Et la musique fut

Cette vingt-huitième session du projet Eklabugs est comme qui dirait un peu celle de la dernière chance. En effet, après le fiasco du mois dernier qui n'avait enregistré que deux participations (dont la mienne), le départ d'un membre de l'équipe et le silence radio de l'autre, je me retrouvai seule, une citrouille dans la main, avec ce dilemme autant shakespearien que cornélien : continuer ou ne pas continuer ? À cette question, mon cœur répondit « oui » sans hésitation tandis que mon mental égotique avec son réalisme fataliste et sa logique infaillible à deux balles tentait encore de m'en dissuader comme il l'a toujours fait. Jusqu'à présent. Car cette fois, j'ai dit « non ». Non au défaitisme. Non à l'apathie. Non au cynisme. Détruis mes illusions tant que tu voudras, j'y verrai plus clair mais ne touche pas à mes rêves ! Alors si personne ne suit, tant pis. Tant que je prendrai du plaisir à cet exercice stimulant, je m'y investirai. Et si en chemin, j’entraîne avec moi quelques âmes perdues dans cette farandole joyeuse et bien tant mieux.

Ce qui tombe bien justement, car le thème voté ce mois-ci est la musique. Un sujet tellement vaste que je ne sais vraiment pas par quel bout le prendre. Que dire que je ne vous ai déjà dit ou que vous ne sachiez déjà ? Qu'avec Neptune culminant dans mon thème de naissance, la musique n'a cessé de m'inspirer et de jouer un grand rôle dans ma vie même si je ne suis pas musicienne. Comme le dit si bien Fabrice Luchini, « les mots sont des notes de musique ». Et s'il est vrai également que « la musique fait danser les consciences » (Enzo Cormann) ou « double la vie » (Sully Prudhomme), « de musique à magique, il n'y a que deux lettres » (Ed O'Brien de Radiohead).

La Grande Musique

J'ai entendu la grande musique
Et je ne serai plus jamais le même :
Quelque chose de très pur
M'a appelé par mon nom.

"The Big Music", The Waterboys (1983)

Contrairement à la science du Big Bazar Bang, toutes les religions et même la physique quantique s'accordent à dire que l'univers ne serait qu'Un et « unilatéralement désigné comme Lumière blanche parfaite mais également comme "son semence" ou Aum ».

Pour les hindouistes, AUM ou OM (à ne pas confondre avec l'Olympique Marseille), syllabe sanskrite aussi connue comme « mantra primordial »,  représente le son originel primal à partir duquel l'Univers se serait structuré. On raconte donc que pour pallier à la stagnation éternelle, « l'Un décida d'engendrer la vie à partir de lui-même et que pour ce faire, il se fit vibrer en "octave" ».

Jai Guru Deva Om (Toute gloire au maître divin )
Rien ne va changer mon Univers

"Across the Universe", The Beatles (1968)

Un thème repris en littérature notamment par Tolkien dans le Silmarillion, œuvre posthume réalisée à partir de la compilation de ses nombreuses notes et appendices sur lesquels reposent toute la trame et l'univers du Hobbit et du Seigneur des Anneaux. Dans le tout premier chapitre intitulé "Ainulindalë" y est décrite la création d'Eä, l'univers, par la volonté d'Eru/Ilúvatar.

Il y eut Eru, le Premier, qu’en Arda on appelle Ilúvatar ; il créa d’abord les Ainur, les Bénis, qu’il engendra de sa pensée, et ceux-là furent avec lui avant que nulle chose ne fût créée. Et il leur parla, leur proposa des thèmes musicaux, ils chantèrent devant lui et il en fut heureux. Un long temps s’écoula où ils chantèrent chacun seul, ou à quelques-uns, pendant que les autres écoutaient, car chacun ne comprenait que cette part de l’esprit d’Ilúvatar d’où lui-même était issu, et le sentiment de leur ressemblance mit longtemps à venir. Pourtant une meilleure compréhension leur vint à mesure qu’ils écoutaient et les fit croître en accord et en harmonie.

L'harmonie est brisée lorsque Melkor (équivalent de Lucifer dans la tradition chrétienne ou du Démiurge des anciens gnostiques grecs), l'un des plus puissants Ainur, introduit dans la musique des éléments ne venant pas d'Eru.

Souvent, seul, il s’était aventuré dans les espaces du vide pour chercher la Flamme Éternelle, car il avait en lui un furieux désir d’amener à l’Être des œuvres de sa propre volonté, et il lui semblait qu’Ilúvatar n’avait aucune pensée pour le Vide, alors que lui-même ne pouvait souffrir qu’il restât vide. Mais il ne trouva pas le Feu, partage d’Ilúvatar. Et la solitude lui fit concevoir des pensées à part, différentes de celles de ses frères. Il les fit venir dans sa musique, et une discordance aussitôt s’éleva tout autour.

Courroucé, Eru/Ilúvatar interrompt la musique en expliquant à son Ainur rebelle que ce qu'il joue vient de lui et que « nul ne peut changer la musique malgré moi ».

Il présente ensuite aux Ainur une vision de leur musique, un Monde entouré par le Vide, dont l'histoire se déroule sous leurs yeux. Certains Ainur se prennent d'amour pour cette création et pour les Enfants d'Ilúvatar, les Elfes et les Hommes ; et lorsque Eru leur retire la vision, ils sont pris de désarroi. C'est alors que le monde est véritablement créé, à travers un simple mot d'Eru : « Eä ! Que ces choses soient ! » À rapprocher, bien sûr, de la Bible où les premières paroles prononcées par Dieu après la création du monde seraient : class="citation">« Que la lumière soit, et la lumière fut ».

La couleur des notes

Il était une fois une note
Pure et simple,
S'écoulant si librement
Comme l'ondulement d'une respiration.
 
Cette note est éternelle,
Je l'entends, elle me voit,
À jamais nous fusionnons
Et à jamais nous mourons.
 
J'ai écouté et j'ai entendu
La musique contenue dans un mot
Et des mots quand tu jouais de la guitare.
Le bruit que je percevais
Était celui des acclamations d'un million de personnes
Et un enfant sur une étoile filant au-dessus de moi.

"Pure And Easy", The Who (1971)

Dans sa série de livres Convergence, David Wilcock nous explique comment la lumière blanche se serait divisée en sept couleurs correspondant au spectre visible, à savoir le rouge, l'orange, le jaune, le vert, le bleu, l'indigo et le violet — et le bruit blanc (son semence ou Aum) en autant de notes pures : do, ré, mi, fa, sol, la, si.

Les Grecs de l'Antiquité (Aristote, Pythagore) seraient les premiers a avoir remarqué l'existence d'une analogie entre les deux gammes (chromatique et diatonique) que, beaucoup plus tard, Newton s'efforça de mettre en correspondance à l'aide d'un prisme et de cordes vibrantes. Son contemporain Voltaire écrivit à ce propos que : « Cette analogie secrète entre la lumière et le son donne lieu de soupçonner que toutes les choses de la nature ont des rapports cachés que peut-être on découvrira quelque jour ».

C'est finalement à l'aube du XXIe siècle qu'un autre scientifique du nom de Dale Pond aurait démontré la réalité de cette équivalence par la multiplication successive de fréquences de sons purs dont il obtint des fréquences de couleurs visibles.

Rappelons que cette concordance était déjà reconnue, de manière plus empirique, en Inde à travers le système des chakras du corps et qu'aujourd'hui, la « vraie science » (à savoir celle qui avance et non celle qui s'est emparée du sceptre et du trône de la religion despote pour nous bourrer le mou et nous contrôler à sa place) a découvert et infirmé le potentiel thérapeutique des sons et des couleurs.

Musique quantique

« Il nous faut garder à l'esprit que cette lumière blanche parfaite et ce son pur sont juste deux manières différentes de décrire les mêmes vibrations de l' « énergie intelligente » liquide de l'Un. Qu'il n'existe aucune véritable différence entre les deux car ce sont toutes deux des fonctions de la vibration » explique David Wilcock. « Le son est produit par la vibration de molécules d'air et la lumière n'est, en fin de compte, que celui de la vibration de l'éther liquide ».

Même si la plupart des scientifiques s'accordent sur le fait que la lumière se comporte comme une onde, « ils essaient également de faire valoir qu'il n'existe aucun support pouvant permettre à cette dernière de se mouvoir — qu'elle n'est qu'une simple entité corpusculaire connue sous le nom de "photon" qui se déplace au travers du vide ou "vacuum" ». Une notion que Wilcock considère comme absurde car selon lui « tous les exemples d'ondes naturelles disposent de quelque chose au travers de quoi elles "ondulent". La définition élémentaire d'une onde est celle d'"une impulsion se déplaçant au travers d'un support" et en réalité, il en va de même pour la lumière ».

« En résumé, les vibrations sonores ne se produisent pas uniquement dans l'air mais vibrent essentiellement dans tout. Capter un son est pour nous un moyen simple de percevoir et éprouver des vibrations. »

Les effets directs du son sur la matière que cela implique ont d'ailleurs été largement démontrés par la cymatique et les fameuses expériences sur des molécules d'eau ou des particules de sable qui selon les notes de musique auxquelles on les soumet, adoptent instantanément des formes d'une géométrie parfaite.

« La géométrie est une caractéristique très fondamentale de la vibration » ou, comme le disait Pythagore, « la géométrie est une musique figée ». 

Ainsi, conclut Wilcock dans The Shift of The Ages (le changement d'ères) « comme les Hindous ont émis le concept du AUM en tant que son primal qui aurait engendré la Création, nous pouvons voir que le son construit l'Univers et que la musique est pour nous un moyen physique. L'exclure de nos vies serait nous refuser la connaissance intérieure et la jouissance même de notre propre existence. Après tout, nous sommes nous-mêmes constitués d'ondes musicales vivantes en oscillation ».

D'où l'impact phénoménal qu'a atteint la musique dans nos sociétés modernes. Elle est partout : dans la publicité, les magasins, les transports, avant et après chaque programme de télévision, dans les films, les jeux... sans oublier nos sonneries de téléphone. À ceci près que toutes les musiques sont loin d'être bonnes pour nous et incorporent souvent des messages subliminaux pour influencer nos comportements mais là est un autre débat et cet article est suffisamment long comme ça. Alors si vous ne ronflez pas déjà (son dysharmonique empêchant les autres de dormir), félicitations !

Quand la musique est bonne,
Quand la musique donne,
Quand la musique sonne, sonne, sonne...
Quand elle ne triche pas,
Quand elle guide mes pas...

"Quand la musique est bonne", Jean-Jacques Goldman (1982)

Allez, encore une petite berceuse et puis au dodo ! N'oubliez pas quand même d'aller lire les articles des autres participants, très nombreux cette fois (ouf et merci à tous !) dont vous trouverez la liste ci-dessous.

Sources

Projet EklaBugs #28

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Aimez-vous Mozart ?

Aimez-vous Mozart ? La Grande Musique ? Je vous propose ce petit tag, réalisé il y de nombreuses années avec un des merveilleux personnages créés par Féeline, pour rester dans le ton de ma participation au projet Eklabugs de novembre. Rendez-vous demain soir à minuit.

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Le Feu cosmique et la destruction de la ionosphère terrestre

Les énergies cosmiques du spectre électromagnétique que nous qualifions de rayons cosmiques, rayons gamma, etc., se déversent en permanence sur la Terre, nous bombardant de leurs fréquences qui pénètrent nos corps et nos consciences. Et c'est là, en nous qu'elles sont transformées et métaphoriquement « sacrifiées » par le biais du subtil mécanisme de nos sept chakras. Ce qui alimente et fournit le combustible aux projections « d'apparences » qui en découlent sous forme de ces réalités holographiques dont nous profitons et faisons l'expérience sur le plan terrestre.

La géo-ingénierie, à l'origine des trous dans la ionosphère et du déversement de tonnes de métaux toxiques dans notre atmosphère, a provoqué un déséquilibre monstrueux dans notre environnement et engendré un état de dysharmonie catastrophique sur notre planète. Cette relation autrefois parfaite et si fragile entre les fréquences sous forme d'ondes cosmiques qui nourrissent toute vie sur Terre et l'indispensable Feu cosmique et le système des chakras humains est menacé à l'échelle industrielle.

Ce que reçoivent désormais de l'espace intersidéral, les cieux, et assimilent la plupart des êtres humains ici bas n'a plus rien à voir avec ce qui était prévu pour nous à l'origine. La nature existe et fonctionne au sein des harmonies sacrées des principes métaphysiques traditionnels éternels qui constituent le substrat de l'univers visible. L'altération de cette transmission — le Feu cosmique — mènera tout droit à l'inévitable catastrophe.

Déconnectés comme nous le sommes actuellement de ce qui fut autrefois le « lait » maternel nourrissant des rayons du cosmos — notre « nourriture cosmique » sacrée — c'est l'humanité toute entière qui sombre peu à peu dans la folie, se précipitant aveuglément vers l'omnicide et l'inéluctable disparition de la biosphère.

Par mes recherches dans le Rig Veda1 et les textes disponibles sur la ionosphère et la physique des plasmas comme Kinetic Theory of the Inner Magnetospheric Plasma (la théorie cinétique du plasma magnétosphérique interne) du Dr George V. Khazanov, j'en suis venue à apprécier et éprouver une admiration profonde envers cette incroyable et subtil lien entre l'énergie du cosmos et la conscience.

Pas étonnant que les anciens Rishis2 vénéraient les principes cosmiques et cosmogoniques perçus par la suite comme des divinités ou des dieux. L'étude des mosaïques d'une infinie complexité, des conglomérats et enchevêtrements labyrinthiques de la mouvance des particules ondulatoires interconnectées, dansant et se bousculant sous l'effet de la température et de la vitesse, est, à mon sens, la représentation parfaite du mystère infini de Dieu, la création éternelle en mouvement [avis aux chiens de Pavlov, comme le chantait John Lennon, « Dieu est concept », le radical di signifiant entre autre soleil, briller et sachant que, toujours selon Lennon, « nous brillons tous », vous n'y verrez donc aucun amalgame religieux mais un simple terme que vous pourrez remplacer par celui qui vous conviendra, le langage étant aussi limité que le mental qui l'a créé — N.d.T.].

Pour ne citer qu'un seul exemple, dans "Collisions avec des electrons suprathermiques" [4.4.2], le Dr Khazanov de la division scientifique d'héliophysique du centre spatial Goddard (NASA) décrit la transformation d'électrons « suprathermiques » en électrons « thermiques » dans une discussion portant sur la composante électronique du plasma circumterrestre :

Les processus de base de la formation d'électrons dans la ionosphère consistent en l'ionisation de composants neutres présent dans la haute atmosphère sous l'effet des radiations solaires (vents solaires, etc.) [...] L'énergie exédentaire qui en résulte excite les ions et pénètre le plasma de la ionosphère sous forme d'énergie cinétique, les électrons produits atteignant des valeurs de l'ordre de centaines d'électron-volts [...] à peine créés, ces électrons suprathermiques subissent une série de collisions à la fois élastiques et non-élastiques au contact des particles de la ionosphère qui les transforment finalement en électrons thermiques avec des énergies de l'ordre de dix pour cent d'électron-volts.

Khazanov 1979

Cet exemple n'est qu'une description des processus extraordinaires et mystérieux en action dans notre plasma circumterrestre et ces échanges énergétiques ont lieu à chaque instant autour de nous même si cette magie céleste illusoire demeure ignorée de la plupart.

Khazanov reconnait que « la structure extrêmement complexe de l'équation cinétique des électrons empêche sa résolution non seulement par procédés analytiques mais également numériques. Il est donc nécessaire de se baser sur des hypothèses simplificatrices... »

De cette simplification de base, il donne l'exemple des fonctions mathématiques des électrons suprathermiques et thermiques du plasma circumterrestre.

« Les collisions provoquent des déperditions énergétiques d'électrons suprathermiques et leur lente transition vers des zones de basse énergie. C'est ce processsus de déperdition énergétique qui finit par transformer les électrons suprathermiques en électrons thermiques » explique Khazanov. Sa déclaration portant sur les processus de physique plasmique me rappelle les réflexions de René Guenon sur la « solidification de la matière » à mesure que les cycles temporels s'enfoncent encore davantage dans la densité. La matière tend à s'y dégrader pour finir par se désintégrer.

S'il existe une poignée de génies des mathématiques de la physique plasmique béats d'admiration devant la Création comme c'est mon cas, pourquoi leurs théories, découvertes et équations complexes et compliquées ont-elles été détournées vers une l'utilisaiton aussi destructrice de cet effroyable arsenal ? Pourquoi se sert-on de cette technologie pour détruire ?

La physique plasmique constitue la nouvelle prêtrise de notre époque et ces hommes sont tous ses serviteurs. Notre Kali Yuga3 actuel est phase de dissolution. Dans l'ancien Rig Veda, on trouve le mot sanskrit rodasi pour décrire le ciel et la terre. Les Prophètes savaient que les deux sont inséparables. Ils « voyaient » la Vérité, satya. Les anciens Rishis comprenaient la relation créatrice de vie, l'interconnexion sacrée et l'indispensable interdépendance entre l'homme sur terre et le cosmos, à savoir les spectre des énergies errant et circulant à travers les innombrables galaxies au-dessus de nos têtes.

Le passage ci-dessous nous éclaire sur les mécanismes de cette loi cosmique :

Les trente-trois modes d'énergie cosmiques loués et vénérés ici sur terre constituent pourtant un danger dans l'espace. Ici bas, ils sont sacrifiés, transformés à notre avantage par la transmission d'ondes lumineuses transitant par nos facultés sensorielles. (Rig Veda VIII.30.2)

Notes et références

  1. ^ Le Rig Veda est une collection d'hymnes (sūkta) sacrés ou encore d'hymnes de louanges de l'Inde antique composés en sanskrit védique. Il fait partie des quatre grands textes canoniques (Śruti) de l'hindouisme qui sont connus sous le nom de Veda. C'est l'un des plus anciens textes existant en langue indo-européenne. Sa composition remonte entre 1500 et 900 av. J.-C. selon les indologues, les philologues et les linguistes. (source)
  2. ^ Rishi en sanskrit signifie « chantre-auteur des hymnes védiques, poète, voyant ; démiurge, géniteur ; patriarche, sage, ascète, ermite ». Un Rishi védique est un témoin primordial de toutes les régularités à l'œuvre en ce monde qui manifestent pour lui le Véda au sens premier de « découverte » de l'ordre cosmique. Il est celui qui a vu les vérités éternelles. (source)
  3. ^ Le Kali Yuga (« âge de Kali » ou « âge de fer »), est le quatrième et actuel âge de la cosmogonie hindoue. Les hindous croient que la civilisation humaine dégénère spirituellement au cours du Kali Yuga, qui est dénommé « l'âge noir », car durant cette période les gens sont aussi éloignés que possible des Dieux. (source)

Texte original de V. SUSAN FERGUSON traduit de l'anglais par EY@EL
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Une étude scientifique résolvant le mystère de la non-efficacité des vaccins antigrippaux sème la panique dans l'industrie vaccinale

Les vaccins anti-grippe sont une arnaque médicale basée sur une science de charlatan. Quand bien même certains vaccins confèrent bien une immunisation efficace, ces derniers n'en font pas partie. Des études récentes ont prouvé, par exemple, que leur inoculation affaiblit sérieusement le système immunitaire pour les années à venir. Parfois, il arrive que les souches virales utilisées soient totalement erronées et donc sans effet contre les souches grippales en circulation sur la planète. Même lorsqu'ils contiennent les « bonnes », les notices insérées reconnaissent volontiers que ces vaccins n'ont été soumis à aucune étude contrôlée à double insu par placebo et il n'existe absolument aucune preuve scientifique réelle pour étayer cette allégation selon laquelle la vaccination antigrippale annuelle confère une protection significative.

Aujourd'hui, une nouvelle étude menée par l'institut de recherche Scripps publiée dans la revue scientifique PLoS dévoile la supercherie en expliquant exactement pourquoi ces vaccins sont la plus grande arnaque de toute l'histoire des sciences et de la médecine. Intitulé "Une explication structurée de la faible efficacité du vaccin H3N2 contre la grippe saisonnière", ce document de recherche en conclut que c'est la méthode même utilisée pour produire ce vaccin antigrippal moderne qui provoque la mutation des souches virales en des structures inefficaces et ne confère pas la protection qu'on lui prête fréquemment.

En d'autres termes, c'est leur procédé de fabrication qui rend certaines souches grippales pratiquement inutile. C'est à l'évidence l'une des raisons de la fréquence alarmante à laquelle les gens qui se font vacciner contre la grippe l'attrapent quand même. (Paradoxalement, c'est de cet échec vaccinale dont se servent les médias pour encourager les gens à se faire vacciner davantage comme si recevoir des injections multiples d'un vaccin bidon pouvait, comme par magie, le rendre plus efficace).

Extrait du résumé de l'étude :

L'efficacité du vaccin antigrippal annuel a diminué au cours de ces dernières années, surtout en ce qui concerne le composant H3N2, ce qui pose problème en matière de santé publique. La cause majeure de ce manque d'efficacité a été attribuée au processus de fabrication même de ces vaccins à base d'œufs [...] Dans l'ensemble, ces découvertes permettent d'expliquer la faible efficacité du vaccin saisonnier contre les virus H3N2 [...] Des œufs de poule sont couramment utilisés pour la culture d'isolats cliniques et pour la production de vaccins à grande échelle. Cependant, le virus de la grippe mute souvent pour s'adapter à la culture en un tel milieu, ce qui peut avoir une influence sur l'antigénicité et par delà sur l'efficacité du vaccin.

Plus loin, l'auteur admet ouvertement que les vaccins antigrippaux ne fonctionnent pas et exhorte l'industrie à modifier d'urgence ses procédures de fabrication :

Notre étude décrit un mécanisme produisant un vaccin anti-grippe de faible efficacité et confirme qu'il est urgent de remplacer ce mode de fabrication à base d'œufs [...]

Il admet même que la propagande en faveur de l'inoculation saisonnière est dans une large mesure erronée, en précisant comment l'objectif de cette immunisation n'a jamais été atteint même au bout de 70 années de charlatanisme, propagande et ingénierie sociale à promouvoir des vaccins tout bonnement sans effet :

En dépit de l'autorisation de mise sur le marché américain des premiers vaccins antigrippaux il y a 70 ans, ces derniers n'ont jamais atteint une protection générale et complète. De plus, ces dix dernières années, leur efficacité contre les virus H3N2 s'est avérée particulièrement faible.

Ce graphique issu de l'étude montre la mutation de la structure physique des fragments viraux qui les rend inefficaces à l'immunisation :

Opposez tout ceci au charlatanisme et aux mensonges de l'industrie vaccinale et ses deux allégations aberrantes et totalement fausses :

  1. Tous les vaccins sont efficaces toujours et sur tout le monde.
  2. Les vaccins ne présentent absolument aucun risque et sont toujours sans danger pour tout le monde.

Ce sont ces deux mensonges chroniques que continuent de promouvoir les fanatiques de l'industrie vaccinale, les médecins, les pharmaciens, les journalistes médicalement incultes et les charlatans malhonnêtes de la médecine et raison pour laquelle le CDC (centre pour le contrôle et la prévention des maladies), les fabricants de vaccins et les propagandistes fallacieux passent de plus en plus pour des imbéciles et des bonimenteurs aux yeux du public informé. La « négation des préjudices vaccinaux » est un trouble mental dangereux qui a désormais contaminé l'industrie médicale corrompue qui rejette la véritable science au profit du « culte vaccinal » niant toute réalité biologique. 

Les vaccins sont une arnaque médicale... et tout cela est admis en toutes lettres sur les notices d'accompagnement.

L'irréfutable vérité concernant les vaccins est qu'ils sont la plupart du temps sans effet, mais en même temps expose les bénéficiaires à des préjudices sérieux, liés principalement aux ingrédients toxiques entrant dans leur formulation en sus des souches virales. Il a été largement démontré que ces adjuvants toxiques provoquaient  paralysies, coma, convulsions, troubles neurologiques et même la mort. C'est pourquoi le programme d'indemnisation des préjudices vaccinaux aux États-Unis (souvent qualifié de « Cour vaccinale ») a déjà reversé plus de 3 millions de dollars de dommages-intérêts aux familles d'enfants atteints qui ont été soit mutilés ou tués par les vaccins.

La banque de données VAERS administrée par l'État et consultable ICI, confirme qu'au moins 144 enfants ont été tués par des vaccins durant la seule année 2016, avec des milliers d'autres blessés, mutilés ou atteints de maladies suite à ces dangereuses injections. Prenez par exemple cette petite Texane frappée de cécité et de paralysie à peine deux après s'être faite vacciner. Le vaccin contre l'hépatite B tue régulièrement des nouveaux-nés par choc systémique. À maintes reprises, les vaccins ont été reliés scientifiquement à l'accroissement du risque d'autisme. Des vaccins du laboratoire Merck auraient tués des bébés mexicains et dans une ville au Mexique, 75% des enfants ayant reçu une injection sont soit morts ou ont dû être hospitalisés.

La propagande et le charlatanisme entourant les vaccins sont si graves et si incontestables que les médias grand public ont même commencé à reconnaître qu'ils propageaient les maladies.

À la grande surprise de beaucoup de gens, les feuillets d'insertion des vaccins reconnaissent que ces derniers n'ont jamais fait l'objet d'études médicales prouvant leur efficacité comme l'atteste la notice du Flulaval 2014 dans laquelle est stipulé que :

[...] aucun essai contrôlé n'a été effectué démontrant une diminution de la grippe après inoculation du FLULAVAL.

Mais il y a plus encore. Plus bas sur la notice, il est stipulé en toutes lettres que « l’innocuité et l'efficacité du FLULAVAL chez l'enfant et l'adolescent n'ont pas encore été établies ».

Il est encore dit que « aucune étude n'a été menée à ce jour pour évaluer le potentiel carcinogène ou mutagène du FLULAVAL ou son effet sur la fertilité ».

Sur ce même feuillet, on nous explique également que dans qu'avec ce vaccin anti-grippe, on nous injecte aussi du mercure, du formol et d'autres adjuvants toxiques : 

Du thimérosal, un dérivé du mercure et ajouté comme agent de conservation. Chaque [...] dose contient 50 mcg de thimérosal. Chaque dose peut également contenir des quantités résiduelles d'ovalbumine, de formaldéhyde et de désoxycholate de sodium résultant du procédé de fabrication.

Comme nous l'avons déjà détaillé dans cet article, les effets secondaires des vaccins antigrippaux observés sont : 

  • Douleurs oculaires et thoraciques
  • Arthrite
  • Vertiges, tremblements et perte de conscience (syncope)
  • Convulsions et crises épileptiques
  • Syndrome de Guillain-Barré
  • Paralysie des nerfs crâniens ou des membres
  • Œdème du cerveau
  • Paralysie faciale partielle


Et pour finir, on vous met en garde de ne pas l'injecter à quiconque ayant reçu une autre vaccination antigrippale même au cours des années précédente :

Ne pas administrer Flulaval à quiconque [...] faisant suite à une précédente administration de tout vaccin antigrippal.

La vraie science prouve que les vaccins antigrippaux ne rien de plus qu'une supercherie médicale et du vaudou commercial

L'article scientifique susmentionné n'est que le dernier exemple en date de la vraie science démasquant le charlatanisme et la fraude des vaccins antigrippaux, qui contiennent toujours du mercure (une neurotoxine préjudiciable au cerveau) sous forme de thimérosal, agent de conservation toxique. Le fait que ces vaccins contenant du mercure soient toujours administrés aux enfants et aux femmes enceintes en Amérique est la faute de toute la malhonnêteté et l'abandon de l'éthique médicale pratiquées par le système médical américain aujourd'hui défaillant.

Désormais, grâce à la vraie science qui émerge enfin, nous savons pourquoi les vaccins contre la grippe ne fonctionnent pas. En fait, les scientifiques penchés sur la question admettent désormais ouvertement qu'ils sont sans effet !

Je me demande si les fanatiques de la vaccination ne vont pas maintenant qualifier la Bibliothèque scientifique publique (PLoS) de « publication du complot » pour avoir publié un article scientifique étudiant le mystère des échecs si fréquents des vaccins antigrippaux ? Cela fait plus d'une décennie que je vous le dis. Et aujourd'hui, il semblerait que ma mise en garde soit devenue une conclusion publiée dans un dossier scientifique. L'inefficacité de ces vaccins est un fait tellement répandu dans la communauté des chercheurs scientifiques que l'idée en soit n'est même sujette à polémique. Après tout, cette étude n'a même pas eu besoin de déterminer leur réelle efficacité tant il va de soi qu'il n'en ont aucune, mais plutôt à rechercher la cause de cette inefficacité.

Voilà pourquoi quiconque prétend que les vaccins antigrippaux sont toujours efficace est soit malhonnête, scientifiquement inculte ou bien terriblement mal informé.

Texte original de MIKE ADAMS traduit de l'anglais par EY@EL
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L'ancien patron de Facebook, Sean Parker, avertit que le site a été conçu pour exploiter les faiblesses des gens

Facebook : un service que plus de 1,8 milliards de personnes utilisent au quotidien — incroyable, non ? Pour nombre d'entre nous, c'est la première chose que nous faisons en nous réveillant et la dernière le soir avant d'aller nous coucher. S'agit-il d'un rapport sain ? Il ne fait nul doute que Facebook nous a tous connectés à un niveau tel que l'on n'aurait probablement jamais pu imaginer auparavant. Sans ce dernier, beaucoup de renseignements importants n'auraient pus êtres consultées. Il nous a offert une plateforme pour partager tant d'informations et idées.

Comment est-ce arrivé ?

Mais était-ce une erreur sur toute la ligne ? Facebook a-t-il été uniquement conçu pour mettre les étudiants en relation et l'explosion serait partie de là ? Par accident ? Les sombres desseins derrière sa création ou maintenant, si c'est le cas, s'y sont-elles faufilées insidieusement après son succès ? A-t-il été essentiellement conçu pour nous voler le plus de temps possible ? Et bien, selon les dires de son ancien président Sean Parker, ce serait exactement son objectif initial et celui qu'il continue de déployer.

Soit Parker est un ex-employé chagrin cherchant à se venger de cette gigantesque corporation, soit il s'inquiète suffisamment des effets que nous connaissons actuellement de Facebook et de ce à qui ils peuvent potentiellement nous conduire. Je vous laisse à votre opinion après la lecture de ce qui suit, extrait de son interview récente avec Axios.

Il a même dit en plaisantant que ses propos lui vaudraient probablement de se faire bloquer sur Facebook par Mark Zuckerberg.

Quand Facebook n'était encore qu'en phase de développement, il y avait des gens qui venaient me trouver pour me dire qu'ils n'étaient pas sur les réseaux sociaux.
Et je leur répondais : « Très bien, mais vous y viendrez. »
« Non, non et non. Je tiens trop à mes interactions dans la vie réelle. J'apprécie la présence, l'intimité. »
Et je leur disais encore qu'ils finiraient bien par y venir.

C'est quelque chose que je peux comprendre pour avoir vu tant de personnes ayant toujours affirmé qu'elles n'utiliseraient jamais Facebook passer du côté sombre de la force ou même certaines comme ma mère qui sait à peine se servir d'un ordinateur m'ajouter comme « amie ».

Je ne sais pas si je saisissais véritablement la portée de mes propos au vu des répercussions inattendues d'un réseau qui finit par rassembler un ou deux milliards de personnes et [...] cela transforme littéralement votre rapport à la société et aux autres [...] Cela entrave certainement la productivité de curieuse façon. Dieu seul sait l'effet que cela peut avoir sur le cerveau de nos enfants.

Qui aurait pu saisir les implications que quelque chose d'aussi énorme aurait pu apporter à notre société dans son ensemble ? Il a raison, à maints égards, Facebook a investi certains aspects de nos vies.

Le raisonnement qui a servi à développer ces applications, Facebook étant la première d'entre elles [...]  se résumait à : « Comment occuper le maximum possible de votre temps et attention consciente ? »

Combien de temps passez-vous sur Facebook ?

L'inspiration et tous nos meilleurs contenus directement dans votre boite mail

Ce qui veut dire que nous devons en quelque sorte vous envoyer une petite dose de dopamine de temps à autre parce que quelqu'un aura aimé ou commenté une de vos photos ou un de vos postes ou autre. Et cela va vous inciter à ajouter davantage de contenus qui vont vous rapporter... plus de « likes » et de commentaires.

Êtes-vous accro au « défilement » ? Constamment à faire défiler les pages, en attente de quelque chose d'intéressant ou qui vous fasse rire, histoire de « liker » ou de commenter et de continuer votre exploration ? Facebook est extrêmement addictif et ce n'est pas votre faute, il a été conçu ainsi. Le premier pas pour vous en sortir est d'admettre que vous avez un problème.

C'est une boucle de rétroaction de validation sociale [...] tout à fait le genre de choses qu'un hacker comme moi pourrait imaginer parce qu'elle exploite une vulnérabilité de la psychologie humaine.

C'est tellement vrai. Je m'y retrouve à bien des niveaux car après avoir posté quelque chose, si je n'ai pas un « like » ou un commentaire, je me mets à regretter de l'avoir écrit en me demandant si cela en valait la peine ou non. Et puis j'ai commencé à me sentir légitimée par des « likes » ou des commentaires. Beaucoup d'entre nous, pas tous, postons pour ces marques d'approbation. C'est aussi simple que cela.

Les inventeurs, créateurs — à savoir moi, Mark [Zuckerberg], Kelvin Systrom sur Instagram, toutes ces personnes — l'avions saisi en conscience. Et nous l'avons quand même fait.

Je sais ce que vous devez être nombreux à penser : « Mais j'ai vu ce poste sur Facebook et c'est ainsi que j'ai été amené(e) à le lire. » Ce qui est une réflexion légitime. Il n'y a rien de surprenant à ce que Facebook ait littéralement autant investi Internet et même parfois l'utilisation des applications intégrées à nos téléphones. Il est arrivé d'un coup et s'est emparé de tout sur son passage. À certains égards, c'est vraiment impressionnant même si par ailleurs, c'est extrêmement inquiétant.

Sean Parker n'est pas le seul grande ponte des réseaux sociaux à faire des mises en garde

Tristan Harris, un ancien de chez Google, a expliqué comment ces sociétés de technologie contrôlaient l'esprit de leurs utilisateurs. Les concepteurs de produits « vous confrontent (consciemment et inconsciemment) à vos vulnérabilités psychologiques dans cette course à l'attention », écrit-il.

À l'instar de magiciens, les applications des médias sociaux « donnent aux gens l'illusion du libre choix tout en structurant le menu pour sortir gagnantes et ce, peu importe ce que vous choisirez ».

Alors on fait quoi ?

Ce n'est pas comme si vous aviez besoin de sauvegarder toutes vos photos, de copier-coller tous vos liens et de contacter de vos amis les plus intimes pour créer une gigantesque liste de diffusion par courriel, bien que ce soit une manière de voir les choses. Gardez bien à l'esprit — surtout si vous vous surprenez à avoir du temps à perdre, qu'il s'agisse de 30 secondes, 10 minutes ou quelques heures — qu'il est tellement facile d'attraper systématiquement votre téléphone pour faire défiler les pages.

Prenez conscience de cette accoutumance et mettez-y un terme. Si vous avez besoin de vous couper des réseaux sociaux de temps en temps afin de vous souvenir de ce qu'était la vie avant d'être en permanence scotchés à nos petits, moyens ou grands écrans, alors faites-le. Il est parfois facile d'oublier que c'est nous qui contrôlons nos vies, il est temps de recouvrer ce pouvoir !

Texte original de ALANNA KETLER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Un été français

Encore un jour dans ma vie
Où je n'ai pas envie de rester en place,
Encore un lundi sans vie,
Où je ne subis que le temps qui passe.
Mardi, c'est l'estomac noué
À rester enfermé et à marcher au pas ;
Mercredi, je rêve d'une autre vie —
Si tout pouvait s’arrêter là histoire d'avoir le choix.

Quand je suis cerné,
Je rêve d'un été français —
Un été parfait
Où rien ne pourra m'arriver.
Pardonne-moi si ici
Tout devient froid national,
Un pays infernal :
À nous la petite mort !

Je suis à la mauvaise place,
Le jeudi et toutes les promesses que
Tu m'avais faites,
Comme un vendredi noir
Où j'ai tout oublié et le rôle de ma vie.
Et je me sens un peu solitaire,
Un peu trop vieux pour mourir en hiver.
Je voudrais bien une place au soleil
Mais ici tout le monde a encore besoin de moi.

Quand je suis cerné,
Je rêve d'un été français —
Un été parfait
Où rien ne pourra m'arriver.
Pardonne-moi si ici
Tout devient froid national,
Un pays infernal :
À nous la petite mort !

Des nuits sur un toit
À regarder les orages
Et encourant les dangers,
Des éclairs sur ton visage,
Et des étoiles près de toi
Et nos rêves imparfaits
Le temps d'un été français
Où on aurait tout oublié.

Des nuits sur un toit
À regarder les orages
Et le ciel nous attend,
Et les poissons volants,
Et des étoiles près de toi
(Quand je suis cerné...)
Et nos rêves imparfaits
(Je rêve d'un été français...)
Le temps d'un été français
(D'un été parfait...)
Et nos rêves imparfaits
(Où rien ne pourra m'arriver).

© Nicola Sirkis, 2017

À propos de cette chanson

Nicola Sirkis : Imaginons-nous, en France, si l’extrême droite avait été élue… On est dans la même configuration [que les Américains et le monde avec Trump].

Vous parlez précisément, dans "Un été français", de la France comme d’un « pays infernal » et de « froid national »…

Nicola Sirkis : Tous les cinq ans, on a droit au grand carnaval. De l’illusion, des promesses, et des rêves brisés. Mais c’est la démocratie. (Source)

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Une étude montre qu'un placebo est efficace même quand les patients en ont connaissance

L'an dernier, une étude publiée par le centre médical Beth Israel Deaconess (BIDMC) est venue marquer l'aboutissement de nombreux efforts en partenariat avec l'école de médecine de Harvard dans le cadre de leur programme d'études des placebos et de rencontres thérapeutiques (PIPS) créé en 2011 dont l'annonce et l'analyse officielles peuvent être lues ICI (en anglais).

Selon la vieille théorie, il ne peut y avoir d'« effet placebo » que lorsque le patient ignore la véritable efficacité dudit placebo (c.-à-d. qu'il ne fonctionne pas). Toutefois, à travers l'histoire, théologiens, métaphysiciens et philosophes ont longtemps considéré les répercussions profondes derrière ce mécanisme observable. Cela fait un certain temps que les érudits ont compris que la frontière subtile séparant la « supercherie » du placebo de la conscience extrasensorielle se résumait à un simple rideau métaphorique — et qu'il n'y avait qu'à lever ce dernier pour accéder à cette voie à double sens.

Laquelle voie à double sens est le fondement non seulement de concepts plus ésotériques comme l'évocation/invocation d'entités mais également de la médecine antique, de la méditation transcendentale et du véritable chamanisme, ainsi que, dans notre société moderne, de la neuroplasticité et de l'hypnothérapie souvent adoptée par la programmation neurolinguistique.

Dans ce contexte, le placebo va de paire avec l'idée du « fétichisme » au sens étymologique du terme. Le guérisseur (amérindien) créait son remède en promulguant chez son patient des états altérés de la conscience par l'intermédiaire d'éléments physiques d'apparence anodine — comme un bâton en bois sculpté orné de plumes, perles et fil de tendon. Un fétiche, selon sa définition fondamentale, consiste à prendre des objets ou concepts ordinaires et par le biais du symbolisme, en faire un usage complètement différent et sans rapport avec leurs vertus prosaïques.

Comme l'explique Ted Kaptchuk, co-auteur de cette étude, directeur du programme d'études des placebos et de rencontres thérapeutiques du BISMC et professeur associé à l'école de médecine de Harvard :

Ces découvertes changent radicalement notre compréhension de l'effet placebo [...] Cette nouvelle recherche démontre que l'effet placebo n'est pas nécessairement induit par l'attente consciente du patient de se voir administrer un médicament actif comme on l'a longtemps cru. Avaler une pilule dans le cadre d'une relation patient-clinicien — même si l'on sait qu'il s'agit d'un placebo — est un rituel qui modifie les symptômes et active probablement les zones cérébrales qui les modulent [...] C'est l'avantage d'être impliqué dans un traitement : l'interaction avec le médecin ou l'infirmière, la prise de pilules, tous ces rituels et symboles de notre système de santé. C'est à cela que le corps réagit.

Cette référence aux rituels, même au sens large et surtout émanant des sphères collégiales classiques réputées pour leur élitisme (Harvard autant que le BIDMC), est curieuse. Bien sûr, il ne faut pas y voir nécessairement quelque chose de mal et cela pourrait même être un pas dans la bonne direction pour la communauté scientifique.

Auteur principal, le Dr Claudia Carvalho de l'ISPA note que :

Nos découvertes démontrent que l'effet placebo peut être induit sans tromperie [...] Les patients voulaient savoir ce qui allait se passer et ont apprécié cette approche novatrice de leur douleur. Ils se sont sentis habilités d'un certain pouvoir [...]

Les résultats de cette étude et l'ensemble des travaux effectués au PIPS pourraient avoir de vastes implications inexploitées dans des domaines d'intérêts tels que l'homéopathie et la phytothérapie ainsi que d'autres médecines holistiques voire même la médecine allopathique. D'autres progrès dans ce domaine pourraient amener un changement révolutionnaire — qui viserait directement l'ésotérisme et les concepts de la médecine antique — mais qui ne sera probablement pas facilement accepté par ce qu'est devenue l'industrie médicale de Big Pharma aujourd'hui.

Pour finir, les effets du placebo indiquent nullement que certains ou tous les médicaments ne servent que de déclencheurs psychologiques — mais plutôt qu''il existe un rapport d'analogie entre la notion de réaction biochimique et de catalyseur psychique (ou, en fait, les états de conscience modifiée) bien plus profond qu'on ne le supposait.

Texte original de ANTHONY TYLER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Effet gigogne dans une photo

La mise en abîme — les jeux de miroirs à l'infini, vous connaissez ? Pourquoi ne pas l'appliquer à vos photos... du moins à celles qui s'y prêtent. Un tuto assez basique mais quelque peu fastidieux entièrement réalisé avec GIMP mais facile à transposer vers n'importe quel logiciel d'édition graphique.

Matériel nécessaire

  • une photo où figure un cadre (ou miroir) assez grand pour en contenir d'autres

Instructions

1. Ouvrir une copie de l'image à retoucher et ajouter un canal alpha (Paint Shop Pro : transformer en calque raster) afin de pouvoir créer une zone transparente.

2. Sélectionner l'intérieur du cadre ou du miroir avec l'outil qui conviendra le mieux à sa forme et à son contenu (baguette magique, lasso ou sélection rectangulaire) puis supprimer pour obtenir une zone transparente.

3. Dupliquer ce calque plusieurs fois selon la taille de votre cadre et la profondeur désirée. Masquer toutes les copies sauf la première.

4. Utiliser l'outil de mise à l'échelle (PSP : outil Déformation en mode Échelle) pour que l'image puisse tenir dans le cadre transparent du calque en dessous.

5. Descendre le calque redimensionné sous l'original et le positionner correctement dans le cadre. Pour éviter de le déplacer malencontreusement, lier ces deux calques.

6. Afficher la deuxième copie et recommencer les opérations 4 et 5 en ajustant toujours le calque à la zone transparente.

7. Répéter pour les calques restants.

NOTE : Pour l'exemple ci-dessus, à la fin de l'étape 2, j'ai rajouté, comme vous pouvez le voir, un cadre à l'emplacement du carton ainsi qu'une ombre portée sur un calque séparé (non fusionné). Enfin, j'ai appliqué divers effets (Niveaux, Refocus et plusieurs filtres GMIC) pour améliorer l'image finale en jouant sur la netteté, le contraste et les couleurs.

Pour ce deuxième exemple, j'ai eu envie de m'amuser avec les outils de perspective et de cisaillement pour modifier l'angle et l'inclinaison des calques. J'ai dû également tricher un peu avec les pinceaux de clonage et de barbouillage pour remplir les espace manquants.

Pour ce dernier exemple, j'en ai profité pour appliquer plusieurs filtres GMIC (mais j'ai oublié lesquels) pour booster les couleurs de l'image de départ et créer un effet psychédélique. J'ai également modifié les couleurs de chaque calque en jouant avec la fonction Teinte-Saturation du menu Couleurs. Il m'a fallu ensuite sélectionner les mains pour rétablir leur couleurs naturelle (avec Couleurs - Carte - Échanger deux couleurs), calque par calque.

Sympa, non ? Envie de vous perdre, à votre tour, dans les dédales de votre imagination, n'hésitez pas, lancez-vous !

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Critiques de salon, cynisme indolent et apathie contrôlée

Je ne saurais répéter à quel point j'adore lire et traduire Zen Gardner. De tous les chercheurs de vérité, c'est de loin celui dont l'esprit fait le plus écho au mien, tant par sa vision et sa perception des choses que par ses expressions imagées et la richesse de son vocabulaire (si, si ça compte car rien n'est plus ennuyeux que les auteurs qui se répètent et emploient sans cesse les mêmes mots).

Traduire Zen Gardner est donc à la fois un plaisir et un défi que de rendre justice à de tels articles. Ses textes généralement factuels, étayés d'une solide expérience du terrain et ses mots toujours appropriés et jamais dénués d'humour expriment clairement ce que, pour ma part, je ne fais le plus souvent que pressentir dans les méandres sinueux de mes doutes et incertitudes personnels — et sont autant de motivations pour avancer en réalisant que « non, je ne suis pas dingue », que ce n'est pas parce que je suis entourée d'un troupeau d'abusés (pas forcément mal-pensants) qui pensent mal et me hurlent en permanence leur vérité comme la seule et unique, la vraie — persuadés que le nombre et la durée font foi et loi — que je dois renoncer et accepter ce qu'eux estiment inéluctable et figé dans le roc. Excalibur, vous connaissez ?

Le lâcher-prise dont on parle beaucoup dans les milieux spirituels n'a rien à voir avec le renoncement. C'est ce que cet article tente d'expliquer et il me semblait important d'en rajouter une couche en intro car je tombe souvent sur ce genre de réactions cyniques et défaitistes de la part des « éveillés » ou du moins qui pensent l'être parce qu'ils ont pris conscience de la supercherie et ont fait leurs recherches. Sans vouloir insulter qui que ce soit, il s'agit encore là d'un des nombreux pièges de la matrice auxquels il m'arrive régulièrement de me laisser prendre. Comme je suis résiliente et que j'ai entrepris de travailler à mon ego (aussi bien pour renforcer mon auto-estime que pour me débarrasser de mon orgueil mal placé), je trouve de plus en plus facilement le courage d'accepter mes erreurs et rectifier le tir en me pardonnant.

Car oui, l'ego négatif nous joue parfois de très sales tours. Tant que nous nous sentirons offensés par un mensonge, un paradoxe éhonté (l'hôpital qui se fout de la charité par exemple), une vision ou une vérité différente de la nôtre, ce sera toujours signe qu'il nous reste encore des ajustements à effectuer pour être parfaitement éveillés et jouir pleinement des immenses facultés qui sommeillent en nous. Encore une fois, pourquoi les élites se donneraient-elles tant de mal si nous n'avions aucun pouvoir ?

Ey@el

Un de mes récents postes intitulé "Vladimir Putin, agent du sursaut ?" (datant de 2015 et uniquement disponible en anglais mais pouvant faire l'objet d'une future traduction si vous êtes nombreux à en faire la demande — N.d.T.) suscite pour l'heure un débat intéressant. Apparemment, cet article se répand comme une traînée de poudre sur Internet et pour cause. Des dynamiques importantes en train de poindre ont besoin d'être identifiées et trouvent un écho auprès du public.

Même l'attitude prépondérante des médias alternatifs est inondée de messages conflictuels. L'écrasante majorité de l'information proposée à la discrétion du lecteur a beau y être manifestement saine et encourageante au regard de l'actualité récente et des fluctuations de pouvoir, un courant sous-jacent portant au cynisme dubitatif est en train d'émerger, venant sournoisement ébranler le sentiment d'engagement nécessaire pour faire face à ce qui se passe actuellement.

C'est subtil et les signes sont clairs, pourtant les éveillés s'y font prendre. Et en matière d'ingénierie sociale, pensez « apathie contrôlée » via la paralysie progressive du cynisme et les choses pourraient bien faire « tilt » comme on dit au Royaume-Uni. Il est temps que les gens prennent conscience de ces influences.

Réactions et re-réactions

Penchons-nous sur ces réponses.

Voici l'intervention constructive de Randall à propos du message dans sa globalité :

Putin ne se distingue pas par le strass et les paillettes mais par sa prestance. Pour moi, il dégage de l'assurance quand il affirme que cette bande de psychopathes occidentaux a sous-traité, payé et protégé les tueurs à gage.

Si Putin est authentique, on verra bien. Il semble tout à fait capable de danser avec les démons de la scène géopolitique, pourtant sa vision ne manque pas de lucidité. Je ne me suis jamais attendu à ce que les forces du bien se présentent tout de rose vêtues.

Dans la même veine, voici le commentaire d'Alex :

Alors [...] la VÉRITÉ a-t-elle réussi à s'imposer comme « un concept dont l'heure aurait sonné » ??? [...] habilement sortie de la bouche de Putin en équilibre précaire sur une corde raide politique [...] l'a emporté sur la fausseté des opérations psychologiques des impérialistes enragés ? [...] Un jour, les États-Unis brandissent la menace d'une troisième guerre mondiale [...] et le lendemain [...] Tout change ? [...] et la Russie bombarde les mercenaires mandataires de l'occident ? [...] Un événement majeur qu'il faut clarifier s'est produit en coulisses [...] et comme il est de mise au sein des cliques rivales de s'accuser perfidement les uns les autres [...] et au lendemain [...] les maîtres de l'ombre du chef de meute au sommet de la pyramide de l'élite ont parlé ? [...] à suivre...

Comme l'ont compris Randall et Alex, cet article visait à porter un regard lucide sur ces phénomènes géopolitiques et, comme beaucoup l'ont souligné, voir comment les choses évoluent. Mais il ne coûte rien non plus de rechercher les aspects positifs de telles révisions majeures plutôt que de tout rejeter en bloc parce que « nous sommes si parfaitement conscients » d'absolument tout ce dont sont capables les ingénieurs sociaux en matière de manipulation.

Les dangers du scepticisme négatif

Comme le savent bon nombre d'entre nous, le monde est, sur bien des plans, au bord du désastre cataclysmique. Ceux qui en ont conscience redoublent d'efforts pour prévenir ce qu'ils peuvent en informant et en élevant la vibration de cette planète. Alors pourquoi aborder tout avec scepticisme et négativité juste parce que nous connaissons parfaitement le fonctionnement des sinistres usurpateurs qui nous contrôlent ?

C'est ce qu'illustre ce sentiment que vous avez été nombreux à souligner et que j'espérais voir en publiant cet article :

Voyons Zen, ça fait partie du scénario tout comme l'Éveil. Le Royaume-Uni a trouvé son équivalent de Donald Trump en la personne de Jeremy Corbyn. Putin aussi joue un rôle et il se présente bien. Mais il s'agit toujours de déplacer des pièces sur un échiquier. Les paroles, et surtout lorsqu'il s'agit d'hommes politiques, ne coûtent pas cher. Mais bon sang qu'elles ont du pouvoir sur nos émotions.

On nous on ensorcelle, mon pote, il n'y a rien de bien nouveau ici.

Il y a beaucoup de vérité là-dedans même si le ton est quelque peu condescendant. Nous y reviendrons plus loin, mais tout d'abord, voici ce qu'a répondu Vitashaka :

Super, Zen ! Selon moi, nous avons de bonnes raisons de nous montrer (prudemment) optimistes. Bien sûr, nous avons été trompés à maintes reprises — pourtant, je pense que Putin est en train d'entraver sacrément le programme de domination globale du Nouvel Ordre Mondial et c'est tout ce que nous pouvons espérer à l'heure actuelle [...] à nous de voir comment utiliser ce blocage et ce revirement de tendance du moment.

Putin n'a rien d'un sauveur et ne se pose d'ailleurs aucunement comme tel. Nous avons (espérons-le) dépassé ce stade immature d'attendre qu'on nous sauve. Toutefois, en tant que chef d'état remarquable et perspicace, il offre à l'humanité une possibilité de modifier la dérive actuelle vers la guerre et l'esclavage dans laquelle nous entraînent les pulsions sataniques morbides de ces psychopathes. À nous autres donc d'en faire bon usage.

Aux pessimistes qui voudraient que l'on reste assis en se disant que « ça fait partie du plan » et prônent l'inaction et la paralysie jusqu'à ce qu'il soit sans doute trop tard : que devrait-on attendre au juste ?

Exactement mon opinion et dont j'ai également fait part sur le site. Et ce n'est pas juste parce qu'elle abonde dans mon sens, je ne recherche ni l'approbation ni à ce qu'on me lèche les bottes. Il n'est question que de s'attaquer aux vérités potentielles qui nous sont présentées de manière ouverte et consciente.

Opération psychologique via parasitage mental du « cynisme informé » ?

Peut-être que dans certains cas, « trop de savoir rend fou ». Tout percevoir en termes d'affaire réglée et à quel point le contrôle exercé sur nous est total implique qu'il n'y a pas la moindre chance que nous puissions changer la donne.

Je n'adhérerai jamais à cela. Sinon, autant fermer boutique, s'enrouler dans un linceul et creuser sa propre tombe. Exactement ce qu'ils voudraient nous voir faire et ce qui se passe actuellement et massivement sur le plan psychique.

Ce problème doit être abordé immédiatement. Cette attitude hyper critique, profondément cynique qui semble infecter la communauté des chercheurs ne serait-elle pas la pire de toutes les opérations psychologiques, une forme de paralysie progressive au sein des « alternatives » de plus en plus insulaires ? C'est une question que chacun d'entre nous doit se poser car il est très facile de s'y laisser prendre. C'est insidieux parce que, d'une part, cela nourrit notre orgueil individuel mais engendre surtout un sentiment de futilité et d'inactivité distante, l'état de rêve ultime que EUX s'efforcent de nous inciter à adopter.

Ce n'est pas nécessairement ce qu'entendait le commentateur sceptique que j'ai cité mais il s'agit d'une attitude prépondérante parmi d'autres et la conclusion logique de cette approche si l'on y prend garde.

Expansion et enjeux de l'Éveil

Le problème de la surenchère est partout y compris dans la communauté des prétendus médias alternatifs indépendants. L'éveil est une réalité et un phénomène en plein essor. De plus en plus de personnes viennent en grossir les rangs avec désormais bien plus de ressources à leur disposition : compilations, index, vidéos et podcasts remarquables, distillation et analyse d'informations jusqu'alors quasiment inaccessibles, tout cela accompagné de son cortège de problèmes croissants.

Qu'il en soit ainsi. Mais tout ceci offre également une voie d'accès à l'infiltration, l'altération, la désinformation et à des courants de pensée vains et fallacieux. Il n'est pas toujours facile d'exercer son discernement, mais pour moi, c'est le signe que nous devons mettre un terme à ces querelles intestines pour nous rendre là où nous pourrons avoir le plus d'impact — et en toucher d'autres qui n'ont même pas encore commencé à ouvrir les yeux tout en contribuant à résoudre les problèmes réels qu'endure l'humanité et étant solides comme des rocs.

Il n'en faudra guère davantage pour faire passer le tournant décisif à ce rocher géant de vérité pleinement consciente et lui faire dévaler l'autre versant où il pourra œuvrer utilement.

Le changement est imminent

Pour ma part, l'aspect excitant de tout ceci est la preuve que nous assistons à ce changement important que nous avons pressenti personnellement et dont depuis longtemps nous recevons des confirmations tous azimuts.

[...] je ne sais pas pour vous [...] mais depuis les quelques jours qui ont précédé,  le renversement de l'impérialisme de l'OTAN [...] et maintenant [...] j'ai perçu un changement d'humeur significatif et un allégement de l'atmosphère [...] comme si mon enveloppe éthérique avait été libérée d'une ombre et je ressens un regain d'énergie [...] comme si la gravité n'avait plus autant d'emprise [...] c'est peut-être un hasard [...] mais la pleine lune n'apportait que des bienfaits cette fois à l'occasion de ce 180 politique [...] c'est peut-être la somme de notre conscience collective universelle que j'ai perçue [...] et que je « perçois » [...] un enrichissement progressif de la conscience ?

Conclusion

Une attitude inutilement cynique est aussi toxique et invalidante que le système même qu'ils essaient de nous imposer. Nous devons y prendre garde. En publiant cet article, je m'attendais aux attaques virulentes de l'arrogance prétentieuse de ceux qui pensent que « tout va mal et sous contrôle absolu ». Mais ouah, cette attitude invalidante est un sacré déversoir à déchets toxiques !

J'imagine que nous aurons le fin mot des récents événements et je ne pencherai pour aucune conclusion déterminée, toutefois je pense quand même que les changements vibratoires et tout ce que font les gens éveillés plus l'exposition totale de la folie occidentale/israélienne a un impact réel et extrêmement usant sur la collectivité.

Rien n'est figé dans la pierre, peu importe la somme d'immondices instaurées par le côté obscur.

Comme je l'ai dit, si nous ne croyons pas qu'il est possible de changer cette réalité, autant fermer boutique. Pour ne pas dire que nous avons besoin de constater un impact dans la sphère géopolitique, mais en même temps, pourquoi pas ? Si on ne met pas fin à ce programme de troisième guerre mondiale, d'une certaine manière, on est tous cuits.

En aucun cas, nous ne sommes impuissants. C'est ce qui m'agace prodigieusement, toute cette résignation parce que les gens pensent désormais en savoir tellement et à quel point nous sommes censés être contrôlés.

Gare, cela pourrait bien être la plus monumentale de toutes les arnaques !

Texte original de ZEN GARDNER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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