Voici un nouveau contre-ver d'oreille (ou anti-chanson) destiné à retourner vibratoirement les boucles de programmation matricielle qui se répètent sans cesse dans notre expérience simulée.
Qui n’a jamais traversé un schéma toxique dans ce monde de prédation, bâti sur la souffrance comme pilier fondamental ? Tant que l’on se persuade (ou que l’on se laisse persuader) d’être responsable de la bassesse humaine (savamment orchestrée par l’astral), le cycle algorithmique se rejoue à l’infini.
Mais parfois, la souffrance et la désillusion atteignent un tel seuil que l’âme, saturée, refuse d’endosser une nouvelle fois ce rôle mortifère. C’est alors que tout peut basculer.
Le rayon de l’esprit révèle ces schémas répétitifs et les consume — à condition que la personne n’autorise plus les pensées parasites (qui ne lui appartiennent pas) à violer son espace mental. À condition aussi qu’elle cesse de nourrir de son énergie vitale les émotions suscitées par ces mêmes pensées ou croyances. Alors, elle passe de la perception — où elle se projette dans ce qui n’est pas elle — à la perspective, d’où elle observe avec neutralité, froideur et lucidité ce qui se joue, et choisit d’agir de manière stratégique et non réactionnelle.
On ne joue pas aux échecs comme on joue au foot : imaginez Karpov donnant un coup de boule à Kasparov en pleine partie ! Et souvenez-vous : à la fin du jeu, toutes les pièces — rois ou pions, sans exception — retournent dans la boîte.
Comme pour mes précédentes anti-chansons (“Au nom du Père”, “Âme mnésique”), “Jamais” a été générée par l’IA à partir de mes paroles, remixée avec mes modestes moyens, et mise en images de synthèse grâce à un clip que j’ai conçu moi-même. Un travail de longue haleine, car contrairement à ce que beaucoup croient, l’IA ne fait pas tout d’un simple clic : il faut tester, ajuster, retoucher, assembler, et y consacrer beaucoup de temps. Merci d’excuser les limites techniques : la qualité n’est pas le reflet du message, mais des outils gratuits disponibles.
"Jamais" n’est pas une plainte mais une clôture de boucle : un refus net de rejouer les mêmes scénarios. C’est aussi une manière de recycler vibratoirement les blessures en création.
Lâchez du lest, pas du loosh !
Jamais
Toi l'amie qui m'a trahie
L'innocence fausse de ton déni
La
malveillance vraie de ton envie
Oh oh oh
Trop longtemps de mes blessures
Tu t'es nourrie
Si souvent de ce qui
rassure
Tu t'es servie
Fait de mes émois un levier
Et de ma voix ton bouclier
Sans jamais…
Jamais te mouiller
Jamais te dévoiler
Jamais…
Oh
jamais…
Oh oh oh oh
Plus jamais
Toi l'amie qui m'a salie
Le silence strident des tes non-dits
L'indécence
sourde de ton mépris
Oh oh oh
Il fallait que je combatte tes batailles
À ta place
Toujours que je
colmate tes failles
Dans la glace
Me faire l'écho de tes ragots
Le porte-à-faux de ton ego
Sans
jamais…
Jamais te mouiller
Jamais t'exposer
Jamais…
Oh
jamais…
Oh oh oh oh
Plus jamais
Mais le rayon de l'esprit
Disperse les brumes
Transperce la nuit
Dissout
l'amertume
Des mémoires endormies
Que la lumière rallume
Arrache les voiles
Les peurs, la rancune
Ébranle l'astral
Que
son ardeur importune
Eclipse les étoiles
La douleur, l'infortune
Toi l'amie qui m'a trahie
L'innocence fausse de ton déni
La
malveillance vraie de ton envie
Oh oh oh
Trop longtemps de mes blessures
Tu t'es nourrie
Si souvent de ce qui
rassure
Tu t'es servie
Fait de mes émois un levier
Et de ma voix ton bouclier
Sans jamais…
Jamais te mouiller
Jamais te dévoiler
Jamais…
Oh
jamais…
Oh oh oh oh
Plus jamais
Me faire l'écho de tes ragots
Le porte-à-faux de ton ego
Sans
jamais…
Jamais te souiller
Jamais t'exposer
Jamais…
Oh
jamais…
Oh oh oh oh
Plus jamais
Plus jamais…
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