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À chaque jour suffit sa peine

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Rendez vos états ressources instantanément disponibles

La notion d’ancrage est l’un des principaux concepts de la PNL (programmation neurolinguistique — Ed.). Il s’agit d’un phénomène naturel qui consiste à associer un stimulus externe à un état interne. La madeleine de Proust est un célèbre exemple d’ancrage spontané. En mangeant une madeleine, Proust retrouve dans ses moindres détails une scène de son enfance. Dans ce cas, le déclencheur est un goût (stimulus) qui réveille une nostalgie (état interne). Il existe beaucoup d’autres possibilités d’ancrages. On peut avoir associé les premières notes d’un tube à une soirée très joyeuse ou l’image d’une plage à la sensation de détente. La plupart des ancres sont inconscientes, mais on peut en créer délibérément. Alors, au lieu de subir ses humeurs, on peut les choisir. Les ancrages sont ainsi l’un des moyens les plus simples de prendre le contrôle de ses états d’âme et avoir ainsi accès à une panoplie d’états ressources.

On appelle « états ressources », les états qui sont optimaux pour vivre une situation (courage, détente ou concentration) et « états limitants » ceux qui nous entravent et nous nuisent (stress, peur, démotivation, etc.).

La gestion des états internes consiste à choisir l’état interne adéquat pour une situation donnée, à pouvoir l’enclencher et à savoir rester dans cet état le temps requis par la situation. En parallèle, on apprend à ne plus entrer dans ses états invalidants et à les désactiver. On peut aussi créer d’avance des ancres positives qu’il suffira d’activer quand on en aura besoin.

Pour pouvoir puiser dans ses propres richesses, la question à se poser est : « Quel est l’état interne le plus approprié à la situation que je vais devoir affronter ? »

Retrouvez une situation antérieure où vous avez vécu cet état positif. Revivez mentalement la scène par vos cinq sens jusqu’à entrer intensément en contact avec l’état ressource puis associez-y un ancrage sensoriel : une pression sur la peau ou un petit « Yes ! » victorieux. Personnellement, j’aime bien l’ancrage qui consiste à fermer le poing comme si on tenait son état interne dans la main. Pour que l’ancre fonctionne, il faut la poser au moment où on entre pleinement dans son état ressource. Ensuite, en refaisant exactement le même geste, l’état ressource doit revenir avec la même intensité. Ne choisissez pas un geste trop banal, l’ancre serait vite usée par d’autres sollicitations. Contrairement aux pratiques comportementalistes, il n’est pas utile, si l’ancre est bien posée, de la reproduire plusieurs fois pour garantir sa longévité.

Toutes les ressources nécessaires à votre évolution sont à l’intérieur de vous. Vous pouvez maintenant condamner l’accès à vos vieilles autoroutes de morosité, de découragement et de rumination. Ancrez toutes ces belles ressources que vous avez en vous : votre état d’éveil et de curiosité, votre bienveillance, votre optimisme…

Par exemple, maintenant, de quelle ressource avez-vous besoin pour intégrer votre surefficience ? Personnellement, je vous proposerais bien d’ancrer une curiosité et un émerveillement aussi frais et purs que ceux d’un enfant qui découvre un parc avec des balançoires. Ainsi vous allez vous étudier en pensant : « Quel beau cerveau ! C’est trop génial de faire le lémurien dans mes arborescences ! Yahoo, comme ça va vite dans ma tête ! »

Texte original de CHRISTEL PETITCOLLIN extrait de Je pense trop : comment canaliser ce mental envahissant (isbn:9782813201966)

Image couverture : Lucas Pezeta

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La Voie du Retour

Un texte qui s'est écrit tout seul en réaction à une citation du Tao postée sur Instagram que je me devais de partager sous forme vidéo.

L'introspection quotidienne apporte l'harmonie à toutes nos facettes. Les mauvais aspects peuvent être dissous. Ceux qui sont avantageux peuvent être cultivés. Cet effort prendra de nombreuses années, mais c'est ainsi que progressivement nous nous résolvons nos problèmes avec notre subconscient en nous libérant des luttes et des conflits.

365 Tao

Je suis un milliard pour cent d'accord avec ça. Toutefois, il doit y avoir quelque chose qui a échappé à de nombreuses personnes à en voir — et NON à en juger (merci de bien noter la différence) — où ils placent leur soutien et leurs actes.

Au final, le déni et les étiquettes de dédouanement ne pourront pas empêcher la Vérité de déchirer le voile de l'illusion. C'est là que chacun d'entre nous saura quel degré d'unité il aura accompli en lui.

Je ne m'exclus aucunement de cela car j'ai bien conscience qu'il y encore beaucoup de choses que j'ai du mal à accepter et qui engendrent du déni et des fausses croyances en moi, principalement au niveau personnel.

C'est la chose la plus importante que vous pourrez faire pour vous-même et pour le monde. Et également la plus dangereuse pour ceux qui tirent profit de ce que les êtres humains soient déchirés à l'intérieur pour continuer à régner sur le monde.

Il ne s'agit pas d'avoir raison ou tort. Il s'agit juste de réaliser que nous ne sommes pas notre ego. Notre ego est un outil qui nous maintient en mode survie même lorsque nous ne sommes pas en danger.

En conditionnant nos egos à se sentir menacés en permanence, on obtient une humanité qui survit mais qui ne vit pas et qui est déconnectée de son vrai Soi. C'est ainsi que des élites autoproclamées, stars ou peu importe comment elles s'appellent, décident qui a de la valeur, qui n'en a pas et ainsi de suite.

Notre véritable noyau ou centre se situe au niveau de notre cœur — non pas la pompe à sang ni le cœur romantique mais le chakra Anahata qui est le pont reliant nos chakras inférieurs en rapport avec la vie terrestre et nos chakras supérieurs qui touchent au divin et à l'esprit.

Notre tête n'est qu'un périscope dont notre mental/ego est le pilote. Il ne comprend que les mots et a besoin d'une banque de données d'expériences et de savoir appris pour fonctionner. Contrairement à notre cœur depuis lequel notre être véritable multidimensionnel opère et où nous obtenons l'inspiration, la sagesse, la connexion au divin, à l'univers et toutes les choses que nous appelons « spiritualité ».

C'est là où sont nos instincts profonds, le savoir qui ne passe pas par la réflexion. C'est donc de là (sans penser mais en ressentant profondément) que nous devons faire le travail susmentionné.

C'est en cet endroit que nous ne pouvons ressentir ni tristesse ni dépression, colère ou surexcitation. C'est là que nous pouvons trouver la sortie, la lumière le Graal ou peu importe comment vous appelez l’équilibre que chacun d'entre nous doit trouver.

Certains ne sont pas prêts. Ils font juste de leur mieux. C'est ce qui compte le plus.

Je terminerai en souhaitant à tout le monde de trouver le chemin du retour à la Maison (la Maison étant le centre/cœur).

Cela n'a rien d'égoïste comme on vous l'a fait croire à tort : c'est le plus grand acte d'amour car nous sommes tous un. S'aimer soi équivaut à aimer tous les autres.

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Reste TOI

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Fermer les yeux et écouter

Méditer pour apaiser son esprit, méditer pour savourer sa vie : la méditation de pleine conscience est un moyen de cultiver sérénité et lucidité, accessible à tous. Ce texte que j'ai choisi d'adapter en audio est extrait d'un ouvrage destiné à guider, jour après jour, ceux qui se lancent dans la méditation, comme ceux qui approfondissent leur pratique. Il comporte 25 leçons, depuis les bases comment utiliser la respiration, le corps, la conscience de l'instant présent , jusqu'aux exercices approfondis faire face à la souffrance, stabiliser ses émotions, construire la paix de l'esprit et du coeur... Chacune des leçons est illustrée par une méditation guidée sur une toile peinte afin de guider le regard pour en découvrir des détails qui leur donnent un sens.

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Ey@el

Train dans la campagne

La peinture, ce n’est pas que pour les yeux. Certains tableaux arrivent aussi à chuchoter à nos oreilles. Comme celui-ci par exemple : c’est un tableau à écouter. À regarder aussi, bien sûr, mais surtout à écouter.

Il y a les cris des enfants qui jouent, et les appels au calme de leurs mères. Il y a le vent qui fait doucement bruisser les feuilles des arbres. Le chant des oiseaux. Peut-être un ou deux chiens qui aboient au loin.

Tout à coup, un drôle de bruit s’invite. Peu à peu, il grandit. Tschtt-tschtt-tschtt, tudum-tudum-tudum... Le son de la locomotive à vapeur s’amplifie, prend de la place, emplit l’espace de son halètement, de la rumeur de ses roues sur les rails. Tschii-tschii : voici le sifflet que le conducteur actionne, par allégresse ou par habitude, au passage du viaduc.

Puis tout diminue, le train a disparu, on l’entend encore un peu dans le lointain. Au bout d’un moment, plus rien : tout s’efface et se dissout imperceptiblement. Il n’y a plus maintenant que le souvenir de son passage. À quel moment exactement le son du train s’est-il arrêté ? Combien de temps tout cela a-t-il duré et capté notre esprit ? Question sans aucune importance ? Peut-être. Mais peut-être aussi en a-t-elle énormément car elle peut nous éclairer sur la manière dont notre esprit écoute - ou non – la vie.

La vie qui continue, moment après moment. Et doucement, c’est le retour, au premier plan de notre conscience, du bruit des enfants, des mamans, du vent et des oiseaux. Et peut-être d’un ou deux chiens, qui continuent d’aboyer au loin....

« J’écoute le chant de l’oiseau non pour sa voix, mais pour le silence qui suit. »

Yone Noguchi, Sources de sagesse orientale

Texte original de CHRISTOPHE ANDRÉ extrait de Méiter jour après jour (isbn:9782298024647)
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Mon cœur est le porteur de la Vérité

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L'émerveillement

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