Les princesses contre-attaquent

Il y a ce documentaire terrifiant qui est sorti et s'appelle Slave Princess (version sous-titrée en français). C'est l'histoire de Britney Spears et en fait, concrètement, on y apprend comment fonctionne l'industrie musicale aux États-Unis.

Il existe une mafia. Vous avez soit un enfant talentueux, soit un artiste qui émerge. Il émerge, il fait une chanson qui marche, etc. et quand ce n'est pas un artiste qui est directement promu par les institutions qui sont contrôlées par toujours les mêmes, il y a une sorte de groupe de gangsters (des gangsters « chics ») qui se rapprochent de l'entourage de l'artiste — dans le cas de Britney Spears, ces personnes sont venues discuter avec la mère, le père et les frères et sœurs. Ils viennent comme ça et essaient de s'infiltrer dans la famille et de voir quel membre est le moins scrupuleux de tous.

Et du coup, une fois qu'ils l'ont trouvé, ils essaient de négocier un deal en disant : « Nous, on va faire en sorte à ce que l'artiste perde le droit de gérer sa fortune et ce droit-là, on va te le donner et toi, en échange, tu vas partager avec nous les bénéfices ». On appelle ça le droit de gérance. C'est comme ça qu'ils ont fait avec Britney Spears : ce groupe est allé voir sa famille, ils se sont approchés du père et aussi de la sœur et leur ont dit : « Nous, on faire croire au public que Britney Spears est tarée. De ce fait, on va lui enlever le droit de gérer sa fortune et vous allez prendre ce droit, mais par contre, nous, on veut de l'argent si on fait ça — on ne fait pas ça gratuitement pour vous ».

Alors que font ces gens ensuite ?

Ils utilisent les médias (qui sont vraiment là pour manipuler l'opinion publique autant que dans tout le reste) pour dire « Ah, regardez Britney Spears, elle s'est rasé la tête, elle a fait çi, elle a fait ça... ». Parfois, ils vont jusqu'à les droguer et les filmer drogués pour détruire l'image de la personne pour la reconstruire ensuite selon leur volonté. Et donc maintenant, repensez à tous les scandales qui se sont produits avec les artistes de renommée qui deviennent soit drogués ou vont dans des centres de désintoxication, chez les Alcooliques Anonymes, etc. Et en fait, le truc dans toutes ces histoires, c'est que si les artistes refusent cette chose-là et se mettent à vouloir parler, ils disparaissent.

Et là, je vous invite à penser à Amy Winehouse, par exemple. Elle a été genre « c'est une alcoolique et c'est comme çi et c'est comme ça » et c'est son père qui avait le droit de gérance et tous les médias disaient que son père était un mec cool, qu'il voulait son bien et tout. Hum... Pareil pour Britney Spears. Ils disaient que son père était un mec cool, qu'il voulait la sauver des méchants, etc., or c'était lui qui était en train de mettre tout l'argent que Britney gagnait dans ses propres poches. Est-ce que vous comprenez le deal ? Maintenant, pensez Christina Aguilera, la même chose. Lindsay Lohan...

Le documentaire commence avec Britney Spears puis parle de ce réseau mafieux qui s'est mis à l'entourer. Les fans de Britney Spears ont créé le mouvement Libérez Britney. Et devinez quoi ? Ce sont les fans eux-mêmes qui creusé, creusé, creusé et qui ont trouvé toutes ces choses-là et qui les ont rendues publiques. Ce groupe mafieux a essayé de faire tomber le mouvement parce qu'il était en train de révéler ces gangsters à la lumière du jour et ont utilisé les médias pour dire que les Libérez Britney étaient « des complotistes avec trop de temps pour eux ». Comme toujours, les médias servent à attaquer tous ceux qui ne sont pas d'accord avec un certain narratif qui va dans le sens des intérêts d'un petit groupe de personnes. C'est dingue toutes les similitudes de l'industrie de la musique avec tout ce qui se passe dans le reste du monde.

Donc il y a ce groupe de personnes qui entourent les parents de Britney Spears, la font passer pour une folle, prennent le contrôle de sa vie et ensuite le documentaire se focalise sur ce groupe de gangsters qui a fait ça avec plein de gens. Des tas de gens. Et à partir de là, il parle de Disney.

Disney qui est vraiment la maison des pédophiles. Et il vous donne plein d'exemples de personnes qui ont fait des films avec des enfants alors qu'elles étaient accusées de pédophilie. Non seulement, elles n'ont pas perdu leur travail mais on leur a dit « Non, non, faites plus de film, pas de soucis ». Et là, on apprend qu'il y a plusieurs enfants qui sont sortis pour dire : « Moi, on m'a touché de mes quatre ans jusqu'à mes douze ans ». C'était n'importe quoi. Des personnes traumatisées qui n'avaient pas le droit d'en parler, qui avaient peur et tout ça, parce que que c'était des enfants. Et en fait, tous ceux qui se présentent comme des gentils à Disney — « Ah regardez-moi, je suis gentil, tralala, faites-moi confiance avec votre enfant » — , ce sont de pervers d'un niveau terrifiant.

Et donc, on vous montre que Disney aussi est connecté avec... Epstein ! Hein ? Comment on a commencé à parler de Britney Spears et qu'est-ce qu'on a à faire chez Epstein ? Et c'est là où l'on apprend qu'en fait, le réseau d'Epstein prenait parfois certains de ces enfants ou de ces jeunes-là pour les trafiquer. Et que ces artistes étaient obligés d'aller se prostituer afin de pouvoir maintenir leur position de superstar. Ils se faisaient aussi droguer s'ils ne voulaient pas. C'est ça que veut dire « vendre son âme au diable ». Ils subissaient des choses qui allaient complètement à l'encontre de ce que les gens pouvaient imaginer.

Pour récapituler, on commence avec Britney, les gangsters qui l'entourent et qui sont connectés à Disney ; Disney qui est un centre de pédophiles et qui a un réseau de trafic d'enfants. Et en plus de cela, l'industrie musicale est, en fait, juste une façade pour un réseau de prostitution international de luxe. Et pour détourner de l'argent aussi car quand Britney est prostituée à quelqu'un (ce qui est déjà arrivé), ce n'est pas elle qui gagne l'argent, c'est son père.

Dans le documentaire, on parle de centaines de millions de dollars qui sont détournés du compte de ces artistes-là pour aller dans la poche de cette Lou Taylor.

Juste une chose que je voudrais souligner, c'est que de manière totalement par hasard, Liz Crokin, la journaliste de ce documentaire est aussi une de celles qui a perdu pas mal de plumes d'ailleurs en dénonçant le Pizza Gate. Le second point, c'est qu'en ce moment, l'affaire Ghislaine Maxwell est passée au stade où ils sont en train de sélectionner ses jurés, c'est-à-dire qu'on avance petit à petit dans son procès et qu'il est de notoriété publique que Ghislaine Maxwell sait piloter des sous-marins et il y aurait des histoires pas claires où des enfants auraient été pris de certains centres Disney pour être amenés sur la Pedo Island de ce dégénéré d'Epstein et que tout ça sort ces derniers jours. C'est intéressant.

Quelqu'un dans le tchat demande « Pensez-vous que la "malédiction des vingt-sept ans" soit due à ce réseau : Kurt Cobain, Jimi Hendrix, etc. ? »

Oui, je pense qu'il y a un lien et que ces individus sont ni plus ni moins sacrifiés en fait. C'est mon avis personnel. J'ai des raisons de croire que derrière tout ça, c'est un mouvement qui est carrément satanique. Pourquoi je dis ça ? Allez voir du côté de la famille de Mariah Carey. Allez voir dans la famille d'un certain journaliste où il y a des photos quand il était enfant avec des statues bizarres derrière... Il y a énormément de symbolisme satanique dans cette sphère-là.

On peut quand même mentionner l'affaire NXIVM qui est complètement avérée où il y a eu des trafics de personnes, des trafics sexuels et le gourou de la secte a pris 120 ans de prison. On peut aussi mentionner l'arrestation de Jeffrey Epstein. Pas besoin d'aller beaucoup dans l'hypothétique pour se dire que oui, il y a quelque chose. Sinon pourquoi personne n'en parle à part Karl Zéro ? Et pourquoi à chaque fois que quelqu'un en parle, on lui tombe dessus comme si c'était un dégénéré, un débile et qu'il fallait absolument qu'il se taise ?

Out of the Shadows (Sortir de l'ombre) était un documentaire qui disait plus ou moins la même chose mais au sujet de l'industrie du cinéma. Le pire, c'est que ce sont les mêmes qu'on retrouve derrière car même là, on parle de Harvey Weinstein et de Jeffrey Epstein comme dans Out of Shadows. Ce qui veut dire qu'il y a vraiment un réseau qui est à la tête et tous ceux qui reçoivent une sorte d'autorité de la part du public (c'est-à-dire qui ont un grand fan-club etc.) et qui ont un pouvoir sur l'opinion publique doivent impérativement être contrôlés par ceux qui sont tout là-haut. Parce s'ils ne le sont pas, ils deviennent dangereux. C'était le cas de Michael Jackson. Ils lui ont pourri la gueule et ils lui ont fait de la projection, l'ont accusé de pédophilie, etc. Or ce gars-là, non seulement il avait compris ce qui se passait mais il faisait partie des enfants victimes de ce réseau-là. C'est pour ça qu'il était bizarre, étrange : il faisait partie des enfants victimes.

Allez regarder ce documentaire ICI.

Texte original de LES DÉQODEURS transcrit par EY@EL

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