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Et maintenant les confinements climatiques « pour le bien de la planète »

À ceux qui acceptent, sans se poser de questions, le dernier rapport apocalyptique du GIEC (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), il va vous falloir aussi accepter que les confinements climatiques ne sont plus qu'une formalité. Un terme sera mis aux déplacements, un rationnement alimentaire sera imposé, et vos libertés seront éradiquées ; tout ça pour une crise inventée de toute pièce à laquelle vous avez naïvement adhéré.

Le but des élites est de contrôler comme on pouvait s'y attendre — et ce dernier rapport en date du GIEC constitue l'impulsion finale pour en tirer le bénéfice maximum avant que les problèmes réels de pénurie alimentaire et les troubles sociaux que cela engendrera ne prennent le dessus sur notre société mondiale et la plongent dans le chaos.

Des récoltes déficitaires d'une ampleur inimaginable sont à prévoir à mesure que le Grand Minimum Solaire continue de s'intensifier.

En ce moment même, sur toute la planète, des phénomènes climatiques imprévisibles sont en train de dévaster les cultures : de fortes gelées en Amérique du Sud ont transformé l'Argentine et le Brésil en nations importatrices ; en Afrique du Sud, les cultures ont été ravagées par une récente poussée de froid sans précédent ; aux États-Unis, la sécheresse et les gelées persistantes ont vu les estimations sur la production de blé chuter de 70% ; alors qu'en Europe et en Chine, les inondations largement rapportées sont également en train de décimer les récoltes là aussi.

Et tout ceci aura un effet domino sur vos supermarchés locaux avec déjà une répercussion à la hausse sur les prix et des pénuries perceptibles.

Ce sont les réalités que nous expérimentons aujourd'hui.

Et l'influence humaine n'y est absolument pour rien (à part notre croyance naïve, en instaurant ces systèmes de mono-culture, que le climat demeurerait à jamais constant). Non, ces « changements climatiques » sont liés à une diminution de la production solaire et à une décroissance du champ magnétique — et imputer ces perturbations monumentales à des facteurs tels que les pets de vache constitue une honte pour la science. Ce n'est pas de la science, c'est du dogme, de la sorcellerie. Mais comme l'histoire nous l'a démontré, les humains sont nés pour suivre et une voix faisant autorité, peu importe l'incommensurable stupidité de son message, sera toujours convaincante.

Une élévation des températures permet à la vie et à la biodiversité de prospérer — ce qui est le cas depuis des temps immémoriaux. C'est pourquoi les forêts tropicales abritent la majeure partie de la flore et de la faune sur Terre, même si elles ne couvrent que moins de 12% de tout le territoire.

C'est lors d'un refroidissement que les problèmes surgissent – la vie se débat dans le froid. L'Arctique couvre 10% de la superficie territoriale de la planète, mais ne contient que 600 espèces végétales, 100 espèces d'oiseaux, aucun reptiles ni amphibien et seulement 20 mammifères.

Malheureusement, un refroidissement s'inscrit dans tous nos avenirs.

À ce qu'on dirait, le soleil s'approche de son prochain cycle de 400 ans de Grand Minimum Solaire qui marquera une chute d'activité prolongée qui, par l'action conjuguée de divers mécanismes, provoquera une chute drastique des températures terrestres.

Et le GIEC ne veut pas que le sachiez.

Ils ne veulent même pas que vous envisagiez cette éventualité, parce que cela menacerait leur théorie du réchauffement climatique anthropique (RCA).

Selon les affirmations du GIEC, ce serait parce que l'irradiation solaire totale (IST) ne fluctue pas beaucoup (dans une fourchette de 1360 à 1363 W/m2) que le soleil aurait très peu voire aucun impact sur les températures terrestres ; mais c'est une position bien trop simpliste.

Minimiser l'importance du soleil dans le climat frôle l'hilarité ; toutefois, minimiser la réalité cosmologique est un des traits distinctifs du GIEC.

En réalité, une faible activité solaire induit bien plus qu'une légère diminution de l'IST ; il y a bien plus de forçages qui affectent la température de notre planète. Une faible production solaire induit un afflux de rayons cosmiques provoquant la nucléation des nuages, un réveil de l'activité volcanique, et même une diminution des aurores boréales. Tout ceci ainsi que la diminution du champ magnétique terrestre est largement esquivé par des gens comme le GIEC et leurs pantins que sont les médias de masse.

Ce n'est que pure logique que de présumer que le soleil joue un rôle essentiel dans le climat terrestre.

Et une fois que vous admettez cela, le fait que notre étoile est actuellement à son plus bas niveau depuis cette dernière centaine d'années voire plus (et encore en train de s'affaiblir) devrait bien entendu constituer le fondement de toute théorie basée sur le climat. « Ils » s'attendent à ce que nous croyions que le fait que soleil enregistre son plus bas niveau depuis plus d'un siècle se produisant au même moment où les oscillations entre les extrêmes climatiques s'accentuent n'est que pure coïncidence. En fait, « ils » ne mentionnent même  pas que le soleil a atteint un seuil historiquement bas de son activité.

Également, pourquoi le GIEC n'écoute-t-il que les points de vue des scientifiques qui sont d'accord avec eux ?

Ce n'est pas très scientifique.

Il y a beaucoup de voix éminentes et respectées qui affirment non seulement que le GIEC se trompe sur le RCA, mais qu'une ère de refroidissement est en train de se profiler.

Néanmoins, on ne permet pas au public d'entendre ces visions alternatives tout aussi qualifiées et au lieu de cela, on l'abreuve de rhétorique anxiogène de fin du monde qu'on lui fait avaler au quotidien (rien de surprenant à ce que nos jeunes se soient faits autant corrompre par ces conneries — une fois encore, une voix ayant autorité sera toujours plus convaincante peu importe l'illogisme ou le caractère franchement irréaliste de son propos).

Aujourd'hui 10 août, le soleil est une fois encore « vierge » de toute tache solaire — et au cours de l'accélération vers le Cycle Solaire 25, pas moins — une période où il devrait tourner à plein régime.

Et pourtant, nous voilà au huitième jour sans tâche depuis la fin juillet.

Le soleil faiblit.

Le CS25 est en voie de devenir aussi déficient que le précédent (SC24), à savoir le cycle le plus faible du siècle dernier.

Depuis 2016, les températures planétaires ont chuté autour de 0,7°C. Encore un fait qui ne figure pas dans le dernier rapport alarmiste du GIEC, dont le but n'est bien sûr pas d'informer le public mais de faire la propagande pour préparer les masses à un avenir totalitaire de confinements permanents, pénuries alimentaires, et d'intensification des phénomènes électriques — « quelque chose se prépare ».

Le bilan médiocre du GIEC

Ce qui fait sans doute le plus peur est que le monde accepte aveuglement les inepties du GIEC.

Ce n'est pas comme si la commission affichait un bilan excellent voire même acceptable — ils ont eu tout faux depuis le début et à la moindre occasion : de leurs prédictions sur la disparition totale de la banquise arctique à leurs prévisions sur la température planétaire et l'élévation du niveau des océans (qui devait conduire à l'inondation des villes côtières d'ici l'an 2000).

Notez également la déformation du narratif quand les données du monde réel ne vont pas dans leur sens.

L'hypothèse du « réchauffement planétaire » était à l'origine très simple à comprendre, voire même cohérente et méritait une recherche plus approfondie : « l'augmentation des taux de CO2 atmosphérique induit des températures toujours plus élevées, ce qui donnera lieu à des étés plus chauds et des hivers plus doux avec moins de neige ».

Cependant, en 2021, alors que la planète affiche des signes de refroidissement qui ne trompent pas et que les données du monde réel continuent de sérieusement ridiculiser des scientifiques comme Michael Mann et des prophètes nombrilistes tels que Al Gore, « le grillage dévastateur de la terre ferme » comme j'aime à l'appeler, constitue désormais TOUT ÉVÉNEMENT MÉTÉOROLOGIQUE CONNU, y compris les records de froid, les chutes de neige sans précédents sur des hémisphères entiers, et l'expansion de la calotte glaciaire de l'Antarctique.

Voici juste deux points de position récents que les rapports originaux du GIEC auraient qualifiés d'impossible aujourd'hui :

En cette saison, la masse de neige totale pour l'hémisphère nord culmine à plus de 500 gigatonnes au-dessus de la moyenne de 1982-2012 [Institut météorologique finlandais].
La calotte glaciaire antarctique (qui comprend 90% de l'eau douce de la planète) est bien supérieure à la moyenne de 1979-1990 et en phase d'accroissement [NSIDC].

L'élévation des températures constitue la pierre angulaire de la théorie du réchauffement planétaire.

Par conséquent, rien d'autre n'a d'importance si le mercure ne grimpe pas.

Et nous y voilà : non seulement les températures ne s’élèvent pas, mais elles inversent maintenant la tendance observée à la fin des années 70 (depuis la fin de la mini-période de refroidissement).

Et maintenant les « confinements climatiques »

Des indicateurs actuels donnent à penser que nous allons bientôt faire face à des restrictions de déplacement, pas uniquement à cause de la pandémie mais aussi pour des raisons politiques et environnementales (je ne peux pas parler du virus sans être pénalisé, je ne peux absolument pas dire du mal des vaccins mais faites votre propre recherche sur la « protéine spike » itinérante et biologiquement active en commençant par la chaîne DarkHorse sur YouTube).

La menace exagérée du Covid demeurera pleinement en vigueur et le virus continuera en effet à circuler et à muter en souches plus résistantes aux vaccins — tout comme c'est le cas chaque année pour la grippe saisonnière à la différence, toutefois, que cela occasionnera davantage de confinements.

Dans une large mesure, les gouvernements maintiennent en place les restrictions de déplacement et les exigences de tests compliquées pour dissuader fortement les gens de voyager « pour des raisons autres que le Covid-19 » peut-on lire dans article récent de Forbes.com.

Ce qui nous amène à un autre prétexte pour dépouiller les masses de leurs libertés les plus fondamentales — la soi-disante « urgence climatique ».

Comme l'a rapporté The Telegraph, « les restrictions dues au Covid ont servi de test pour la manière dont nos habitudes de vie pourraient être à l'avenir restreintes pour le bien de la planète » où les gouvernements cherchent à endiguer les voyages bon marché et réduire les émissions carbone sous couvert d'« écologie » alors qu'en réalité, leurs intentions sont bien plus sinistres.

Une population déjà confinée avant les choses tournent mal est bien plus gérable. Ajoutez à cela le rationnement alimentaire (à cause des pénuries planétaires et des restrictions de déplacements susmentionnées) et pour aller de l'avant, le seul moyen de nourrir votre famille sera de vous plier à toutes les règles draconiennes qui seront mises en place par ce système global (encore invisible) de gouvernance mondiale.

Dans une telle situation, ils vous tiendront à leur merci.

Vous n'aurez aucun choix.

Aucune liberté.

Vous serez un vrai esclave de leur système, si vous ne l'êtes pas déjà.

C'est en effet une « alerte rouge pour l'humanité ».

Libérez-vous avant qu'il ne soit trop tard — enfuyez-vous et développez vos propres ressources.

Texte original de CAP ALLON traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : The Guardian

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La « reprise » des glaces de l'Antarctique surprend les scientifiques — les médias de masse n'en parlent pas

Il y a deux ans à peine, les principaux médias grand public annonçaient que les glaces du Pôle Sud étaient en train de fondre à une vitesse ahurissante.

Comme l'a récemment souligné le site notrickszone.com, en juin 2019, le quotidien allemand Süddeutsche Zeitung rapportait que les glaces de l'Antarctique avaient perdu 1,8 million de kilomètres carrés, qualifiant d’impressionnante « la disparition massive de la banquise ».

Et même s'il s'agissait d'un rapport techniquement factuel, il s'est avéré relevant davantage de la volonté obscurantiste du réchauffement climatique anthropique et d'une sélection subjective que d'indications bien fondées d'un phénomène climatique inquiétant.

Et aujourd'hui, en 2021, alors que les glaces connaissent une reprise significative, ces mêmes médias de masse se murent dans un silence qui en dit très long...

La reprise massive des glaces est passée sous silence

Les médias de masse exploitant la cause climatique ont cessé de parler de la situation de la banquise dans l'hémisphère sud.

Et on comprend aisément pourquoi :

En 2020 et 2021, les glaces du Pôle Sud ont enregistré une reprise d'un niveau comparable à celui d'il y a trois décennies.

En outre, l'évolution au cours de ces quarante dernières années, voire plus (l'ère des satellites), est celle d'une forte croissance (d'environ 1% par décennie). 

En 2021, les glaces de l'Antarctique sont bien au-dessus de la moyenne multidécennale (voir ci-dessous).

C'est le scénario catastrophe qui a disparu, pas la banquise :

Le site du NSIDC (centre d'information et de référence de la recherche polaire et cryosphérique aux États-Unis) est temporairement hors service, je ne peux donc pas partager ici les données impressionnantes de ce mois d'août 2021.

Toutefois, si l'on regarde le graphique ci-dessus pour le mois de juin, la ligne magenta autour de la banquise côtière de l'Antarctique qui représente la limite des glaces médianes entre 1981 et 2010 — on voit clairement que cette année, elle s'étend largement au-delà de la norme.

La reprise des glaces de l'Antarctique au cours de ces deux dernières années montre qu'il y a toujours une multitude de facteurs naturels qui demeurent inconnus, écrit le Die kalte Sonne — il semblerait que les cycles océaniques tels que l'ENSO (El Niño Oscillation australe), le MAS (mode annulaire sud) ou l'océan indien jouent un rôle important dans leur variabilité, et non l'augmentation linéaire du CO2.

Une technique classique de désinformation

« Les chercheurs s'accordent sur le fait que le recul de la banquise de l'Antarctique entre 2016 et 2019 est dû à des causes naturelles » écrit le Die kalte Sonne. « Ce qui n'est manifestement pas un bon sujet pour le Süddeutsche Zeitung qui préfère ne pas parler de la reprise des glaces. »

Ne pas informer le public de faits nouveaux en le laissant sur une fausse impression reposant sur des données sélectionnées de manière subjective et vieilles de deux ans,  est là une technique classique de désinformation parfaitement maîtrisée par les médias activistes.

Les GRAND FROIDS sont de retour, les latitudes moyennes connaissent un REGEL en alignement avec la Grande Conjonction, le taux d'activité solaire historiquement bas, les rayons cosmiques provoquant la nucléation des nuages, et le flux du jet stream méridional (entre autres forçages).

En lisant entre les lignes, l'agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) et la NASA semblent s'accorder sur le fait que vers la fin des années 2020, nous allons entrer dans une « véritable » période de Grand Minimum solaire. ICI (en anglais), la NASA considère ce cycle solaire (25) imminent  comme « le plus faible de ces deux derniers siècles », faisant la corrélation entre les précédents arrêts solaires et les périodes de refroidissement planétaire.

En outre, nous ne pouvons ignorer la flopée de nouvelles parutions scientifiques faisant état de l'énorme impact que pourrait avoir le gyre de Beaufort (tourbillon océanique situé dans l'océan Arctique — N.d.T.) et par conséquent sur le climat en général.

Texte original de CAP ALLON traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Il s'avère que la modification du climat n'était pas encore une de ces théories du complot délirantes

La modification et la manipulation du climat n'existent pas.
La modification du climat est une théorie du complot délirante.
Il est scientifiquement impossible de modifier le climat.

Toutes ces phrases répétées ad nauseam des années durant par les médias grand public. Et puis, tout d'un coup, maintenant ces mêmes organes de presse peuvent (et ne s'en privent pas) discuter ouvertement des programmes de modification du climat en cours mis en place par de grandes multinationales et des gouvernements étrangers.

Finalement, on dirait bien que cette « théorie du complot délirante » qu'est la modification climatique n'est pas si insensée que ça.

Le programme de modification climatique de la Chine, parlons-en.

Le programme chinois ressemble fort à une de ces « théories du complot » que les grands médias nous avaient affirmé être fausses.

Dans un article récent, le Business Insider a révélé que la Chine était en train d'« étendre massivement » ses projets de contrôle du climat reconnus publiquement. Cette dernière vise à recouvrir la moitié du pays de pluie et de neige artificielles d'ici 2025. Il s'agit là d'une approche rudimentaire et désormais obscure d'« ensemencement des nuages » dont la découverte fut revendiquée par General Electric en 1946 aux États-Unis. Le programme chinois fut lancé dans les années 60.

Des dizaines d'autres pays ont des programmes similaires. Toutefois, celui de la Chine est le plus important au monde, y employant environ 35.000 personnes. Gardez bien en tête qu'il s'agit là de la branche du programme ouvertement reconnue et non de la recherche et des installations secrètes.

Dans un communiqué, le conseil d'état chinois a déclaré que le projet d'ensemencement des nuages du pays allait s'étendre cinq fois plus afin de couvrir une zone de 3,4 million de mètres carrés.

Le programme de manipulation climatique de la Chine est prévu de s'étendre au monde d'ici 2034

Le conseil d'état a déclaré que le projet aurait atteint son « stade avancé à l'échelle mondiale » d'ici 2034 et contribuerait à atténuer des « catastrophes comme la sécheresse et la grêle » en facilitant les réactions d'urgence « aux incendies de forêt et de prairie ».

Le programme ouvertement reconnu de la Chine a recours à l'ensemencement artificiel de nuages, à la pulvérisation de substances chimiques comme de l'iodure d'argent ou de l'azote liquide à l'intérieur des nuages ce qui permet la condensation de gouttelettes d'eau qui tombent ensuite sous forme de pluie ou de neige.

En 2008, la Chine lançait un projet d'ensemencement nuageux à Beijing juste avant les Jeux olympiques qui provoqua la pluie juste avant le début de l'événement. En 2016, ils ont alloué 30 millions de dollars à cette pratique et commencé à cribler le ciel de balles remplies de sel et autres minéraux.

En 2017, ils ont investi 168 millions de dollars dans une quantité massive de fourniture de matériel pour l'avancement de leur projet, dont quatre avions et « 897 lance-roquettes ». Le Business Insider avait précédemment rapporté que le ministre des finances chinois voulait avoir recours à l'ensemencement nuageux pour produire au moins 60 milliards de mètres cube de précipitations supplémentaires chaque année d'ici 2020.

Selon les médias chinois, employées en 2019 sur Xinjiang, ces tactiques d'ensemencement auraient protégé 70% des récoltes de dégâts anticipés par la grêle.

On est en droit de se demander si un gouvernement disposant de la capacité scientifique à manipuler la météo à si grande échelle ne pourrait pas également envisager de s'en servir comme d'une arme et pas juste à des fins bienveillantes ? Certains pourraient poser la question de savoir si l'ingénierie en est au point où elle pourrait engendrer une tempête du siècle ou toute autre anomalie écologique.

Non, tout cela ne sont que des hypothèses insensées.

Les États-Unis et les Émirats Arabes Unis eux aussi ont ouvertement admis avoir des programmes de modification climatique.

La Chine n'est pas le seul pays à avoir recours à cette technologie de modification du climat.

En 2015, par exemple, les Émirats Arabes Unis ont lancé un programme de recherche de 5 millions de dollars pour la « science d'intensification des précipitations ».

Entre le milieu des années 60 et le début des années 80, aux États-Unis, le NOAA (administration des espaces océaniques et atmosphériques) est passé à l'action avec son projet Stormfury (tempête en furie), un programme créé pour modifier les ouragans. Ils ont aussi eu recours à l'ensemencement de nuages sur les Grandes Plaines et l'Ouest américain afin de « lutter contre la sécheresse ».

Le Wyoming a investi 15 million de dollars dans une étude sur dix ans qui est arrivée à la conclusion que l'ensemencement nuageux pourrait rajouter 10% de neige supplémentaire à une tempête existante.

L'Idaho a même financé un projet de recherche de la fondation nationale pour la science afin de tester cette technique pour accroître l'enneigement.

« La compagnie d'électricité Idaho Power s'intéresse à l'accroissement de l'enneigement des montagnes, ceci afin d'augmenter le niveau d'eau dans les rivières lors de la fonte » a déclaré Jeff French, atmosphériste à l'Université du Wyoming dans un communiqué de presse. « En retour, cela permet d'accroître la productivité en électricité pour toute l'année. »

Les nouveaux suzerains féodaux se lancent eux aussi dans l'aventure

Bill Gates finance des projets de modification climatique (vous parlez d'une surprise !). L'un d'eux ressemble étrangement aux « chemtrails » (traînées chimiques) que l'on ne peut évoquer sans se faire railler et traiter de fou.

Et en tout état de cause, ne reconnaissez pas que vous croyez aux théories du complot au risque que le FBI vous considère comme un terroriste national.

Le projet de Gates, baptisé Solar Geoengineering (ingénierie solaire), vise à répliquer les effets d'une gigantesque éruption volcanique. Des milliers d'avions seraient envoyés à haute altitude pour pulvériser des millions de tonnes de particules tout autour de la planète pour créer un immense nuage chimique pour en refroidir la surface.

Toutefois, le problème avec la réplication d'une gigantesque éruption volcanique est que ça ne fera pas que refroidir la Terre mais pourrait mener à une ère glaciaire qui engendrerait famine, chaos, guerres et mort. Mais cela n'a aucune importance pour Gates. Ni pour aucun gouvernement national résolument décidé à renverser l’équilibre naturel et celui que les hommes doivent avoir avec la nature pour survivre en son milieu.

Beaucoup diraient que c'est justement là le but.

Mais ces personnes sont forcément des théoriciens du complot.

Que pensez-vous de la modification du climat ?

Pensez-vous qu'elle a déjà été utilisée ? Avez-vous des inquiétudes à propos de cette voie de développement ?

Texte original de ROBERT WHEELER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Le changement climatique

Comment le changement climatique est-il relié à la tentative de l'élite bancaire de passer outre la souveraineté nationale pour mettre en place une gouvernance mondiale et créer un impôt international pour financer leur domination ?

Le débat autour du réchauffement planétaire peut s'avérer délicat et prêter à controverse. Il est souvent présenté par des allégations extrêmes de part et d'autre : soit c'est la pollution humaine qui en est à l'origine ou bien c'est dernière n'a rien à voir et il n'y aucun problème. Sauf que nous pensons que les deux sont faux. Il existe une grande diversité de sources potentielles de changement climatique, chacune avec d'innombrables conséquences à la clé. Beaucoup de scientifiques sont persuadés que la géo-ingénierie dans le ciel, souvent désignée sous le nom de « chemtrails » (traînées chimiques), a une incidence désastreuse sur la météo. Les Chinois ont reconnu depuis longtemps se livrer à des manipulations climatiques et le lien entre ces dernières et la guerre a été établi depuis 1812. D'aucuns attribuent les modifications climatiques à la pollution humaine via les émissions CO2 tandis que d'autres l'imputent au cycle naturel du réchauffement solaire. Mettre en doute la validité de n'importe laquelle de ces perspectives tend à raviver les hostilités, et il est stupéfiant de constater le manque d'ouverture et de respect dans ces débats et échanges sur un sujet aussi impactant dans nos vies à tous. Quelle que soit la cause, ici à Thrive Movement, nous pensons que l'homme est à l'origine d'émissions comme le dioxyde de carbone issu de la combustion de carburants fossiles, le méthane en provenance des fermes industrielles et le protoxyde d'azote des pesticides et fertilisants auxquelles il faut mettre un frein. Il ne fait aucun doute qu'elles posent de graves problèmes dont la pollution environnementale et des problèmes de santé comme l'asthme. Nous considérons également la géo-ingénierie et les retombées de métaux lourds sur les gens et les plantes comme une menace importante à notre bien-être ainsi qu'à notre capacité à produire une nourriture saine. De même, nous pensons que les preuves étayant l'influence du soleil sont incontestables et devraient être prises en compte pour élargir le débat. Comprendre la cause — ou plus vraisemblablement les causes — est ce qui nous aidera à mettre au point des réponses efficaces.

Bien qu'il n'existe pratiquement aucun débat ouvert et public sur la question du réchauffement planétaire, le consensus général est que les gaz à effet de serre (GES) qui sont libérés dans l'atmosphère terrestre à un rythme croissant — en grande partie dus à la pollution humaine — retiennent la chaleur dans cette dernière et réchauffent la planète. Même si ces émissions polluent manifestement l'air que nous respirons et sont à l'origine de nombreuses autres catastrophes environnementales, cela ne signifie pas pour autant que cette pollution soit la cause du réchauffement de la Terre.

Les autres théories et explications scientifiques au réchauffement planétaires sont virtuellement ignorées. Par exemple, l'impact de la géo-ingénierie du ciel, des chemtrails et du HAARP n'est même pas reconnus par le gouvernement américain malgré les preuves documentées de leur mise en œuvre et de leurs effets sur la météo (voir article la géo-ingénierie humaineen anglais). Il existe des preuves qui montrent que les autres planètes de notre système solaire se réchauffent, suggérant que l'activité du soleil pourrait être à l'origine de l'augmentation des températures sur Terre. D'autres preuves encore laissent à penser que cette tendance est déjà en train de s'inverser et que certaines parties de la planète sont en train de se refroidir. Il se trouve que le Dr Phil Jones, directeur de l'unité de recherche sur le climat (CRU) de l'université d'East Anglia au Royaume Uni, a admis lors d'un entretien avec la BBC en 2010 que « depuis 1995 jusqu'à aujourd'hui, il n'y a eu aucun réchauffement planétaire statistiquement significatif ». Les relevés de température effectuées par satellite, plus fiables que ceux effectués en surface,indiquent que la tendance au réchauffement la plus récente a pris fin en 1998. Les effets duquel peuvent encore se ressentir (la dernière mise à jour de cet article date du 22 août 2012 — N.d.T.) même si tout atteste que la tendance s'est inversée, les modifications géologiques étant longues à apparaître qu'il s'agisse de réchauffement ou de refroidissement.

Étant donné la concentration croissante des pouvoirs et la diminution de la souveraineté des individus, communautés et nations, nous craignons que la taxe carbone (payée à la Banque mondiale et imposée par les forces de police internationales) ne serve d'assise financière à un gouvernement mondial involontaire qui affaiblirait davantage la souveraineté de chaque nation. Ne serait-il pas logique qu'une chose aussi lourde de conséquences soit discutée et examinée de manière transparente ? Au lieu de cela, le simple fait de poser la question est accueilli avec hostilité.

On assiste à beaucoup de propagande de part et d'autre de ceux qui ont tout intérêt à ce que les gens adoptent un point de vue plutôt qu'un autre. Ceux qui dénoncent l'activité solaire comme cause du réchauffement planétaire sont souvent tournés en ridicule et accusés d'être financés par l'industrie pétrolière ; ceux qui montrent du doigt les chemtrails se font traiter de « théoriciens du complot » ; tandis que ceux qui mettent en avant la théorie des émissions CO2 sont généralement considérés comme complices de la pollution des grandes multinationales en soutenant le système de quotas et de taxes et autres programmes insuffisants pour lutter contre la pollution et comme lobbyistes ignorants au service de l'agenda de gouvernance mondiale. Qui a raison ?

Nous pensons qu'il est important de démêler le problème. Dirigeants mondiaux, banquiers, corporations et chercheurs universitaires ont beaucoup à gagner que le réchauffement planétaire imputable à la pollution soit accepté comme vérité. Sans discussion et débat franc et ouvert, le public est incité à accepter des solutions incomplètes et inadéquates comme le système de quotas et de taxes à l'échelle internationale.

Un tel système limite les émissions carbone et permet aux plus grands pollueurs d'acheter des « crédits de pollution » à ceux qui polluent le moins. Plutôt que de limiter la pollution, cela ne fait que permettre à ceux qui ont le plus d'argent d'acheter leur « droit » à polluer auprès des autres. Ce « marché des droits à polluer » est la réponse de l'élite à une interprétation simpliste et intéressée du changement climatique et ouvre la voie à la prochaine bulle de marché que les banquiers pourront pomper et liquider. Il s'agit là d'une stratégie habituelle employée par l'élite mondiale : ils créent ou capitalisent sur un « problème », instillent de la peur aux gens afin d'obtenir une certaine « réaction », puis proposent une « solution » qui ils vont tirer profit à nos dépens — et à ceux de notre planète.

Le marché des droits à polluer semblent aussi constituer l'étape préliminaire à l'instauration d'un système de fiscalité et une instance dirigeante à l'échelle planétaire. L'élite mondiale peut se servir de ce système de quotas et de taxes pour habituer les gens aux taxes internationales, tout en renforçant et accroissant ses pouvoirs.

Cela confirme la necessité de réfléchir en termes plus généraux et d'organisés des débats télévisés suivis transparents en ce qui concerne le lien entre la pollution corporative, la taxe carbone et la gouvernance mondiale souhaitée par le soi-disant Nouvel Ordre Mondial. Il faudrait aussi que ce débat tienne compte de l'impact climatique de la géo-ingénierie sous forme de « chemtrails ».

Pour comprendre le rôle potentiel des chemtrails dans le changement climatique, voir "What in the World are They Spraying?" et "Why in the World are They Spraying?".

Pour une exploration poussée et bien étayée des mensonges et manipulations de l'ordre établi du réchauffement planétaire, jetez un œ€il à l'article “Is the Western Climate Establishment Corrupt?” et au documentaire “The Great Global Warming Swindle.”

Pour aller plus loin dans le problème du marché du droit à polluer, visionner la vidéo d'Annie Leonard : “The Story of Cap and Trade: Why You Can’t Solve a Problem with the Thinking that Created It" (toutes ces ressources sont bien sûr en anglais — N.d.T.).

Pour confronter des informations importantes sur le « changement climatique », posez-vous les questions suivantes et discutez-en avec d'autres personnes. Il est essentiel que nous participions à un débat honnête ouvert sur une question aussi lourde de conséquences.

  • Si d'autres planètes de notre système solaire se réchauffent aussi, ne se pourrait-il pas alors que le soleil soit une cause majeure du  réchauffement planétaire ?
  • Quel est le rôle de la manipulation météorologique dans le marché à terme des produits de base ?
  • Pourquoi n'y a-t-il aucun débat télévisé public en direct sur le réchauffement planétaire ? Pourquoi Al Gore et les scientifiques du GIEC (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) refusent-ils de participer ?
  • Al Gore a-t-il un intérêt financier à ce que les gens croient ses données sur le réchauffement planétaire?
  • Si le CO2 est à l'origine du réchauffement planétaire, pourquoi les propres graphiques d'Al Gore que les changements de température précédent en fait et ne suivent pas les modifications des taux de CO2 ?
  • Des fluctuations de températures se sont-elles produites auparavant ? Y en a-t-il eu avant que les hommes n'aient recours aux carburants fossiles ? Pourquoi les partisans de la taxe mondiale sur le carbone, comme l'unité de recherche climatique de l'université d'East Anglia, font-ils abstraction de données comme celles du réchauffement climatique médiéval dans les débats publics ?

Texte original de FOSTER GAMBLE traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Écoutez

Il est temps d'assister à un miracle,
Quelque chose de biblique
Pour nous sortir de là.
Et c'est la fin —
La fin du monde !
Proclamons la victoire éternelle,
Allons, changeons le cours de l'histoire...

"Apocalypse Please", Muse (2003)

Depuis le temps qu'on le disait, il fallait bien que ça arrive. Peu importe l'origine de cette crise sanitaire et ses dessous, nous voici bel et bien arrivés au pied du mur et il n'est plus possible de rester dans l'entre-deux. L'humanité doit choisir. Chaque être humain, quelle que soit sa condition, son âge, sa position sociale, doit choisir. Choisir entre deux extrêmes. La peur ou l'amour. La peur issue du faux sentiment de séparation, que l'on doit survivre ou être englouti parce qu'il n'y a pas assez. Ou bien l'amour qui vous donnera la force et la patience nécessaire de surmonter cette tempête dans le calme et la bienveillance en faisant de votre mieux pour rassurer, épauler et conforter vos semblables pris entre deux feux. Certains sombreront malheureusement. Mais c'est un choix qu'ils ont fait depuis longtemps. Je ne pense pas qu'on puisse se transformer en espèce de sauvage égoïste, irresponsable et respectueux de rien ni personne comme on peut voir actuellement sous la simple excuse d'avoir peur. C'est là que nous allons aller de surprise en surprise et découvrir l'étoffe dont nous sommes tous faits. Le courage, comme disait je ne sais plus qui, ce n'est pas ne pas avoir peur mais transcender sa peur. Et la seule chose qui puisse vaincre la peur, c'est l'amour. L'amour au sens bien plus large que celui qu'on lui donne à toutes les sauces. Peu importe comment on le définit, vous le trouverez en vous si vous l'y cherchez et vous saurez. Je n'ai pas l'intention de nourrir l'égrégore donc je vais continuer ma programmation d'articles comme prévu en essayant d'apporter encore plus de positif dans ceux à venir. En fait, je ne cherche pas les articles, ce sont eux qui me trouvent. Après si ça choque certains, c'est dommage mais on se passera de votre permission et de vos grands airs outragés. Les irresponsables en l’occurrence sont ceux qui vous ordonnent d'avoir peur sinon... Sinon quoi ? (Merci à Jo pour m'avoir envoyé cette vidéo).

Ey@el

STOP.
Arrêtez.
Ne bougez plus.
Je ne vous le demande plus, je vous l'ordonne.
Je suis là pour vous aider. 

Ce train supersonique de montagnes russes a déraillé et ne peut plus continuer.
Arrêtez les avions, les trains, les écoles, les centres commerciaux, les rassemblements.
Nous avons rompu le tourbillon frénétique des illusions et des obligations qui vous empêchaient de lever les yeux au ciel.
Regardez les étoiles, écoutez la mer, laissez-vous bercer par le gazouillis des oiseaux.
Roulez-vous dans l'herbe,
Cueillez une pomme dans un arbre,
Souriez à un animal dans les bois,
Respirez la montagne,
Écoutez votre bon sens. 

Nous avons été obligés de le casser.
Vous ne pouvez pas vous prendre pour Dieu.
Nous avons des obligations mutuelles comme il en a toujours été, même si vous l'avez oublié.
Nous allons maintenant arrêter cette diffusion, cette cacophonie incessante de séparations et de distractions pour vous dire ceci :
Nous n'allons pas bien, aucun de nous, nous souffrons tous.

L'an dernier, les incendies qui ont mis le feu aux poumons de la Terre ne vous ont pas arrêtés, pas plus que la fonte des pôles ou que l'effondrement de vos villes, ou le simple fait d'admettre que vous êtes les seuls responsables de la sixième extinction massive.
Vous ne m'avez pas écoutée.
C'est difficile d'écouter quand on est trop occupé à escalader les échelons toujours plus hauts de la structure de confort que vous créez pour vous-mêmes.
Aujourd'hui, les fondations tombent en ruine, elles s'effondrent sous le poids de vos désirs fictifs.
Je vais vous aider. Je vais allumer des incendies dans vos corps, inonder vos poumons, vous isoler comme des ours polaires sur un iceberg en train de fondre. M'écouterez-vous maintenant ?

Nous n'allons pas bien.
Je ne suis pas votre ennemie, je suis juste une messagère, une alliée. Je suis la force qui va tout rééquilibrer.
Alors maintenant, vous devez m'écouter, je hurle pour que vous arrêtiez.
Stop.
Taisez-vous et écoutez.

Regardez le ciel, il est comment ?
Il n'y a plus d'avions. À quel point devez-vous être en bonne santé pour apprécier l'oxygène que vous respirez ?
Regardez l'océan, il est comment ?
Regardez les fleuves, ils sont comment ?
Regardez la Terre, elle est comment ?
Maintenant, regardez-vous, vous vous sentez comment ?
On ne peut pas être en bonne santé dans un écosystème malade.

Arrêtez.
Aujourd'hui, beaucoup de gens ont peur.
Ne diabolisez pas votre peur, ne la laisser pas vous contrôler.
Laissez-là vous parler. Écoutez les paroles sages qu'elle a à dire.
Apprenez à sourire avec les yeux.
Je vais vous aider... si vous êtes disposés à écouter.

Texte original de DARINKA MONTICO traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Mauvaise nouvelle pour les alarmistes : des données officielles révèlent que la banquise arctique est en train de se reformer

Des informations gouvernementales officielles recueillies par le centre national américain de données sur la neige et la glace (NSIDC) révèlent que la banquise de l'Arctique est en train de se reformer, les niveaux actuels en 2020 dépassant huit des dix années précédentes.

Ces données n'ont rien de catastrophique, d'alarmant ni même d'un tant soit peu préoccupant et viennent clouer le bec aux « sombres prophéties » rabâchées au quotidien par les médias occidentaux. Très peu de médias grand public font de la vérification de faits leur priorité numéro un – il y a beaucoup de démagogie, bien sûr, et une surenchère d'écrits sur la manière dont la science et les consensus (pour ce qui serait la première fois dans l'histoire) se sont, comme par magie, alliés pour accoucher d'une vérité incontestable... Il n'empêche que les œillères qui font exclure le graphique ci-dessous montrant l'étendue de la banquise arctique de TOUS les médias traditionnels devraient vous laisser sceptiques.

http://nsidc.org/arcticseaicenews/charctic-interactive-sea-ice-graph/


L'étendue de la banquise arctique en janvier 2020 s'inscrit AU-DESSUS des niveaux observés pour les années 2019, 2018, 2017, 2016, 2015, 2012 (plus bas niveau enregistré), 2011, ET 2010.

Vous imaginez un peu des médias comme le Guardian (grand quotidien britannique de gauche — N.d.T.), par exemple, se baser là-dessus ? Ces données ne proviennent pas d'un quelconque site conspirationniste olé-olé mais du NSIDC qui revendique le soutien la NASA et qui dispose de satellites et tout le tintouin. Non, l'exclusion de tels graphiques trahit l'existence d'un agenda qui devrait alarmer même ceux dont les détecteurs de connerie sont au plus bas.

Cela relève probablement davantage de l'équation flagrante « gros titres apocalyptiques = taux de clics maximum (et donc plus de $$$) » que d'un sinistre effort politique vers la création d'un socialisme mondial. Ou alors, c'est juste que la majorité des éditorialistes des grands médias ne sont qu'une bande de hippies crédules sous pilule bleue (en référence au film Matrix où la pilule bleue est celle du déni et la rouge, du choix de voir la voir la réalité sans fard — N.d.T.).

Quelle que soit la raison — qu'il s'agisse d'une ponction financière sans pitié ou bien d'un bout à l'autre d'un regrettable prétexte au déploiement du mondialisme — il est toujours question de picorage, de malhonnêteté et de fraude...

Il est préférable de vérifier vous-mêmes les faits (du mieux que vous pourrez) parce que, selon Albert Einstein, « le respect aveugle de l’autorité est le plus grand ennemi de la vérité ».

Et vous pouvez commencer avec cette carte ci-desous de la récente étendue de la banquise arctique par rapport aux années 1981-2010.

La progression de 2020 vous paraît-elle catastrophique...?

Texte original de CAP ALLON traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : Rupert Thorpe

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Le CO2 verdit la Terre

Depuis des milliards d'années, il y a toujours eu des modifications climatiques. Tout le monde conviendra qu'il y aurait davantage matière à s'inquiéter si elles cessaient de ce produire. Le point de discorde dans ce débat sur le climat porte sur la réalité, la magnitude et les causes et conséquences de ces modifications et la part — si peu qu'il y en ait une — imputable à l'activité humaine.

De toute évidence, cette vidéo sera différente des autres mais étant donné que le sujet est devenu un enjeu majeur extrêmement politisé à visée électorale, j'ai pensé que ce ne serait que justice d'en exposer une vision à contre-courant dont vont s'emparer les Al-Gore-rythmes de YouTube pour aller l'enfouir aux fins fonds de l'Internet avec toutes mes autres vidéos politiquement incorrectes. Et avant de me dire que je n'ai aucune autorité pour m'exprimer sur la question parce que je ne suis pas climatologue, il en va de même pour Al Gore, Leonardo DiCaprio, Greta Thunberg, Bill Nyen et tous ces gens. Donc je me suis dit qu'un chat qui parle avait, lui aussi, le droit de donner son avis.

Le principal sujet de préoccupation de la climatologie aujourd'hui porte expressément sur le dioxyde de carbone émis par la combustion des carburants fossiles. Depuis qu'Al Gore s'est fait des millions à propager des prédictions alarmistes sur le climat, on nous a bourré le mou comme quoi le CO2 serait une toxine malfaisante et que si rien n'était fait pour y remédier dans l'immédiat, toute vie sur Terre disparaîtrait — ou bien que nous allions vivre dans une sorte de scénario de fin du monde à la Mad Max — et même si certains oiseaux de malheur ont l'air de prendre leur pied avec ce genre de porno apocalyptique, le CO2 n'a rien d'un Père Fouettard, le ciel ne va pas s'écrouler, et aucune urgence climatique ne pèse sur nos têtes.

Commençons par les principes fondamentaux sur lesquels, je pense, tout le monde s'accordera.

L'énergie lumineuse visible de notre soleil traverse notre atmosphère pour être absorbée par la terre et les océans. Les sols sont réchauffés et relâchent un peu de cette chaleur sous forme de rayonnement infrarouge dans l'atmosphère pour se refroidir. Là, les gaz à effet de serre font office de couvercle de casserole pour retenir une partie de cette énergie calorifique. Ces derniers ont beau avoir mauvaise presse, sans eux la Terre ressemblerait à une boule de glace et la vie telle que nous la connaissons y serait tout bonnement impossible.

Le CO2 est un gaz à effet de serre particulièrement important dont la présence dans l'atmosphère terrestre remonte à bien avant l'avènement de l'humanité. En dépit de l'hystérie généralisée à son sujet, le CO2 n'est pas toxique mais essentiel à la vie sur Terre. Bien sûr, si vous ne respiriez que du CO2, vous seriez morts — mais il en va de même pour l'eau qui est aussi un composé naturel essentiel à la vie et qui se trouve à la base de 95% de tous les gaz à effet de serre présents dans l'atmosphère.

Alors même s'il est vrai qu'il a enregistré une forte augmentation au cours des 40 dernières années, voici ce qu'il en est comparativement à tous les autres gaz atmosphériques : le CO2 ne représente que 400 parts par million soit 0,04% dans la constitution de l'atmosphère terrestre dont seuls 3,5% de tout le CO2 émis chaque année est imputable à l'activité humaine, le reste étant produit naturellement.

Théoriquement, le volume de CO2 d'origine anthropique (lié à l'activité humaine) dans l'atmosphère n'a fait que freiner le refroidissement de la planète de 1%. Cela ne signifie pas que cette augmentation du dioxyde de carbone soit sans incidence, mais cela n'implique pas nécessairement non plus qu'elle soit responsable d'un réchauffement astronomique ni même que ce soit une mauvaise chose. En fait, si l'on s'en réfère à la majeure partie de l'histoire de la planète, nos taux de CO2 et nos températures sont très faibles en comparaison.

À l'exception près d'il y a 300 millions d'années, durant l'ère carbonifère tardive qui ressemblait beaucoup à notre climat actuel et qui, comme à présent, marquait une période de refroidissement majeure. À cette époque, le CO2 atmosphérique chuta à environ 350-400 ppm quand le carbone fut aspiré dans les sols. Ce qui, paradoxalement, est à l'origine de la formation du charbon que nous utilisons aujourd'hui et dont la combustion relâche du CO2 dans l’atmosphère.

Selon ceux qui redoutent une catastrophe climatique, il est impératif que nous réduisions nos taux actuels de CO2 atmosphérique afin de refroidir la planète. Même si l'on sait qu'à la fin de cette période où la diversité végétale diminua au rythme du fléchissement des concentrations de dioxyde de carbone, la Terre fut à deux doigts de se transformer en boule de neige, tuant pratiquement tout ce qui s'y trouvait — « mais comment osez-vous ! » etc. Le globe terrestre ne doit d'avoir échappé à son statut d'Esquimau qu'à l'heureuse intervention de phénomènes naturels dont l'apparition des termites qui, à ce jour, sont toujours à l'origine d'environ 2% de tout notre CO2 atmosphérique.

Alors que se passera-t-il si le réchauffement planétaire se poursuit et si le CO2 continue de grimper ?

Eh bien, nous disposons de données indirectes remontant à des centaines de millions d'années qui servent à évaluer le climat et l'atmosphère à l'aide de collecteurs de données naturels comme les carottes glaciaires, les anneaux de croissance des arbres et les fossiles. Certes, ces derniers ne nous fournissent pas de chiffres précis et ne constituent pas exactement ce que l'on pourrait appeler une science exacte, mais ils nous donnent une approximation des conditions climatiques terrestres antérieures, un peu comme si nous consultions les chapitres de l'histoire de la planète plutôt que des pages individuelles. Et l'observation de ces données indirectes d'il y a des millions d'années rend nos modifications climatiques un peu moins inquiétantes.

On estime que durant l'explosion cambrienne, les taux de CO2 étaient jusqu'à 17 fois plus élevés, à environ 7.000 ppm, et ce fut considéré comme l'avènement de la vie moderne. Ces températures et taux de dioxyde de carbone élevés furent essentiels à la création de nombreuses grandes catégories d'animaux encore en existence aujourd'hui et qui se sont développées au cours des premiers 40 millions d'années de cette ère. Si l'on regarde 55 millions d'années en arrière, pendant le maximum thermique du Paléocène (PETM), il y eut un afflux massif de CO2 et de méthane libérés dans l'atmosphère. Les taux de dioxyde de carbone doublèrent en peu de temps et les températures grimpèrent de 5 à 8°C pour une chaleur bien plus élevée qu'aujourd'hui.

Cette période est devenue le point de référence historique pour essayer d'établir un lien entre le réchauffement planétaire et l'élévation du CO2 en dépit des objections de nombreux réactionnaires qui tentent d'expliquer que cette progression a été beaucoup plus lente qu'elle ne l'est aujourd'hui. Une nouvelle étude reposant sur des données indirectes fournies par de la boue remet en question cette présomption. En effet, en retraçant les revers d'isotopes d'oxygène et de carbone associés à cette période, on a découvert que ces derniers ne figuraient que dans treize bandes, ce qui laisse à penser que cette poussée de PETM s'est déroulé en à peine 13 ans. En comparaison à aujourd'hui où les températures n'ont augmenté que d'un degré en 150 ans.

L'explication la plus plausible est que ce PETM a été déclenché par une comète comme certaines preuves l'indiquent. Et si cela suggère que ce réchauffement est largement imputable au méthane plutôt qu'au CO2, cet événement est loin d'être négatif. D'après la chronique de fossiles polonaise, cette élévation des températures et du dioxyde de carbone a eu un impact extraordinaire sur le développement de la biodiversité à court terme. C'est grâce à ce climat chaud et humide que les premiers primates véritables firent leur apparition et prospérèrent. Ce qui m'amène à remettre en questions les prédictions alarmistes pour le cas où les températures globales augmenteraient encore d'un degré et demi.

Parmi les époques plus proches de la nôtre ayant connu des pics de température, il y eut le réchauffement de la période romaine et également celui du Moyen-Âge, environ 900 à 1300 après J.-C., tout deux étayés par de nombreux éléments de preuve. Cet épisode de réchauffement planétaire fut provoqué par une réchauffement des deux deux hémisphères nord et sud y compris des glaciers de Nouvelle-Zélande. Cette période connut un accroissement de population et les Vikings colonisèrent le Groenland — tous ces récits qui relatent leur traversée de l'océan arctique désormais recouvert d'une banquise permanente — les cultures prospérèrent et on fit pousser des vignes tout au nord jusqu'à l'Angleterre où cela n'est plus possible aujourd'hui. Outre des registres d'archives incontestables, les données fournies par les anneaux de croissance d'arbres du sud-ouest des États-Unis laissent à penser qu'il a dû faire un degré de plus que le maximum actuel — ce qui signifie que non seulement les hommes ont survécu à des épisodes de chaleur extrêmes mais qu'en plus ils ont prospéré. Et comme pour la plupart des périodes de réchauffement à travers l'histoire, cela n'eut rien à voir avec l'augmentation du CO2.

Mais qu'en est-il de la Vérité qui dérange, le film d'Al Gore où il établit une corrélation directe entre le CO2 et la température à partir d'un échantillon de carotte glaciaire ?

La seule vérité qui dérange ici, c'est qu'Al Gore est un menteur! En effet, il a intentionnellement inversé les données pour vous berner afin que vous pensiez qu'il n'est pas un idiot fini — scoop : c'en est vraiment un ! Plusieurs relevés significatifs effectués sur des carottes glaciaires montrent tous un décalage de 600 à 800 ans séparant les hausses de température et de CO2. Le dioxyde de carbone fut la conséquence de la chaleur et non sa cause initiale. Cet écart est dû au réchauffement des océans qui finit par aboutir à une libération de CO2 et de méthane dans l'atmosphère à l'image des émanations gazeuses d'un soda.

Suivant cette logique, on pourrait affirmer que l'augmentation lente mais régulière du CO2 depuis près de 200 ans pourrait être influencée par le décalage avec le réchauffement de la période médiévale qui s'est terminé il y a environ 700 ans. Et bien sûr, nous connaissons également un léger réchauffement depuis la fin du petit âge glaciaire qui a pris fin aux alentours de 1850. Ceci tient compte d'une hausse naturelle et totalement indépendante de l'activité humaine du dioxyde de carbone et de la température au cours du siècle passé. En revanche, la chute des températures peut déclencher des événements amenant la planète à priver l'atmosphère de son CO2 indispensable. Et on compte de nombreux exemples dans l'histoire où le taux de CO2 a atteint des niveaux inquiétants.

Par l'examen des échantillons de carottes glaciaires de l'Antarctique, on sait qu'au cours du dernier maximum glaciaire, il y a environ 18.000 ans, les concentrations en dioxyde de carbone atmosphérique sont descendues à 108 ppm, soit 30 ppm au-dessus du taux nécessaire au maintien de la vie. En l'espace d'une seule génération de plantes exposée à un faible taux de CO2, on observe une diminution moyenne de 50% la photosynthèse et de la production de biomasse avec une répercussion directe sur toute vie sur Terre. Aujourd'hui encore, nos taux de dioxyde de carbone sont à peine suffisants pour notre végétation actuelle parce que la plupart de ces plantes ont besoin de concentrations élevées en  CO2 pour se développer.

Les bénéfices d'une supplémentation en gaz carbonique pour la croissance et la production végétale sont bien connus grâce à des centaines d'études qui ont démontré que les plantes prospéraient dans une atmosphère enrichie en CO2. De telles expériences sont plus faciles à réaliser dans des serres où en augmentant le CO2 à 1.000 ppm, on obtiendra une hausse de la photosynthèse de l'ordre de 50% en comparaison avec les taux de CO2 ambiants.

Que se passe-t-il donc lors d'une élévation des taux de CO2 atmosphérique ?

Exactement ce à quoi on pourrait s'attendre : depuis 35 ans, son effet verdissant a pu être observé sur près de la moitié des terres végétalisées. Selon une nouvelle étude, on estime que 70% de ce verdissement serait la conséquence d'une élévation des taux de CO2. Au siècle dernier, la croissance des végétaux a été bien plus rapide qu'elle ne l'a jamais été en 5.400 ans. Un développement prodigieux. Et combien même les alarmistes écolos prétenderaient que cela ne va pas durer parce que l'élévation des températures va provoquer des sécheresses massives et réduire les ressources hydriques indispensables aux plantes, l'élévation des températures entraîne, en fait, une augmentation des précipitations. Et davantage de végétaux implique plus de transpiration aboutissant à une augmentation des pluies, lesquelles produisent un accroissement de la végétation.

Cette dernière décennie  a enregistré un record de précipitations en de nombreux points du globe qui ne fera que s'accentuer au cours du siècle. C'est pourquoi on assiste à un verdissement de zones où les conditions sont normalement trop arides pour permettre e type de développement. On estime que d'ici la fin du siècle, la biomasse mondiale aura augmenté de 40% car le réchauffement des températures va produire un allongement des période des saisons de culture et une croissance plus rapide des plantes qui vont métaboliser davantage de CO2 atmosphérique comme on peut le voir sur cette modélisation de la NASA lors du passage de l'hiver à l'automne (à 12:06 dans la vidéo).

En fait, la végétation convertit 31% du dioxyde de carbone atmosphérique de plus qu'avant la révolution industrielle. Ce qui implique que chaque acre de terre cultivée produit plus de nourriture qu'il y a un siècle.

Vous voyez, la Terre se porte bien. On ne peut vraiment en dire de même de l'humanité.

Bien que comparativement, il est plus vraissemblable que les faibles taux de CO2 du petit âge glaciaire (entre 1300 et 1850) aient été à l'origine des mauvaises récoltes enregistrées dans les archives des moines et des vignerons de l'époque, lesquelles entrainant famine, pauvreté et troubles sociaux pour des millions de personnes. Contrairement à ce qu'essaie de propager Greta, non seulement il y a davantage de personnes qui meurent de faim en période de froid —  mais une étude récente montre que le froid provoquerait 21 fois plus de décès que la chaleur. En fait, le nombre de morts imputables au climat a chuté d'un demi-million par an dans les années 20 à moins de 25,000 par an ces dix dernières années.

Et en dépit de la propagande, nous n'avons pas connu davantage d'augmentation de vagues de chaleur que de sécheresse ou d'inondations. Ni aucune diminution importante des ouragans ou des feux de forêt et des tornades depuis les années 50. Comment un tel niveau de réchauffement peut-il s'avérer dangereux ? La peur reste bien en deçà des températures naturelles de multiples périodes interglaciales antérieures.

L'histoire nous a enseigné que l'humanité et la biosphère se portaient généralement mieux durant les périodes avec des taux de CO2, plus élevés. Alors s'il est effectivement vrai que les hommes sont en mesure de planifier et contrôler les températures mondiales, pourquoi personne ne pose la question de savoir quelle est la température mondiale optimale ? Et si, sans le savoir, nous aidions la planète a atteindre son juste milieu en émettant du CO2 lorsque les conditions sont réunies pour la biosphère comme l'ont fait les termites il y a 300 millions d'années et que ce soit, paradoxalement, ces prétendus écoguerriers qui essaient en fait d'entraver ce processus ?

Et même s'il existe des sources naturelles d'émission de CO2 comme l'activité volcanique et les termites, rien ne prouve que des volumes importants de CO2 supplémentaire soient venus enrichir l'atmosphère au cours de la baisse amorcée il y a 140 millions d'années et qui a donné naissance à notre ère. En vérité, le volume de CO2 n'a cessé de diminuer au point où toute forme de vie aurait pu disparaître rapidement sur une échelle de temps géologique jusqu'à aujourd'hui si l'homme n'avait rejeté dans l'atmosphère le carbone enfoui. Aussi, sans émissions dues à l'activité humaine, on aurait pu récemment présumer que les taux de CO2 auraient continué de diminuer comme ce fut le cas lors de ces dernières 140 millions d'années.

Ce qui m'amène à cette question importante :  combien de temps aurait-il fallu pour qu'en l'absence d'émissions anthropiques, l'épuisement progressif du CO2 atmosphérique atteigne des niveaux bien en deçà du seuil vital signant ainsi le début de la fin de toute forme vie sur Terre ?

Texte original de THE TRUTH FACTORY transcrit et traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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