyens » comme décrit ci-dessus.

Les généralité accrocheuses  :  Des assertions générales que l'on ne peut définir, contenant souvent de vagues « paroles vertueuses », du style « ce programme va engendrer l'équité pour tous » et « avec ce budget, nous allons créer des millions d'emplois verts ».

Insultes/détournements : Des attaques personnelles détournent l'attention du propagandiste vers quelqu'un d'autre. Al Gore avait déclaré à propos du réchauffement climatique  que « les négationnistes méritent d'être punis ». Aujourd'hui, on déclare que l'Amérique est victime d'une « pandémie de non-vaccinés ».

Le transfert : Cette technique transpose l'autorité, le prestige ou l'acceptation d'un autre groupe ou organisme, transférant ainsi ces caractéristiques au programme du propagandiste. De nombreuses églises ont été utilisées, par exemple, pour promouvoir l'acceptation de la propagande pandémique par leurs congrégations.

La fausse analogie : Deux concepts sont faussement reliés entre eux sans cause à effet. Par exemple, « les gens qui ont des doutes sur les vaccins sont des antivax ; Mary ne veut pas du vaccin, elle est donc antivax. »

Le sophisme de l'un ou l'autre : Avec un raisonnement « noir ou blanc », seuls deux choix sont proposés même s'il en existe d'autres tout aussi acceptables. Cela polarise le problème et vous oblige à accepter l'issue désirée. Par exemple, « vous êtes soit pour ou contre la science ».

Le cause à effet erroné : Cette technique suggère que parce que A suit B, A doit être la cause de B. Par exemple, « Joe est en faveur de la possession d'armes à feu ; les assassins utilisent souvent des armes à feu pour tuer des gens ; par conséquent, Joe est un assassin ».

Les euphémismes : On a recours à un mot ou une expression prétendant communiquer mais ce n'est pas le cas. Cela fait souvent apparaître le mauvais comme bon ou le déplaisant comme attirant Par exemple, « vous n'êtes pas pauvre, vous êtes économiquement désavantagé ».

Les mots chargés de sens : En rapport avec les insultes, le propagandiste va employer des termes extrêmes pour décrire des circonstances ordinaires. Par exemple, les parents qui protestent dans les réunions de parents d'élèves sont désormais qualifiés de « terroristes domestiques » qui commettent des « crimes haineux ».

Le bouc émissaire : Cette technique a recours à la culpabilité par association pour blâmer une tierce personne, par exemple, on impute les difficultés économiques provoquées par l'administration en place à la précédente ; la pandémie aux non-vaccinés.

L'écart logique : Le Forum économique mondial déclare : « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ». Cela implique que le bonheur est la résultante de ne rien posséder mais c'est, par expérience, totalement illogique. Un corollaire serait que « les sans-abri ne possèdent rien et doivent donc être heureux ».

Ce que vous pouvez faire

Toutes ces techniques ciblent nos émotions, qui à leur tour guident notre comportement. Sans notre « soutien » émotionnel et notre docilité, les efforts du propagandiste sont sans effet.

Bien sûr, les citoyens intelligents ne veulent pas que quiconque manipule leurs émotions à des fins qui ne sont pas initialement les siennes. En effet, personne ne veut être trompé, piégé, dupé, abusé, utilisé ou manipulé par un tiers.

Il existe deux antidotes pour barrer la route à la propagande.

Tout d'abord, la propagande doit être identifiée de manière objective et vue sous son vraie jour. Avec les techniques énumérées ci-dessus, c'est très facile à faire.

Deuxièmement, compte tenu de ce que vous voyez, vous devez maîtriser vos émotions. La propagande pousse toujours à une implication émotionnelle pour arriver à ses fins. Ne tombez pas dans le piège du propagandiste.

Enfin, quand vous finissez par l'emporter sur un élément de la propagande (c'est que vous l'avez identifié et refusé de vous impliquez émotionnellement), il est important de partager votre compréhension et expérience avec autrui.

Conclusion

Gardez ces informations à portée de main chaque fois que vous écoutez, regardez ou lisez les nouvelles. Analysez chaque article  pour son « quotient de propagande ». Si vous remarquez une technique utilisée, prenez ça comme un indice et recherchez en d'autres.

Si suffisamment d’Américains comprenaient ces simples marqueurs de propagande et s'engageait à la bloquer, la vie en Amérique s'améliorerait très rapidement.

Gardez toujours à l'esprit que les propagandistes sont concernés par leurs intérêts propres, qu'ils n'en ont rien à faire de vous ou du public en général. Pour en venir à bout, il n'est pas nécessaire de connaître dans les détails la raison pour laquelle tout cela  a été mise en place en premier lieu ; le simple fait qu'il s'agisse de propagande vous dit que vous ne voulez rien avoir à faire avec.

La propagande est-elle la liberté d'expression ?

Tout au long de l'histoire, des débats fermes et souvent intenses ont eu lieu entre des personnes d'opinions différentes. On trouve une abondance de conflits de ce genre au moment de la fondation des États-Unis d'Amérique. Il y a eu des querelles verbales et des publications diffusant des idées et opinions divergentes qui dans certains cas ont donné lieu à des accès de colère et d'amertume.

Mais était-ce conforme à la « liberté d'expression » ?

La réponse se trouve en examinant l'intention et la qualité de ces échanges d'idées. Une pénalité était infligée si un tiers avait menti sciemment ou si des preuves essentielles avaient été délibérément supprimée afin de tromper les autres parties.

En d'autres termes, la tromperie n'était pas tolérée. D'une part, ceux qui trompe et mentent dans l'intention de nuire ont le droit d'exprimer de telles choses mais ils doivent également subir les conséquences de leur infraction à la loi en agissant ainsi.

La diffamation, par exemple, c'est porter préjudice à la réputation d'une personne en rapportant à une ou plusieurs autres personnes quelque chose à propos de cette personne qui n'est pas vrai. On parle de calomnie lorsqu'une personne invente ou modifie la déclaration d'une autre dans l'intention de diffamer ou nuire à la réputation ou aux moyens de subsistance de cette personne.

Le bunko est une escroquerie dans laquelle on dépouille une personne de ses privilèges ou possessions par le mensonge ou la falsification.

Le Merriam-Webster définit la fraude comme un acte de tromperie et de « perversion délibérée de la vérité dans l'intention d'induire un tiers à se départir de quelque chose ayant de la valeur ou de renoncer à un droit légal ».

Ce même dictionnaire définit également la propagande comme « la diffusion d'idées, d'informations ou de rumeurs dans le but d'aider ou de nuire à une institution, une cause ou une personne » et « des idées, faits ou allégations délibérément répandues pour faire avancer sa cause ou nuire à une cause opposée ».

Dans Law of Deception (la loi de la supercherie), le centre de droit de l'université de Georgetown récapitule : « De nombreuses lois abordent la supercherie. Parmi quelques exemples familiers, il y a les délits de tromperie, la calomnie et la diffamation ; le vol par usage de faux prétextes et les lois fédérales relatives à l'utilisation frauduleuse des services postaux et du réseau de télécommunication ; la loi sur la commission fédérale du commerce, la loi Lanham (relative au droit des marques — N.d.T.), et des lois étatiques sur les actes et pratiques injustes et malhonnêtes ; des lois interdisant la fraude boursière et exigeant la divulgation des émetteurs ; le contrat de protection contre la falsification ; et la loi de parjure ».

Tout cela pour dire que même si la liberté d'expression laisse une grande latitude pour s'exprimer, elle n'en est pas moins soumise à des limites légales et déontologiques.

Le mensonge et la supercherie font-ils partie de la liberté d'expression ? Non, jamais !

Lorsque les propagandistes se retranchent derrière l'argument de la liberté d'expression, ils s'en servent comme technique de propagande pour vous tromper encore plus.

Texte original de PATRICK WOOD traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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