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Dommages dus aux vaccins COVID : la marge de manœuvre est-elle en train de s'agrandir au point d'en parler dans les milieux « mainstream » ?

Dernièrement, mon ami et collègue, le Dr Mahava Setty a écrit une critique analysant un récent article du New York Times au sujet de milliers de personnes s'estimant victimes de dommages vaccinaux.

Rédigé par Apporva Mandavilli, l'article intitulé "Des milliers de personnes pensent que le vaccin Covid leur a fait du mal. Est-ce que quelqu'un les écoute ?" est présenté comme suit :

Apoorva Mandavilli a passé plus d'un an à discuter avec des dizaines d'experts en science vaccinale, des décideurs politiques et des personnes affirmant avoir fait l'expérience de graves effets secondaires suivant l'administration du vaccin Covid-19.

Dans sa critique, Mahava émet quelques remarques judicieuses. Je vais donc vous en résumer quelques-unes auxquelles j'apporterai ensuite mes propres réflexions.

Tout d'abord, voici les critiques de Mahava :

  1. D'où viennent ces « milliers » en parlant de personnes ayant subi des dommages vaccinaux ? Ne devrait-il pas y avoir une source ? Qu'en est-il des millions de signalements au VAERS (le système de recensement des effets secondaires des vaccins aux États-Unis — N.d.T.) ? « Des milliers », ça semble un nombre arbitraire et aléatoire pour minimiser le problème.
  2. Le New York Times reconnaît subitement qu'il y existe un sous-ensemble de personnes crédibles, persuadées d'avoir subi des dommages vaccinaux. Des médecins, par exemple. Madhava souligne que les exemples présentés par le Times portent sur des personnes auxquelles le lecteur de base ne peut s'identifier parce qu'il s'agit de vaccins retirés du marché. En outre, certaines des victimes écartent le vaccin comme cause de leurs blessures même si ces dernières sont apparues immédiatement après l'injection. D'aucuns pensent même que la cause n'est pas due au vaccin lui-même mais à la contamination. Tous sèment le doute dans l'esprit du lecteur.
  3. Madhava fait remarquer que le New York Time estime que la désinformation à propos des vaccins et les affirmations manifestement trompeuses des « antivax » sont la cause de la difficulté à y voir clair concernant les vaccins Covid. Comme si le CDC (centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis — N.d.T.), le gouvernement et le New York Times n'avaient pas eux-même leur part de responsabilité. Le New York Times n'a jamais relevé ce qui était faux dans les allégations des antivax, se contentant d'affirmer que c'était faux. Le journal continue de jouer la confusion sur les raisons des réticences après des millions de signalements de blessures et des années de rapports de personnes crédibles ignorés des milieux « mainstream ». En résumé, le New York Times vit dans un monde imaginaire qui ne respecte pas la réalité objective.

Nous pouvons voir ici que l'article du New York Times abordait le sujet tout en le minimisant. Mais pourquoi l'ont-il écrit ? Que croyait l'auteur ? Pensaient-ils vraiment que le nombre de victimes du vaccin se réduisait à « des milliers » ? Ou bien est-ce ce que le New York Times a choisi d'écrire parce qu'ils savaient qu'ils se feraient anéantir en écrivant « des centaines de milliers » voire « des millions » ?

Mes réflexions

Quand on fait partie des médias depuis si longtemps, on commence à en comprendre les rouages à divers niveaux.

Se rappeler qu'au cours de ces trois dernières années, mettre en doute l'innocuité et les blessures vaccinales… dans les milieux « mainstream », c'était comme remettre en question l'Holocauste. Voir le niveau d'opprobre public et la quantité astronomique d'articles diffamatoires écrits à ce sujet qui n'ont pu échapper à personne.

Ce qui eut pour conséquence d'induire une illusion chez beaucoup de personnes. La position « mainstream » extrême étant que ces produits étaient sûrs et efficaces et que les effets secondaires étaient un non-sens. Si vous pensiez autrement, on vous acculait dans un coin. Pour être honnête, le même type d'illusion fut créé du côté alternatif en affirmant que tout le monde allait mourir dans les deux ou trois ans suivant ces « injections mortelles ». Mais nous laisserons cela de côté pour l'instant.

Pour aller droit au but, le public du « mainstream » a été induit en erreur. Mais que vous le croyez ou non, il existe des gens intelligents dans ces milieux. Avec le temps, je pouvais percevoir que certains commençaient vraiment à se rendre compte à quel point les faits ne concordaient pas avec l'illusion.

Pendant le Covid, j'ai entendu parler de divers collègues qui travaillent ou connaissent des gens dans les médias grand public. Une part plus importante que l'on peut imaginer de personnes dans ces organisations remettaient en question les narratifs gouvernementaux. C'est juste qu'il n'y avait aucune marge de manœuvre pour écrire à ce sujet voire même en parler au bureau.

Un exemple dont je me souviens provient du CDC au Canada dans lequel un dirigeant avait déclaré quelque chose du style « beaucoup d'entre nous savons que ce nous faisons actuellement ici n'a rien à voir avec du vrai journalisme mais c'est tout ce que nous pouvons faire ». Je ne vous raconte pas ça pour les exonérer de leur œuvre insensée au cours de ces trois dernières années, mais juste pour montrer que ces personnes ne sont pas aussi stupides que certains le pensent.

On s'imagine souvent que les points de vue relèvent d'un camp ou l'autre. Le vaccin est sûr versus le vaccin n'est pas sûr. Mais les humains sont complexes et leurs points de vue étaient et demeurent bien plus compliqués que cela.

Même si ça n'excuse aucunement le fait que, des années durant, les médias grand public ont induit les gens en erreur et diffamé une grande partie de la population qui avait raison de se poser des questions, cela a bel et bien instauré une culture de la bêtise inconsciente au sein de ces organisations et de leur lectorat, née de l'hystérie, de la pensée tribale et d'un refus de comprendre vraiment ce qui se passait.

Comme l'a souligné Madhava, cette bêtise est toujours présente dans les milieux « mainstream » mais j'ai l'impression que la lumière commence à se frayer un chemin et que nombreux sont ceux qui voudraient sortir de ce carcan.

Le New York Times minimise peut-être les choses avec son article, mais il sonde peut-être aussi légèrement le terrain pour voir de quoi ils peuvent parler à ce stade.

Il n'y a aucun moyen de s'en assurer bien sûr, mais étant donné le grand nombre de personnes dans les médias grand public qui savent que le gouvernement et les médias ont mal géré la période Covid, leur point de vue finira bien par émerger.

Je dis ça parce que toutes les organisations évoluent et changent avec le temps. C'est ce que font les humains et la conscience.

J'ai l'impression qu'un plus grand rassemblement se produira prochainement car je pense qu'aucun « camp » n'a tout bon ou tout faux.

Prenez, par exemple, le débat sur la surmortalité. D'un côté, beaucoup l'imputent toute au Covid, au Covid long et au contre-coup des confinements comme les dépistages manqués. Selon le « mainstream », le vaccin ne peut être en partie responsable de ces décès supplémentaires.

Pourtant, d'aucuns voient le vaccin comme la cause première à cette surmortalité.

En réalité, c'est tout cela combiné. Et nous devons être capables d'en parler. Nous devons faire abstraction de nos positions et simplement observer ce qui s'est passé. Je sait qu'il n'y a rien qui motive le gouvernement et Big Pharma à avoir cette conversation mais nous, en tant que peuple, pouvons certainement le faire. Et ainsi rendre obsolètes leurs points de vue.

Afin d'étayer ce dernier point, jetons un œil à cet article de Kim Iverson. Le Dr Martin Kulldorf affirme que les données de la Suède indique quelque chose qui pourrait réunir les gens.

La Suède a l'un des taux de surmortalité les plus bas du monde pendant et après le Covid. La population de ce pays ayant fait ce qu'il fallait en termes d'absence de confinement et de mesures coercitives qui lui a valu de s'en sortir très bien.

Mais cette dernière a également été beaucoup vaccinée, affichant un taux élevé de 77% (tous âges confondus). Nous voyons ainsi que si la surmortalité n'est pas excessive en Suède, il est raisonnable de penser qu'elle peut être liée aux confinements, au stress, aux dépistages manqués , etc. Mais comme nous l'avons examiné en détail, il faut aussi considérer les vaccins en raison des signes évidents d'un manque d'innocuité.

Il n'est pas bon de se préoccuper d'une cause ou d'une autre tout en écartant toutes les autres.

Ceci dit, l'irresponsabilité revient tout de même à la politique du gouvernement et à la l'illusion perpétuée par les médias grand public.

En conclusion

Au final, ce seront les gouvernements et les organisations gouvernementales qui se ridiculiseront avec le temps. Et les médias grand public se saisiront de l'affaire.

Examinons les allégations du Canada au sujet des dommages vaccinaux :

Ces données suggèrent que le Canada a du mal à collecter et approuver des rapports. Le test Pfizer en lui-même indique un taux de blessures d'environ 1,2%. Pourquoi s'attendre à ce qu'il soit bien plus bas une fois injecté à une population en moins bonne santé que les participants à l'essai ?

Cela n'a aucun sens. Le niveau absurdement bas de ces chiffres devrait choquer les gens. Il s'agit là d'une mauvaise attribution de sens de la part des responsables politiques et du gouvernement. Bientôt, les organes de presse disposeront d'une marge de manœuvre pour signaler des faits tels que ceux-là à leur lecture.

J'ai vu, à maintes reprise, cette marge de manœuvre jouer un grand rôle. Il fut un temps où l'on ne pouvait pas du tout parler des vaccins. Où il était insensé d'affirmer que les produits laitiers sont mauvais pour la santé. Où parler de conscience était qualifié de « pseudo-science ». Où discuter les ovnis relevait du marginalisme insensé à tel point qu'on ne trouvait pas beaucoup d'articles sérieux dans les médias grand public traitant de ce sujet.

Mais petit à petit, tout cela a changé. Pourquoi ? Une marge de manœuvre a été créée et ceux doté d'une curiosité intellectuelle sont aujourd'hui en mesure d'exprimer leurs idées sur tous ces sujets.

Assez curieusement, d'aucuns dans la sphère alternative se montrent hautement suspicieux de ce que le « mainstream » débatte des ovnis, se laissant ainsi dicter leur point de vue par ce dont ces derniers parlent.

L'ironie, ici, est que cette pensée réflexive confère un pouvoir absolu aux médias grand public. Tout ce qu'ils auraient à faire serait de parler de quelque chose et ils pourraient ainsi contrôler ce qu'un certain sous-ensemble de la sphère alternative pense et croit.

Ce qui s'apparente à être endormi d'une manière différente. À être prisonnier d'une pensée manichéenne — qui va devenir de plus en plus inconfortable à mesure que notre conscience poursuit son expansion collective.

Pour beaucoup, les limites des médias grand public vont devenir de plus en plus pénibles et difficiles. Soit ils partiront, soit ils feront évoluer ces organisations de l'intérieur.

Comme ce sur quoi porte mon travail depuis ces quinze dernières années, je pense vraiment que nous sommes actuellement engagés dans un processus de mutation profonde de notre conscience collective. Et même s'il peut paraître quelque peu chaotique par moments, il n'en demeure pas moins que quelque chose de plus profond est en cours duquel s'inspirer et auquel s'ancrer.

Texte original de JOE MARTINO traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Soleil et cancer de la peau : examen des vérités, pseudo-vérités et mensonges de la « science » conventionnelle

Alors on nous dit que le soleil est bon pour nous… et ensuite qu'il ne l'est pas… puis, plus tard, qu'il l'est à nouveau. Et là, maintenant, il est mauvais ? Je n'arrive plus à suivre. N'est-ce pas ce même petit jeu que l'on applique à tous les sujets possibles et imaginables ?

Nous sommes une société immergée dans la peur constante. Aussi que le soleil fasse l'objet de craintes n'a rien de bien surprenant.

L'idée que nous, les gens qui vivons à la surface de cette planète, devrions nous couvrir et éviter le soleil autant que possible m'a toujours paru étrange. Je pourrais croire une telle chose si nous vivions, en fait, sous terre et étions des troglodytes nocturnes, à ne sortir que la nuit pour travailler et nous amuser.

Mais nous ne sommes pas des êtres nocturnes par nature. Nous dormons la nuit et sommes actifs le jour. La nature s'est-elle trompée ? Serait-ce là le plus mauvais tour qu'elle aurait pu nous jouer ? Ou bien est-ce que c'est nous qui sommes dans l'erreur ? Pour le découvrir, examinons comment nos corps interagissent avec les rayons naturels du soleil

Il y a des raisons pour lesquelles nous sommes actifs le jour plutôt que la nuit comme en témoigne notre physiologie :

  1. La glande pinéale fournit de la mélatonine la nuit et de la sérotonine le jour.
  2. Nous sommes dotés d'une excellente vision diurne et d'une très mauvaise vision nocturne.
  3. La vitamine D est une hormone semblable à une vitamine que notre corps ne fabrique qu'en exposition directe au soleil.
  4. Sans parler que nous sommes « programmés » pour être attirés par le soleil. Nous aimons tous les journées chaudes et ensoleillés, n'est-ce pas ? Cela n'a-t-il pas un effet magique sur notre état d'esprit ?

Et pourtant, on nous a dit d'éviter le soleil, de nous couvrir et de nous tartiner d'écran solaire. Ne sommes-nous pas complètement endoctrinés en ce qui concerne les crèmes solaires ? On nous dit que si nous n'en mettons pas, nous allons avoir des rides et/ou attraper un cancer de la peau. Bon, ça vous étonne ?

Et aujourd'hui, le dernier mythe concernant l'exposition au soleil est que cela devient de plus en plus dangereux en raison de l'amenuisement de la couche d'ozone qui rend les rayonnements solaires plus puissants qu'avant et provoquant, bien sûr, davantage de cancers de la peau. Mais ça, c'est un autre sujet à part entière.

UVA et UVB

Avant d'entrer plus en détails, voici un petit récapitulatif sur les rayons ultraviolets A et B.

Les UVA :

  • Traversent les vitres.
  • Sont toujours présents en dépit des changements d'altitude ou de température.
  • Pénètrent dans la peau en profondeur.
  • Représentent 5% du rayonnement solaire total.
  • Sont 20 fois plus nombreux que les UVB.


Les UVB :

  • Ne traversent pas les vitres.
  • Sont à l'origine des brûlures et du bronzage.
  • Sont responsables de la production normale de vitamine D.
  • Varient en intensité selon les conditions météorologiques, l'altitude, les saisons et l'heure du jour.
  • Représentent 0,5% du rayonnement solaire.

Vérités, pseudo-vérités et mensonges

Examinons donc ce qui est vrai, ce qui l'est en apparence et ce qui est carrément mensonger.

Vérité : Il y a eu une augmentation des cancers de la peau aux États-Unis comme le rapporte le centre de contrôle des maladies (CDC).

Question : Pourquoi y aurait-il une augmentation des cancers de la peau malgré l'utilisation de la crème solaire ?

Pseudo-vérité : La plupart des écrans solaires annoncent nous protéger contre les UVB alors qu'en fait, leur protection contre les UVA est quasi nulle. Pourtant, il en existe qui font barrière aux UVA comme l'oxyde de zinc, le dioxyde de titane et les produits contenant du mexoryl.

Pur mensonge : Alors plutôt que de se demander pourquoi les cancers de la peau sont en hausse, nous continuons à critiquer les crèmes solaires ou pire, à éviter carrément de nous exposer au soleil. Mais est-ce bien lui le danger ou n'y aurait-il pas une autre cause commodément occultée ?

La réponse est surprenante et (croyez-le ou non) provient directement du FDA (organisme fédéral responsable de la mise sur le marché des médicaments aux États-Unis – N.d.T.) ainsi que de la Fondation américaine contre le cancer de la peau.

En un mot : photosensibilité.

La vérité aux sujets des crèmes solaires

Un rapport du FDA stipule comme suit :

Le FDA rapporte que la liste de substances ci-dessous induisent une photosensibilité ou contiennent des agents photo-réactifs et que leur utilisation conjointe à une exposition chronique au soleil peut provoquer un cancer de la peau :

  • les médicaments
  • les additifs alimentaires
  • les déodorants
  • les savons antibactériens
  • les produits pétroliers (dont la Vaseline)
  • les antihistaminiques
  • les médicaments pour soigner le rhume et les allergies
  • les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) (dont l'aspirine, ibuprofène, le naproxène, le célécoxib, le diclofénac, l'étodolac)
  • les antibiotiques (dont les tétracyclines et les sufamides
  • les protections solaires (contenant de l'huile de bergamote, de l'huile de santal, des benzophénones, du PABA (acide para-aminobenzoïque), des cinnamates, des salicylates, des anthranilates, du PSBA, du mexenone, et de l'oxybenzone)


Vous connaissez des gens qui utilisent l'un de ces produits ? Vous, peut-être ? Peut-on réellement dire que le soleil soit l'unique responsable des cancers de la peau ?

N'est-ce pas curieux qu'aucune étiquette de mise en garde ne figure sur aucun de ces produits ? En particulier sur les crèmes solaires ?!? On se demande bien pourquoi, non ? Oh, mais attendez… il y a mieux.

Dans ce même rapport, le FDA mentionne que l'exposition chronique à des substances chimiques photo-réactives (comme celles listées ci-dessus) peuvent induire :

  • Un vieillissement prématuré de la peau : à cause du soleil ou des produits chimiques ?
  • Des réactions allergiques plus fortes : pourquoi les êtres humains sont-ils apparemment allergiques à la Terre ?
  • Des cataractes : troubles de la vision ?
  • Des lésions vasculaires : troubles cardiovasculaires ?
  • Un affaiblissement du système immunitaire : troubles auto-immuns
  • Un cancer de la peau : est-ce vraiment une surprise ?


Nul besoin d'être un scientifique pour y voir une certaine logique : les écrans solaires induisent une photosensibilité et les personnes photosensibles ont plus de risque de développer un cancer que celles dotées d'une peau « normale ».

Se référant au rapport du FDA sur les substances induisant une photosensibilité, dans un article intitulé "Les médicaments pourraient accroître la sensibilité à la lumière du soleil", la revue Science Daily écrit :

Bien que ces médicaments n'augmentent pas directement les risques de cancer de la peau, on associe les coups de soleil importants, en particulier chez les enfants, à une incidence accrue de cancer de la peau ultérieurement.

Regardez à nouveau cette liste, il s'agit de bien plus que de simples médicaments ! On y trouve des additifs alimentaires, des déodorants et des savons.

Je suis sidérée que l'on continue de nous dire que la solution à ce problème est juste d'appliquer de la crème solaire ! Mais attendez, oups… les crèmes solaires figurent aussi sur cette liste !

Pourquoi n'y a-t-il pas d'étiquettes sur les crèmes solaires pour nous informer qu'elles peuvent induire une photosensibilité et provoquer un cancer ? Cela me semble quelque peu contre-productif.

L'exposition au soleil

Pur mensonge : Ceux qui passent plus de temps au soleil courent davantage le risque de développer un cancer de la peau. C'est pourquoi il est si important de se couvrir et d'éviter de s'exposer autant que possible.

Ce dernier rapport intitulé "L'arnaque au soleil" qui nous vient du Royaume-Uni constitue une lecture incontournable. Cet extrait stipule que (j'ai surligné les passages importants en gras) :

[…] il y a des doutes à propos de la façon dont l'exposition au soleil peut causer des mélanomes. Les adultes travaillant à l’extérieur et les enfants qui jouent dehors sont régulièrement exposés au soleil et ont moins de risque de développer un mélanome que ceux qui travaillent ou jouent à l’intérieur. Tandis que les personnes qui s’exposent de façon irrégulière et celles qui ont attrapé des coups de soleil ont un plus grand risque de mélanome, surtout les personnes ayant une peau très claire. Une exposition occasionnelle de la peau au soleil semble provoquer un plus grand risque de mélanome, alors qu’une exposition régulière protège apparemment contre les mélanomes, probablement puisque cela crée un apport plus important en vitamine D qui d’une manière générale protège contre le cancer.

Bien sûr, l'écran solaire nous protège efficacement contre les UVB, mais le problème est que c'est de ces UVB dont notre corps a besoin pour produire de la vitamine D. Et si la vitamine D protège du cancer… et bien…

Que faire donc ?

Tout d'abord, utiliser des alternatives naturelles aux produits listés dans le rapport du FDA.

Bien sûr, il existe aussi certaines substances photosensibilisantes dans la nature. Mais si le seul but du FDA et d'autres groupes comme la Fondation américaine contre le cancer de la peau est de protéger le public, alors pourquoi ne se penchent-ils pas sur les ingrédients chimiques contenus dans ces produits connus pour être photosensibilisants ? Pourquoi n'accorde-t-on pas plus d'intérêt aux traitements alternatifs qui pourraient empêcher ces réactions photosensibles induites par les médicaments ? Sans parler de toute les autres effets secondaires ?

Au lieu de cela, la science conventionnelle reste inébranlable dans son idéologie s'opposant aux traitements de substitution. Aberrant, n'est-ce pas ?

Texte original de DR MICHELLE KMIEC traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Pardonnez-moi

À tous les gens raisonnables et très intelligents qui s’indignent devant ceux qui ne veulent pas se faire vacciner,

Pardonnez-moi d’avoir des doutes sur la sûreté de ce que vous appelez en chœur des « vaccins ». Je devrais en effet faire aveuglément confiance à la télé et aux autorités. Je devrais faire confiance aux études fournies par les laboratoires pharmaceutiques même s’ils ont été condamnés ces dernières années à des milliards de dollars d’amendes notamment pour fraude scientifique.

Pardonnez-moi mon égarement et mon effort pour comprendre la justification scientifique des mesures qui sont prises.

Pardonnez-moi de chercher à évaluer la proportionnalité des mesures prises par rapport aux risques encourus.

Pardonnez-moi de confronter le discours des scientifiques lourds de liens et de conflits d’intérêts avec ceux qui n’en ont pas.

Pardonnez-moi de chercher à comprendre la nature des controverses scientifiques plutôt que de me ranger dans la dictature d’une pensée autorisée arrogante et partiale.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir être le cobaye d’injections expérimentales en cours d’essais cliniques.

Pardonnez-moi d’oser regarder les chiffres officiels (pourtant largement sous-évalués) des morts et des effets indésirables graves liés aux différents vaccins en cours au lieu de laisser cela aux « experts » ou bien de reconnaître simplement que tous ces évènements ne sont que des coïncidences sans lien de causalité établie.

Pardonnez-moi de ne pas vouloir faire prendre le risque d’effets secondaires graves à mes enfants alors qu’ils n’ont quasiment aucune chance de faire une forme grave du covid et que personne n’est capable honnêtement et scientifiquement de reconnaître un rapport bénéfice risque favorable pour eux d’une telle vaccination.

Pardonnez-moi d’exister

Vous avez raison, je ne suis qu’un insolent. Après tout nous sommes dans l’urgence et nous n’avons pas le temps de s’encombrer de la réflexion et de la morale. Ne brisons pas l’unité du troupeau et laissons-nous guider par les « experts » honnêtes et fiables qui nous gouvernent. L’important ce n’est pas la vérité, ce n’est même pas la réalité, c’est d’être uni dans la guerre contre le virus.

Vous avez raison le plus grand danger, ce sont les « complotistes », c’est-à-dire tous ceux qui osent remettre en cause l’intégrité des autorités politiques et scientifiques ou des médias de masse. Ces vilains conspirationnistes vont semer les germes du doute et de la division. Ils risquent, par leur impudence, de pousser les gens à réfléchir.

Merci en revanche à Pfizer et à Moderna, et à tous les autres, de penser à nous et de nous proposer une offre d’abonnement à vie.

Merci à leurs amis de longue date dès les bancs de l’université de médecine puis à travers une collaboration étroite de devenir leurs relais et contribuer ensemble à construire une science véritable au service de la santé.

Merci aux médias dominants, neutres et indépendants de faire un travail si important de réinformation des masses incultes dont je fais partie.

Merci bien évidemment aussi à toute l’équipe dirigeante de faire de son mieux, pour notre bien.

C’est pour notre bien

Oui, c’est pour notre bien en effet que les autorités ont continué depuis un an et demi à supprimer des lits à l’hôpital.

C’est pour notre bien qu’ils nous ont imposé le port du masque à l’extérieur sans aucun fondement scientifique.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander de la vitamine D et du zinc en prévention pour renforcer nos défenses immunitaires malgré toutes les études qui confirment leur rôle.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander des traitements précoces peu onéreux malgré l’abondante littérature scientifique et les expériences de terrain qui en montrent l’efficacité et qu’ils recommandent seulement du Doliprane et de rester à la maison.

C’est pour notre bien qu’ils menacent et suspendent tous les médecins qui ont soigné leurs patients avec des résultats époustouflants au lieu de les renvoyer chez eux avec du Doliprane.

C’est pour notre bien qu’ils commandent des millions de doses de Remdesivir à 3000 euros la dose en intraveineuse sans études validant ces effets et malgré un retour sur le terrain qui a conclu à son inefficacité, sa toxicité pour les reins et son rôle mutagène.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de s’intéresser au vaccin chinois ou russe, (uniquement pour des raisons sanitaires !), même quand on ne disposait pas d’assez de vaccins.

C’est pour notre bien qu’ils terrorisent et menacent la population pour aller se faire injecter un médicament expérimental sur lequel nous n’avons aucun recul à moyen et long terme.

C’est pour notre bien que le pouvoir exécutif a créé un conseil de défense totalement secret (pour 50 ans) avec une haute autorité de santé composée d’acteurs en conflits d’intérêt.

C’est pour notre bien qu’ils incitent les enfants à se faire vacciner alors qu’ils risquent davantage de souffrir des effets secondaires des « vaccins » que du covid.

C’est pour notre bien qu’ils lancent une vaccination de masse en pleine pandémie contrairement aux règles habituelles de prudence.

C’est pour notre bien qu’ils piétinent les libertés les plus fondamentales et scindent à présent le peuple en deux avec deux régimes de droits.

C’est pour notre bien qu’ils ont interdit la prescription d’hydroxychloroquine jusque-là en vente libre par les médecins.

C’est pour notre bien qu’ils refusent de recommander l’usage de l’ivermectine, de macrolides et du zinc.

C’est pour notre bien qu’ils ont méprisé tout le travail de l’IHU méditerranée, le lieu le plus à la pointe de la recherche en France en infectiologie et dont les résultats ont été bien meilleurs qu’ailleurs.

C’est pour notre bien qu’ils mobilisent et financent des tests PCR peu fiables avec des cycles d’amplifications si nombreuses que le test perd de toute sa pertinence.

C’est pour notre bien qu’ils comptabilisent comme morts du covid une majorité de gens morts avec le covid.

C’est pour notre bien qu’ils se sont associés avec les GAFAM pour censurer les lanceurs d’alerte sur YouTube, sur Twitter, sur Facebook.

C’est pour notre bien qu’ils acceptent de décharger les industries pharmaceutiques de toute responsabilité juridique en cas d’effets secondaires des vaccins et qu’ils nous font signer une déclaration de consentement.

C’est pour notre bien qu’il a été décidé de créer une scission en France entre les vaccinés et les non-vaccinés alors même que les vaccinés peuvent être contaminants.

C’est pour notre bien qu’on a déclaré comme fous, gâteux, dangereux tous les scientifiques parmi les plus brillants et aux titres académiques les plus prestigieux qui ont eu le malheur de contester la narration officielle sur les évènements.

Pardonnez-moi de finir par me méfier de ceux qui veulent mon bien. Je suis trop bête pour comprendre.

Trop bête pour comprendre

Qu’on a dû changer la définition de ce qu’est un vaccin pour pouvoir dire que ces expériences géniques sont des vaccins.

Que nous sommes face à un vaccin si nouveau et si révolutionnaire qu’il n’empêche pas de tomber malade ni d’être contaminant.

Que nous prétendons « vacciner » les gens avec des techniques inédites qui sont en phase expérimentale et dont nous ne connaissons pas les conséquences à moyen terme et à long terme, mais que ceux qui se font vacciner ne seraient pas des cobayes.

Trop bête pour comprendre :

Qu’on ne connaît pas exactement l’intégralité de la composition des vaccins au nom du secret industriel, mais qu’on ne peut pourtant affirmer qu’il n’y a pas de problèmes.

Que les industries pourvoyeuses des vaccins dont Pfizer ont été condamnés à plusieurs milliards d’amendes pour fraude scientifique, mais qu’on peut s’appuyer sur leurs seules études pour lancer la campagne vaccinale.

Que si des spécialistes de la vaccination et des scientifiques dans le monde entier mettent en garde contre les risques de ces vaccins à adénovirus ou à ARN messager, c’est parce qu’ils sont devenus fous ou séniles.

Que si une personne âgée meurt en ayant le covid, elle meurt du covid mais que si une personne âgée meurt après s’être fait vaccinée elle meurt de vieillesse.

Que le nombre de morts et d’effets indésirables officiellement signalés par les agences de pharmacovigilance chez les « vaccinés » est sans commune mesure par rapport aux vaccins habituels mais que nous devons fermer les yeux.

Trop bête pour comprendre :

Que ces injections géniques évitent les formes graves alors que pourtant en Israël et en Angleterre ultra vaccinés une partie non négligeable des personnes en réanimation sont doublement vaccinés.

Que ce vaccin est tellement protecteur qu’il faut continuer les gestes barrières, continuer à porter les masques et surtout continuer à craindre les non-vaccinés.

Qu’il est tellement efficace qu’on parle déjà de « baisse immunitaire », de troisième ou de quatrième dose et pourquoi pas d’un abonnement annuel ou biannuel.

Trop bête pour comprendre :

Qu’on n’a jamais mis fin aux épidémies de grippe mais qu’on prétend qu’en « vaccinant » tout le monde nous allons vaincre le coronavirus.

Que nous faisons partie des pays au monde qui ont le plus de morts par millions d’habitants, mais que nous sommes pourtant les meilleurs et que nous pouvons continuer à nous fier à la même équipe scientifico-politique.

Que les pays les plus vaccinés sont ceux qui sont les plus touchés par les nouveaux variants mais que c’est parce que nous ne sommes pas suffisamment vaccinés.

Que si les vaccinés tombent malades, c’est à cause des non-vaccinés.

Que l’État est surendetté et n’a pas d’argent, mais qu’il peut débloquer des milliards et des milliards pour financer sa politique sanitaire.

Que les tests et les vaccins sont gratuits, mais que ce sont les contribuables qui vont devoir les payer.

Qu’en prétendant sauver une partie infime de la population, nous allons sacrifier la vie de beaucoup d’autres et détruire l’avenir de la nation.

Oui, je suis trop bête pour comprendre tout cela.

Je dois avoir l’esprit tellement confus que tout semble s’inverser dans ma tête.

Je dois apprendre grâce à vous à remettre les choses dans le bon ordre.

Inversion

Je dois, en effet, comprendre que :

La liberté, c’est de se soumettre au pass sanitaire.

L’immunité artificielle est meilleure que l’immunité naturelle.

Si les gens vaccinés tombent malades ou développent des formes graves, c’est la preuve que le vaccin marche.

Si le vaccin fonctionne moins bien contre un nouveau variant, c’est qu’il faut reprendre une dose du même vaccin.

Toute personne testée positive à un test PCR est une personne malade.

Toute personne en bonne santé est un malade qui s’ignore et dont il faut se méfier.

Je suis désolé, je suis un peu lent et il va falloir que je me répète souvent tout cela pour réussir à l’intégrer. Heureusement que les journalistes sont là pour faire preuve de pédagogie et de répétition.

Merci à vous, tous les gens raisonnables et très intelligents, de veiller sur nous.

Merci de nous dispenser de penser.

Texte original de REZA MOGHADDASSI

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Combien de temps reste-t-il à vivre aux personnes vaccinées ?

Selon le Dr Mylo Canderian, 95% de la population est constituée de « mangeurs inutiles » qui doivent être euthanasiés au plus vite !

À la question « Combien de temps reste-t-il à vivre aux personnes vaccinées ? », la réponse est donc entre trois et dix ans ! Personne ne sait si cela est vrai ou faux mais Steven Fishman est un contributeur fiable disposant d'informations de première main.

Nous nous demandons souvent ce qu'il adviendrait si nous nous faisions vacciner. Combien de temps vivrions-nous ? Et c'est à cette question qu'a répondu le Dr Mylo Canderian, à l'origine de l'élaboration du brevet de l'oxyde de graphène comme arme biochimique hématologique en 2015.

« Mondialiste génocidaire », le Dr Canderian mène sa vie conformément à sa devise « Ne soyez pas un cancer pour cette planète, laissez place à la nature ”.

Collaborateur médical à l'OMS et partisan de Klaus Schwab et de la « Grande Réinitialisation », selon lui 95% de la population serait constituée de « mangeurs inutiles » qui devraient être euthanasiés au plus vite.

« Regardez les centres-villes de Chicago, Baltimore ou Los Angeles, a-t-il déclaré, et vous comprendrez clairement pourquoi ces mangeurs inutiles doivent être piqués comme des chiens enragés. »

En outre, le Dr Canderian a publiquement affiché son mépris envers ces « éducateurs contagieux » qui font la promotion de la théorie critique de la race et confie que le vaccin va mettre un terme au « cancer humain sur Terre ». Il soutient le devoir et l'obligation de la Franc-maçonnerie d'éradiquer la Peste humaine de ce monde.

Il a dû répondre à cette question : « Combien de temps restera-t-il à vivre aux gens une fois qu'ils se seront fait vacciner ? »

Et partager cette « formule de fin de cycle » : « Le Pouvoir de la simplicité. Il y a un cycle maximum de dix ans à partir de l'injection jusqu'à la fin du cycle [ou mort] et c'est très facile à déterminer » a-t-il déclaré. 

N'importe quel hématologiste peut détecter cela au microscope. « Le pourcentage de sang affecté [ou contaminé] par ou avec l'oxyde de graphène est la réciprocité du calcul de fin de cycle » a-t-il ajouté.

En bref, après inoculation si vous avez 20% de détérioration sanguine par l'oxyde de graphène, vous vivrez huit ans. Ceux qui ont un taux de 70% vivront environ trois ans.

Stew Peters a interviewé le Dr Jane Ruby qui lui a donné quelques exemples de ce à quoi ressemble une détérioration sanguine.

L'oxyde de graphène est un élément des protéines spike (péplomères) de l'ARN messager qui se disputent l'oxygène avec le cœur, les poumons, le cerveau et le sang.

L'oxyde de graphène absorbe l'oxygène des organes vitaux, provoquant chocs, caillots de sang nocifs, paralysies pulmonaires fatales et cancers mitochondriaux ou endothéliaux.

Toutefois la vision du Dr Mylo Canderian est similaire en tous points à celle de Klaus Schwab, Bill Gates et Big Pharma : TOUT LE MONDE DOIT MOURIR.

Lors de la réunion autour de la fin de cycle, il a aussi parlé des effets de la seconde ou troisième injection  :

« Tout est mesurable par test sanguin. Plus ces imbéciles feront d'injections et de rappels, plus l'état de leur sang apparaîtra détérioré au microscope et plus vite ils serviront d'engrais. »

Et la dernière question à Canderian était : « Comment ce complot pour tuer autant de gens a-t-il pu demeurer secret et impliquer toujours autant de groupes de l'élite ? »

Et la réponse fut : « Vous ne savez pas grand chose de la Franc-maçonnerie, hein Steve ? »

Je pense que désormais tout est clair !

Texte original de ADDISON WILSON traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Eric Clapton après avoir été vacciné contre le COVID : « Je n'aurais jamais dû m'approcher de l'aiguille »

Robin Monotti Graziadei, auteur du Protocole Monotti (pour lutter naturellement contre le virus — N.d.T.), vient de transmettre un message qu'il a reçu du chanteur Eric Clapton dans lequel ce dernier fait état de réactions indésirables dont il a été vidime après s'être fait vacciné, regrette avoir subi la procédure, et demande « où sont passés tous les rebelles ».

Voici son message :

Je suis un vétéran : avec beaucoup de soutien, j'ai survécu à la toxicomanie et à l'alcoolisme et je fais actuellement face au plus grand dilemme de ma vie...

Depuis le Brexit, je me suis secrètement insurgé contre nos « dirigeants élus », doutant intuitivement de leur intégrité et de leur caractère...

Avec l'arrivée du Covid-19, j'espérai que Carl Henegan1, Sunetra Gupta2 et Jay B. ouvriraient la voie mais lorsque l'Imperial College3 est monté au créneau avec son trousseau de geôlier, j'ai su que nous étions dans le pétrin...

Je suis un homme de foi, même si de manière abstraite, et ce que j'ai vu et ressenti se déployer en mars 2020 a commencé à me détourner de la rhétorique gouvernementale et de la dévotion du grand public envers le Premier Ministre et ses sbires...

J'ai cherché des héros à la Chambre4 et je n'y ai trouvé que Charles Walker, Desmond Swayne et malheureusement à la retraite, Lord Sumption...

Sur YouTube, j'ai découvert Hugo Talks et talkRADIO... et c'est à peu près tout...

Puis j'ai été dirigé vers Van Morrison et c'est là que j'ai trouvé ma voix, et même si je chantais ses paroles, elles résonnaient dans mon cœur...

En 2020, j'ai enregistré "Stand And Deliver” (envers et contre tous), ce qui m'a tout de suite valu un festin de mépris et de moqueries...

En février de cette année, avant d'apprendre la véritable nature des vaccins (étant agé de 76 ans et souffrant d'emphysème), je faisais partie de l'avant-garde. J'ai eu ma première injection d'AstraZeneca et j'ai immédiatement eu des effets secondaires graves qui ont duré dix jours. J'ai fini par m'en remettre et on m'a dit qu'il faudrait attendre douze semaines avant la deuxième...

Environ six semaines plus tard, on m'a proposé de faire la deuxième injection d'AstraZeneca et j'ai accepté mais en étant un peu plus au fait des dangers. Il va sans dire que les réactions ont été désastreuses : mes pieds et mes mains étaient soient glacés, engourdis ou brûlants et que je n'ai pratiquement pas pu m'en servir pendant deux semaines au point que j'ai eu peur de ne jamais pouvoir jouer à nouveau (je souffre de neuropathie périphérique et je n'aurais jamais dû m'approcher de l'aiguille). Mais la propagande affirmait que le vaccin était sans danger pour tout le monde...

Puis j'ai rencontré un membre de ce groupe qui m'a conseillé de faire attention et d'aller voir ce que vous faisiez...

J'ai eu l'impression qu'un voile venait d'être levé, que je n'étais plus seul, qu'on pouvait se fier à son intuition et suivre son cœur et qu'en fait, c'était vital...

Je continue mon cheminement sur la voie de la rébellion passive et essaie de me tenir à carreau afin de pouvoir témoigner activement mon amour à ma famille mais c'est difficile de garder ne rien dire avec tout ce que je sais...

J'ai enregistré et vais publier ici un autre morceau de Van intitulé "The Rebels" qui ne fait ni dans l'agressivité ou la provocation mais qui se contente demander :

« Où sont passés tous les rebelles
Qui se cachent derrière leurs écrans d'ordinateur ?
Où est l'esprit, où est l'âme ?
Où sont passés tous les rebelles? »

Toute ma vie, j'ai été un rebelle contre la tyrannie et l'arrogance du pouvoir, qui sont ce que l'on a actuellement, mais j'ai aussi grand besoin de la communion, de la compassion et de l'amour que je trouve ici...

Je crois que ces choses peuvent l'emporter.

Eric Clapton

Texte original de MORDECHAI SONES traduit de l'anglais par EY@EL
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Douze éminents scientifiques et médecins demandent aux régulateurs de l'UE d'examiner la question « urgente » de l'innocuité des vaccins contre le Covid ou bien de les suspendre

Un groupe d'éminents scientifiques et médecins veut que l'Agence européenne des médicaments (EMA) réponde à la question « urgente » de la sécurité des trois vaccins contre le Covid-19 autorisés au sein de l'UE ou bien qu'elle retire son autorisation.

Dans une lettre ouverte publiée cette semaine (l'article original date du 11 mars 2021 — N.d.T.), le groupe se demande si « certains points fondamentaux ayant trait à l'innocuité des vaccins ont été suffisamment pris en compte avant leur autorisation » par l'EMA.

L'EMA, qui est l'équivalent du FDA aux États-Unis, a en effet donné son aval pour l'utilisation en urgence de trois vaccins dans l'Union européenne, à savoir le BioNtech de Pfizer, le Moderna et l'AstraZeneca d'Oxford.

Dans leur lettre, les douze scientifiques et médecins font état d'un « large éventail d'effets secondaires » rapportés après l'injection des vaccins à thérapie génique contre le Covid-19 à des personnes jeunes et auparavant en bonne santé.

Voici ce qu'ils ont écrit :

En outre, les médias du monde entier rapportent de nombreux cas de Covid-19 au sein de maisons de santé survenus les jours suivant la vaccination de leurs résidents. Même si nous reconnaissons que toutes ces occurrences pourraient n'être que purement fortuites, en de telles circonstances et surtout en l'absence d'autopsie, nous craignons que les causes possibles de la maladie ou des décès n'aient été et ne soient suffisamment investiguées.

Dans son courriel original adressée à l'EMA le 28 février, le groupe lui a demandé de fournir des réponses aux sept questions portant sur l'innocuité dans un délai de « sept jours et de prendre sérieusement en compte ces inquiétudes. Dans le cas contraire où vous ne donneriez suite à cette requête raisonnable, nous rendrons cette lettre publique. »

Plusieurs des soucis d'innocuité évoqués dans ce courriel, comme des thrombocytopénies (hémorragies), lésions endothéliales (endommageant la paroi des artères), micro-thromboses (formation de caillots de sang dans les capillaires sanguins) et des AVC ont été rapportés dans The Defender.

Ses auteurs, sous l'égide du Dr Sucharit Bhakdi, professeur émérite de microbiologie médicale et d'immunologie et ancien président de l'Institut de microbiologie médicale et d'hygiène à la faculté Gutenberg de Mainz, n'ont toujours pas reçu la moindre réponse de l'EMA.

Dans un communiqué publié mercredi, le groupe a déclaré :

Donc, pour commencer, nous pensons qu'il est important d'énumérer et d'évaluer tous les décès survenus dans les 28 jours suivant la vaccination et de comparer ces tableaux cliniques avec ceux qui n'ont pas été vaccinés.

De manière plus générale, en ce qui concerne la mise au point des vaccins contre le Covid-19, dans sa Résolution 2361 du 27 janvier 2021, l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe a statué que chaque état membre devait garantir des essais de haute qualité qui soient solides et menés dans le respect des règles éthiques. Les agents de l'EMA et des autres organismes de réglementation dans les pays de l’UE sont tenus de respecter ces critères. Il faudrait leur faire prendre conscience qu'ils enfreignent peut-être la Résolution 2361 en utilisant des produits médicaux toujours en troisième phase d'expérimentation.

Dans le cadre de la Résolution 2361, les états membres doivent aussi informer les citoyens que la vaccination n'est PAS obligatoire et s'assurer que personne ne subisse de pressions politiques, sociales ou autres pour se faire vacciner.

Bhakdi a également publié une vidéo dans laquelle il déclare que « le moment d'agir pour les gouvernements et pour tout un chacun est maintenant. »

Voici les sept points d'innocuité « urgents » sur lesquels le groupe exige une réponse de l'EMA :

  1. Après une injection intramusculaire, il faut envisager que les vaccins à thérapie génique pénètrent le flux sanguin et se disséminent dans tout l'organisme. Nous demandons la preuve que cette possibilité a été exclue par des tests sur des animaux avant que l'EMA ne valide l'autorisation des trois vaccins chez les êtres humains.
  2. Au cas où une telle preuve ne saurait être fournie, il faut envisager que les vaccins restent piégés dans la circulation et soient absorbés par les cellules endothéliales. Il y a lieu de présumer que cela puisse se produire aux endroits où le flux est ralenti, à savoir dans les petits vaisseaux et capillaires. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue par des essais précliniques sur des animaux avant que l'EMA ne valide l'autorisation des trois vaccins chez les êtres humains.
  3. Au cas où une telle preuve ne saurait être fournie, il faut envisager que lors de l'expression des acides nucléiques des vaccins, des peptides issus de la protéine spiculaire soient présentés via la voie CHM I1 à la surface luminale des cellules. Beaucoup d'individus sains disposent de lymphocytes TCD82 qui reconnaissent de tels peptides pouvant être dus à une infection préalable au Covid mais également à des réactions croisées avec d'autres types de Coronavirus. Nous devons supposer que ces lymphocytes puissent s'attaquer auxdites cellules. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue par des essais précliniques sur des animaux avant que l'EMA ne valide l'autorisation des trois vaccins chez les êtres humains.
  4. Au cas où une telle preuve ne saurait être fournie, il faut envisager que des lésions endothéliales avec déclenchement ultérieur de coagulation sanguine par activation des plaquettes se produisent partout dans l'organisme. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue par des essais précliniques sur des animaux avant que l'EMA ne valide l'autorisation des trois vaccins chez les êtres humains.
  5. Au cas où une telle preuve ne saurait être fournie, il faut envisager que cela puisse conduire à une diminution du nombre de plaquettes, à l'apparition de D-dimères3 dans le sang, et d'une multitude de lésions ischémiques affectant tout l'organisme dont le cerveau, la moelle épinière et le cœur. Suite à ce nouveau type de syndrome CIVD4 (coagulation intravasculaire disséminée), des troubles hémorragiques pourraient se produire dont, entre autres possibilités, des saignements abondants et des AVC hémorragiques. Nous demandons la preuve que cette probabilité a été exclue par des essais précliniques sur des animaux avant que l'EMA ne valide l'autorisation des trois vaccins chez les êtres humains.
  6. La protéine spiculaire du SARS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 des plaquettes ce qui provoque leur activation. Des thrombocytopénies ont été rapportées dans de cas sévères d'infection au SARS-CoV-2 mais également chez des sujets vaccinés. Nous demandons la preuve que le danger d'une activation potentielle des plaquettes qui induirait également une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD) a été exclue par des essais précliniques sur des animaux avant que l'EMA ne valide l'autorisation des trois vaccins chez les êtres humains.
  7. La dissémination du virus SARS-CoV-2 à travers toute la planète a engendré la pandémie d'une maladie associée de nombreux décès. Toutefois, dans ce contexte d'autorisation des vaccins, les systèmes de santé de la plupart des pays ne se trouvaient plus sous la menace imminente d'être dépassés parce qu'une part croissante de la population mondiale avait déjà été infectées et que le pire de la pandémie était déjà passé. Nous demandons donc la preuve concluante de l'existence d'une urgence véritable au moment où l'EMA a accordé aux fabricants des trois vaccins l'autorisation conditionnelle de mise sur le marché justifiant leur autorisation chez les êtres humains sur la base d'une prétendue urgence.

Notes et références

  1. ^ Les molécules du complexe majeur d'histocompatibilité de classe I (CMH I) sont des glycoprotéines retrouvées de façon quasi-ubiquitaire à la surface des cellules nucléées. Le CMH I est composé d'une chaîne lourde et d'une chaîne légère, les composants de la première formant une poche qui contient un peptide antigénique d'environ neuf acides aminés. Le complexe CMH I associé à ce peptide antigénique est reconnu par les lymphocytes T CD8 (notés parfois LT8) qui participent à la surveillance immunitaire. En cas d'infection d'une cellule par un virus, cette dernière présente dans la poche le déterminant antigénique de son hôte pathogène, entraînant alors une reconnaissance par les lymphocytes T CD8.
  2. ^ Les lymphocytes T, ou cellules T, sont une catégorie de leucocytes qui jouent un grand rôle dans la réponse immunitaire adaptative. « T » est l'abréviation de thymus, l'organe dans lequel leur développement s'achève. Ils sont responsables de l'immunité cellulaire : les cellules infectées par un virus par exemple, ou les cellules cancéreuses reconnues comme étrangères à l'organisme (c'est-à-dire distinctes des cellules que les lymphocytes T ont appris à tolérer lors de leur maturation) sont détruites par un mécanisme complexe. Il existe plusieurs types de cellules T. Les lymphocytes T cytotoxiques (TCD8 ou T killer) détruisent les cellules infectées. Ces cellules sont dites cytotoxiques car elles sont à elles-mêmes capables de détruire des cellules cibles qui présentent des antigènes spécifiques à travers le CMH de classe 1. Elles portent à leur surface un marqueur CD8.
  3. ^ Les D-dimères sont un produit de la dégradation de la fibrine (élément final de la coagulation sanguine) lors du processus de fibrinolyse (étape marquant la fin du processus de coagulation et le retour à une circulation normale).
  4. ^ La coagulation intravasculaire disséminée souvent appelée CIVD (ou encore syndrome de défibrination ou coagulopathie de consommation) est une activation pathologique de la coagulation (formation de caillots sanguins). Elle apparaît dans de nombreuses situations pathologiques quand de petits caillots se forment dans les vaisseaux sanguins de tout l'organisme. Ces caillots consomment les facteurs de coagulation. La coagulation normale est ainsi empêchée et des hémorragies (saignements) anormales apparaissent sur la peau (notamment aux sites de prélèvements sanguins), le tube digestif, le tractus respiratoire et les cicatrices chirurgicales. Les petits caillots perturbent aussi le flux sanguin vers les organes (comme les reins) et entraînent une perturbation de leur fonctionnement.

Texte original de THE DEFENDER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Les doigts de pied en éventail

Les chaussettes à orteils (ou chaussettes-gants ou chaussettes à doigts) sont une invention américaine de la fin des années soixante — bien que postérieures aux tabis, ces chaussettes japonaises datant du XVIe siècle et comparables aux moufles où seul le gros orteil est séparé. Elles permettent, entre autres, de mieux bouger les orteils, de réduire la transpiration et d'améliorer l'équilibre et la posture.

Je les ai découvertes tout à fait par hasard en commandant un kit d'accessoires pour le yoga. La paire que j'ai reçue ressemblait à des mitaines pour pieds avec pastilles antidérapantes et, effectivement, j'ai tout de suite perçu un meilleur équilibre et une plus grande stabilité. Par la suite, en ayant ras-le-bol des chaussettes traditionnelles qui glissent tout le temps et finissent immanquablement par rouler en boule au fond des bottes quand on marche beaucoup, j'ai eu l'idée de faire une recherche pour savoir si la version à orteils existait pour autre chose chose que pour le sport, ce qui s’avéra fort heureusement le cas. Depuis que je les ai adoptées, je n'ai plus de cals ni douleurs aux pieds voire je ne transpire plus même lorsque je porte des baskets par temps chaud. Un sérieux argument contre les frottements, les ampoules et le pied d'athlète. Mais pas que.

À bon pied, bon œil

De nombreuses maladies commencent aux pieds.

Proverbe japonais

Nos pieds sont la base de notre mobilité. Ils sont constitués d'un système complexe de nerfs, vaisseaux, os, articulations, muscles et tendons et représentent l'une des parties les plus sollicités de notre corps. L'inconvénient des chaussures, inventées il y a dix mille ans, et que nous portons quasiment toute la journée, est que la structure complexe du pied est bien souvent trop peu ou mal utilisée, entrainant, à terme, nombre de mauvaises postures et douleurs affectant non seulement les pieds mais également les genoux, les hanches, la colonne vertébrale, ainsi que la musculature du corps.

Les chaussettes ordinaires (sans doigts) non seulement épousent la forme non ergonomique des chaussures mais pour éviter qu'elles ne glissent, la grande majorité a tendance à comprimer le pieds et les orteils, ce qui n'est pas sans conséquences sur de longues périodes. Ainsi, les orteils ne peuvent plus se mouvoir indépendamment les uns des autres. Leurs muscles et  tendons inutilisés s'atrophient, leur faisant perdre, à terme, une grand partie de leurs capacités motrices. La compression entraînant une mauvaise irrigation sanguine, un syndrome des pieds froids peut se développer. L'espacement entre les orteils disparaît, favorisant ainsi le frottement, la production de sueur et le développement de bactéries et champignons. Mais ce n'est pas tout : nos pieds supportant tout notre poids, il est d'autant plus facile de se blesser à cause d'une simple « charge incorrecte ». Les doigts de pied étroitement pressés les uns contre les autres obligent souvent le gros orteil à porter une charge plus élevée, engendrant une déformation de ce dernier. Il arrive même que certains des autres orteils ne touchent plus le sol et n'aident donc plus les autres à supporter le poids du corps, celui-ci étant reporté sur d'autres zones du pied.

Repartez du bon pied

C'est pour cette raison que marcher pieds nus améliore notre confort et nos douleurs. Malheureusement  l'urbanisation avec le revêtement des sols, la pollution, les débris, etc., ne nous permettent pas de le faire partout. L'utilisation quotidienne de chaussettes à doigts permet de solliciter régulièrement tous les orteils, de leur faire reprendre une position adéquate, replaçant ainsi le centre de gravité et redistribuant uniformément la pression du pied. Ces effets positifs auront, entre autre, un impact sur d'autres problèmes comme l'Hallux valgus (oignon) et les pieds plats, les douleurs aux chevilles, genoux, hanches et dos (voire aussi cou et épaules), la sensibilité au froid, les entorses et les problèmes d'équilibre.

Ce type de chaussettes permet donc à nos orteils d'assurer à nouveau leurs rôles sensoriel et moteur, de renforcer les muscles du pied et d'améliorer, à long terme, la circulation sanguine des membres inférieurs.

Hormis les modèles pour le sport, vous aurez du mal à en trouver dans les enseignes vestimentaires traditionnelles. Il vous faudra plutôt vous rabattre sur les boutiques en ligne, certaines étant spécialisées dans la vente exclusive de ce type de chaussettes. Il suffit de taper « chaussettes à doigts » dans un moteur de recherche. Comme pour les « tubes » ordinaires, il en existe de toutes hauteurs, épaisseurs, matières, couleurs et même, pour les femmes, ce qu'on appelle des « protège-bas » pour mettre à l'intérieur d'escarpins ou autres chaussures échancrées. J'en ai trouvé en coton aéré de petits trous avec une bande de silicone au niveau du talon d'Achille et adieu les frottements et les gonflements après une longue marche. Et pour ma part, pieds secs même par canicule et zéro odeur. C'est simple, je ne peux plus m'en passer. Par contre, je n'ai pas trouvé de bas et collants à doigts mais on peut toujours se rabattre sur des sans pieds ou des leggings.

Prenez bien soin de vos pieds, ils vous le rendront en confort et en liberté de mouvement.

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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