Os

Oh, nooooon, pas encore ! Je me doute que je dois vous gaver grave (enfin pas tous heureusement) avec mes doses massives de Radiotête. Remarquez, ceci est une Pensine, c'est donc limite normal. Mais là, il y avait nécessité devant cette recrudescence, autour de moi, de gens « tout pétés de partout », qui passent leur temps chez le kiné ou à l'hosto, à prendre des petites pilules pour calmer leurs douleurs et tout le tintouin. Ce texte leur est dédié. Ce qui ne gâte rien, c'est une p****n de bonne chanson et une de mes favorites de surcroît. Que ces bonnes vibrations vous remettent tous d'aplomb, yeeeaaaaaaaah !

Ey@el

Bones

Je n'ai aucune envie d'être infirme ni tout pété de partout,
Les épaules, les poignets et le dos réduits en bouillie
À marcher à quatre pattes.

Quand ça se répercute jusque dans les os...
Quand ça se répercute jusque dans les os...

Là, je ne peux pas monter les escaliers,
Il a des pièces qui manquent de toutes parts —
Analgésiques au Prozac.

Quand ça se répercute jusque dans les os...
Quand ça se répercute jusque dans les os...

Avant je planais comme Peter Pan
Et tous les gosses s'envolaient
Quand je leur touchais la main.

Quand ça se répercute jusque dans les os...
Quand ça se répercute jusque dans les os...

Texte original de THOM YORKE traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Partager :

« J'en ai ma claque des secrets et des mensonges » lance Jim Carrey sur une chaine nationale en révélant ce que cachent les Illuminati

Jim Carrey est un trublion notoire et l'on peut désormais s'attendre à toutes les bouffonneries imaginables de la part de l'acteur canadien farfelu âgé de 52 ans. Au cours de sa dernière apparition publique, le 14 novembre dans l'émission de Jimmy Kimmel, il a décidé de révéler quelques-uns des grands secrets des Illuminati aux téléspectateurs en les mettant au fait du fonctionnement interne d'Hollywood.

Dans une entrée en scène spectaculaire, Carrey s'avance sur le plateau de Kimmel en esquissant un geste de la main immanquable et ostentatoire comme on peut le voir ci-dessus. À quoi le public extatique se met à crier et à applaudir sans que l'on sache clairement si c'est parce qu'il reconnait le symbole ou bien s'il est tout simplement ravi de le revoir après son bref exil des studios hollywoodiens au cours de ces dernières années.

Dans cette vidéo, Carrey reste un long moment à simuler un triangle au travers duquel il exhibe sa langue tandis que Kimmel l'observe de derrière son bureau avec un mélange de curiosité et d'amusement.

Le public finit par se calmer lorsque l'acteur prend place auprès de l'animateur et que ce dernier lui demande : « De quoi s'agit-il au juste ?  Un signe de gang ? »

Carrey lui lance un regard d'étonnement. « Oh, comme si vous ne saviez pas de quoi il retourne », lance-t-il en plaisantant. « Non, je ne sais pas » rétorque Kimmel.

« Donc vous ne savez pas ce que c'est. Jimmy Fallon ne sait pas. David Letterman non plus. Pas plus que tous les comiques1 dans le monde du spectacle » fait-il valoir en esquissant à nouveau le geste du triangle.

Pour ceux qui ne verraient pas trop à quoi il fait allusion, la pyramide avec un symbole en son centre (habituellement un œil) représente les Illuminati, une puissance secrète qui tire les ficelles des plus grandes industries actuelles notamment la finance, le spectacle, l'armée et la religion. Les références aux Illuminati sont devenues omniprésentes à Hollywood comme on peut le voir dans de nombreux films, émissions de télévision, clips vidéo voire même dans certaines représentations en direct.

Devant l'insistance de Kimmel à nier sa reconnaissance du symbole esquissé par Carrey, ce dernier finit par avouer : « Allons Jimmy, je suis venu pour tirer la sonnette d'alarme sur tout ça. J'en ai ma claque des secrets et des mensonges, c'est le symbole des Illu-nantis2 dont vous faites partie. C'est la langue qui se moque de tout3 », fanfaronne-t-il devant le public mort de rire.

Il poursuit en expliquant (sur un ton peu sérieux) comment bon nombre de personnes appartenant à l'industrie du spectacle ont été chargées par le gouvernement de nous divertir pour nous rendre heureux et dociles afin que nous ne sachions pas ce qui se trame réellement. Ils prennent ces décisions « tout nus en cercle dans les bois » ajoute-t-il également.

Il révèle alors que les Illuminati essaient de convertir les masses en « consommateurs téléguidés à distance », après quoi il reçoit un faux appel téléphonique auquel il répond. On voit son visage prendre immédiatement un air grave et Kimmel, curieux, lui demande qui était au bout du (sans) fil.

Carrey adopte le comportement d'un zombie et se tourne vers l'animateur en s'excusant « Désolé Jimmy, j'ai été tempo-rairement inter-rompu par mon iPhone 6+ à affichage HD » sous le tonnerre de rires et d'applaudissements du public.

La séquence se termine sur l'annonce de son prochain film, Dumb & Dumber De4, qui ravit totalement public.

Y avait-il du vrai dans la grosse « blague » de Carrey ?

Bohemian Grove : tous les ans, un
groupe d'hommes évoluant dans les
hautes sphères de la politique et de
la finance se réunit en secret dans
une retraite isolée en Californie. Jim
Carrey yfait référence au cours de
son passage dans l'émission de
Jimmy Kimmel.
Beyonce esquissant le même
symbole triangulaire dont se
moque Jim Carrey.
La pyramide et l’œil qui voit tout
telle qu'elle figure sur les billets
de un dollar aux États-Unis.

Sous couvert du ton humoristique employé dans son numéro, bon nombre des choses mentionnées par Carrey s'avèrent fondées sur la vérité.

Bien que le terme « Illuminati » soit chargé de connotations conspirationnistes, il fait référence à ces banquiers hauts placés qui possèdent une grande partie de notre monde, comme les Rotchschild et les Rockefeller pour n'en nommer que quelques-uns.

Comme il a été mentionné, ces familles ont des liens avec pratiquement toutes les industries existant à l'heure actuelle dont Hollywood. Elles sont également rattachées, de par leurs origines, à des organisations occultes comme la Franc-maçonnerie. C'est de là que provient toute cette symbologie ésotérique dont le triangle et l’œil qui voit tout. Selon la théorie, de nombreux espoirs hollywoodiens afficheraient ces symboles cachés à la vue de tous afin de prouver leur loyauté envers « l'élite mondiale » et améliorer ainsi leur situation au sein de l'industrie.

On pourrait toujours soutenir que Carrey se moquait des théoriciens du complot Illuminati, toutefois, compte tenu qu'il est notoirement impliqué publiquement dans le « mouvement pour la vérité », on est naturellement en droit de se demander si cette apparition publique pourrait faire partie d'une tactique élaborée dans le but d'éveiller les consciences par rapport à l'élite mondiale. Avec un tremplin d'aussi grande portée que l'émission de Jimmy Kimmel, cela aurait été une occasion parfaite. (Lien en anglais : Jim Carrey parle de son éveil spirituel)

Que pensez-vous du numéro de Jim Carrey ? Selon vous, ses propos comportaient-ils une part de vérité sous-jacente ? Ou bien ne s'agissait-il que d'un coup de pub malin pour son nouveau film ? Venez échanger avec nous dans les commentaires ci-dessous !

Notes et références

  1. ^ Jimmy Kimmel, Jimmy Fallon et David Letterman sont tous d'anciens humoristes devenus animateurs et producteurs de télévision aux États-Unis.
  2. ^ Jeu de mots phonétique impossible à rendre à l'identique en français qui emploie le terme dingo en anglais.
  3. ^ Détournement par Jim Carrey de l'œil qui voit tout.
  4. ^ Sortie annoncée de Dumb & Dumber De en France le 17 décembre 2014.

Texte original de JEFF ROBERTS traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Partager :

La réflexologie

Un article qui devrait vous faire prendre votre pied... Les planches proposées n'y étant pas très lisibles, je vous en propose de beaucoup plus grandes (trouvées ailleurs) sur fond blanc avec légendes en français incorporées que vous pourrez facilement imprimer :

Ey@el

Qu'est-ce que la réflexologie ?

Selon l'Association Canadienne de Réflexologie, c'est « un art de guérison naturel basé sur le principe de l'existence de points réflexes dans les pieds et les mains correspondant à chacune des parties du corps ». En stimulant et en appliquant une pression à ces endroits, vous améliorez la circulation tout en favorisant certaines fonctions corporelles et musculaires spécifiques. Kevin Kunz, un des pionniers de la réflexologie l'exprime autrement : « Imaginez que vous marchiez sur une punaise. Tout votre corps réagit à cause de quelque chose perçu par votre pied. La réflexologie, avec une gamme complète de capteurs de pression, utilise ce même système de lutte ou de fuite pour détendre le corps. »

Ses avantages

En 1996, le rapport du symposium de réflexologie en Chine reconnait l'efficacité à 93,63% de la réflexologie plantaire dans le traitement de 63 troubles de santé. Après analyse de 8096 cas cliniques, le Dr Wang Liang en a conclu qu'elle était largement efficace (comme remède) à globalement 48,68% avec une amélioration du traitement pour les 44,95% restants.

Une autre étude en Grande-Bretagne a vu quinze femmes bénéficier de séances de réflexologie pendant huit semaines. On constatait des améliorations significatives sur les plans physique et émotionnel, un accroissement de la confiance et de l'estime de soi, une aptitude à rester motivé, à être entendu et pris au sérieux ainsi qu'une meilleure concentration.

Précautions

Voici quelques rappels importants avant d'avoir recours à la réflexologie.

Éviter de le faire dans l'heure suivant un repas.

Au bout de 30 minutes de massage, vous devriez boire au moins 50 cl d'eau tiède ;  en cas de maladie rénale ou cardiaque, ne pas consommer plus de 15 cl.

Ne pas exercer de forte pression sur les os.

En cas de grave maladie cardiaque, de diabète ou de problèmes rénaux, les séances ne doivent pas dépasser 10 minutes.

En cas d'épilepsie, de maladie cardiaque ou d'hypertension, demander l'avis d'un médecin.

Au bout d'un certain temps de pratique, ne vous inquiétez pas si les troubles semblent empirer ou si la bouche est sèche. C'est normal surtout en cas d'inflammation ou de rhumatisme et cela va vite disparaitre.

Planches avec points réflexes

 1. Haut de la tête
 2. Sinus
 3. Hypophyse
 4. Zone temporal
 5. Cou, cervicales
 6. Zone lymphatique supérieure
 7. Parathyroïde
 8. Oreilles
 9. Yeux
10. Thyroïde
11. Épaule
12. Poumons et bronches
13. Zone cardiaque
14. Cœur
15. Colonne, vertèbres
16. Pancréas
17. Plexus solaire
18. Estomac et duodénum
19. Foie
20. Rate
21. Angle splénique
22. Vésicule biliaire
23. Surrénales
24. Angle hépatique
25. Reins
26. Colon transverse
27. Taille
28. Urètre
29. Colon ascendant
30. Colon descendant
31. Lombaires
32. Intestin grêle
33. Sacrum
34. Vessie
35. Valve iléo-cæcale
36. Appendice
37. Sigmoïde
38. Hanche et bas du dos
39. Coccyx
40. Zone sciatique
41. Rectum
42. Utérus
43. Prostate
44. Sein
45. Drainage lymphatique
46. Trompes de Fallope
47. Nœuds lymphatiques (aisselle)
48. Articulation sacro-illiaque
49. Ovaire ou testicule
50. Nœuds lymphatiques (aine)
51. Maxillaire/sous-maxillaire (mâchoire)
52. Amygdales

Indications

Se référer aux planches ci-dessus pour les points réflexes correspondant aux numéros entre parenthèses.

Peau

ACNÉ :
Foie (19), vésicule biliaire (22), surrénales (23), urètre (28), vessie (34), reins (25).

ECZÉMA ou ZONA :
Parathyroïde (7), surrénales (23), reins (25), urètre (28), vessie (34).

PSORIASIS ou DERMATITE :
Parathyroïde (7), surrénales (23), reins (25), urètre (28), vessie (34).

Système digestif

ANOREXIE :
Thyroïde(10), estomac et duodénum (18), intestin grêle (32), colon transverse (26), colon descendant (30), rectum (41).

INTOXICATION ALIMENTAIRE :
(provoque des vomissements) estomac et duodénum (18), Ganglions lymphatiques (6).

GINGIVITE :
Maxillaire/sous-maxillaire (51).

INDIGESTION :
Plexus solaire (17).

HALITOSE (MAUVAISE HALEINE) :
Estomac (18).

MAL DE DENT :
Estomac et duodénum (18), intestin grêle (32), colon transverse (26), colon descendant (30), foie (19), pancréas (16), maxillaire/sous-maxillaire (51).

MAL D'ESTOMAC :
Estomac (18).

ULCÈRE :
Estomac et duodénum (18).

FLATULENCES :
Estomac et duodénum (18), appendice (36).

DIABÈTE :
Estomac et duodénum (18), pancréas (16).

APPENDICITE :
Appendice (36), zones lymphatiques (6).

DIARRHÉE, NAUSÉE :
Estomac et duodénum (18), intestin grêle (32), colon ascendant (29), colon transverse (26), colon descendant (30), rectum (41), zones lymphatiques (6).

CONSTIPATION :
Estomac et duodénum (18), intestin grêle (32), colon ascendant (29), colon transverse (26), colon descendant (30), rectum (41).

HÉMORROÏDES :
Surrénales (23), reins (25), urètre (28), vessie (34), rectum(41).

HERNIE :
Estomac et duodénum (18), foie (19), pancréas (16), intestin grêle (32), colon ascendant (29), colon transverse (26), colon descendant (30), rectum (41).

Système circulatoire

ANÉMIE :
Estomac et duodénum (18), foie (19), pancréas (16), intestin grêle (32), colon ascendant (29), colon transverse (26), colon descendant (30), rate (20).

HYPERTENSION :
Tête (1), reins (25), urètre (28), vessie (34), oreille (8).

GANGLIONS ENFLÉS :
Zones lymphatiques (6,47,50).

PROBLÈMES CARDIAQUES :
Cœur (14), estomac et duodénum (18), intestin grêle (32), colon ascendant (29).

DÉFICIENCE EN FER :
Rate (20).

PROBLÈMES DE CIRCULATION SANGUINE :
Parathyroïde (7), surrénales (23), reins (25), urètre (28), vessie (34), cœur (14).

Système nerveux

ANXIÉTÉ :
Tête (1), surrénales (23), reins (25), urètre (28), vessie (34), duodénum (18), intestin grêle (32), colon transverse (26), colon descendant (30), rectum (41).

ÉPILEPSIE :
Tête (1), zones lymphatiques (6).

MIGRAINE :
Tête (1), zones temporale et frontale (4).

INSOMNIE :
Tête (1), foie (19).

MAL DE DOS :
Hanche et bas du dos (38), colonne vertébrale (15).

DOULEURS CERVICALES :
Cou (5), sacrum (33), colonne vertébrale (15).

Système immunitaire

ALLERGIE :
Parathyroïde (7), surrénales (23), reins (25), urètre (28), vessie (34).

RHUME DES FOINS :
Nez (zones temporale et frontale) (5), poumons et bronches (12), parathyroïde (7), surrénales (23), urètre (28), reins (25), vessie (34).

TUMEUR (CANCER) :
Rate (20), zones lymphatiques (6), amygdales (52) (y compris les zones réflexes en rapport avec les zones cancéreuses).

INFLAMMATION :
Parathyroïde (7), zones lymphatiques (6) (y compris les zones réflexes en rapport avec les zones enflammées).

Système respiratoire

MAL DE GORGE :
Zones lymphatiques (6), amygdales (52), zone de la thyroïde (10).

NEZ SEC :
Nez (zones temporale et frontale) (4), parathyroïde (7).

ASTHME :
Parathyroïde (7), poumons et bronches (12), reins (25), urètre (28), vessie (34), zones lymphatiques (6).

BRONCHITE :
Parathyroïde (7), poumons et bronches (12), surrénales (23), zones lymphatiques (6).

MALADIE RESPIRATOIRE :
Tête (1), nez (zones temporale et frontale) (4), poumons et bronches (12), cœur (14).

Articulations

DOULEUR À LA HANCHE :
Surrénales (23), reins (25), urètre (28), vessie (34), cou (5), hanche (38).

INFLAMMATION DE LA HANCHE :
Estomac et duodénum (18), reins (25), urètre (28), vessie (34), hanche (38), taille (27), colonne et vertèbres (15).

MALADIE DE PARKINSON :
Tête (1), cou (5), parathyroïde (7), surrénales (23), estomac et duodénum (18), pancréas (16), foie (19), intestin grêle (32), zones du colon (26,29,30), reins (25), urètre (28), vessie (34), rectum (41).

Texte original de OFESITE.COM traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Partager :

Incruster une animation dans une photo

Today, there are many free online or downloadable applications to create animated GIF from videos. Such a commonplace manipulation, you might say. Let's use the idea to embed the animations you'll make (or find) into still images with a little bit of ingeniosity for striking and totally original look. As always this tutorial is based on Paint Shop Pro which is the image editing software I use, but it's very easy to adapt it to any other program provided you master the basics. In order to do so, you'll find a link to download the companion application to Paint Shop Pro while it was still manufactured by JASC now available as abandonware (therefore free). It runs on Windows only (though Linux users might be able to run it on Wine?), but there are many similar applications that you may use instead. The important is to get the idea, then you can always find different ways to achieve it.

Matériel nécessaire

  • une image avec un objet suffisamment grand dans lequel on va pouvoir incruster une animation (jumelles, objectif photo, lunettes, miroir, fenêtre, télévision, cadre photo, etc.)
  • un GIF animé
  • Animation Shop (à installer)
  • Patch de francisation pour AS (à installer dans dossier de AS original)
  • Reflet pour lentille (facultatif)

Instructions

1. Ouvrir le GIF animé dans Animation Shop. Sélectionner toutes les images (CTRL+A) et via le menu Fichier - Enregistrer les images sous, les sauvegarder au format PSP pour Paint Shop Pro en veillant surtout à bien cocher « Enregistrer les images sous forme de calques ». Si vous utilisez un autre logiciel de retouche photo, choisissez le format JPG et vous les récupérez une par une pour l'incrustation. Au passage, notez-bien la durée d'affichage inscrite sous chaque image car vous en aurez besoin plus tard.

2. Charger l'image multi-calque ainsi créée dans Paint Shop Pro. Dans la palette des calques, se positionner sur l'image 0, en bas de la pile et ajouter un nouveau groupe de calques. Y faire glisser les autres images de manière à ce que l'ordre soit respecté, la dernière image devant toujours être en haut de la pile à l'intérieur du groupe. Redimensionner l'image au besoin si elle est trop grande pour tenir en entier dans l'objet devant la réceptionner (dans ce cas, ne pas oublier l'option « Redimensionner tous les calques »).

3. Ouvrir une copie de l'image cible dans laquelle vous allez incruster l'animation. La redimensionner au besoin et la convertir en calque raster (indispensable pour obtenir une transparence à l'étape suivante).

4. Attention, c'est la partie la plus délicate : avec le lasso ou la gomme suivant la complexité de la forme à détourer, sélectionner la zone à effacer qui contiendra l'animation puis supprimer (sauf si vous avez utilisé la gomme qui aura déjà effacé la zone indésirable).

5. Copier le groupe de calques de l'animation et le coller dans l'image à retoucher. Descendre ce groupe sous le calque détouré. Positionner correctement l'animation à l'endroit désiré (comme les calques sont groupés, déplacer le groupe affecte la position de tous les calques qu'il contient en même temps). J'ai effectué une rotation de 15° à droite sur chaque calque du groupe de l'animation afin de respecter l'angle de prise de vue.

6. Si vous incrustez l'animation dans un objet en verre comme ici (lentilles de jumelles ou bien un objectif photo, des lunettes ou autre) pour plus de réalisme, il est possible de rajouter une image (ou de la créer si vous savez le faire) pour simuler des reflets. Ouvrir une copie de celle fournie à cet effet et la redimensionner à la taille de votre zone détourée avant de la positionner entre de l'animation et le calque détouré. Pour cet exemple, j'ai dû la coller deux fois (une pour chaque lentille) en réglant le mode de mélange sur Recouvrement. Comme l'effet n'était pas assez prononcé, j'ai dupliqué chacun de ces calques et réglé le mode de mélange sur Éclaircir. Cela dépend en fait des images utilisées, il faut donc faire des essais et voir quel est le meilleur rendu.

7. Voici maintenant l'étape la plus fastidieuse pour laquelle tous les calques du groupe doivent être affichés. Copier avec fusion puis relancer Animation Shop (si vous l'aviez fermé) et Coller comme nouvelle animation. De retour dans le logiciel de retouche, masquer le dernier calque du groupe en haut de la pile (celui qui a le numéro le plus élevé), recommencer Copier avec fusion et dans Animation Shop, Coller avant l'image active. Répéter ces étapes en respectant bien l'ordre jusqu'à ce que tous les calques du groupe aient été utilisés.

8. Votre animation finale devra comporter autant d'images que celle d'origine. Sélectionner tout et régler la durée d'affichage (ALT+Entrée) qui doit être identique à celle notée à l'étape 1.

9. Lancer l'assistant d'optimisation (menu Fichier) en sélectionnant « Fichier GIF animé » puis faire Suivant. Choisir « Meilleure qualité » et cliquer sur Personnaliser.

Onglet Couleurs :
- Nombre de couleurs : 255
- Créer la palette à partir de octree optimisé
- Réduire les couleurs par diffusion d'erreur

Onglet Optimisations :
- Cocher toutes les cases

Cliquer OK puis Suivant pour lancer l'optimisation. Vous pouvez maintenant enregistrer votre animation au format GIF via le menu Fichier.

NOTE : Dans ce second exemple, pour le détourage de l'objectif, j'ai contracté la taille de ma sélection et j'ai ajouté une progressivité du même nombre de pixels que ceux que je lui ai retirés de manière à ce que la démarcation soit invisible. Comme l'objectif de l'image original était mat et sans reflet, je n'ai rajouté aucun effet de superposition.

Amusez-vous bien, laissez libre court à votre imagination et surtout soyez créatifs !

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Partager :

5 conseils pour reconnaitre les rêves d'avertissement relatifs à notre santé

Tenir compte des avertissements de nos rêves peut nous sauver la vie. Il est donc important de savoir à quels détails nous devons prêter attention. Malheureusement, la plupart du temps nous ne remarquons ces signes avant-coureurs que bien après les alertes oniriques. Mais loin de moi l'intention de susciter un sentiment de paranoïa, aussi voici quelques conseils pour reconnaitre d'éventuels rêves prodromiques.

1. Tenez un journal de vos rêves.

Cette pratique s'avère indispensable pour vous en remémorer un plus grand nombre et repérer sur la durée ceux qui présentent des similitudes.

2. Intéressez-vous aux rêves récurrents.

En particulier s'ils sont désagréables. Les cauchemars font tout pour qu'on leur prête attention. Leur imagerie se précise souvent à mesure qu'ils montent en intensité sur le plan émotionnel, exigeant pratiquement que vous, l'ego onirique, admettiez quelque chose que vous ne voulez pas vraiment regarder en face.

3. Les rêves prodromiques peuvent s'exprimer par le biais de métaphores et de symboles.

La représentation symbolique la plus courante du corps est celle d'une maison ou d'un bâtiment. Où se déroule l'action : au dernier étage (la tête) ou bien dans la salle de bains (les intestins ou les reins) ? Dans notre société moderne, la voiture peut également représenter notre corps. Des problèmes de moteur ? Des difficultés à accélérer ? Des pneus crevés ? Les métaphores des rêves avant-coureurs sont en général très simples mais peuvent n'être comprises que par vous seul car après tout, ils se servent d'une langue imaginaire qui vous est propre. Encore une fois, la récurrence et la tenue d'un journal s'avèrent essentielles.

4. Des vampires vous mordent la gorge et des chiens vous arrachent les tripes.

Chaque fois qu'une série de rêves exposent, griffent, blessent ou mordent une partie de votre corps à maintes reprises, c'est un signal auquel il faut prêter attention. Il faut également rester vigilant lorsque des animaux vous mordent les mains ; j'ai découvert que c'est souvent pour nous signaler quelque chose d'important dans la suite du rêve.

5. Attention, si vous faites de tels cauchemars récurrents et si un proche vous apprend qu'il vient juste de rêver la même chose.

Nos amis, nos collègues et nos partenaires intimes ont peut être décelé inconsciemment les premiers signes d'une maladie qu'ont pu leur communiquer leurs rêves. S'agit-il de micro-comportements ou bien de télépathie ? Je l'ignore et pour être honnête, je n'en ai cure car la transmission du message est ce qui importe le plus.

De la même manière que les rêves influent sur nos corps, nos maladies peuvent imprégner nos expériences oniriques. Il est essentiel de percevoir ce niveau d'interprétation pour une vision holistique du rêve parce le corps est souvent ignoré par les nihilistes (« défragmentation aléatoire des informations emmagasinées par le cerveau ») tout comme par les passionnés du rêve (« un message de mon Moi supérieur concernant mon but dans l'univers »). Parfois, le rêve peut simplement essayer d'abaisser notre taux de cholestérol afin que nous puissions poursuivre ce que nous avons à faire sur cette planète.

Avez-vous une expérience à partager au sujet d'un rêve qui vous aurait averti d'une maladie ? Si c'est le cas, j'aimerais la lire dans les commentaire ci-dessous.

Texte original de RYAN HURD traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : Denis Olivier

Partager :

Le problème du « Le/la/les » : Nous servons-nous du langage ou bien le langage se sert-il de nous ?

Une des mes vidéos en ligne préférées est celle dans laquelle Rupert Spira1 aborde cette fonction du langage qu'est la conjecture sujet/objet. Il démontre comment un énoncé comme « je suis affamé » fournit une réalité présumée de chaque mot bien que nous ne nous ne posions jamais vraiment la question de savoir qui est « je », qui est « affamé » et surtout qu'est-ce que « je suis ». Ce type de déconstruction — que pratique également mon ami Michael Jeffreys — est très utile pour mettre à jour une vérité que la neuroscience ne reconnait que depuis peu, à savoir qu'il n'existe aucun soi physiologiquement définissable dans le cerveau ou dans toute autre partie du corps.

Certes, le développement du langage est probablement un sous-produit évolutif de la sélection naturelle à laquelle ont survécu ceux qui ont été en mesure de distinguer correctement « la plante vénéneuse » de « la plante nutritive ».

Mais le français (il s'agit bien entendu de l'anglais dans le texte original — N.d.T.) n'est qu'une manière d'utiliser le langage écrit ou oral pour donner un « sens » à ce qui nous apparaît comme « le monde ».

Le mot « le » est ce qu'on appelle un article défini.

En grammaire, l'article défini est une sous-catégorie de déterminant défini, qui participe à l'actualisation du nom noyau en indiquant, soit que le référent (la chose, l'animal, la personne dont il s'agit) est connu des actants de l'énonciation, soit que des satellites vont suivre (adjectif qualificatif, complément de nom, proposition relative…) qui permettront à l'interlocuteur d'identifier précisément ce représenté. [...] L'article défini connaît deux formes au singulier (« le » pour le masculin, et « la » pour le féminin) ; et une seule au pluriel (forme épicène) (« les »).

Wikipédia

« Les enfants connaissent le moyen le plus rapide pour rentrer à la maison. »

Cela « pointe expressément » et littéralement une partie déterminée « du monde ».2

Cet aspect unique de notre langage est une façon de distinguer les choses qui semblent séparées de nous (ou de notre « soi » en anglais — N.d.T.).

Nous poursuivons dans la précision de la spécificité avec le mot « cette » — comme pour cette « table ». Ainsi que s'est également exclamé Michael dans le groupe Eckhart Tolle sur Meetup en donnant un coup dessus : où est « cette table » ?

Il s'agit manifestement d'un ensemble de « parties » qui peuvent également être « déconstruites » et réduites, du plateau aux pieds, et en toute vraisemblance, à des atomes ou des « morceaux de bois ».

Toutefois, le mot « table » est un terme purement conceptuel que nous appliquons à cette collection d'objets pour des raisons pratiques. Nous pensons que les dauphins ont un langage mais qu'ils ne pourraient imaginer un vocable pour « table » car cette forme ne leur serait d'aucune utilité concrètement.

N'oubliez pas que les Indiens d'Amérique ignoraient la notion des mots « mon/ma/mes » — ainsi lorsque le gouvernement leur demanda de leur céder leurs terres pour une bouchée de pain, ils le firent sans hésitation parce qu'il ne comprenaient pas comment on pouvait posséder la moindre parcelle de nature en « ce monde ».

Bien entendu, vous pouvez soutenir que la table existe sous la forme intentionnelle de celui qui l'a créée dans le but d'y poser des objets — et que, par conséquent, ce terme décrit une fonction utilitaire.

Ce qui nous amène au domaine de l'esprit, de la pensée et de l'intelligence — et il semble manifestement que le langage et les nombres constituent un formidable moyen pour accumuler des renseignements — ou des données.

Là encore, il existe une distinction importante. L'accumulation d'information peut faire paraître « intelligent » — à l'instar de cette machine IBM qui pouvait passer tout Google en revue à une vitesse astronomique pour « remporter » la victoire à l'émission Jeopardy3. Mais aucune machine n'irait jamais « inventer » une table. Ce niveau d'énergie créative intentionnelle n'est-il pas le propre de l'homme ?

Avec l'avènement de l'informatique, les êtres humains se sont rendu compte que la pensée intentionnelle pouvait commencer à accomplir des tâches par le biais d'un code logiciel.

La nature, elle, l'a toujours « su » — l'ADN, qui fonctionne justement de la même manière qu'un code d'ordinateur, donnait déjà des instructions aux fonctions essentielles de la Vie depuis bien avant l'existence de l'homme. Les quatre lettres A, C, T et G peuvent être séquencées pour représenter les substances chimiques qui gèrent notre digestion, notre circulation, notre respiration et bien sûr, notre cycle reproductif.

L'Intelligence, ou l'Esprit, a donc toujours existé. Mais comme l'écrit Eckhart Tolle4, nous avons l'avons embrouillé dans sa vastitude avec ce bavardage incessant de mots qui traversent notre tête — élaborant ce que nous considérons, dans notre culture, comme le Soi individuel.

Et évidemment, on a également fini par donner un nom au  « Soi », compris comme tel afin que « la personne » portant l'étiquette Tom soit ressentie comme « moi » — ce qui n'est jamais vraiment remis en question — en partie parce que, sous bien des aspects, cela constitue le fondement de notre système social.

Aux États-Unis, notamment, le culte de la personne fait autorité ; et cela nous a apporté quelques avantages réels en termes de réalisation. Nous tenons pour acquis que l'invention et le « progrès » sont imputables à l'incitation individuelle à rechercher le pouvoir.

On attribue la préservation des droits des personnes dans les textes de la constitution à nos pères fondateurs — mais en y regardant de plus près, on constate qu'ils sont également tous liés à des responsabilités envers la planète et les autres créatures.

En fait, nos fondateurs étaient essentiellement des déistes, une philosophie qui croyait en un dessein supérieur, non pas nécessairement en un Dieu anthropomorphique mais plutôt en la nécessité que tous les êtres humains se mettent en adéquation avec l'intelligence du monde en soi. Voir The American Soul: Rediscovering the Wisdom of the Founders (L'Âme de l'Amérique : à la redécouverte de la sagesse des Fondateurs) de Jacob Needleman.

La question se pose donc de savoir si nous utilisons le langage ou bien si c'est le langage qui se sert de nous

Outre les Indiens d'Amérique ou les fameux Esquimaux avec tous leurs mots pour désigner la « neige » (combien en avons-nous pour la pensée — pour nous, la pensée ou le mental sont la même chose), en remontant encore plus en arrière, on découvre que la sagesse antique avait une utilisation différente du langage.

On peut spéculer en se basant sur la vision du monde des Égyptiens, qui enregistraient tout sous forme de hiéroglyphes, que leur langue ne comportait aucun article dit défini comme les mots « le/la/les ».

En fait, leurs « Neters » étaient des forces sacrées (que nous avons banalisées comme de simples dieux) qu'ils vénéraient comme des éléments importants de la nature — le Nil, les inondations qui irriguaient les cultures, le vent, la pluie et ainsi de suite.

La réelle différence avec la culture égyptienne était qu'il n'y avait aucune frontière définie entre la science et la religion — l'étude de ce qui existe (la science) supposait une certaine humilité face à la Nature même. Il y avait une conscience de la différence d'échelle entre l'intelligence de la Vie et l'intellect de l'homme.

On pourrait imaginer qu'au sein des groupes primitifs, le premier individu à être identifié en tant qu'entité distincte fut le personnage le plus grand et le plus puissant de la tribu qui devint « le Pharaon ».

Est-ce ainsi que naquit le mot « le » ?

Une fois encore, comme d'aucuns l'ont spéculé, les Égyptiens considéraient moins le Pharaon comme un Dieu ou une personne mais plutôt comme une force royale de la nature — un Être reflétant le pouvoir du Soleil, des étoiles et la vie même.

En lisant la légende de Moïse, on apprend que sur le Mont Sinaï, quand ce dernier demande à Dieu comment l'appeler, il lui répond : « Je sais qui je suis ».

Ceci est l'essence du monothéisme que nous interprétons comme la réalité d'un seul et unique Dieu mais qui peut également être envisagé comme la réalité d'un seul et unique Être — l’Être même.

Il s'agit de la sagesse la plus profonde de la plus ancienne religion — une conscience de la Conscience en tant que pierre angulaire ou fondement de Tout.

Mais peut-être que comme l'a déclaré Buckminster Fuller5 dans une phrase restée célèbre : « Je semble être un verbe » — parce que nous SOMMES la conscience ou la vie même, ce qu'Eckhart Tolle appelle le « rien » (littéralement : « aucune chose » — N.d.T.) — c'est l'essence de toute chose, — ses composantes intelligentes et mentales — ou en termes platoniens, son identité « informe ».

Dans notre langue, l'élément qui s'en rapprocherait le plus serait une pensée ou une idée.

Ceci rejoint l'épistémologie, une branche de la philosophie traitant de la nature et de l'étendue des connaissances que l'on appelle également la « théorie du savoir ».

En matière de science, nous prenons tout pour argent comptant. Dès que nous attribuons l'article défini au nom d'une chose, c'est comme si nous la connaissions.

Mais en creusant davantage, que savons-nous réellement de toute chose, en particulier de notre « soi », simplement en l'affublant du nom de « chose » ?

Pour être honnêtes, nous devons reconnaitre que tout comme lorsque nous touchons « la table », nous ne faisons que désigner la surface même de la connaissance véritable.

Notes et références

  1. ^ Rupert Spira est un artisan potier anglais. Il écrit également sur la spiritualité en enseigne la non dualité (Advaita en sanskrit), explorant la nature de l'expérience dans ses textes et essais. Il a publié un livre, The Transparency of Things (la transparence des choses) en 2008 et quelques DVD d'interviews.
  2. ^ Jeopardy! est un jeu télévisé créé par Merv Griffin (aussi créateur de La Roue de la fortune) et diffusé depuis le 30 mars 1964, aux États-Unis. À partir de réponses, trois candidats doivent trouver la question correspondante. Chaque bonne réponse rapporte une somme, chaque erreur la fait perdre. Ils peuvent choisir entre cinq thèmes et cinq valeurs de réponses.
  3. ^ À noter que, contrairement à l'anglais qui ne met aucun article devant les noms génériques comme la vie (life), le progrès (progress), le bonheur (happiness), etc. — le français a recours à l'article dit « défini » qui n'a alors pas la même valeur sémantique que lorsqu'il s'applique à définir un nom en particulier parmi la généralité.
  4. ^ Eckhart Tolle est un écrivain et conférencier allemand, naturalisé canadien. Il raconte qu’il s'est senti déprimé la plus grande partie de sa vie jusqu’à ce qu’il connaisse, à l’âge de 29 ans, une « transformation intérieure » à la suite de laquelle il passa plusieurs années sans-emploi à vagabonder « dans un état de félicité profonde » avant de devenir enseignant spirituel. Plus tard, il déménagea en Amérique du Nord où il commença à écrire son premier livre, Le pouvoir du moment présent, qui fut publié en 1997 aux États-Unis et est devenu un best-seller international traduit en 33 langues.
  5. ^ Richard Buckminster Fuller (1895-1983) est un architecte, designer, inventeur et auteur américain ainsi qu'un futuriste. Il a publié plus de 30 livres, inventant ou popularisant des termes tels que « vaisseau terrestre », « éphéméralisation » et « synergétique ». Il a également mis au point de nombreuses inventions, principalement dans le domaine de la conception architecturale, la plus connue restant le dôme géodésique (d'ailleurs repris sur la pochette de l'album Resistance du groupe Muse).

Texte original de TOM BUNZEL traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Partager :

L'opportuniste

Cette chanson mythique de Jacques Dutronc s'est imposée à mon esprit, il y a peu, en constatant, avec amusement mais sans surprise aucune, comment une connaissance envahissante, qui n'avait de cesse d'en médire d'une autre, a soudainement effectué un spectaculaire volte-face à 180 degrés, faisant de moi le nouvel objet de ses racontars (salut, c'est moi Lulu, je sais y faire :lol:) et de l'autre personne sa (re)nouvelle alliée après que j'aie eu enfin le courage de prendre la décision qui s'imposait depuis fort longtemps (et là, je mérite cent fois le fouet pour ne pas avoir écouté ce que me hurlait mon intuition depuis le début). Contrairement à cette persona non grata, je ne compte pas m'étaler davantage sur la question et me rabaisser ainsi à son niveau. Quand bien même si j'ai choisi de m'exprimer dans la rubrique Acouphènes, ce n'est pas pour rien non plus.

Il faut toujours remercier ses ennemis. Sans eux, on n'évoluerait pas.

Bernard Werber

C'est pourquoi, loin de la considérer comme telle, je tiens néanmoins à lui exprimer ma gratitude pour le regain de motivation que son comportement délétère a su raviver en moi en lui dédiant ce morceau d'un style musical qui lui aurait sans doute plu, même si en choisissant cette version en duo avec Nicola Sirkis d'Indochine, j'ai surtout pensé à quelqu'un en particulier à qui je sais que cela fera extrêmement plaisir. Une bien meilleure raison en soi.

Ey@el

Je suis pour le communisme
Je suis pour le socialisme
Et pour le capitalisme
Parce que je suis opportuniste

Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu´un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté

Je n´ai pas peur des profiteurs
Ni même des agitateurs
Je fais confiance aux électeurs
Et j´en profite pour faire mon beurre

Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu´un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté

Je suis de tous les partis
Je suis de toutes les parties
Je suis de toutes les côteries
Je suis le roi des convertis

Il y en a qui contestent
Qui revendiquent et qui protestent
Moi je ne fais qu´un seul geste
Je retourne ma veste, je retourne ma veste
Toujours du bon côté

Je crie vive la révolution
Je crie vive les institutions
Je crie vive les manifestations
Je crie vive la collaboration

Non jamais je ne conteste
Ni revendique ni ne proteste
Je ne sais faire qu´un seul geste
Celui de retourner ma veste, de retourner ma veste
Toujours du bon côté

Je l´ai tellement retournée
Qu´elle craque de tous côtés
À la prochaine révolution
Je retourne mon pantalon

Texte original de JACQUES DUTRONC

Partager :

Sierranon

Sierranon, quésaco ? À vrai dire, ce n'est qu'une théorie et non une certitude. Ce nom m'est parvenu par le biais d'un rêve dans lequel pour sortir d'un lieu où j'étais retenue prisonnière, je devais rédiger un essai sur Sierranon. S'agissait-il d'une personne ? D'un lieu ? Je l'ignore et la suite du rêve ne m'a jamais permis de le découvrir. Au réveil, cependant, j'ai réalisé qu'il s'agissait d'un mot espagnol signifiant « montagne impaire », soit qui échappe à la dualité ; qui n'a pas son pareil. Incapable de d'exprimer mon ressenti intuitif par des mots, c'est donc à travers un assemblage d'images (le véritable langage des rêves) que j'ai tenté d'accomplir ma mission onirique. Et si, telle le Mont Solitaire des nains de Tolkien en quête de l'Arkenstone, Sierranon était tout simplement l'endroit secret où réside notre imagination ? Ou encore la gardienne de tous les trésors qu'elle renferme ?

Une poussière dans l’œil
Un faux souvenir que l'on effeuille
Une illusion dont on doit faire le deuil
Pour enfin franchir le seuil

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Partager :

La thérapie par le rire

Contrairement à l'adage, mourir de rire ne tue pas. Bien au contraire, le rire est un excellent moyen de réduire le stress dans nos vies et de nous aider à rester en bonne santé sur les plans physique, mental et spirituel. Communicatif, il tend à améliorer les rapports humains et à gommer les différences en faisant taire les égos. Le rire peut même sauver des vies et plus encore : les rendre meilleures.

Le rire est le meilleur cadeau que nous puissions faire aux autres.

Dulce Maria Cardoso

Un remède naturel accessible à tous

Dans Comment je me suis soigné par le rire, paru en 1979, l'éditorialiste américain Norman Cousins raconte qu'après avoir contracté une grave maladie inflammatoire, il a découvert que le rire lui permettait de se libérer de la douleur et l'a donc intégré dans une thérapie axée sur l'ingestion de fortes doses de vitamine C et le développement d'une attitude positive basée sur l'amour, la foi, l'espoir et le rire en se faisant projeter quotidiennement des films comiques.

Le rire est plus fort que la douleur.

Pierre Turgeon

Certes, sa guérison, improbable et non escomptée, a laissé perplexe la communauté scientifique mais a ouvert la porte à de nouvelles expériences qui ont permis de prouver les réels bienfaits du rire au même titre (mais mieux encore) que certaines substances chimiques naturelles ou de synthèse. Ainsi, depuis 1995, le rire est reconnu en tant que thérapie dans des milliers de centres hospitaliers du monde entier.

Les effets du rire sur l'organisme

Il faut savoir qu'à la base le rire est un réflexe, qui, comme tous les réflexes, prend naissance dans le cerveau (dans l'hémisphère droit ou se trouve le cortex préfrontal en interaction avec le système limbique, le siège des émotions) qui provoque la mise en mouvement d'un grand nombre de muscles dont ceux du visage. Le diaphragme se contracte et projette l’air vers les cordes vocales. Puis survient une phase de relâchement où tous les muscles se détendent, y compris le cœur et les sphincters, d'où l'expression populaire « pisser de rire ».

Antalgique

Le rire provoque la libération de neurotransmetteurs (endorphines) qui agissent sur les récepteurs opiacés, réduisant la perception de douleur et procurant une sensation de bien-être.

Immunostimulant

Le rire accroît la sécrétion d'anticorps dans les muqueuses du nez et du système respiratoire qui permettent de mieux résister aux infections d'origine bactérienne ou virale.

Bronchodilatateur

En contractant les muscles du diaphragme et de l'abdomen, le rire augmente par quatre fois le volume des échanges respiratoires et se révèle donc excellent pour les asthmatiques et les personnes souffrant de bronchite chronique.

Cardiotonique

En améliorant la capacité respiratoire et en stimulant la circulation sanguine par son effet vasodilatateur, le rire accroit également l'apport d'oxygène vers le cœur et évite ainsi la formation de caillots responsables d'infarctus et autres problèmes cardio-vasculaires.

Hypotenseur

Des expériences ont montré que la pression artérielle diminuait nettement après dix minutes de rire.

Laxatif

Ne dit-on pas de quelqu'un qui a du mal à rire qu'il est constipé ? Rire provoque un massage du ventre et de l'appareil digestif avec pour effet d'améliorer le transit intestinal.

Antiride

Effectivement, le rire déride. En obligeant les muscles du visage (zygomatiques) à se contracter, il entraine un afflux sanguin qui nourrit la peau, améliorant ainsi le teint et l'expression, ce qui contribue à faire paraître jeune plus longtemps.

Myorelaxant

Rire permet de décontracter les muscles et dénouer les tensions. Une minute de rire équivaudrait à 45 minutes de relaxation.

Sédatif

Le rire aide à lutter contre l'insomnie en procurant une fatigue saine qui favorise l'endormissement.

Anxiolytique

Le rire régule la sécrétion des hormones du stress (adrénaline et cortisol), facteur principal de mauvaise santé et accélérateur de vieillissement (qui serait à égalité avec le tabac selon les résultats de certaines études).

Les bénéfices du rire pour la santé mentale

D'après les statistiques, en 1940 les Français riaient environ 19 minutes par jour. En l'an 2000, ce chiffre est descendu à moins d'une minute. Parallèlement, on observe que la consommation d'antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques n'a cessé d'augmenter dans des proportions vertigineuses. Tout comme le chiffre d'affaire des laboratoires pharmaceutiques. Et si l'on parlait du taux de suicide qui est également l'un des plus élevés en Europe, touchant majoritairement les classes d'âge en activité. Ce serait même la première cause de mortalité chez les 25-34 ans. N'en déplaise donc à M. Aliagas, ce n'est pas « que du bonheur » (expression lavomatique à la mode que les animateurs et participants aux émissions de télé irréalité ressassent à tout-va comme de vieux disques rayés).

Le rire est une bouée de sauvetage.

Michel Serrault

Jodi Deluca, professeur en neurosciences à l'Université d'aéronautique Embry-Riddle, en Floride, affirme que « peu importe pourquoi vous riez. Même à petites doses, cela améliore votre qualité de vie ».

Le rire est désinhibiteur et accroit la confiance en soi. En mobilisant tout notre corps, il nous rend plus alertes et plus ancrés dans l'instant présent, nous arrachant à nos préoccupations qui sont toutes généralement liées au passé ou à l'avenir. Il permet de relativiser les problèmes et de développer une attitude positive en dissolvant le stress et l'anxiété et en améliorant l'humeur et la résilience. Il joue donc un rôle essentiel dans le traitement de la dépression. C'est d'ailleurs pour cela qu'il est utilisé en psychothérapie.

La thérapie par le rire et les programmes d'entrainement au rire ont d'ailleurs été inventés par Annette Goodheart, psychothérapeute américaine au nom prédestiné (ne dit-on pas « rire de bon cœur ») qui, durant 36 ans, les a utilisés en complément au traitement de maladies gravissimes telles que le cancer, le SIDA et toutes les formes de dépression et a enseigné les bienfaits de l'humour salvateur à travers le monde en donnant des conférences dans les universités, les écoles, les entreprises et diverses organisations.

Madan Kataria, médecin généraliste indien, est quant à lui, depuis près de 20 ans, l'inventeur du « yoga du rire ». Après avoir découvert l'incapacité de l'organisme à différentier le rire feint du rire naturel, il a développé une série d'exercices incorporant des éléments de jeux de rôle et d'autres techniques dérivées de l'expression théâtrale.

Qui rira le dernier survivra-t-il à la sinistrose ambiante ?

Il existe désormais, un peu partout en France, des clubs du rire auxquels il est possible de s'inscrire pour apprendre à stimuler cette fonction naturelle de notre corps de moins en moins sollicitée par nos modes de vie trépidants et l'isolement grandissant engendré par le développement des technologies numériques qui, certes, étendent le champ des possibilités de communication à la planète entière mais réduisent d'autant les contacts humains à une misérable peau de chagrin à tel point qu'il faille encore payer pour réapprendre à rire.

Il n'y a que les gens qui aiment rire qui sont sérieux. Les autres se prennent au sérieux.

Jean Caplanne

Hilarants, en effet, les débilophones inopportuns qui sonnent toujours au beau milieu des conversations et qui rendent impossible toute communication de vis à vis. À quoi bon sortir de chez soi quand il est plus facile de capter l'attention de son interlocuteur en lui causant dans l'oreillette. Dans certains foyers, pour discuter il faudrait carrément pouvoir passer à la télé et trépasser en direct histoire de se rappeler au bon souvenir de ses « proches ». Dans la rue, difficile d'aborder un passant pour lui demander son chemin pour la même raison. Et n'envisageons même pas les transports en commun, véritable no man's land dans tous les sens du terme où le transhumanisme semble déjà en pleine voie d'expérimentation couronnée de succès.

Le rire s'impose donc plus que jamais en société car il est communicatif et attire les gens. Il renforce les relations, améliore le travail d'équipe en assurant la cohésion des groupes et permet de désamorcer les conflits.

Le rire rend spirituel

En stimulant la production d'adrénaline, le rire accroît encore la créativité et l'imagination. On dit d'ailleurs d'une personne faisant preuve de vivacité mentale qu'elle est « spirituelle ».

Le rire est meilleur que la prière pour le salut de l'âme.

Henri Gougaud

Certes, il n'est plus à démontrer que le rire élève les vibrations au même titre que l'amour prôné par toutes les « disciplines » spirituelles dont la plupart se prennent tellement au sérieux qu'elles semblent visiblement avoir oublié qu'amour rime également avec humour. Le bien-être et la paix intérieure que sont censés nous apporter ces nombreux préceptes en vogue ne sauraient s'obtenir sur le même mode que celui par lequel nous menons nos vies actuellement, à savoir en suivant des règles établies et en se conformant à certains dictats édifiés par une hiérarchie autoproclamée. Toute personne sincèrement désireuse d'y parvenir le ressent forcément en son for intérieur. Il est important de savoir prendre la vie avec légèreté si l'on veut pouvoir s'élever — en d'autres termes, rire permet de lâcher du lest. Et si l'on en croit feu Jean Cocteau, « la faculté de rire aux éclats est preuve d'une âme excellente ».

La rumeur dit que bientôt,
Si nous donnons tous le ton,
Nous recouvrerons nos esprits,
Et qu'un jour nouveau poindra
Pour ceux qui attendent depuis si longtemps
Et que les forêts résonneront de leurs rires —
Le rire, il y en a qui s'en souviennent ?

"Stairway to Heaven", Led Zeppelin (1971)

Sources

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Partager :

La déconstruction du programme Ébola

Un nouvel article-fleuve de Zen Gardner sur le sujet qui concentre toutes les attentions (et toutes les peurs) du moment et dont nous ne savons finalement pas grand chose, si ce n'est que ça pue encore l'enfumage et la manipulation PROBLÈME - RÉACTION - SOLUTION comme n'a eu de cesse de nous en avertir David Icke au cours de ces vingt dernières années. Et il y a pire encore comme vous ne tarderez pas à découvrir si vous n'étiez pas déjà au courant. Comme vous l'avez sûrement remarqué, il n'est guère dans mes habitudes ni dans mon optique de plomber inutilement et plus qu'il n'en faut le moral des troupes en ressassant l'état actuel des choses. Pas plus que de me poser en « Grand Yaka de Jaimadire1 ». Plusieurs blogueurs, qui se reconnaitront (et que je salue bien), m'ont qualifiée de « rebelle » et de « guerrière » et je les prendrai donc au mot — pour rire — en ajoutant que dans cette bataille que nous sommes obligés de mener bon gré mal gré, chacun doit rester fidèle à sa mission de vie en développant sa propre spécialité de combat — la mienne, je pense, étant une sorte de kung fu « spirituel » qui consiste à mettre des coups hauts là où d'aucuns s'évertuent à faire dans le coup bas et ceci dans un souci de rééquilibrage des énergies. Il n'en a pas toujours été ainsi et cela prouve bien que rien n'est perdu d'avance. Ni gagné. Ce long préambule pour vous rassurer quant à la teneur de cet article qui, s'il se veut forcément alarmiste, se termine sur une note assez positive. Alors soyez conscients des enjeux macabres qui se jouent sans perdre le goût de rire car comme je vous l'expliquerai dans mon prochain article (et comme en conclut également notre ami Zen), c'est un des meilleurs remèdes qui soit. C'est même une thérapie éprouvée et reconnue par certaines instances du corps médical.

Ey@el

On dirait bien que nous allons devoir supporter la mise en place du programme Ébola pendant quelque temps. Tout a l'air de fonctionner comme prévu : le public cède à la peur propagée par toute sorte d'informations relayées par les médias qu'il accepte sans se poser de question. Un cadre propice à la manipulation de l'opinion, des émotions et des réactions, et qui constitue leur terrain de prédilection favori.

La bonne vieille tactique du problème - réaction - solution.

Il ne me plait pas de m'attarder sur ce sujet mais il est désormais présent sur tous les fronts et nous en sommes encore au stade de la déconstruction — une étape importante. La connaissance vraie confère un certain pouvoir, surtout devant une matrice basée sur la tromperie tentant, à l'instant même, de raffermir son contrôle en l'étendant à d'autres niveaux.

Il suffit de voir les choses pour ce qu'elles sont afin de nous libérer de l'emprise qu'elles exercent sur nous à condition que nous évitions de tomber dans les nombreux pièges qu'on nous tend quotidiennement.

Beaucoup d'informations utiles émanent des médias alternatifs mais il faut quand même les assimiler et les évaluer avec prudence au vu de tout le battage médiatique dont on nous rabat les oreilles. Nous devons voir ce qui trouve écho en nous et le laisser infuser le temps que de nouvelles données nous parviennent. Mais surtout, il vaut mieux rebrousser chemin si cela engendre davantage de peur. Toute information véritablement utile sera stimulante même si elle remettra souvent en question nos précédentes convictions ou nos concepts inconscients. Et c'est une bonne chose. Laissez ces données faire leur chemin en les stockant à l'écart, le temps d'approfondir leur évaluation et éventuellement de les évacuer pour le cas où elles s'avèreraient soit erronées, préjudiciables ou superflues.

Il faut se méfier, avant tout, de l'esprit dans lequel elles sont prodiguées. La peur, surtout la panique comme il s'avère, ne doit pénétrer ni nos esprits ni nos cœurs. Rien de bon n'en sortira aussi fascinante en apparence que puisse être cette projection — à l'instar de ce mème2 zombie macabre qu'ils ont savamment ancré dans notre société. Ce n'est pas non plus le moment de prendre tout ceci à la légère car ce sont nos esprits que vise cette guerre et nous devons faire preuve de vigilance.

Les dernières informations de la machine à faire peur de l'OMS mondialiste

À titre d'exemple afin de ne pas perdre de vue la situation en pleine métastase et la direction qu'ils veulent lui faire prendre, voici ce que j'ai relevé aux informations du jour :

LONDRES (AP) — L'Afrique occidentale pourrait enregistrer jusqu'à 10.000 nouveaux cas d'Ébola par semaine dans les deux mois à venir d'après l'Organisation mondiale de la santé qui a également confirmé, mardi dernier, que le taux de mortalité lié à l'épidémie avait atteint les 70%.

Ces chiffres ont été communiqués par le Dr Bruce Aylward, directeur général adjoint de l'OMS, lors d'une conférence de presse à Genève. Selon leurs dernières estimations, ce taux se situait aux alentours de 50%.

Aylward a déclaré que cette hausse était la preuve qu'il s'agissait d'une « maladie entraînant une mortalité élevée » et que la cellule sanitaire de l'ONU s'employait encore à tenter d'isoler les malades afin de les traiter le plus tôt possible.

Il a confié aux journalistes que si la communauté internationale n'intensifiait pas sa réaction  face à la crise Ébola dans les soixante jours à venir, « bien plus de gens mourraient » et les personnels de santé seraient encore plus sollicités face à l'explosion du nombre de cas. (Source)

Il est à noter que toutes les données qui ressortent de ce communiqué ne sont ni étayées ni vérifiables et que rien n'est documenté. Nous sommes obligés de les croire sur parole à mesure que la propagande officielle filtre de plus en plus l'information. En fait, CNN et d'autres chaînes se sont faits prendre à mettre en scène des décès dus à l'Ébola pour faire avancer le dossier. Rien de surprenant vu qu'ils reproduisent ce qu'ils ont déjà fait avec leurs compte-rendus des « atrocités » dans la guerre contre le terrorisme.

Vue d'ensemble de la mise en œuvre manifeste du programme

Globalement, nous savons qu'ils envisagent de réduire les niveaux de population mondiale. De nombreux scénarios et images macabres circulent depuis longtemps, allant des camps de la FEMA3 aux acquisitions de guillotines, de drôles de trains équipés pour y enchaîner les passagers, d'importantes réserves de cercueils en plastique et la construction de gigantesques fosses communes.

En attendant, les gens sont bien conscients de l'existence de multitude d'autres programmes visant délibérément à empoisonner la race humaine. Bon nombre, comme la guerre contre l'humanité par le biais de rayonnements électromagnétiques débilitants, sont ignorés par leur conscience mais sont tout aussi efficaces que cette peur de l'Ébola. Tous sont destinés à épuiser et à fragiliser la condition des êtres humains. Une fois encore, il s'agit d'informations très sombres mais importantes. L'issue finale porte sur ce dont nous prenons conscience et ne profitera certainement pas à l'humanité. C'est cela que ceux que nous qualifions d'endormis refusent d'admettre. Dans la plupart des cas, ils constatent la corruption des gouvernements et la cupidité des corporations mais pour ce qui est de faire le lien avec le reste des programmes et le plan dans sa globalité, ils estiment que c'est au-dessus de leurs forces.

Pourtant c'est tout le contraire. Refuser d'ouvrir les yeux à la lumière de la vérité les mènera à une fin rapide et désespérée.

Un plan aux avantages multiples

Comme toujours, ce type de scénario coup monté destiné à lancer de fausses alertes présente divers avantages en parallèle pour l'élite au pouvoir. Les États-Unis ont déjà envoyé davantage de leurs tristement célèbres « troupes au sol » pour y faire dieu sait quoi en Afrique. Il se trouve juste que ces pays riches en ressources naturelles seraient une formidable manne pour cette horde de hors-la-loi constituée de corporatistes et de banksters4. En même temps, cela fait longtemps que les impérialistes voudraient avoir la mainmise sur ce joyau que représente l'ensemble du continent africain, aussi quel meilleur moyen d'y parvenir que de décimer sa population en y instaurant la malnutrition, des programmes de vaccination à grande échelle, en y introduisant des maladies endémiques et en y formentant des guerres civiles... pour ensuite apporter la « solution » qui consiste à exterminer davantage grâce aux États-Unis et à l'OTAN.

On ressort toujours les mêmes bons vieux tours de son sac.

De même que réduire l'Amérique au rang de pays défavorisé du Tiers monde sous contrôle militaire a toujours été dans leur intention depuis le départ. L'Ébola n'est rien d'autre qu'une nouvelle étape dans cette progression. Cela fait à l'évidence longtemps qu'ils s'activent d'arrache-pied à l'élaboration d'un scénario catastrophe de grande ampleur. Nous avons assisté à la convergence de ces programmes et l'urgence sanitaire constitue une ligne diaboliquement audacieuse. Après tout, qui irait affronter une épidémie ou des équipes médicales avec des armes à feu ?

Observez la castration du peuple américain. La sentira-t-il venir ?

« Mais ce n'est pas tout ». Les néo-conservateurs s'attendent fébrilement à une frappe nucléaire en territoire américain afin de jouer à fond la carte du terrorisme dans le même temps. Vous parlez d'une population coincée de toutes parts. Quand tout est permis, on se permet n'importe quoi. Et tous ces ingénieurs sociaux psychotiques veilleront à ce qu'il en soit ainsi.

Leur guerre incessante contre le système immunitaire humain

Au nombre des multiples agressions que subit l'humanité, on compte le programme de vaccination. Tout comme les traînées chimiques, les vaccins constituent un système de prestation.

© David Dees

Dès lors que les peuples désespérés auront pris l'habitude qu'on leur injecte en intraveineuse quelque chose censé les aider et les protéger et qu'ils feront preuve de collaboration en venant faire la queue volontairement, parfois avec impatience, pour recevoir leur injection, vous aurez instauré le système parfait.

Déjà bombardées de drogues, d'aliments, d'air et d'eau trafiqués, les cibles désignées ne demanderont plus qu'à être éliminées.

Une fois tout cela en place, il ne restera plus qu'à les motiver. D'où la résurrection de maladies éradiquées depuis longtemps et la mutation par manipulation génétique de certaines en souches pour les rendre bien plus virulentes. Cela n'a pas vraiment fonctionné car le SRAS5, la grippe porcine et quelques autres ont produit beaucoup moins de cas que la grippe saisonnière traditionnelle dont les statistiques ont été noyées sous le battage médiatique.

Il semblerait que le système immunitaire humain résiste plutôt bien une invasion de virus ennemis.

C'est pourquoi ils ont déclaré la guerre à sa résilience. À l'instar de notre esprit insatiable et de notre conscience éternelle, cet extraordinaire corps humain dispose d'incroyables facultés d'adaptation et d'auto-guérison pourvu qu'on le sustente avec une alimentation saine et vivante et que l'on prenne raisonnablement soin de lui. Alors que font-ils ? Ils attaquent notre système immunitaire en se servant de tout et n'importe quoi pour tenter de l'ébranler. Par une nourriture lourdement altérée et génétiquement modifiée, par de l'eau fluorée, par de l'air saturé de produits chimiques et par ce qui constitue l'attaque la plus directe de toutes, des vaccins chargés de mercure et autres toxines et surtout d'adjuvants — des agents destinés à mettre à rude épreuve notre immunité et à la fragiliser, sans parler des virus qu'ils y incorporent. C'est diabolique certes, mais une réalité.

Il y a encore un détail tristement omis dans cette vue d'ensemble. L'irradiation, cet ultime assaut à tout ce qui vit. Nous y viendrons dans un instant car c'est une pièce essentielle du puzzle.

D'où vient le virus Ébola ?

L'Ébola se serait soi-disant « développé » en Afrique au début des années 70, avec tous les dix ans depuis, des poussées épidémiques de faible ampleur mais faisant l'objet d'un énorme tapage médiatique avec une imagerie insistant sur ses effets horribles et dévastateurs — lesquels s'apparentent beaucoup à ceux d'un autre virus connu sous le nom de Marburg. Ce qui laisse supposer que l'Ébola pourrait être leur première tentative de modifier la souche. Nous savons que, depuis fort longtemps, des savants fous n'ont eu de cesse de mettre au point et créer des armes bactériologiques dans leurs labos sous prétexte de trouver le moyen de nous « protéger » d'une telle menace. Ils sont tout bonnement incapables de résister à tout ce qui peut servir d'armement, surtout s'il suffit de l'introduire au sein d'une population en le laissant faire son œuvre.

Plutôt efficace et rentable — cela permet en outre de couvrir facilement toute implication par le déni plausible. Tel est le mode de fonctionnement de ces sorciers maléfiques.

D'autres pseudo-pandémies, la définition desquelles ayant été élargie par l'OMS complice, ne se sont pas propagées mais ont servi d'exercices d'entrainement et permis au public de se faire à l'idée d'un tel scénario tout en fournissant le prétexte de lui injecter un maximum de vaccins. Voici comment ébranler le système immunitaire, ce qui s'avère utile pour l'introduction du prochain assaut dans cette guerre virale. Comme le souligne John Rappoport, à l'instar du SIDA, l'Ébola pourrait bien être un nom générique regroupant divers symptômes provoqués par quasiment n'importe quoi.

Je trouve cela parfaitement logique. De quoi engendrer la frayeur ultime et le bouclier de contrôle qui va avec.

Grâce à l'intensification des tactiques de peur et à la propagande mensongère qui bat son plein, les gens vont désormais s'imaginer que la plus banale des affections pourrait être l'Ébola et soit sombrer dans la dépression en se cachant ou bien filer vers le dispensaire le plus proche où le risque de contracter une maladie sera multiplié au centuple — surtout s'ils se font vacciner. Le pire est que les autorités nouvellement habilitées pourront soupçonner ou déclarer tout ce qu'ils voudront comme étant l'Ébola maintenant que ce terme lourdement chargé de sens a été programmé dans l'esprit de tous.

[Je ne traduis pas le paragraphe suivant qui concerne une vidéo de 25 minutes disponible uniquement en anglais et exposant le programme de vaccination lié à la supercherie de l'Ébola dans laquelle il est fait mention de la rage qui aurait connu une expansion aussi spectaculaire. Les bilingues qui le souhaitent pourront visionner ce documentaire sur la page originale de cet article — N.d.T.]

L'inconnue de l'équation dont le public n'entendra jamais parler : l'irradiation

Les similitudes entre les symptômes de l'Ébola et ceux de l'irradiation sont étonnantes. Cela fait plus de trois ans et demi que nous, les Américains surtout, sommes continuellement bombardés des radiations toxiques de Fukushima. Il faut du temps pour que les signes d'empoisonnement dû aux rayonnements apparaissent. Nous avons évoqué ce sujet à maintes reprises car c'est l'une de ces fameuses bombes à retardement que nous suivons tous de très près. Il en va de même pour l'intoxication via les tracés chimiques et les OGM et leurs effets à long terme — un sujet de réflexion peu agréable mais nous ne pouvons pas pratiquer la politique de l'autruche.

© David Dees

Le moment est arrivé.

Ce que la plupart des gens ne réalisent pas est que les effets de l'irradiation sont nombreux et que le cancer n'est qu'une seule maladie figurant sur la longue liste des manifestations et causes de décès sur laquelle on trouve tout un ensemble de problèmes sans lien apparent comme les crises cardiaques et le diabète qui connaissent tous un essor dramatique. Le plus remarquable est que les symptômes présumés de l'Ébola sont pratiquement identiques à ceux provoqués par la radioactivité.

Ceux-ci comprennent pour les deux maladies :

  • Fièvre
  • Maux de tête
  • Nausées
  • Vomissements
  • Diarrhée
  • Détérioration du SNC
  • Maux d'estomac
  • Saignements
  • Hématomes
  • Douleurs musculaires
  • Chute de cheveux

Y a-t-il un lien entre les deux ?

Du moins, si ce programme continue d'être déployé et si de plus en plus de personnes présentent des symptômes d'irradiation, tout sera imputé aux lourdes contraintes du projet Ébola, en passe de se propager pour prendre la forme d'une loi martiale médicale. Il peut même s'agir en partie d'un plan visant à masquer cette réalité tout en profitant de la situation en se servant de leur nouveau concept qui consiste à nous faire contracter tous les microbes.

Mais toute cette problématique liée aux radiations demande à être prise en considération. Elle est un fait incontestable au cœur de nos préoccupations bien plus que tout ce qui nous arrive actuellement.

Faites valoir votre immunité

Je trouve encourageant que notre merveilleux système immunitaire s'avère si coriace et qu'ils aient tant de mal à éteindre la flamme de notre résistance. C'est si conforme à l'image de la guerre qu'ils livrent à notre conscience et qu'ils ne pourront jamais remporter. Il risque d'y avoir de lourdes pertes dans les mois et les années à venir s'ils continuent sur leur lancée, mais quoi qu'ils fassent, ils ne parviendront pas à éteindre notre esprit éternel. En réussissant l'épreuve, nous passerons au niveau supérieur et à nous la suite du programme !

La peur est l'une de leurs meilleures armes contre notre système immunitaire et contre notre immunité spirituelle. Ne tombez pas dedans. Pour beaucoup, leur plus grande hantise est de mourir et il faut vraiment se débarrasser de cette crainte qui n'a pas lieu d'être. Elle n'a d'ailleurs aucun sens d'un point de vue logique et encore moins spirituel. C'est sans doute le programme le plus important né de cette peur sous-jacente que les ingénieurs sociaux entretiennent avec tout ce qu'ils peuvent trouver. Il est temps de se secouer.

Et quoi qu'il arrive, ne vous faites pas vacciner contre quoi que ce soit et ne laissez pas non plus ceux que vous connaissez et que vous aimez le faire. Dans certains cas, cela vous imposera peut-être de sortir des rangs, mais tenez-vous à l'écart d'éventuels postes de contrôle, surtout quand ils commenceront à rendre les vaccins obligatoires.

Avant tout, vivez au-dessus de tout cela. Continuez à vous faire entendre pour dénoncer ces mensonges et n'ayez de cesse de ranimer le courage et la prise de conscience de votre entourage, mais demeurez au-dessus de tout cela.

Passez votre activité émancipatrice à la vitesse supérieure en maintenant l'offensive. Et préservez votre joie de vivre. C'est le meilleur des remèdes pour vos deux types d'immunité ! Il y a vraiment de quoi s'extasier. Les étoiles brillent toujours à travers la brume causée par les tracés chimiques et le soleil continue de baigner notre magnifique planète vivante de sa chaleur et de son énergie positive.

Identifiez la situation pour ce qu'elle est mais ne gardez pas les yeux rivés sur la cage illusoire qu'ils essaient d'ériger parce que c'est qu'ils veulent que nous fassions.

Restez dans les hautes vibrations et n'arrêtez pas de rire. Si vous saviez comme cela les rend furieux, ces sinistres personnages, lorsque vous vous moquez d'eux et combien cela nous permet de surmonter tout cela sans encombre !

Profitez de la vague tels de jeunes surfeurs de tempête que vous êtes !

Notes et références

  1. ^ Le Grand Yaka est un personnage de Titus le Petit Lion, une série télévisée d'animation française, diffusée à la fin des années 60, racontant les aventures d'un petit lion en peluche au pays imaginaire de Jaimadire, gouverné par un souverain enturbanné aux allures de maharadjah.
  2. ^ Un mème est un élément reconnaissable relatif à la culture humaine. Cela peut être une idée, une forme, une règle de comportement, un code culturel, un symbole. Les mèmes se reproduisent par réplication (transmission orale, écrite, ou gestuelle), peuvent muter et sont en compétition darwinienne dans la sphère sociale.
  3. ^ L’Agence fédérale des situations d'urgence (FEMA) est l'organisme gouvernemental américain destiné à assurer l'arrivée des secours en situation d'urgence. Elle est rattachée au Département de la Sécurité intérieure des États-Unis, et prend en charge les grandes catastrophes naturelles et celles liées aux activités humaines qui frappent le territoire national.
  4. ^ Mot valise constitué des termes « banquier » et « gangster ».
  5. ^ Le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) est une maladie infectieuse des poumons (pneumonie) dûe au virus SARS-CoV de la famille des coronavirus. Il est apparu pour la première fois en Chine en novembre 2002, et a provoqué une épidémie en mai 2003.

Texte original de ZEN GARDNER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : David Dees

Partager :

À l'affiche

La panthère du lac

À l'approche d'Halloween, je comptais publier un article d'Alanna Ketler sur la symbolique véritable du chat noir que je m'...

Derniers articles

Formulaire de contact

Nom

E-mail *

Message *