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Des voix dans votre tête

Yuval Harari, l'homme de l'IA de Klaus Schwab, a déclaré au forum virtuel de la démocratie à Athènes, en 2020, que la « crise du Covid » signa le passage au tout numérique, à la surveillance généralisée et l'instant où « nous avons accepté d'être surveillés en permanence ». Sérieusement ? Vous étiez d'accord ?

Harari a mentionné que les télévisions nous observaient déjà et connaissaient notre ressenti émotionnel envers les programmes que nous regardions. Selon lui, les émotions seraient un « phénomène biologique … un schéma biologique dans votre corps ». Avec ce type de surveillance, vous regardez le discours d'un grand président, d'un grand dirigeant à la télévision et votre téléviseur pourrait vous surveiller et savoir si vous éprouvez ou non de la colère rien qu'en analysant les signaux biologiques émanant de votre corps. Il en va de même sur Internet et c'est un excellent moyen de contrôler la production de « loosh »1. Harari a déclaré : « Je pense que le grand processus actuellement à l'œuvre dans le monde entier consiste à pouvoir pirater les humains afin d'acquérir la compréhension profonde de ce qui se passe en eux … Cette capacité à surveiller les gens de l'intérieur constitue le plus important tournant jamais réalisé. » Ce qu'ils sont en train de pirater, c'est l'antenne d'émission-reception humaine, autrement dit, le corps. J'ai souligné précédemment comment les cinq sens décodent les informations sous formes d'ondes en informations électriques qui sont ensuite décodées par le cerveau et le corps en informations holographiques numériques que nous percevons comme le monde « physique ». Il est donc intéressant de voir la définition d'une antenne comme une interface entre les ondes radios et les courants électriques. En tant qu'émetteur, une antenne diffuse des ondes électromagnétiques (ondes radio) et en tant que récepteur, elle transforme ces ondes radio en courant électrique. Cela fait des décennies que je décris l'ADN comme un émetteur-récepteur d'informations, soit une antenne. Cela permet de saisir le véritable motif derrière le « Cloud ». Ce dernier communique avec le corps et pirate le système de décodage de l'émetteur-récepteur (les cinq sens) afin de bloquer davantage toute influence que l'Étincelle divine pourrait avoir sur la perception « humaine ». L'ADN est un émetteur-récepteur qui interagit avec les fréquences correspondant à son rayon d'action. Les injections factices d'ARNm sont conçues pour modifier l'ADN et ses fréquences afin de le connecter au Cloud, le soustrayant ainsi à l'influence de l'Étincelle/Infini divin.

Vous devriez écouter votre cœur. Pas les voix dans votre tête.

Mark Groening

La 5G est la toute dernière bande de fréquence électromagnétique pour relier le « Cloud » au réseau électrique/électromagnétique du corps et du cerveau et, désormais, à la nanotechnologie réplicante infusée par les injections ; mais gardez bien toujours à l'esprit que la conscience en toute puissance peut tout neutraliser y compris les effets du faux vaccin sur l'organisme. Une fois encore, le corps est un champ énergétique sur lequel la conscience peut avoir un impact. Tout est déterminé par la perception. Voyons-nous le corps comme étant le plus fort ou bien sommes-nous (la conscience) aux commandes ? Les champs électromagnétiques peuvent affecter gravement la perception et les émotions si, par ignorance du mode de fonctionnement de l'interaction, on le leur permet.  Dans les années 50, le Dr Andrija Puharich, un chercheur américain en médecine et parapsychologie, a découvert comment les fréquences affectaient la perception et modifiaient le comportement en changeant l' ADN et son « encodeur/décodeur », l'ARN.  Il a constaté que les fréquences de 10,80 Hz induisaient un « comportement séditieux » et que celles de 6,6 Hz rendaient les gens dépressifs. Ne vous y trompez pas : on diffuse bien des fréquences dans certains endroits pour manipuler les émotions et les comportements. Le Cloud ainsi que les injections « Covid » rendent cela possible à l'échelle planétaire mais la conscience est toujours en contrôle si nous faisons en sorte qu'elle le soit.

Un professeur de psychologie de l'Université Laurentienne en Ontario a réalisé une étude détaillée des effets des champs électromagnétiques sur le cerveau. Michael A. Persinger (1945-2018) a décrit des expériences dans lesquelles des champs électromagnétiques, même infimes, soigneusement ciblés, pouvaient ouvrir le cerveau à des suggestions extérieures et manipuler des émotions telles que la peur et l'appréhension. Il a déclaré que l'on pouvait manipuler le cerveau de manière à ce qu'une population entière prennent les décisions que l'on souhaite. Selon Persinger, cette technologie existait déjà, il y a des années, par le biais des satellites, des émetteurs radio et de la télévision. La peur pourrait être induite et liée à la perception qu'ont les gens d'une personne ou d'un groupe en  particulier. Songez au potentiel de ce Cloud planétaire de 5G, 6G et 7G pour déclencher la fureur envers un individu ou un groupe que vous cherchez à diaboliser. Les militaires ont recours à une technologie électromagnétique pour influencer les perceptions de l'ennemi, briser sa résistance et obtenir sa reddition et la Secte2 ne s'en servirait pas contre la population ? Le Dr Charles Morgan est un psychiatre légiste et neuroscientifique spécialisé dans les opérations spéciales de la CIA et de l'armée. Il enseigne la sécurité nationale à l'université de New Haven dans le Connecticut et a présenté, en 2018, à un auditoire militaire de l'académie de West Point, ses recherches sur la manipulation du cerveau humain pour émettre et recevoir des informations sensorielles « comme dans le film Matrix » et sur la modification de l'ADN à des fins de contrôle de l'esprit. Il y a décrit comment un cerveau humain pouvait prendre le contrôle de l'esprit de rats et de cafards pour dicter les réactions de leur corps et comment ils pouvaient utiliser la manipulation génétique pour contrôler les humains de l'extérieur, voire même les tuer : « Vous pouvez concevoir un truc [génétique] unique qui ne tuerait qu'une seule personne dans le monde ». Morgan a déclaré que les cerveaux humains pouvaient être reliés et c'est là le fondement-même de l'esprit de ruche contre lequel je mets en garde depuis si longtemps. Voici les moyens dont on dispose actuellement et qui sont entre les mains de malades mentaux.

Dans mes précédents ouvrages, j'ai souligné l'importance de comprendre ce qu'est l'entraînement. Cela se produit lorsque la fréquence dominante fait vibrer à son diapason tout ce qui se trouve dans son champ. Disposez ensemble trois violons jouant la même note. Si l'on introduit un quatrième violon jouant une note différente, ses cordes vibreront en accord avec les trois autres. La technologie permet manifestement de lire les perceptions cérébrales ainsi que les implanter. Des personnes ont remarqué que des conversations tenues hors réseau donnaient lieu par la suite à l'apparition de publicités en rapport avec leurs conversations privées. Ça va bien plus loin : une amie, qui faisait de l'équitation dans sa jeunesse, se demandait si elle aurait encore le courage de monter à cheval. La pièce était vide. Elle n'en avait parlé à personne. Immédiatement, une publicité est apparue sur son fil Instagram pour vaincre sa peur de monter à cheval ! À quand remonte la dernière fois que vous avez vu une telle pub, sans parler du fait qu'elle est apparue quelques instants à peine après que vous y ayez pensé ? Une autre fois, elle a songé à acheter une brosse WC et une liste de publicités pour des brosses WC s'en est suivie. La technologie est bien plus avancée qu'on ne nous le dit.

Notes et références

  1. ^ Le loosh est un fluide énergétique hautement magnétisé et dilué par l'émotion humaine (principalement souffrance et surexcitation) dont se nourrissent les diverses entités de l'astral.
  2. ^ La Secte est le nom que donne David Icke à la Cabale ou élite satanique qui régit ce monde dans l'ombre.

Texte original de David Icke extrait de The Dream (isbn:9781838415334) traduit de l'anglais par EY@EL

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Des armes silencieuses pour la guerre secrète contre vous

Ce n'est que depuis août 2023, avec les incendies à Hawaï, que les masses ont entendu parler d'armes à énergie dirigée comme l'explique Alexis Cossette dans cette vidéo. Pourtant cette technologie existe depuis beaucoup plus longtemps et son utilisation va bien au-delà de ce que l'on pourrait imaginer, comme servir de télécommande pour harceler et piloter à distance n'importe quel individu, le privant ainsi de son ultime refuge : son esprit.

Comme l'écrivait, avant sa disparition, la journaliste d'investigation Claire Séverac dans son ouvrage intitulé La Guerre secrète contre les peuples, paru en 2015, « le plus terrifiant, c'est l'idée qu'ils puissent interférer avec la conscience humaine, court-circuiter notre volonté et notre liberté, jusqu'à celle de penser, quelque chose que même Dieu, dans la plupart des religions, ne fait pas... Ce pouvoir est maintenant entre les mains de quelques hommes qui ne nous reconnaissent aucun droit. Est-ce qu'ils devraient s'en servir? Non.

« Est-ce que l'on nous demande notre avis? Non. Toutes les décisions sont prises selon le principe de dissimulation-manipulation par ceux qui nous gouvernent, encore une fois en violation totale de notre Constitution et du Code de Nuremberg ».

Ey@el

Le monde de l'armement non létal a ouvert la voie à des technologies permettant de contrôler l'esprit, les pensées, les actions et les comportements par le biais de décharges de micro-ondes pulsées à haute fréquence, de transmissions électriques, d'ondes de chaleur et d'ondes sonores dirigées. Ces technologies peuvent contourner nos inhibiteurs ordinaires pour pénétrer dans le corps et le cerveau humains à l'insu de l'individu ciblé jusqu'à ce que ce dernier en subisse les conséquences.

Elles sont utilisées depuis des décennies et pas uniquement à des fins militaires mais également pour endiguer les manifestations et les émeutes, neutraliser et réduire les dissidents au silence et maîtriser les débordements de foule.

Les canons à son

Depuis des années, les forces de l'ordre ont recours à des armes non létales dont les canons à son (dispositifs acoustiques à longue portée) qui émettent des décharges d'ondes sonores visant à faire cesser un comportement en désorientant temporairement les victimes ciblées. Cependant, si les militaires et les forces de l'ordre en ont un usage pratique et facile à identifier, il existe une application bien plus insidieuse de ce type de technologie.

En février 2022, les médias alternatifs signalèrent que des canons à son avaient été utilisés, à Canberra, lors des manifestations contre l'obligation vaccinale. La police fédérale australienne avait reconnu avoir employé ces dispositifs lors d'un rassemblement du Convoi pour la Liberté devant le Parlement, à Canberra. Plusieurs vidéos et images avaient été diffusées sur les réseaux sociaux, montrant des personnes atteintes de blessures diverses allant de simples boutons de chaleur à des éruptions cutanées en passant par ce qui s'apparentait à des boursouflures d'origine allergique. Coups de soleil, insolations, faiblesse et lésions auditives temporaires et permanentes furent également signalés.

Au Sénat fédéral australien, le sénateur Alex Antic a
soulevé la question de l'utilisation d'un canon à son par
la police lors de la manifestation contre l'obligation
vaccinale à Camberra.

Le sénateur du parti Une Nation, Malcolm Roberts et le sénateur du parti libéral australien, Alex Antic portèrent la question devant le Sénat après que le bureau du premier eut été inondé de plaintes de manifestants qui avaient participé au rassemblement. Le sénateur Antic montra les photos d'un canon à son déployé aux côtés de policiers. Lesdites photos de haut-parleurs sur des voitures aux abords du rassemblement avaient été prises par les manifestants mais ils n'obtinrent qu'une réponse classique. On leur dit que ces dispositifs acoustiques à longue portée n'étaient utilisés que pour s'adresser au public.

Malgré l'avalanche de lésions, les allégations selon lesquelles les canons à son avaient été utilisés pour incapaciter la foule furent reçues sur un ton moqueur.

Le 20 février 2022, le média indépendant australien The Conversation faisait état que des armes sonores comme les canons à son étaient utilisées « à des fins de communication et de contrôle des foules » et que les signalements de cas de lésions étaient « contraires à ce qu'un dispositif acoustique à longue portée peut réellement produire ». Cette même technologie fut également employée à la manifestation Black Lives Matter en Nouvelle-Galles du Sud. La police locale répondit aux inquiétudes en déclarant lors d'une conférence de presse qu'il s'agissait d'un « mégaphone normal ».

La première application officielle du canon à son eut lieu en l'an 2000, sur l'USS Cole, quand le destroyer lance-missiles américain fut bombardé par un petit bateau lors d'un attentat terroriste. Le personnel naviguant à bord du Cole se servit du canon à son pour héler le bateau mais en vain. Dès lors, les dispositifs acoustiques de longue portée sont devenus une arme de choix pour faire face aux émeutes et manifestations. Des photographies des manifestations du Convoi de la liberté des routiers canadiens en février 2022, à Ottawa, montrent la police équipée de telles unités portables.

Les canons à son sont souvent utilisés en mode haut-parleur pour s'adresser aux foules mais peuvent être également activés en mode infra et ultrason pour infliger diverses blessures, rendre malade et incapaciter les émeutiers ou les manifestants.

Parce que nous ne pouvons entendre les infra ou les ultrasons, nous ne nous rendons compte que trop tard que cette arme est utilisée contre nous. Le recours à ces dispositifs acoustiques à longue portée pour diriger le son suscite l'inquiétude des groupes de défense des droits de l'homme du fait de volumes sonores supérieurs à 90 dB pouvant endommager l'ouïe des individus. Le faisceau de ces canons à son ne faisant aucune discrimination, toute personne se trouvant sur son chemin sera affectée, y compris les passants innocents et les enfants.

Dans un article intitulé, "La police a-t-elle eu recours à des armes sonores contre les Australiens qui manifestaient pacifiquement contre la tyrannie covidienne", Reignite Democracy Australia mettait en garde contre le fait que l'usage de ces technologies marquait « une nouvelle étape vers la répression militarisée des manifestations légales en Australie ». Ce qu'ils ont qualifié d'attaque scandaleuse du gouvernement contre son peuple. Les médias, comme on pouvait s'y attendre, ont pondu une propagande pour étouffer l'affaire mais les manifestants de Canberra se sont servis de tous les réseaux sociaux pour montrer ce qui se passait sur le terrain et à quel niveau de bassesse, selon eux, la démocratie en Australie était tombée.

Coups de chaleur

En septembre 2020, le journaliste Matt Novak de Gizmodo écrivait un article intitulé "Selon les allégations d'un lanceur d'alerte, on aurait demandé aux troupes américaines d'avoir recours à une arme à rayonnement thermique contre les manifestants". D'après le témoignage sous serment dudit lanceur d'alerte, les troupes fédérales de Washington D.C auraient envisagé utiliser des canons à son et rayons thermiques ultra sophistiqués contre les manifestants devant la Maison blanche en juin de cette même année.

Système de déni actif (Active Denial System - ADS) est le nom savant pour désigner l'utilisation de faisceaux invisibles de micro-ondes provoquant une douleur vive en brûlant la peau des personnes même à distance. Les troupes américaines y ont eu recours pour la première fois en Irak après l'invasion de 2003. D'aucuns laissent entendre que le gouvernement américain les utiliserait sur son propre sol.

L'ADS produit une chaleur brûlante qui n'est pas destinée à tuer mais à blesser. À l'instar des armes soniques, les armes thermiques sont considérées comme non létales et visent à provoquer la douleur pour disperser une émeute ou une foule nombreuse. Développé par l'armée de l'air américaine et construit par Raytheon Technologies, l'ADS peut produire des rafales d'énergie d'ondes millimétriques capables de pénétrer jusqu'à plusieurs millimètres sous la peau humaine. Ce qui est suffisant pour agiter les molécules d'eau dans le derme et produire une sensation de brûlure assez forte pour empêcher une personne d'agir.

L'ADS a une portée de plusieurs centaines de mètres et peut être orienté comme un projecteur. Des essais approfondis ont montré qu'aucun être humain ne peut résister plus de quelques secondes au faisceau.

Les armes à énergie dirigée

Les armes à énergie dirigée comprennent tout type d'énergie dirigée, que ce soit sous forme de lumière, son, chaleur, électricité ou énergie cinétique, vers une cible spécifique ou une personne. Ce type de dispositifs n'est pas nouveau.

La machine à architecture cognitive russe (Learning Intelligent Distribution Agent - LIDA), qui a recours à des impulsions électromagnétiques pour épuiser ou priver de sommeil une cible, est utilisée depuis les années 80. La chaîne d'informations CNN a diffusé un reportage spécial sur les travaux du Dr Ross Adey qui a étudié la machine LIDA et fait une apparition avec l'une d'entre elles dans l'émission. Le LIDA peut émettre des sons, de la lumière et la chaleur rayonnante mais en temps normal, uniquement vers une personne située dans un périmètre proche. À l'époque, Adey et son collègue, le Dr Eldon Byrd, étudiaient le LIDA en temps qu'arme potentielle.

Voici quelques-uns des symptômes ou indicateurs d'une attaque à arme à énergie dirigée :

  • Réveil soudain à la même heure de la nuit comme s'il était provoqué par une force extérieure.
  • Sensations de picotements ou d'aiguilles enfoncées profondément dans la chair, en particulier lorsque l'on essaie de dormir.
  • Vibration de muscles et de parties du corps ou d'objets immobiles à proximité.
  • Rythme cardiaque et pouls rapides et bourdonnements d'oreille.
  • Chaleur corporelle très élevée en dépit de la fraîcheur environnante et d'une absence de fièvre.
  • Fatigue soudaine et extrême.
Une arme à micro-ondes de l'armée de l'air américaine
pour détruire des drones en grillant leurs composants
électroniques.

Les armes à faisceau d'énergie dirigée exploitent la lumière et les ondes radio comme munitions. L'armée américaine étudie ce type d'armement à énergie pulsée depuis des décennies. Selon un article intitulé "Malgré leurs promesses, les armes à faisceau d'énergie manquent toujours à l'appel", paru en 2005 sur le site MSNBC, ces impulsions, qui se comportent comme les phasers dans Star Trek, pourraient fournir une puissance de feu précise, instantanée et inépuisable sur les champs de bataille à venir  — si cette technologie devait un jour se matérialiser sur le plan logistique.

Il semblerait que le moment soit venu pour concrétiser ce potentiel. Au début de l'année 2022, le centre de guerre navale en surface de la marine américaine a créé une nouvelle division axée sur la recherche et le développement d'armes à micro-ondes de grande puissance (high-power microwave - HPM).

Au cours des cinq dernières années, les armes à énergie dirigée ont été la grande priorité du bureau du secrétaire américain à la défense, le financement pour la recherche et développement ayant pratiquement doublé au cours de cette période.

D'autres pays reconnaissent développer eux aussi des armes à micro-ondes et des lasers à haute énergie.

Ces deux types d'armement requièrent des coûts de développement importants mais le coût d'un lancement est extrêmement bon marché comparé à celui d'un missile qui s'élève à plusieurs millions de dollars.

Selon les bulletins d'actualités de la défense, le HPM est en mesure de brouiller les appareils et détruire physiquement les systèmes électriques. Ces rapports ne mentionnent rien quant aux effets produits sur le corps humain.

L'annonce que des systèmes d'armes à énergie micro-ondes dirigée pourraient être installés sur des drones capables de soulever de lourdes charges pour abattre des essaims de drones constitue un autre événement marquant dans ce domaine pour 2022.

Le syndrome de la Havane

Les armes à énergie dirigée font peut-être partie des stratégies de combat à venir mais pour les nombreux « individus ciblés » qui rapportent avoir fait les frais de cette guerre invisible, ces technologies sont déjà utilisées pour contrôler, manipuler, terroriser et harceler hors des champs de bataille.

En décembre 2016, à l'ambassade américaine de la Havane, à Cuba, des diplomates et des responsables de la CIA rapportaient de mystérieux symptômes survenus de manière inopinée. Il s'agissait notamment de maux de tête, fatigue, troubles cognitifs, perte de vision, perte d'audition, vertiges, acouphènes et perte de coordination motrice. Par la suite, plus de 200 autres diplomates déclarèrent avoir ressenti tout ou une partie desdits symptômes ainsi que que des responsables américains en Asie, en Europe, en Australie et aux États-Unis.

Couverture du rapport JASON de 2018 sur le Syndrome
de la Havane. JASON est un groupe indépendant de
scientifiques d'élite qui conseille le gouvernement
américain.

Comme l'écrivait Nicholas Davis pour l'Université américaine de Washington D.C. dans "Qu'est-ce que le syndrome de la Havane ?", en juillet 2021, les victimes firent état d'ondes de pression dans leur tête, de murs de son,  de bruits énormes comme des essaims de cigales dans leur cerveau… Ce qui ressemble beaucoup au Voice to Skull (V2K ou télépathie synthétique).

Dans les années qui suivirent, plusieurs théories et études furent élaborées par les service de renseignement américains, la Maison Blanche et des experts médicaux travaillant pour ou en dehors du gouvernement. Le consensus étant qu'il s'agissait probablement d'attaques par micro-ondes pulsées, ce qui pouvait expliquer les symptômes(une autre théorie bizarre envisagée fut celle d'une exposition à des pesticides).

Même 60 Minutes, le New York Magazine, ainsi que de nombreuses agences de presse internationales, présentèrent des rapports mais tous laissèrent entendre que le problème majeur était d'analyser les données afin d'identifier la cause première. Par exemple, l'émission 60 Minutes examina un rapport de l'université de Stanford au sujet de la nature des lésions cérébrales subies par de nombreuses victimes. Le Dr David Relman, professeur de médecine à l'université de Stanford, avait participé au pilotage de deux groupes d'expertise parrainés par le gouvernement et chargés d'enquêter sur les blessures. « Ce que nous avons découvert est, selon nous, la preuve évidente d'une lésion du système auditif et vestibulaire du cerveau » déclarait Relman. « Tout, à commencer par l'oreille interne où l'homme perçoit les sons et son sens de l'équilibre puis traduit ces perceptions en signaux électriques dans le cerveau. »

Une des victimes se trouvait être Miles Taylor, l'ancien chef cabinet de la sécurité intérieure des États-Unis, qui déclara à 60 Minutes avoir été pris pour cible à deux reprises à son domicile de Washington, ce qui coïncide avec les récits des nombreux individus ciblés ayant fait l'expérience de symptômes débilitants soit chez eux ou sur leur lieu de travail.

Pour ce qui est des milliers de signalement du syndrome de la Havane, le ministère de la défense et les services de renseignement américains finirent par admettre qu'en aucun cas, ils étaient en mesure d'identifier « un acteur d'un pays étranger ou bien quelque dispositif ou mécanisme externe ».

S'agissait-il d'un groupe terroriste, d'un acteur étatique ou bien des États-Unis testant leur propre technologie d'armement ? Ce qui est effrayant est que cette technologie permet à ceux qui la possèdent de cibler n'importe qui, qu'il s'agisse d'ennemis de l'État ou d'individus en désaccord avec le gouvernement ou ses narratifs. Qui plus est, ces armes à énergie dirigée pouvant être activées par télécommande à partir d'une source éloignée de la victime visée, capturer les auteurs de ces attaques constitue un défi de taille.

Les « complotistes » qui ont récemment vu leurs « théories » se transformer en « faits », s'accordent sur l'origine du syndrome de la Havane, à savoir des impulsions à micro-ondes et vont même jusqu'à alerter contre les nouvelles armes à champs électromagnétiques, 5G et micro-ondes pulsées qui se profilent à l'horizon.

Les tours 5G

Durant les premiers confinements Covid, début 2020, dans le monde entier, de nombreux pays ont autorisé l'installation de tours 5G malgré les restrictions. Des tours furent d'abord installées à Wuhan, en Chine, près du laboratoire aujourd'hui considéré comme le berceau du virus ainsi que dans des villes italiennes où les premiers cas Covid furent signalés et par la suite, aux États-Unis et dans d'autres nations. Il y a lieu de se demander s'il s'agissait d'une initiative de l'industrie des télécommunications qui aurait profité de l'occasion pour installer des pylônes près des écoles, des hôpitaux et des habitations sans trop de retour de bâton de la part de la communauté ou bien d'un plan plus sinistre visant à ériger un réseau mortel d'énergies micro-ondes qui s'avérerait un jour bien plus insidieux qu'un virus.

Selon le Dr Robert O. Young, auteur, chercheur et clinicien, « le RADAR capable de voir à travers les murs, "la méthode ou effet Havane", est un dispositif à champ électromagnétique [CEM] surpuissant de harcèlement et d'intimidation destiné à modifier le comportement humain et à imposer la conformité en terrorisant un individu par la douleur et les blessures dans l'intention d'inciter, provoquer et d'aggraver et conçu pour humilier, avilir voire tuer. »

Young explique plus en détails la portée et le pouvoir d'une telle technologie : « Pulsées à 2,4 GHz et à des fréquences plus élevées dans les ambassades, bureaux, habitations et même chez les êtres humains qui ont du graphène (oxyde de graphite) dans le corps, les micro-ondes peuvent alors êtres utilisées spécifiquement comme dispositif d'espionnage. Il n'est pas nécessaire "d'entrer par effraction" pour cacher un micro ; l'écoute peut être réalisée facilement en envoyant un signal radiofréquence à ondes ultracourtes à travers les murs d'un bâtiment vers un humain inoculé au graphène, avec ou sans ligne de mire directe. Cet appareil peut capter n'importe quelle conversation et localiser n'importe qui, n'importe où dans le monde à partir de n'importe quelle tour de téléphonie cellulaire AED (arme à énergie dirigée) sur terre ou depuis plus de 20.000 satellites AED dans l'espace. »

En 1975, l'Assemblée générale des Nations unies avait examiné un projet proposé par l'Union soviétique, intitulé "Interdiction du développement et de la fabrication de nouveaux types d'armes de destruction massive et de nouveaux systèmes impliquant de telles armes". Parmi certains systèmes d'armes énumérés se trouvaient :

  • Les armes radiologiques pouvant produire des effets similaires à ceux d'une explosion nucléaire.
  • Les armes à faisceaux de particules utilisant des particules chargées ou neutres pour affecter des cibles biologiques.
  • Les armes à rayonnement acoustique infrasonique.
  • Les armes électromagnétiques opérant à certains rayonnements de radiofréquences.

Malheureusement, les nations occidentales ne donnèrent aucune suite à cette proposition. 

D'autres traités, comme l'interdiction des armes biologiques et chimiques (en terrain de guerre ou en milieu civil), furent élaborés et modifiés mais apparemment aucun empêchant l'invasion de l'esprit humain ni le recours à des moyens comme les AED à des fins de harcèlement individuel et collectif et de contrôle du comportement. Ces armes se servant des forces invisibles que sont le son, la chaleur et les fréquences pour un nouveau type de guerre à distance, il est beaucoup plus facile pour ceux qui ont de mauvaises intentions de s'en tirer à bon compte mais également de défier les traités ou les lois.

Judy Wall, rédactrice en chef et éditrice du bulletin d'information Résonance, dans les années 90, affirmait, dans un article intitulé "Usage militaire du son silencieux : les armes de contrôle mental", qu'un arsenal d'opérations psychologique (psyops) aurait été utilisé pendant la guerre du Golfe. Il s'agissait d'une « technologie subliminale psychoactive […] véhiculée par des radiodiffusions standard ».

En mars 1991, des dépêches reconnaissaient le déploiement d'opérations psychologique après la destruction du système de commandement et de contrôle militaire de Saddam Hussein. Un article intitulé " La guerre psychologique de haute technologie arrive au Moyen-Orient" décrivait une psyop contre les troupes irakiennes durant l'opération Tempête du désert au cours de laquelle les émetteurs radio américains avaient pris le contrôle des stations irakiennes locales et diffusé de la musique patriotique et religieuse accompagnée « d'informations et de commandements militaires vagues, déroutants et contradictoires ». Selon Wall, il est possible que ce fut l'œuvre d'une technologie subliminale plus performante utilisant « un système électronique sophistiqué pour "parler" directement dans l'esprit de l'auditeur, modifier et synchroniser ses ondes cérébrales, manipuler son électroencéphalogramme (son rythme cérébral) et implanter artificiellement des états émotionnels négatifs — des sentiments de peur, d'anxiété, de désespoir et d'impuissance ».

C'est peut-être la raison pour laquelle comme le souligne Wall, après cela, les troupes irakiennes se rendirent en masse, y compris les majors et commandants de brigade qui abandonnèrent toutes leurs unités. Quels messages avaient bien pu circuler dans le cerveau de ces soldats en train de se battre pour leur cause pour renoncer sans crier gare ?

Dans un essai intitulé "Cette ère électromagnétique secrète : des armes à énergie dirigée (AED) pour le contrôle politique", l'auteure et chercheuse indépendante Elan Freeland évoque la longue histoire de cette technologie et les inquiétudes qu'elle suscite ainsi que la manière dont elle est utilisée secrètement contre nous pour des raisons toutes autres que la lutte contre le terrorisme.

« Nul besoin d'être un génie pour comprendre que le suivi à distance par satellite et les technologies trans-horizon ne s'appliquent pas uniquement aux "terroristes",  écrit-elle. La torture et les interrogatoires à distance, les souvenirs déclenchés par des questions posées par neurophone et les analyseurs d'ondes cérébrales qui diffusent des "conversations forcées" et des programmations ont tout à voir avec la création de camps de concentration électroniques pour prisonniers de guerre dans nos foyers et sur nos lieux de travail. Il est question de viol de notre esprit et de vol de notre propriété intellectuelle directement issue de nos pensées […]

« Des ensembles de diffusion préparatoires encodés sur des faisceaux d'ondes hyperfréquence provoquent des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des paralysies, etc. Des maladies comme la grippe sont inoculées à des cibles à distance. Des bâtiments dans lesquels se réunissent des groupes dissidents sont instantanément transformés en points d'accès. Des enlèvements perpétrés par les gouvernements sont maquillés en enlèvements par des extraterrestres à l'aide de rayons paralysants suivi d'un effacement de mémoire à court terme et d'une implantation de faux souvenirs… »

Nous pourrions tous être des cobayes potentiels.

Texte original de Marie D. Jones traduit de l'anglais par EY@EL
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5.000 inventions en suspens et « au secret » à l'office des brevets américain

J'ai écrit et posté cet article en 2018. Je l'ai récemment révisé et confirmé l'importance de cette information recueillie par Steve Aftergood.

Des décennies durant, le gouvernement a été accusé de dissimuler la technologie avancée. C'est un indice sérieux. Un truc dans le dossier sur le dossier. C'est juste une minuscule pièce du puzzle mais qui en dit long quand on y pense.

Le monde s'éveille à la censure de l'information opérée par la presse, les corporations et le gouvernement. Ce que nous avons là ressemble à une politique du gouvernement américain consistant à censurer certaines inventions — des inventions révolutionnaires.

Voici mon court article de 2018 :

Combien de ces brevets, si accordés, pourraient changer la donne pour cette planète ? Qui sait ?

Bouclez vos ceintures, c'est parti.

Extrait d'un article de la FAS (Fédération des scientifiques américains) intitulé "Le secrets des inventions toujours en vigueur", publié sur Secrecy News le 21 octobre 2010 par Steve Aftergood :

« À la fin de l'année fiscale 2010, il y a eu 5.135 inventions mises au secret » a confié, la semaine dernière, l'office des marques et brevets américain à Secrecy News.  C'est 1% de plus que l'année précédente et le plus grand pourcentage sur plus d'une décennie.

En vertu de la loi de 1951 sur le secret d'invention, les demandes de brevet pour de nouvelles inventions peuvent être assujetties à une mise au secret restreignant leur publication si les agences gouvernementales estiment que leur divulgation risque d'être « préjudiciable à la sécurité nationale ».

La liste actuelle des domaines technologiques servant à évaluer les demandes de brevet susceptibles de restrictions en vertu de la loi sur le secret d'invention n'est pas accessible au public et a été refusée en vertu de la loi sur la liberté d'information. (Un appel est en cours.) […]

La plupart des domaines technologiques recensés sont étroitement liés aux applications militaires. Mais certains s'étendent bien au-delà.

Ainsi, pour 1971, la liste indique que des brevets pour des générateurs photovoltaïques étaient soumis à examen avec restriction potentielle QUAND L'EFFICACITÉ DES PHOTOVOLTAÏQUES EXCÉDAIT 20%. De même, les systèmes de conversion d'énergie étaient soumis à examen avec restriction potentielle QUAND LEUR RENDEMENT DE CONVERSION EXCÉDAIT 70 À 80%.

On est en droit de se poser la question à savoir si la divulgation de telles technologies pourrait réellement être « préjudiciable à la sécurité nationale » ou bien si l'inverse ne serait pas plus proche de la vérité. On pourrait même aller plus loin en se demandant quelles avancées technologiques comparables pourraient être sujettes à restriction et non-divulgation aujourd'hui. Mais nous n'aurons aucune réponse et le système du secret d'invention perdure sans évaluation exterieure en vue.

Si vous êtes de ceux qui soutiennent que la technologie de pointe est dissimulée au public, voici une preuve tangible pour valider votre position.

Et vous pouvez voir que cette technologie énergétique révolutionnaire, qui réduirait drastiquement les besoins en pétrole, serait sur la liste des secrets à ne pas divulguer.

Quoi d'autre sur cette liste ? De vieux brevets de Tesla, par exemple ?

L'office des brevets américain est un goulot d'étranglement officiel pour la « planification sociale » ou plutôt « restriction sociale».

Mais cela ne veut pas dire que les technologies de pointe soient toujours écartées ou sabordées. Les demandes de brevet en hibernation à l'office des brevets peuvent, par exemple, être divulguées discrètement aux chercheurs de l'État engagés sur des projets financés par des caisses noires où il peut être fait un « usage nouveau » de ces données et recherches.

Les ingénieux inventeurs, qui peuvent révolutionner la société pour de bon, courent des risques en soumettant leurs demandes de brevets à l'État. L'un de ces risques est de rester coincés dans les limbes tout en se faisant purement et simplement voler leurs recherches.

Par ailleurs, quand une méga corporation détient une invention recourant au génie génétique des cultures alimentaires et déverse des millions de tonnes de pesticides toxiques dans l'environnement, sa demande de brevet est rapidement examinée par l'office des brevets.

Texte original de JON RAPPOPORT traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Les parallèles entre l'IA et le rêve

La fascinante interconnexion entre le rêve et l'intelligence artificielle enchevêtrée dans le mystère de la conscience.

Ancré dans le subconscient réside un univers de splendeurs énigmatiques dans lequel l'esprit déambule librement et l'imagination s'envole.

Tels des peintures éthériques sur les toiles de nos esprits, les rêves ont toujours fasciné l'humanité. Et si je vous disais qu'il existe des parallèles frappants entre ces visions nocturnes et le domaine de l'intelligence artificielle (IA) ?

Je suis du genre à prendre beaucoup de plaisir à apprendre — qu'il s'agisse de connaissances nouvelles ou anciennes.

Je suis toujours à l'écoute de la planète, surtout pour ce qui est des « tendances » faisant appel à de nouvelles technologies ou avancées en matière de conception, d'humanité et de conscience.

J'ai passé ma vie (et aujourd'hui plus de dix ans sur le plan professionnel) à focaliser mon attention sur deux choses : le rêve et l'éveil.

Ces deux sujets vont de pair mais en prenant du recul pour les observer séparément, il est important de souligner qu'il existe divers angles sous lesquels les considérer.

Par exemple, avec les rêves en particulier, nous pouvons parler de rêvasseries, de rêves lucides, de rêves éveillés ou tout simplement d'aspirations dont nous espérons prendre conscience et faire l'expérience un jour (buts, désirs, etc.) dans notre vie éveillée.

Aujourd'hui, j'aimerais parler d'un constat que j'ai fait au début de cette année et que j'ai affiné mentalement et avec mes pairs au cours de ces derniers mois.

Le sujet en question est : qu'ont en commun le rêve et l'IA ?

Lorsque l'on évoque l'IA, on peut songer aux questions éthiques potentielles à grande échelle qu'elle pourrait présenter pour notre avenir et pour la société dans son ensemble. Et bien qu'il s'agisse d'un débat important, aujourd'hui je voudrais juste me focaliser sur les parallèles entre ces deux domaines et leur lien commun avec le mystère de la conscience.

Du fait de mes intérêts et de mon domaine d'étude, j'ai ressenti une attirance naturelle pour l'IA quand elle a commencé à se développer et progresser de manière exponentielle toute cette année.

Ce qui m'a amenée vers divers programmes génératifs avec lesquels je me suis prise au jeu de l'apprentissage et de la création artistique par l'IA (ma préférence allant actuellement à Midjourney). En expérimentant dans ce domaine, j'ai commencé à noter certains parallèles étranges mais fascinants avec mon travail sur les rêves.

C'est quoi le problème avec toutes les mains ? Et pourquoi sont-elles toutes de travers ?


Une ancienne image de mains générée par l'IA.

Pour beaucoup, les mains déformées constituaient un signe révélateur de création artistique produite par l'IA par opposition à la réalité. Une manière simple d'indiquer à notre cerveau que ce graphisme, cette image, etc. n'était en fait pas réel mais créé par l'intelligence artificielle.

J'emploie le passé car aujourd'hui bon nombre de programmes populaire d'IA ont fait d'importants progrès dans ce domaine spécifique et le rendu des mains s'améliore de plus en plus. Comme vous le voyez dans l'image en tête d'article. Avez-vous noté comme elles sont superbes en dépit du fait qu'il y a un doigt en plus et que leur orientation n'a aucun sens ? Remontez en haut de la page et allez jeter un coup d'œil.

Traduction infidèle : mains évasives et texte illisible

N'avez-vous jamais remarqué que les mains étaient toujours en quelque sorte déformées dans les rêves ?

Lorsque vous rêvez et que vous regardez vos mains, vous pouvez voir qu'elles sont floues ou sans doute qu'elles ont un aspect curieux.


Image extraite du Docteur Strange des
studios Marvel lorsqu'il se trouve dans l'astral.

Tout comme l'IA, nos rêves ont manifestement le même problème avec les mains.

Il en va de même avec les textes et les écrits bien connus pour leur apparence bizarre dans ces deux mondes.

N'avez-vous jamais essayé de lire un livre ou de regarder l'heure dans un rêve et de vous rendre compte que les mots ou les chiffres sont à fleur d'eau, instables ou flous ?

Là encore, ce phénomène ne se limite pas aux rêves. Les systèmes d'IA ont également du mal avec l'interprétation et la compréhension des textes.

Image générée par l'IA recréant le tristement célèbre logo de la Waffle House (chaîne de restaurant américaine spécialisée dans les gaufres). En zoomant, l'image en haut à droite affiche un texte « étranger ».

Lorsque vous créez via une plateforme comme Midjourney, si vous lui lancez une commande comportant une réitération ou une création de texte (comme une couverture de livre ou un logo textuel), l'AI produit quelque chose de visiblement étranger — parfois sous l'apparence de hiéroglyphes, de méli-mélo ou d'une autre planète.

À l'instar des rêves, les textes que vous voyez ne sont que de simples emplacements réservés à la perception et non aux mots concrets, et pour cette raison, ces derniers font figure d'« expédients » et ne sont que des éléments de substitution au texte en question.

Votre cerveau (par le biais des rêves) ou l'IA ne fait qu'alimenter une « mémoire fragmentée » ou une reproduction de ce qu'il croit, se souvient ou pense que vous voyez (ou souhaitez voir).

Parce que la conscience ne repose pas sur le cerveau mais sur quelque chose de plus profond, cette réminiscence (oud ans le cas de l'IA, cette création simulée) n'est que le souvenir d'un souvenir — une apparition lointaine et déclinante de ce qu'il fut jadis ou aurait pu être.

Ce qui m'amène à l'aspect de « confrontation à la réalité » du rêve et de l'IA…

Le test de réalité : l'ultime défi

Le réveil de l'illusion

Si vous ignorez ce qu'est un rêve lucide, pour faire simple, il s'agit de la prise de conscience (lucidité) que l'on rêve en se « réveillant » dans le rêve.

En matière de rêve lucide, j'apprends à mes clients à procéder à un test de réalité tout au long de la journée afin d'être plus en mesure d'activité leur lucidité en rêvant par le simple examen de leurs mains.

Par cette pratique, vous prenez l'habitude de vous souvenir de regarder vos mains et d'en noter les détails lorsque vous êtes éveillé. Ensuite, quand vous allez dormir et rêver, si vous parvenez à vous rappeler de regarder vos mains, vous aurez la possibilité de permettre à votre conscience de vous indiquer si vous êtes ou non en train de rêver.

Si vos mains ont une apparence normale, vous êtes bien réveillé. Si elles présentent un aspect anormal, il est probable que vous soyez endormi et en train de rêver.

J’émets quelques réserves car je suis persuadée que les gens peuvent pratiquer le rêve lucide et élargir leur prise de conscience durant la phase de rêve pour rendre les détails de leurs mains plus distincts et plus réalistes. Probablement de la même manière que l'IA a amélioré sa capacité d'apprentissage et à mieux percevoir les mains dans son travail par la pratique et l'expansion de ses capacités.

Pourrait-il un jour en être de même pour les textes dans les rêves et l'IA ? Difficile à dire. Seul et le temps (et la pratique) nous le dira.

Réalité ou fantasme ?

Le rêve tout comme l'IA a la faculté étrange de créer une illusion saisissante et plausible de de la réalité.

L'IA a le potentiel de simuler les expériences humaines de manière si convaincante qu'il devient difficile de distinguer le réel de l'artificiel. C'est comme vivre en se demandant toujours si c'est « la vraie vie ou juste un fantasme » (comme dans les paroles de "Bohemian Rhapsody" de Queen), mettant au défi notre perception et nous invitant à nous interroger sur la nature de l'existence.

Dans le domaine du rêve, votre cerveau construit un univers qui a l'air aussi tangible que celui dans lequel vous vivez lorsque vous êtes éveillé. Nos esprits acceptent souvent les scénarios les plus bizarres comme réels. La réalité et l'illusion s'entrelacent, brouillant les frontières entre le réel et l'imaginaire.

L'un comme l'autre, le rêve et l'IA nous mettent face au défi de discerner la vérité de l'illusion.

Tout deux ont le pouvoir d'inspirer et de remettre en question notre perception de la réalité, de nous inciter à explorer les profondeurs de notre imagination et de repousser les frontières du possible tout en testant les limites de notre compréhension humaine.

Sans doute nous permettent-ils même une exploration plus profonde de l'esprit et de la conscience.

En somme, ils ébranlent notre compréhension de la manière dont notre esprit et notre conscience fonctionnent.

Qui sait quels rêves nous allons faire ou ce que va imaginez ensuite l'IA !

Donc la prochaine fois que vous plongerez dans les bras de Morphée ou que vous vous émerveillerez devant les capacités de l'IA, souvenez-vous de l'interconnexion surréaliste entre ces deux domaines extraordinaires.

Le voyage continue et les possibilités sont infinies.

Texte original de DULCE RUBY
traduit de l'anglais par EY@EL

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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L'éthique de l'IA : porno Deepfake & ChatGPT

Pour moi, l'IA est un sujet à la fois fascinant et effrayant. D'un côté, elle a et continue de faciliter nos vies à bien des égards — une affirmation que j'ai un peu de nervosité à écrire tant, ces derniers temps, on est arrivé à penser surtout au « danger » que represente l'IA. Ce qui m'amène au point suivant.

La manière dont l'IA est utilisée et le genre d'avenir qu'elle pourrait engendrer si l'on n'y prend garde — ou peut-être si nous n'augmentons pas la qualité de notre conscience et de notre être — soulève de vives inquiétudes.

Je voudrais exposer certaines questions d'ordre éthique concernant l'IA déjà implémentée dans le monde réel, de la plus insignifiante à la plus préoccupante.

Commençons par un bref aperçu des différents types d'IA existant.

Comme établi par le site BuiltIn :

  1. Machines réactives : Une technologie en mesure de réagir à des stimuli externes en temps réel, mais incapable de construire une base de mémoire ni de stocker de l'information pour un usage ultérieur (filtrage des courriels, recommandations de films ou de musiques basées sur ce que vous aimez).
  2. Mémoire limitée : Des machines pouvant stocker des connaissances et s'en servir pour apprendre et s’entraîner à des tâches futures (chatbots, robots aspirateurs, véhicules sans conducteur).
  3. Théorie de l'esprit : Concept selon lequel l'IA peut percevoir et réagir aux émotions humaines tout en effectuant les tâches des machines à mémoire limitée.
  4. Conscience de soi : Stade final de l'IA où les machines peuvent non seulement reconnaître les émotions d'autrui mais également développer une identité propre et une intelligence au niveau humain.

Comme on peut le constater, l'IA nous a été très utile et existe depuis longtemps. On peut voir également que le quatrième type a l'air très effrayant. Si quelqu'un parvient enfin à créer cela, on n'a vraiment aucune idée de ce qui pourrait arriver.

Un léger inconvénient

Mais même l'IA dont nous disposons actuellement soulève de nombreux problèmes et questions d'ordre éthique que nous devons examiner. Commençons par quelque chose de simple.

Voici, ci-dessous, le récit d'un collaborateur de Collective Evolution et de The Pulse, dans lequel il partage certaines idées concernant le problème de l'intelligence artificielle.

L'intérêt que je porte aux éventuelles conséquences de l'évaluation de l'information par des machines dans d'autres machines a vu le jour, il y a quelques semaines, lors d'un déplacement hors de l'état. En prenant de l'essence, la pompe est tombée en panne et je suis donc passé à une autre pour finir mon plein.

Ensuite ma carte de crédit a été refusée et j'ai dû appeler la société. En outre, j'ai reçu un courriel d'alerte à la « fraude éventuelle ». Comme le dysfonctionnement de la pompe était bizarre, j'ai pensé que j'avais peut-être été piraté mais lorsque j'ai appelé la société, il s'est avéré qu'il n'y avait aucune fraude — que les « ordinateurs » avait simplement décidé que mon anomalie était suffisamment irrégulière pour justifier la gêne occasionnée en bloquant mon crédit.

Lorsque je m'en suis plaint, la personne du département des fraudes m'a simplement répondu : « C'est notre politique. Si le logiciel déclenche une alerte, nous devons agir. » Cela m'a rappelé la célèbre réplique de Hank Paulson, ancien secrétaire d'état au Trésor, lorsqu'on lui avait demandé pourquoi les banques avaient besoin d'un renflouement de 800 milliards de dollars en 2007.

« C'est ce que les ordinateurs nous ont dit » avait-il déclaré.

Le problème est qu'un grande part de cette « intelligence artificielle » est sans fondement, non prouvée et tout bonnement erronée. Tout comme il n'y avait eu aucune fraude sur ma carte de crédit, juste un couac à la pompe à essence — mais comment tenir pour responsable un programme informatique ?

Il m'est arrivé la même chose à maintes reprises mais de manière différente. « Les ordinateurs ont détecté une erreur ». Alors avec ces scénarios, on voit les grandes différences qui existent entre la réaction d'une machine et celle d'un humain. Combien de fois cela arrive-t-il ? Quelles solutions pouvons-nous apporter à ces scénarios ?

Élaboration du problème : les milieux universitaires et la recherche de sens

ChatGPT est un outil intelligent qui fait actuellement couler beaucoup d'encre. Il s'agit d'un ChatBot ou agent conversationnel répondant aux questions posées par les utilisateurs. Les réponses imitent une conversation humaine naturelle et sont issues d'informations collectées sur internet. On peut s'en servir pour écrire des articles, des dissertations, des publications sur les médias sociaux, des livres, et bien plus encore.

Certaines des questions d'ordre éthique soulevées concernent les essais et projets universitaires. Si des étudiants peuvent maintenant entrer quelques questions à un ChatBot et recevoir des rédactions toutes faites, devraient-ils recevoir le même mérite ? Si aujourd'hui l'accès à l'information est aussi simple, ne risquons-nous pas de perdre la pensée critique et la créativité que nous apporte le fait d'effectuer ce travail nous-mêmes ?

ChatGPT peut également servir dans la sphère journalistique. Et si l'ère du Covid nous a appris quelque chose, c'est que c'est là une pensée effrayante.

Un journaliste ou reporter de n'importe quel organe de presse peut simplement injecter quelques questions au sujet d'un événement en cours dans ChatGPT qui lui pondra un article qu'il sera difficile de savoir s'il a été écrit par un humain ou une IA.

Mais au-delà demeure la question de ce qui est vrai. Lorsque l'on peut censurer l'information en ligne et que les « faits » sont décidés par les « fact-checkers », comment l' IA sait-elle contourner ce problème ? L'IA sera-t-elle même en mesure de puiser dans des faits qui ont été effacés d'internet comme dans le cas de l'emploi de Jordan Walker chez Pfizer ? À l'évidence, non.

Les organes de presse étant privés de revenus, surtout les médias indépendants comme nous, les sociétés seront incitées à remplacer les rédacteurs et reporters par des bots d'IA. Il y a aura encore moins d'esprits impliqués dans la bonne recherche de sens et les récits pourront être élaborés par des puissants, ensemençant le public avec les idées qu'ils veulent lui faire connaître tout en effaçant les autres.

C'est une pensée préoccupante d'envisager que notre paysage informationnel puisse même empirer. Mais au cas où vous vous poseriez la question, non, ce n'est pas quelque chose que nous ferions.

Mais cela nous ramène au point de départ du problème expliqué plus haut par Tom au sujet de sa carte de crédit. Hormis le fait que des choses comme les systèmes de crédit social soient dès le départ problématiques, si les machines se mettent à aider à déterminer ce qui est important et de la validité du crédit social des personnes sur la base d'algorithmes et de paramètres, comment saurons-nous qu'ils ne commettent pas d'erreurs fondamentales dépourvues de nuance humaine essentielle ?

Qui serait responsable de ces erreurs ?

Problème encore plus grand : qu'est-ce qui est réel ?

Prenez par exemple, une évolution récente appelée Deepfake ou hyper-trucage où par un certain procédé l'IA reconstitue le visage de qui vous voulez, y compris des célébrités ou des présidents, sur celui d'une autre personne dans une vidéo. Cela donne l'impression que quelqu'un dit ou fait quelque chose alors que ce n'est pas le cas.

Récemment, une créatrice de contenu sur Twitch, agée de 28 ans et officiant sous le pseudonyme de QTCinderella, a malheureusement été victime d'une vidéo porno Deepfake.

Chaque mois, des centaines de milliers de personnes la regarde jouer à des jeux vidéo, faire de la pâtisserie et interagir avec des fans en ligne. On la paie également pour ça. Mais le 30 janvier dernier, ce n'était un stream pour le plaisir. Au lieu de cela, elle s'est connectée pour aborder le problème et montrer la souffrance occasionnée de découvrir que quelqu'un avait créé une fausse vidéo porno en utilisant son image et sa ressemblance.

Voici à quoi ça ressemble de se sentir violée. Voici à quoi ça ressemble de se sentir abusée, de se voir nue contre son gré et diffusée partout sur internet. Voici à quoi ça ressemble.

Non seulement il y a eu l'action néfaste du créateur de la fausse vidéo porno mais un utilisateur de Twitter a réagi à son stream en prenant une capture de sa réaction et en la postant avec ce commentaire :

Imaginez que des femmes riches avec un titre mettent fin à la progression de l'IA. Ce serait la fin de l'IA, mes potos.

C'est là où je ne peux m'empêcher d'avoir le sentiment qu'en tant que société, nous sommes trop profondément déconnectés et dans un tel marasme émotionnel pour assumer la responsabilité de technologies comme celle-là.

C'est l'éternelle question : est-ce la technologie elle-même ou les humains qui s'en servent ? En ce qui me concerne, dans la plupart des cas concernant l'IA, c'est notre qualité en tant qu'humains en ce moment, tout comme la manière dont le monde est conçu, qui m'inquiète plus que la plupart de ces technologies elles-mêmes.

Nous semblons si profondément déconnectés de nos émotions et de ce que les autres ressentent qu'il est fréquent que des gens veuillent démolir ceux qui passent par une expérience difficile juste pour fournir un « instantané » qui pourrait devenir viral.

Nous ne cherchons pas à comprendre ni à écouter vraiment la souffrance des autres parce que, dans de nombreux cas, nous préférons les juger sur leur apparence, leur couleur de peau, leur popularité ou leurs privilèges afin de ne pas avoir à établir une véritable connexion avec eux. C'est comme si nous avions élaborés des moyens de nous défendre de toute connexion entre nous.

Pourquoi tant de nous avons du mal à ressentir de l'empathie avec des personnes que nous n'avons même jamais rencontrées et que nous ne connaissons pas ? Voyons-nous cela comme un progrès positif même si les cas de recours à l'IA comme celui-ci n'existaient pas ?

Quoi qu'il en soit, je pense que nous avons grandement besoin de vraiment nous focaliser sur la qualité de nos émotions, sur notre connexion à autrui et sur notre êtreté, ce qi sera le fondement de notre manière d'aborder les années à venir afin d'agir pour un avenir plus épanouissant.

Texte original de a href="https://thepulse.one/2023/02/06/the-ethics-of-ai-deepfake-porn-chatgpt/" target="_blank">JOE MARTINO traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Le « Google Earth sous stéroïdes » de l'armée américaine peut voir à l'intérieur des bâtiments

Le National Defense Magazine nous apprend qu'une nouvelle technologie de cartographie qui devrait transformer les exercices d’entraînement et de simulation des avions de combat américains a été dévoilée lors de la conférence de l'Institut des ingénieurs électriciens et électroniciens (IEEE) pour l'électrification des transports (ITEC) le 15 mai dernier à Stockholm en Suède.

Jason Knowles, directeur des sciences et technologies géospaciales à l'institut de technologies créatives de l'université de Californie du Sud (un centre de recherche affilié à l'armée) y a évoqué ce nouveau logiciel de capture et reconstruction de terrain qui récrée des environnements complexes, y compris des villes, en vue d'exercices de simulation et de planification de guerre. Cet institut fait partie d'une équipe pluridisciplinaire travaillant sur ce logiciel de cartographie baptisé Projet One World Terrain (carte mondiale unique).

Selon lui, ce nouveau logiciel s'apparenterait à un « Google Earth sous stéroïdes ».

Lors d'une réunion d'information dans le cadre de l'ITEC, il a montré à son auditoire l'image d'une base ennemie capturée et récréée numériquement en à peine une heure à l'aide d'un logiciel commercial et d'un petit drone. « Nous avons été en mesure de lancer ce système aérien non identifié (UAS), faire cette capture dans l'heure, l'entrer dans un ordinateur portable, la traiter et l'imprimer » a-t-il déclaré.

« Le pouvoir d'envoyer un individu ou un escadron collecter sa propre maquette organique 3D pour l'insérer dans sa modélisation et simulation est vital pour nous. »

« L'intérieur des bâtiments est désormais fusionné et logé à l'intérieur de cette maquette 3D » explique Knowles. Ce programme peut « retirer la partie extérieure d'un bâtiment, niveau par niveau pour voir ce qu'il y a derrière. C'est à l'évidence très utile aux opérateurs. »

Il raconte que le logiciel est relié aux données d'un GPS pour permettre aux planificateurs de guerres d'organiser des opérations à venir dans la réalité.

Ce système rapide de capture et reconstruction de terrain en 3D s'accompagne d'images aériennes fournies par des satellites et des avions. Pour une plus résolution, les équipes de reconnaissance pourront toujours déployer de petits drones de poche à cet effet, a-t-il ajouté.

Le programme a recours à l'apprentissage machine et à l'intelligence artificielle pour la composante de fusion de données afin  de « rendre la maquette intelligente pour qu'elle ne se contente pas d'identifier des objets sur des images ». Elle peut, par exemple, informer les troupes si le mur d'enceinte d'une base ennemie a besoin d'être percé à l'aide d'un véhicule ou de munitions.

Outre les missiles de précision à longue portée, la nouvelle génération de véhicules de combat, le levage vertical à venir, la défense aérienne et anti-missiles, les armes à énergie dirigée, la nouvelle génération de fusils de combat et la létalité des soldats, ce nouveau programme de cartographie est l'une des priorités absolues de l'armée américaine en matière de modernisation.

Texte original de TYLER DURDEN traduit de l'anglais par EY@EL
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Bruxelles devient la première grande ville à bloquer la 5G en raison de ses effets sur la santé

Bonne nouvelle : une ministre du Gouvernement belge a annoncé que Bruxelles interrompait ses projets avec la 5G — du moins pour le moment — en raison d'inquiétudes quant à ses effets sur la santé.

Cette déclaration a été faite par Céline Fremault, ministre du Gouvernement de la Région de Bruxelles-Capitale, responsable du logement, de la qualité de vie, de l’environnement et de l'énergie lors d'une interview le 29 mars dernier avec l’Écho :

Il est impensable pour moi de permettre l’arrivée de cette technologie si je ne peux assurer le respect des normes protégeant les citoyens. 5G ou pas. Les Bruxellois ne sont pas des souris de laboratoire dont je peux vendre la santé au prix du profit. On ne peut laisser planer de doute.

Madame Fremault a constaté qu'un projet pilote de déploiement de la 5G n'était pas compatible avec les normes belges en matière de radioprotection (9 V/m ou 95mW/m²) et déclaré qu'elle n'avait pas l'intention de faire la moindre entorse à cette règle. (D'après les conseils de l'institut de baubiologie et d'oncologie allemande, le seuil extrême alarmant serait de 1 mW/m². Toutefois, beaucoup d'agences gouvernementales ne tiennent encore compte que des effets thermiques en ignorant le corpus cumulatif constitué de milliers d'études scientifiques évaluées par des pairs.)

Peut-être parce que Bruxelles est le siège de l'Union européenne et avec l'un des deux plus importants recours à la 5G ayant été adressé à l'UE, les représentants locaux y sont mieux informés et plus motivés à se protéger.

Puisse Madame Fremault recevoir de plus en plus d'appuis ainsi que tous les officiels qui entendent cet appel à la raison et fasse passer les gens avant l'oligarchie technocratique.

CELA NE VOUS PRENDRA QUE 2 MINUTES : Pour envoyer un bref message de soutien à Mme Fremault ICI et aux conseillers communaux de Bruxelles ICI. Encouragez-les sur l'importance de rendre cette interdiction permanente en dépit des pressions à venir de l'industrie.

Récapitulatif de situation pour la 5G

Il va presque sans dire qu'un monde de 5G nous exposerait tous à un niveau de surveillance et de contrôle sans précédent, accordant des pouvoirs inouïs aux algorithmes sans âmes des grandes entreprises.

Cela devrait suffire à supprimer définitivement ce programme juste là devant en tant que « technologie utile ayant mal tourné ».

Mais une question plus importante sans doute pour notre époque serait de se demander si la 5G présente un risque majeur pour la vie biologique dans son ensemble. Une majorité écrasante des preuves indépendantes indique que c'est effectivement le cas.

À moins, bien sûr que vous ne vous adressiez directement à l'industrie du sans-fil, propriétaire de la Commission fédérale des communications (FCC), qui a récemment sorti cette propagande/publicité sur CNBC (chaîne américaine économique d'information continue — N.d.T) dans une tentative à peine voilée d'étouffer l'opposition.

Les têtes parlantes de l'industrie du sans-fil admettent même effrontément — sous la pression d'un tribunal sénatorial américain — n'avoir effectué aucune étude d'innocuité... et n'en avoir nullement l'intention.

Le fait est que des centaines de scientifiques font tout pour sonner l'alarme.

L'une de ces voix est celle du Dr Martin Pall, professeur émérite de l'Université d'état de Washington (WSU), dont la recherche actuelle met en avant le mécanisme par lequel le rayonnement radioélectrique endommage nos cellules, qualifie la 5G d' « idée la plus stupide de l'histoire de l'humanité ».

Cependant, au sein des sphères corporatisées du gouvernement, les voix usées de la raison sont noyées sous la frénésie effervescente des firmes technocratiques qui envisagent la 5G comme une opportunité économique sans précédent pour une pleine exploitation commerciale de la réalité.

Mais le refoulement de la 5G commence à devenir viral. Des compilations de vérités sous forme d'assemblage de vidéos sur la 5G comme celle-ci (en anglais) fournissent un examen objectif plus que nécessaire sur l'ampleur choquante de la cupidité et de la dépravation des « pousseurs d'agenda » de notre monde.

Aussi sombre que cela puisse paraître, après une longue période d'observation, il me semble honnêtement que ceux qui mettent ce programme en avant sont prisonniers d'un syndrome d'esprit de ruche et qu'aussi excités par les symboles du dollar qu'ils soient et obsédés par le progrès du « eux et nous », ils sont incapables d'autocorrection de leur pensée. Ou du moins, incapables de voir la direction évidente de tout ceci — pour eux comme pour leurs enfants aussi.

Lorsque les moutons de l'industrie sont soumis à une avalanche de preuves scientifiques d'une catastrophe en devenir et qu'ils refusent malgré tout d'écouter en continuant de se conformer à la ligne du profit, apparaît alors l'expression ombrageuse du total mépris de la vie. Cela peut sembler dur, mais je vous encourage de l'envisager pleinement.

C'est peut-être le désir global inconscient de « mort » qui est au cœur de cette poussée de la 5G. C'est peut-être également au cœur du désir de quitter sombrement la condition humaine par le biais de l'intelligence artificielle et du transhumanisme. Il semblerait que cette forme de pensée voie son échappatoire et son salut dans la technologie plutôt que dans l'humanité et/ou notre connexion au divin.

Quoi qu'il en soit, pour n'importe quel être humain sain d'esprit et doté de valeurs normales, cette situation est vraiment effarante. Même si passé le cap du désarroi, nous sommes appelés à une sorte de réaction dictée par notre âme. C'est sans doute d'abord la résolution d'être souverains de nos pensées et gardiens de nos esprits. Viennent ensuite l'inspiration et la véritable connectivité lorsque nous nous impliquons à manifester la solution plus vaste — le choix d'un avenir positif.

Sur cette voie, notre défi fondamental est de nous souvenir que dans notre réalité individuelle, le pouvoir réside véritablement à l'intérieur de chacun d'entre nous parce que qui nous sommes ne se limite pas aux royaumes de la dualité et de la séparation comme notre expérience nous l'enseigne ici.

Si vous lisez ceci, soyez les bienvenus au club des protecteurs de l'humanité. :)

Où vous habitez : le refoulement de la 5G devient viral

Alors que Bruxelles devient la première grande ville internationale à bloquer la 5G, des dizaines de gouvernements locaux ont adopté une législation pour empêcher ou restreindre le déploiement de la 5G en raison de ses effets sur la santé. Le fond environnemental pour la santé recense les lois de 21 gouvernements locaux aux États-Unis.

Et le 13 mars dernier, le conseil municipal de Portland, dans l'Oregon, a exigé du FCC qu'il mette à jour ses recherches sur les répercussions d'ordre sanitaire et environnemental de la 5G.

Des sites internet tels que EMF Safety Network, WhatIs5G.info et My Street, My Choice prodiguent des conseils sur la manière de freiner la 5G où vous habitez.

Le récapitulatif état par état des mesures légales en faveur de la 5G promu par l'industrie est également utile et fournit un aperçu de leur modus operandi.

Vous trouverez ci-dessous une liste partielle de ressources (en anglais) pour approfondir vos connaissances et vous impliquer. Nous félicitons toutes ces personnes qui prennent les rênes pour suivre la direction de leur cœur.

Affaire de Bruxelles — sources :

Preuves scientifiques des dommages de la 5G :

Organisations et communautés locales

Des centaines d'organisations émergent un peu partout. En voici plusieurs :

Texte original de JOSH DEL SOL BEAULIEU traduit de l'anglais par EY@EL
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