L'aile ou le cuistot

Ça sent vraiment le roussi pour cette soixante-sixième session Eklabugs et première de l'année 2021 où tout part à veau-l'eau. Pas uniquement pour ce projet communautaire où chacun se bâillonne pour se taire dans son trou (sans préciser lequel) et compte sur la (ou les) bonne poire de service pour toujours écoper et maintenir la coque de noix à flot. C'est malheureusement une tendance très alarmante qui se répand bien plus vite que le virus de la grippe (qui, depuis 2020, a d'ailleurs mystérieusement disparu de la surface de la planète) et qui me donne tellement la nausée que j'ai bien envie de vous vomir tout ce que j'ai sur le cœur. En l’occurrence, histoire de ne pas accuser Jules des crimes de César, c'est plutôt mon estomac qui va vous renvoyer la sauce (si vous avez vu l'Exorciste, fuyez tant qu'il est encore temps !).

Le feu aux crêpes

Crêperie, crêperie j'préfère
J'en ai marre des pizzas

"Crêperie", Rolling Bidochons (1996)

N'empêche que j'en ai vraiment gros sur la patate et pourtant je n'ai pas la frite. Je dirais même que c'est bientôt la fin des haricots. Attention, il y a de l'eau dans le gaz et la moutarde commence sérieusement à me monter au nez. La cocotte-minute est sur le point d'exploser.

Et non, je ne suis pas soupe au lait (enfin si, un petit peu...).

Je suis sûre même que certains vont encore m'accuser d'ajouter de l'huile sur le feu, me demander pourquoi j'en fais tout un fromage et me dire que ça ne sert à rien de se mettre la rate au court-bouillon vu que, de toute façon, les carottes sont cuites et archi-cuites et que Bugs Bunny préfère les pizzas et les steaks tartares.

Des démons à nos tables

Je m'endors dans l’asphyxie générale
Je fais des rêves comme si j'avais mille ans
Un jour je peine, le lendemain je mens

"Un Ange à ma table", Indochine (2009))

— Décidément, quel cornichon ce lapin crétin ! On peut le rouler dans la farine, lui raconter n'importe quelle salade, il avale toujours tout sans broncher et se met à table sans qu'on ait besoin de le placer sur le gril ni de le cuisiner ou même de lui graisser la patte.

— Tout baigne alors. On se sucre au passage et en plus, on économise des pots de vin !

— On va pouvoir se beurrer comme des huîtres !

— S'envoyer encore plus de pizzas...

— ... et tremper nos biscuits !

— C'est du gâteau mais ça manque cruellement de sel...

— ... ne changeons pas une bonne vieille recette qui marche.

— C'est plus du tout cuit mes gargouilles, y'en a plein qui se réveillent et qui essaient de sortir de la marmite.  Il faut les surveiller comme le lait sur le feu parce que si on les laisse faire, ils vont finir par nous griller.

— Cassons-leur du sucre sur le dos, nos journaleux en feront leurs choux gras et comme d'hab ils les retourneront comme des crêpes.

—  Ils ne se laissent plus farcir le chou comme avant. On va avoir du pain sur la planche, va falloir mettre les bouchées doubles et la main à la pâte.

— Coupons-leur les vivres ! Quand ils n'auront plus un radis, ils viendront chialer comme des madeleines pour qu'on leur serve la soupe.

— Ce sont des durs à cuire, ils ne lâcheront jamais le morceau.

— Étouffons-les dans l'œuf !

— Trop tard, ils ont bouffé le lion...

— Alignons-les en rang d'oignons et réglons-leur leur compte en deux coups de cuillère à pot !

— Ça va finir en eau de boudin tout ça ! Avec toutes les casseroles qu'on se traîne, on va l'avoir dans le Q...

Je suis le Morse goo goo g'joob

J'en pleure
Des sardines de semoule
En train d'escalader la tour Eiffel
Un pingouin primaire
Qui chante Hari Krishna,
Mec, t'aurais dû voir comment ils ont viré
Edgar Allan Poe à coup de pompes dans le cul

"I Am The Walrus", The Beatles (1967))

Avant que les crânes d'œuf ne vous transforment en tomates OGM, allez donc vous taper l'incruste à la bonne franquette chez les autres participants (dont vous trouverez la liste noire ci-dessous) voir ce qu'il vous ont mijoté et à quelle sauce ils ont choisi se faire manger.

Pour ma part, j'entame une grève de la fin illimitée.

Projet EklaBugs #66

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Image couverture : John Reardon

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Un psychologue explique les motivations malsaines de la « culture de l'annulation »

La cancel culture (culture de l'annulation, culture du bannissement), ou call-out culture (culture de la dénonciation), est une pratique ravivée aux États-Unis consistant à dénoncer publiquement, en vue de leur ostracisation, les individus ou les groupes responsables d'actions ou de comportements perçus comme problématiques. Cette pratique, qui se rencontre dans le monde physique et sur les médias sociaux, suscite la controverse (Source)

Je vous laisse apprécier la définition de Wikipédia qui ne cache pas son parti pris en minimisant cette nouvelle forme de harcèlement hypocrite et « bien pensant » qui va de paire avec la campagne de diabolisation entretenue par les merdias du monde entier durant quatre ans, permettant à beaucoup d'exprimer leur haine pure en toute bienséance. Comme si on pouvait justifier la haine. Quelle bêtise de vouloir s'abaisser au niveau de ce que l'on dénigre en ignorant que le venin empoisonne surtout celui qui le crache, abaissant sa vibration et l'exposant à l'équivalent de ce qu'il fait lui-même subir. Et quel dommage de ne jamais faire le lien entre ce qui nous arrive et ce que nous émettons.

Donc selon Wikipédia (l'encyclopédie non-libre de la désinformation), la culture de l'annulation ne ferait que « susciter la controverse » alors qu'en réalité elle fait carrément régresser l'humanité à l'âge des invasions barbares ou des chasses aux sorcières. En cette heure où le monde bascule dans la dictature sanitaire, il y a grand danger à banaliser de tels comportements (surtout avec les appels à la délation, une des choses les plus abjectes qu'un être humain puisse faire à ses congénères) et il y a lieu de se demander comment on a bien pu en arriver là.

Sans doute l'illusion de toute-puissance que peut procurer la technologie, la réalité virtuelle, les jeux vidéos de plus en plus violents où l'on peut mourir et ressusciter, appuyer sur la touche Suppr pour effacer ses erreurs sans conséquences et jouir d'un sentiment d'impunité où l'ego négatif règne en maître. On se croirait dans Sa Majesté des mouches de William Golding. Et tout ça avec la bénédiction et le soutien de Big Tech qui censure l'opposition politique mais pas le harcèlement ni la pédophilie (allez donc faire quelques recherches sur Face de bouc si vous croyez que j'affabule).

D'ailleurs j'ai fait les frais de la grande purge hivernale et j'ai migré sur Telegram, VK et Gab mais les réseaux sociaux ça me gave alors si vous voulez m'aider à faire remonter le nombre de visites qui a chuté drastiquement et me motiver à continuer ce monologue, je vous invite à partager les liens vers mes articles sur vos réseaux persos. Merci.

Ey@el

S'il pouvait y avoir une vidéo documentant chaque instant de mon existence, vous pouvez parier qu'elle contiendrait quelques commentaires stupides que j'ai pu faire au fil des années. Elle me rappellerait probablement des idées auxquelles je ne crois plus. Et si vous êtes honnêtes avec vous-mêmes, les vôtres aussi vous feraient certainement grincer des dents.

Les propos que nous avons tenu par le passé ont beau sans doute ne pas avoir été outrageusement offensants, il n'en demeure pas moins que nous avons tous fait des commentaires ou partagé des opinions que nous regrettons par la suite. Nous sommes, après tout, des créatures foncièrement imparfaites.

Mais imaginez si un seul exemple de mauvais jugement ou d'opinion « marginale » vous collait à jamais à la peau. C'est bien là le problème auquel notre société se trouve confrontée avec la prévalence de la culture de l'annulation.

En 2016, Mimi Groves encore au collège avait posté une vidéo sur Snapchat comportant des injures raciales. Un peu plus tard, ladite vidéo fit le tour de l'école mais sans donner lieu à controverse.

Jimmy Galligan, son camarade de classe n'avait pas vu l'enregistrement avant qu'ils ne se retrouvent tous deux en dernière année — soit quatre ans après qu'il ait circulé dans tout Heritage High School. À l'époque, Groves avait reporté tous ses efforts sur son rôle de capitaine des pom-pom girls, nourrissant le grand rêve d'intégrer l'université de Knoxville au Tennessee, une école réputée pour son équipe de cheerleaders classée au niveau national.

L'été 2020 avait donc été pour elle l'occasion de célébrer son admission dans l'équipe de pom-pom girls de l'université. Mais sa joie fut de courte durée quand la mort de George Floyd suscita, à juste titre, l'indignation nationale, ravivant la flamme de la résurgence du mouvement Black Lives Matter.

Groves, à l'instar de beaucoup d'adolescents, se servit de ses comptes sur les réseaux sociaux pour exhorter gens à manifester, faire des dons et signer des pétitions pour mettre fin aux violences policières. C'est à ce moment-là que sa regrettable vidéo est revenue la hanter.

« Tu as l'audace de poster ceci après avoir employé le mot "nègre" » un commentateur inconnu d'elle écrivit sur son compte Instagram.

À partir de là, son téléphone n'arrêta pas de sonner.

Galligan s'était raccroché à cette vidéo datant d'il y a quatre ans et avait choisi de célébrer l'admission de Groves à l'Université du Tennessee en larguant sa bombe sur tous les principaux réseaux sociaux.

À mesure que la vidéo se mit à se propager comme une traînée de poudre, l'indignation du public s'ensuivit, exigeant de l'université qu'ils révoquent son admission.

Cédant à la populace, l'Université du Tennessee l'exclut de son équipe de pom-pom girls, laquelle décision faisant que Groves quitta l'école en raison de ce qu'elle perçut comme une pression de la part du bureau d'admission.

Ne vous méprenez pas : proférer des injures raciales de n'importe quel ordre est humiliant et inapproprié. Mais un commentaire datant de quatre ans suffit-il à justifier que l'on détruise l'avenir d'une adolescente qui n'est même pas encore entrée dans l'age adulte ?

Le tribunal de l'opinion publique a déclaré que oui sans offrir à Groves la moindre chance de se racheter.

Pourquoi les gens « annulent-ils » ?

L'histoire de Groves n'est qu'une parmi tant d'autres.

Au cours de ces dernières années, la culture de l'annulation s'est bien plus généralisée que l'on aurait pu l'imaginer. Lorsque j'ai écrit un article sur ce sujet il y a deux ans, je n'avais pas la moindre idée que ce problème prendrait l'ampleur qu'il a atteint aujourd'hui.

Cependant, la culture de l'annulation ne se borne pas à ceux qui ont tenus des propos de mauvais goût par le passé.

Maintenant, ceux qui adhèrent à toute opinion allant à l'encontre de la rhétorique « bienséante » se font ridiculiser en ligne, virer de leur emploi, et certains même se font bannir de toutes les plateformes de réseaux sociaux en vogue.

Mike Adams, professeur à l'Université de Wilmington en Caroline du nord a même mis fin à ses jours après que des tweets jugés offensants le force à prendre une retraite anticipée après des années de bons et loyaux services à l'institution.

Jonathan Haidt, auteur de The Righteous Mind (L'esprit bien-pensant) et co-auteur de The Coddling of The American Mind (Le dorlotage de l'esprit américain) s'est, pendant un temps, montré très critique à l'égard de ce phénomène de culture de l'annulation.

« Un des aspects de la culture de dénonciation est que vous obtenez du crédit sur la base des propos d'autrui si vous les " dénoncez" » déclarait-il dans une interview en 2018.

Il y a un marché de choix en toutes choses, des vêtements que vous portez aux produits que vous achetez et aux idées auxquelles vous souscrivez.

Cette signalisation de la vertu, qui n'est en réalité qu'un moyen de prouver à la société toute la « bienséance » et la « moralité » de vos opinions, ne constitue toutefois qu'une moitié de l'équation. La culture de l'annulation porte aussi à la destruction de la personne, ce qui est évident dans le cas de Groves puisque Galligan n'a utilisé cette arme contre elle qu'au moment le plus opportun pour lui causer le plus de tort possible.

« La culture de l'annulation a atteint un niveau de vindicte personnelle tel où les gens essaient par tous les moyens de trouver comment les propos de certaines personnes pourraient être jugés insensibles » explique Haidt.

Injures et commentaires déplacés mis à part, la culture de l'annulation a fini par faire que l'on a peur de partager son avis sur n'importe quelle question de peur d'être condamné pour pensée « incorrecte ».

Les coûts de la culture de l'annulation

Nous vivons actuellement à une époque où les gens passent leur temps à surveiller leurs arrières ou leurs écrans d'ordinateur, inquiets que la moindre opinion postée puisse faire d'eux des victimes de la culture de l'annulation.

Il est absolument impossible de changer d'avis pas plus que de défendre des idées auxquelles on croit vraiment. Et c'est un énorme problème pour toute société civile.

Haidt a évoqué l'importance de protéger le dialogue ouvert afin que nous puissions vivre dans une société remplie d'une grande diversité d'opinions parmi lesquelles choisir.

« Un des aspects les plus importants est que les gens n'aient pas peur de partager leurs avis — qu'ils n'aient pas peur d'être stigmatisés parce qu'ils ne sont pas d'accord avec l'opinion dominante » dit Haidt.

Il y a de fortes chances pour que vos opinions sur certains points changent avec le temps. Toutefois, certaines ne changeront peut-être pas et vous ne devriez pas avoir à vivre dans la peur que vos croyances soient sanctionnées d'une condamnation sociale et d'un isolement.

Aujourd'hui, on ne nous laisse plus la possibilité de partager nos opinions parce que nous ne sommes plus capables d'exprimer notre désaccord les uns envers les autres de manière respectueuse.

Vous n'allez pas toujours approuver tout ce que disent les autres — vos professeurs, vos camarades de classe ou vos parents. En fait, vous allez probablement vous rendre compte que vos idées changent à mesure que vous apprenez de nouvelles choses et que vous évoluez en tant que personne et en tant qu'adulte.

Mais avoir la liberté de prendre en compte toutes les opinions pour décider ce que vous croyez vraiment est essentiel à l'expérience humaine et au discours civil.

Lorsque vous faites les magasins, il se peut que vous n'aimiez pas le premier vêtement que vous essayerez. Ni le second ou même le troisième. Mais pouvoir essayer différents looks ou opinions vous permet de penser par vous-même et de trouver ce que vous voulez ou croyez.

Pour être vraiment ouvert d'esprit, vous devez être en mesure de prendre en compte toutes les opinions et non condamner toute pensée contraire à la vôtre. Le libre échange des idées pousse les individus à partager leurs idées uniques et permet aux opinions d'évoluer.

La dissension est qui fait la force d'une démocratie. Notre Constitution a survécu à tant d'autres parce les Fondateurs ne partageaient pas le même avis et débattaient entre eux jusqu'à ce qu'ils rédigent un document favorisant « une union plus parfaite » qu'on ait pu voir jusqu'alors. Nous ferions bien de ne pas oublier leur exemplarité.

En clair, humilier autrui ne fonctionne pas. C'est une approche purement punitive et auto-glorifiante qui ne fait rarement changer quiconque d'avis et souvent radicalise encore plus leurs croyances, creusant davantage le fossé déjà grandissant dans notre pays.

Sans la possibilité de parler librement et de prendre en compte toutes les opinions, il ne peut y avoir de discours civil. Et sans discours civil, la société que nous connaissons cessera d'exister et les divisions entre nous ne feront que s'accentuer.

Texte original de BRITTANY HUNTER traduit de l'anglais par EY@EL
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Image couverture : Markus Winkler

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Les Imposteurs

Tu es, tu es la faiblesse
Tu es, tu es ce mal qui ronge mon âme
Tu es, tu es l'instigateur
Ton nom est cupidité et tu es un tricheur
Tu es, tu es l'imposteur
Tu n'es pas le bienvenu dans ma vie

"The Deceiver", The Alarm (1984)

Impossible d'intégrer cette courte vidéo de Deep Media Times postée sur Telegram donc je vous mets le lien ICI sur ma page VK et la transcription ci-dessous si vous n'avez pas envie de changer de page.

Ey@el

Vous trouvez cela ridicule ?

Effectivement, ce n'est que du spectacle. Les médias sont des entreprises de divertissement faites pour divertir, détourner les regards et les esprits. Elles sont là pour vous apprendre à consommer. On y mélange pèle-mêle le vrai du faux. Il n'y a jamais eu de vérité dans les médias si ce n'est au bénéfice de personnes dont votre bonheur n'est pas la priorité.

Ce système est « extrêmement complexe voire pervers » (sic Macron). Ils utilisent l'hypnose dans le seul but de vous rendre malléables, disponibles aux vendeurs de rêve, aux pourvoyeurs d'idées malsaines.

Ces lieux communs que sont les médias vous cultivent. Oui, pour récolter votre consentement. On vous dit comment réfléchir, qui sont vos ennemis un jour et vos amis le lendemain.

Par lâcheté, par conformisme, les médias mentent, truquent, désinforment au nom du politiquement correct.

Mais vous, vous savez qu'ils mentent. Vous savez que ce sont des bobards.

Texte original de DEEP MEDIA TIMES transcrit et traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Nos chemins se séparent

Je ne m'oppose pas à ton opinion. Je suis ni contre toi ni contre ce que tu penses. En fait, il se trouve que nous partageons les mêmes valeurs. La seule différence est que les personnes que tu soutiens et leur programme ne représentent ni ne soutiennent ces valeurs mais tout l'opposé. Au fond de toi, tu le sais bien mais tu ne veux tout simplement pas le voir parce c'est tellement inacceptable que ces gens puissent te mentir et avoir des motivations malveillantes. Hors de question !

Je peux entièrement comprendre parce que je suis moi aussi passée par là. C'est pourquoi je prends le temps et la peine d'écrire ceci. je ne suis PAS plus maligne que toi, j'ai juste un train d'avance. Tu ferais la même chose à ma place. Parce que nous sommes toi et moi des personnes aimantes et pacifiques qui voulons la paix, l'équité, l'honnêteté et la vérité. Comme toi, je condamne la violence et la haine. Rien ne pourra jamais les justifier. Pourtant, ce sont les excuses dont se servent les gens que tu soutiens pour livrer des guerres incessantes et tuer des innocents et des enfants afin de restaurer la paix. Il ne te disent pas qu'ils créent eux-mêmes les problèmes pour obtenir une réaction de ta part afin que tu exiges d'eux qu'ils y remédient, leur permettant ainsi d'avoir recours à une solution qu'ils n'auraient pu implémenter sans ton aval et ton consentement.

Ils peuvent bien adopter tous les projets de loi qu'ils voudront, faire chanter et corrompre qui leur plaît, ils ne pourront toujours pas défier les lois universelles. Jamais. Ils le savent et toi aussi. Alors ils ont recours à leur problème-réaction-solution pour t'amener à coopter. Ils n'ont aucun autre pouvoir que celui que tu leur concèdes volontairement.

S'il te plaît, ne serait-ce que pour une minute, pose-toi la question de savoir qu'est-ce que je gagne à risquer tout en affirmant de telles choses tout en sachant que la plupart des gens balaieront mes propos d'un revers de main ?

Ne serait-ce pas là un désir égotique d'avoir raison ? L'ego est en quête de reconnaissance et d'approbation, ce qui n'est pas vraiment ce que l'on récolte en s'opposant au consensus.

Ne serait-ce pas là le signe d'une maladie mentale ? Mon dieu, comme j'aimerais tant que ce soit le cas ! Quel soulagement parce que je pourrais me faire soigner et toutes ces horreurs et menaces qui pèsent sur nous cesseraient d'être vraies. Aucune ironie ou cynisme de ma part, j'aimerais sincèrement me fourvoyer.

La folie est ce qui se produit lorsque la connexion à notre âme se brise. Pour ma part, je ne crois qu'en l'amour et en la peur qui ne sont que des termes politiquement corrects pour désigner le bien et le mal. Si le bien existe et que tu l'acceptes, tu dois admettre que le mal aussi. C'est parce qu'on l'a ignoré qu'il a pu prendre le contrôle de nos vies sans que nous nous en rendions compte. Tu n'es pas malveillant mais le mal t'a piégé pour que tu donnes ton consentement à une élite dirigeante qui elle l'est vraiment.

L'humanité a désormais atteint un stade où nos chemins se séparent. Tu ne peux pas rester là en sécurité à attendre que le tsunami te submerge. Ils ne le peuvent pas non plus, même si pour eux il n'existe aucune issue de secours. Ils ont été bien trop loin.  Pour nous, il n'y en a qu'une seule. Ce n'est pas à moi de te montrer le chemin. Ce n'est à personne de te montrer le chemin. C'est ton devoir envers toi-même et ta responsabilité de choisir.

Merci d'avoir pris le temps de lire jusqu'au bout. Je n'ai aucun souhait ni espoir parce que je ne laisse plus personne décider à ma place. Je n'ai fait que suivre ce que m'a dicté mon cœur pour délivrer ce message à qui de droit. Il est à toi maintenant. Fais-en ce que tu voudras. Jette-le, brûle-le — ou partage-le.

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : Sugarmints

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Les 5 pièges utilisés pour fermer et limiter la conscience humaine

La condition humaine actuelle est à l'asservissement, une nouvelle forme d'esclavage où la servitude est psychologique et spirituelle plutôt que physique. La conscience humaine est la cible d'une guerre généralisée pour le contrôle dans laquelle les peuples consentent volontairement à des conditions sociales ne servant manifestement pas leurs intérêts et qui leur sont même préjudiciables.

Nous acceptons ce système actuel de guerre, peur, destruction de l'environnement, cupidité, corruption, intoxication de notre santé et pénurie artificielle parce que nous avons été piégés comme des moutons et retenus en otage par de fausses croyances et un semblant du confort. La vérité, certes, est que nous échapper de ces pièges nous permettrait d'appliquer les principes de paix, de pérennité, d'exploration, d'acceptation et de progrès pour améliorer la condition humaine.

Toutefois, nous devons d'abord constater et reconnaître ce qui délimite la prison dans laquelle nous sommes.

Il existe cinq cases fondamentales pour la conscience humaine, cinq choses qui la ferment. Cinq modèles qui tentent de maintenir fermement les gens entre leurs murs. Et quand vous vous trouvez à l'intérieur de ces cases, vous n'allez pas élargir votre conscience pour comprendre la vérité actuelle de ce qui se passe dans notre monde.

Mark Passio

1. La politique

Lorsque l'on s'identifie comme de gauche ou de droite, comme Républicain conservateur, Démocrate libéral, etc...

Mark Passio

L'auto-identification à un parti politique quelconque est l'un des états de conscience qui divisent le plus dans le monde actuel. Cela se voit clairement à la qualité du débat public et à sa nature ainsi que la manière dont il fusionne avec les intérêts financiers pour engendrer du stress, de la pression et des conflits à tous les niveaux de la société.

2. La religion

Les grandes religions culturelles de ce monde constituent sans doute le plus grand piège jamais conçu pour la conscience humaine et utilisé comme moyen de contrôle des peuples et qui, depuis des millénaires, corrompt le monde et tue des gens. L'acceptation de la possibilité d'une vie meilleure après la mort sert d'excuse pour ignorer la qualité de vie dans cette existence ici bas et pour se rendre complice de cette vilenie.

Nous voyons, bien sûr, comment ce paradigme est utilisé contre nous aujourd'hui pour engendrer un conflit sérieux entre les peuples de cette planète sous l'égide des gouvernants internationaux poussant à une nouvelle guerre de religion opposant l'Islam à la chrétienté. Personne ne sortira gagnant de cette bataille à moins d'y mettre un frein.

3. Le scientisme

Pas ce que j'appelle la vraie science mais le scepticisme ultra rigide sous forme de « science » qui passe pour de la science moderne dans le monde actuel.

Mark Passio

La science est devenue une sorte de religion dans laquelle les idées sont examinées selon un étrange processus d'étude mêlé d’évaluations collégiales, d'influences corporative et monétaire, et d'egos. Dans ce paradigme, il n'y aucune place pour ce qui remet en question les vieilles hypothèse et théories depuis longtemps ancrées et concernant le monde, étouffant ainsi l'évolution humaine.

Des chercheurs rebelles comme Graham Hancock et Rupert Sheldrake sont des exemples même de la manière dont des concepts intéressants portant sur l'origine et la destination de l'humanité sont rejetés par la pensée rigide du monde scientifique qui fait passer en force le scepticisme massif pour une qualité affable.

La science se met elle-même sur piédestal en assurant à tous que les conclusions auxquelles elle a abouti l'ont été de manière impartiale. Alors qu'en fait, elle est bourrée de suppositions, de dénis et de lacunes et commet la grave erreur de présenter ses théories comme des faits. Les erreurs de la science conventionnelle font le bonheur des technocrates, pressés de l'allier à la technologie pour avancer leurs propres ambitions de contrôle...

Makia Freeman

4. Le mouvement New Age

Le mouvement New Age, qui abandonne la science véritable au profit de platitudes qui procurent du bien-être et écartent les gens des actions qu'ils pourraient prendre et de pouvoir participer pleinement au monde, constitue une autre case relativement nouvelle pour la conscience humaine. Il s'agit d'un système de croyances unique et libre dont les préceptes tiennent en dix points :

  1. Ignorer ce qui « négatif »
  2. Ne jamais se mettre en colère
  3. Tout est Un donc tout est bon
  4. On ne peut jamais vraiment savoir
  5. Accepter l'injustice, ne jamais résister
  6. Une version édulcorée de la loi d'attraction
  7. Tendre l'autre joue (pour harmoniser les cicatrices !)
  8. Craindre le chaos
  9. On doit se sentir bien en permanence
  10. La Vérité n'a pas besoin d'être défendue
Mark Passio

5. Le système monétaire – La croyance générale en l'argent

C'est le plus grand pièges de tous qui asservit pratiquement tout le monde sur cette planète. À l'origine de cette supercherie, il y a cette croyance générale comme quoi l'argent aurait plus de valeur que la vie elle-même et que par conséquent, serait plus précieux que tout ce que la vie à offrir. Et à cause de cela, on ne compte plus les machinations, arnaques, systèmes financiers, programmes d'asservissement par la dette, fraudes et vols en mesure de siphonner le temps et l'énergie des êtres humains qui ne nous mènent à rien à part à notre perte.

Le système monétaire que nous avons aujourd'hui opère de cette manière avec une minuscule élite dirigeante qui a conçu et contrôle désormais un système de manipulation international octroyant un pouvoir sans limite à ceux qui créent l'argent sans contrepartie de valeur réelle.

En conclusion

Il est impossible de comprendre le conflit, le chaos et la division dans notre monde sans comprendre par quels moyens la conscience humaine est restreinte, parquée et asservie par ces paradigmes. Toutefois, à ce stade de l'ère de la communication, continuer d'opérer à l'intérieur de ces cinq cases requiert un certain volontarisme.

Il est bien plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu'ils ont été trompés — telle est la nature du préjugé de confirmation et autres moyens psychologiques de manipulation. Se libérer du contrôle mental « permanent » historique et très ancien est un processus d'éveil continuel de l'état de déni. L'éveil et l'émergence spirituelle impliquent une rupture physiologique des accords sociaux consensuels de nos cultures planétaires.

Karlos Kukuburra

Texte original de SIGMUND FRAUD traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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L'an 21 du XXIe siècle : une année de chaos et de Grand Réveil

Il ne fait aucun doute que 2020 a été difficile pour le monde entier. Après avoir passé la majeure partie de l’année assignés à résidence, bouclés dans leurs pays, les gens réalisent soudain que le monde peut changer. Bien sûr, ce changement n'est pas celui que nous voulons tous mais il a bel et bien eu lieu.

Mon premier article de 2020 s'intitulait "2020: L'année du chaos et des grandes opportunités" (disponible ICI en anglais uniquement).

Publié le 12 janvier lors de la première conjonction planétaire de l'année avec l'alignement de Mercure à Saturne et Pluton, il avait été écrit juste avant qu'aucun d'entre nous n'entende parler du COVID quand le monde était encore (somme toute) « normal ». Si vous le lisez aujourd'hui, vous y trouverez de grandes ressemblances avec notre réalité actuelle. Je n'avais rien « deviné » en le rédigeant : j'ai tout vu venir.

Je pourrais continuer ce présent article dans le même esprit et en dire davantage sur que je vois poindre à l'horizon mais je préfère ne pas terminer l'année sur une note sinistre. Je veux, au contraire, souligner les points positifs dans le négatif et vous laisser sur une note d'espoir pour l'avenir.

Mon premier livre, PATH: Seeking Truth in a World of Lies (En quête de vérité dans un monde de mensonges) est paru en 2013. J'y décris mon expérience de six ans dans une secte du nord de la Californie. Résister au lavage de cerveau intense a été mon lot quotidien durant toutes ces années. J'ai pu partir sans y perdre l'esprit ou même la vie (car certains en sont morts). Je n'avais jamais pensé un jour parler de ces événements en public ni même les mentionner dans mes livres. Je ne jugeais pas suffisamment important de dépasser les frontières de ma vie personnelle pour sortir tout cela au grand jour. Aujourd'hui, en voyant le monde devenir une secte, je pense que mon expérience passée pourrait être utile à d'autres personnes. Sans entrer dans tous les détails de mon ouvrage, je voudrais partager quelques enseignements de cette période susceptibles d'aider les gens à gérer notre réalité actuelle.

Je vais dresser quelques parallèles afin de rendre les choses plus claires.

Un des principaux concepts hérités de cette secte était que si l'un disciple la quittait, mettant un terme à son adhésion, son évolution spirituelle prendrait fin également. Tout cela parce qu'il ne serait plus connecté à la source de pouvoir supérieur dont le présumé intermédiaire n'était autre que l'enseignant lui-même. Ainsi, par crainte de « l'obscurité terrestre », les disciples lui tournaient autour comme des mouches autour de la flamme d'une bougie. Le gourou adorait cette attention et tout ce qui allait avec. Heureusement pour moi, avant de rejoindre la secte, des années à expérimenter les substances psychédéliques m'avaient permis de savoir que la source de lumière se trouvait à l'intérieur de moi. Je devais juste trouver le moyen de descendre suffisamment en profondeur pour m'y accrocher au quotidien.

Dans la secte, on m'avait dit que les substances psychédéliques n'étaient pas indispensables pour atteindre les niveaux supérieurs de conscience décrits de manière théorique par Georges Ivanovitch Gurdjieff (fondateur du système de la Quatrième Voie) sur lesquels reposaient son dogme. En vérité, je dois la préservation de ma santé mentale face au lavage de cerveau au recours au MDMA et parfois aussi au LSD.

Je vois beaucoup de traits communs entre le lavage de cerveau pratiqué par la secte et la réalité actuelle et je sens qu'il est de mon devoir envers mes frères humains de leur faire part de l'importance de cette expérience psychédélique. Ces substances ont le pouvoir de déconnecter une personne de la matrice de peur à laquelle beaucoup sont reliés via les médias grand public. Ces médias corporatifs sont le conduit d’égout par lequel se déverse toute la merde dans votre esprit (d'où le terme « merdias » — N.d.T.) ; nous devons revenir à nous-même et nous reconnecter à notre pouvoir personnel.

Bien sûr, il est essentiel de faire ça bien. L'état du sujet et son environnement doivent être respectés et pour les néophytes, il est recommandé de consumer ces substances avec des personnes expérimentées. Le « pourquoi » et le « comment » sont cruciaux pour en optimiser les bienfaits et en assurer l’innocuité. En analysant les mécanismes mis en place dans le monde actuel (conduire l'humanité en troupeau dans une direction précise), vous ne tarderez pas à reconnaître la peur, la culpabilité et l'intimidation utilisées pour manipuler les gens. Ce sont les mêmes outils dont se servent les religions organisées aux origines remontant à l'antiquité et certains groupes pseudo-religieux. Cette trinité maudite se traduit en peur du COVID, culpabilité du non-port du masque ou pression pour l'acceptation de vaccins expérimentaux douteux. On nous menace de ne jamais connaître un retour à la normale à moins de nous faire vacciner — ce qui constitue une violation directe du code de Nuremberg sur l'expérimentation médicale et de la convention de Genève.

Le code de Nuremberg a servi à condamner les médecins nazis pour leurs monstrueuses atrocités à l'encontre du droit universel de consentement informé et qui constituent de véritables crimes contre l'humanité. Le droit au consentement informé permet à chaque personne de prendre la décision d'accepter ou de rejeter un traitement médical tel que (mais pas seulement) la vaccination. Aujourd'hui, dans de nombreux pays, on menace les gens de ne plus pouvoir participer à la société s'ils ne se font pas vacciner contre le COVID.

Prenez le Canada, par exemple, où le haut responsable de la santé publique a déclaré que les Canadiens qui refuseront le vaccin n'auront pas de « liberté de déplacement ».

Il n'y a que les criminels à qui on restreint la liberté de mouvement. Quel est donc notre crime ?

Si votre liberté de mouvement est menacée lorsqu'un traitement médical n'est pas accepté, c'est une violation du code de Nuremberg. Le problème va plus loin vu qu'il s'agit de vaccins ARNm qui n'ont encore jamais été utilisés sur des humains. Toute décision en faveur d'une vaccination obligatoire ou d'un certificat obligatoire de vaccination afin de participer à la société devrait être nulle et non avenue. Forcer les gens à se faire vacciner sous la contrainte, la coercition, la pression, l'intimidation, le stress ou la menacer est non seulement immoral, mais c'est illégal. En état de stress, le jugement d'un individu est toujours compromis.

La somme de peur injectée dans la société aujourd'hui est sans doute équivalente voire même supérieure à celle durant la seconde guerre mondiale lorsque l'on balançait de vraies bombes sur la tête des gens. L'hystérie et le tapage médiatique ont pris une telle ampleur que de nombreuses personnes ont littéralement perdu la raison et le sens des réalités. Il semblerait que la culture de l'annulation soit également parvenue à annuler d'un coup toute pensée critique et tout bon sens chez beaucoup. Cette sponsorisation du terrorisme d'état devrait être abordée à différents niveaux. Et non des moindres, celui de la psyché. Les généraux à l'origine de cette guerre dans nos esprits ont recruté leurs nombreux fantassins parmi les médias, la bureaucratie gouvernementale et la profession médicale ; leur arme majeure est la peur. C'est tout ce qu'ils ont.

Le défi est se déconnecter de cette peur et de l'esquiver comme Neo avec les balles dans la série de films Matrix. Les talents de ce dernier se sont manifestés dès l'instant où il a commencé à voir la matrice pour ce qu'elle est. Cette peur ne peut pénétrer votre esprit que si vous y croyez. Votre esprit est le champ de bataille. Et vous avez le pouvoir de remporter cette bataille dans votre tête à tout instant. En fait, c'est uniquement une question de volonté. Une décision que vous prenez et à laquelle vous vous tenez.

La folie de 2020 n'est qu'un début. Cela va s'intensifier l'an prochain et pour les années à venir jusqu'à ce que le lion endormi qu'est l'humanité ne se réveille enfin. Ce processus a commencé. Il sera de plus en plus difficile pour les personne qui diront NON d'échapper à la tyrannie médicale qui ne cesse de s'accroître. Mais pour cela, il faudra vous déconnecter de la peur. La peur est l'illusionniste qui vous coupe de votre propre pouvoir. Lâcher la peur est essentiel à la bonne santé mentale. Dire NON à la peur marque le commencement de la guérison. Et le grand avantage est que ce NON se fera plus insistant à mesure que vous le répéterez. Reprendre possession de votre esprit est la chose la plus importante que vous pouvez faire afin de recouvrer votre paix intérieure, votre confiance et votre espoir en l'avenir. C'est aussi simple que cela même si pour certains cela risque de ne pas être facile.

Arrêtez d'avoir peur. Recommencez à vivre.

Je pense que cette vingt-et-unième année du XXIe siècle sera le reflet de la précédente. Les restrictions aux libertés individuelles qui éroderont toutes les autres s’intensifieront. Il faut donc s'attendre à des confinements utilisés comme armes pour détruire les économies et appauvrir le peuple et à un état policier de plus en plus agressif et intrusif. La tyrannie grandissante deviendra visible même à ceux qui avaient fait le choix de faire l'autruche en traitant les autres de « complotistes ». Ces derniers étant ceux qui ont en fait pris le temps d'investiguer et de comprendre le paysage politique mondial. En même temps, je suis persuadé qu'un Grand Réveil va prendre de l'ampleur et qu'aux quatre coins du monde, les places publiques et les rues vont être le théâtre d'importantes manifestations. De plus en plus, on entendra partout le mot NON. Les dirigés s'insurgeront contre les dirigeants. Rien ne pourra arrêter un mouvement populaire pour la liberté. Le populisme est la réponse car il unit tous les peuples sans distinction de race, religion, opinions politiques et statut social. Lorsque vos moyens de subsistance sont remis en question et que votre famille risque de mourir de faim, rien ne peut vous empêcher de combattre.

De l'extérieur, il n'y aura pas moyen d'échapper à ce chaos orchestré. 2020 n'était qu'un avant-goût, un amuse-gueule au menu du Nouvel Ordre Mondial. Son plat principal est le Grand Reset (réinitialisation) qui n'est en réalité qu'une Grande Dépression, un effondrement organisé des économies mondiales pour amener le Nouveau Monde — la Méduse avec toutes ses têtes hideuses qui contrôle nos vies : un avenir dans lequel vous ne posséderez rien, pas même votre corps.

Nous savons tous quoi faire lorsque nous voulons redémarrer notre ordinateur ; nous devons d'abord le fermer. C'est le principe du Grand Reset. Il faut fermer les économies et nos manières de vivre afin de redémarrer les choses dans un ordre différent. Ça, c'est la mauvaise nouvelle. Je ne suis pas ni pessimiste ni optimiste ; je suis plutôt réaliste et je préfère ne pas voir tout en rose et regarder le monde tel qu'il est. Et il y a aussi une bonne nouvelle.

Il y a également moyen de rester calme au milieu de la tempête. Et cette voie est à l'intérieur de vous, en votre centre, là où vous trouverez votre véritable connexion à l'Univers. C'est la source de votre sérénité intérieure. Les substances psychédéliques, utilisées de manière responsable, peuvent vous mener dans cette direction et vous aider à maintenir votre santé mentale dans un monde insensé. Résister à la tyrannie vous rend plus fort et au final, prendre position dans la vie est la seule chose qui compte. C'est de cela dont se nourrit votre âme.

Il y a une poignée de livre que tout le monde devrait lire dans sa vie. L'un d'entre eux, selon mon opinion, est 1984, le roman dystopique de George Orwell. Publié le 8 juin 1949, il décrit notre société d'aujourd'hui. Il est très certainement possible qu'il s'agisse d'un aperçu de notre avenir. Voici un PDF gratuit (traduction française, œuvre tombée dans le domaine public — N.d.T.) pour que vous puissiez le lire dès maintenant.

Je vois 2021 qui s'annonce comme une année de problèmes de santé mentale. À un moment ou un autre, on aura l'impression de tous vivre dans un asile psychiatrique planétaire. À l'instar de retombées radioactives, les conséquences économiques et psychologiques des confinements dictatoriaux de 2020 vont s'abattre sur la société engendrant une pauvreté extrême, de la famine et du désespoir. Le système de santé mentale sera dépassé et il sera de plus en plus difficile de se faire aider. Ce sera le moment de faire un retour à la nature, au propre comme au figuré. C'est là que se trouve la clé de la guérison personnelle et collective. Les plantes médicinales sont l'espoir véritable dont a tant besoin le monde aujourd'hui. Cherchez et vous trouverez.

Cela peut paraître un peu ironique de vous souhaiter une Bonne Année après tout ce qui vient d'être dit. Néanmoins, c'est ce que je vous souhaite de tout mon cœur, à vous et à toute l'humanité en laquelle je crois et dont je fais partie.

Sous la pression, soit nous nous brisons soit nous devenons plus forts. En me penchant rétrospectivement sur mon expérience passée au sein d'une secte, je réalise que j'y ai gagné en force de surmonter et résister. Il en est de même aujourd'hui. La résistance mentale à la folie du monde vous rendra également plus forts. Vous vous rappelez qui vous êtes ? Une étincelle de lumière divine qui a reçu la grande opportunité de refléter le Tout. Nous sommes tout ce qui est et aucune obscurité ne pourra éteindre cette lumière intérieure à moins que nous ne lui permettions. Cela ne tient qu'à nous.

Nous pouvons tous rester assis et attendre que des extraterrestres ou d'autre forces dimensionnelles viennent nous aider à régler les choses. Ou bien nous pouvons devenir responsables de nos vies, de notre santé mentale, de notre liberté, et de notre humanité et être le changement que nous voulons voir dans le monde.

Texte original de SERGEY BARANOV traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : Gerd Altmann

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Nos libertés

Tout le monde connaît (ou presque) "Femme libérée", cette chanson des années 80 qui a cartonné dans l'hexagone. Pas vraiment ma tasse de thé (pour ne pas dire, pas du tout) mais Ingrid Courrèges a tout changé. Pas uniquement la musique qu'elle a réarrangée mais, aussi et surtout, les paroles qu'elle a transformées pour en faire un pastiche engagé qui exprime en musique ce que pensent tout bas de plus en plus de gens, non seulement en France mais dans le monde entier. Je tire mon chapeau à celle talentueuse jeune femme pour son courage et ses mots justes et toujours bien sentis. Non sans oublier son humour qui permet de prendre un recul salutaire.

Nos libertés (ce qu’il en reste...)

Après une semaine chargée en infos : polémiques sur Hold-up, convocations de D. Raoult et L. Fouché, fermetures d‘hôpitaux, arrivée du vaccin, prolongation du confinement et état d’urgence, masquage des enfants, manifestations musclées des contestataires et des « non essentiels » et toujours plus de répressions et d’aberrations en face... Je vous livre mes humeurs de « femme plus si libérée que ça » en chanson sur le célèbre tube de Cookie Dingler. « On est tous éveillés, sortons de la file »

Amour, paix et humour.

Ingrid, 14 novembre 2020

Nos libertés

C'est donc ça la France à l'aube de l'hiver
On met tous un masque et c'est le même qu'hier
Un couvre-feu, un reconfinement
Ce sont les droits de l'homme qui s'en prennent plein les dents

Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Je parle de ta liberté
C'est elle qui est mise en péril

Ne les laisse pas flinguer
Tout le code civil
En les laissant décider
Ce sont nos droits qu'ils torpillent

À la télé, toujours plus de morts
Tu mets BFM et t'es à Pearl Harbor
Ils veulent nous faire peur en nous parlant de guerre
Pour mieux faire passer leur dictature sanitaire

Ne les laisse pas règner
Ça ne tient qu'à un fil
De voir débarquer l'armée
Direct à ton domicile

Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Je parle de ta liberté
C'est elle qui est mise en péril

Si on laissait prescrire les médecins ?
Mais sans malades, plus besoin de vaccin
Pour bien jouer le jeu de Big Pharma
Y'a pas plus de lits, on est dans de beaux draps

On interdit de soigner
Les médecins de ville
On empêche de livrer
Les réserves de Plaquenil

Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
On parle de ta santé
C'est elle qui est mise en péril

Tu ne peux sortir que pour travailler
Si tu veux du plaisir, tu peux te toucher
Si on t'apprend que t'es pas essentiel
Que ton existence est superficielle

Là tu te sens brisé
Leurs mesures hostiles
Que t'as pas vu arriver
Te servent de poison d'avril

Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Je parle de ta liberté
C'est elle qui est mise en péril

Si tu n'adhères pas à la pensée unique
T'es qu'un complotiste, un égocentrique
Manifester, pour eux pas question
Y a-t-il encore une liberté d'expression ?

Non, tu te fait gazer
Par leurs projectiles
Dès qu'on est regroupés
Ils nous envoient leur gorilles

Ne la laisse pas tomber
Elle est si fragile
Je parle de ta liberté
C'est elle qui est mise en péril

Peut-on se tromper autant sans le vouloir ?
Y a-t-il une bouffée délirante au sein du pouvoir ?
Ils sont capables de dire c'est vaccin ou prison
Pour que chaque vague laisse l'écume de la soumission

Ne les laissons pas tomber
Elles sont si fragiles
Je parle de nos libertés
Nos vies ne sont pas futiles

Ne laissons pas tomber
Soyons moins dociles
On est tous éveillés
Il faut sortir de la file

Ingrid Courrèges & Florian Martinez, 2020

À propos d'Ingrid Courrèges

Aujourd'hui agée de 36 ans, Ingrid s'est fait connaitre en participant à The Voice en 2015 (malheureusement éliminée au premier round) et a tenté diverses expériences artistiques (y compris le cabaret) avant de créer son propre One Woman Show, une pièce de théâtre-comédie musicale intitulée Y a-t-il un beau gosse dans la salle ? à base de pastiches de chansons françaises et où elle met également à contribution ses talents de comédienne.

Ancienne soignante ayant travaillé pendant quelques années à l'hôpital public, elle fait de la musique depuis toute petite. C'est à la suite d'un gros burn-out qu'elle décide de reprendre goût à la vie en montant à Paris prendre des cours de chant, de danse, de théâtre... tout ce qu'elle aime vraiment faire. L'accueil et le soutien du public lui font comprendre que c'est là sa voie.

« Aujourd'hui, dit-elle, je prends soin des gens comme quand j'étais à l'hôpital mais je le fais en chansons et en bonnes ondes. »

Lorsqu'on demande à Ingrid si le succès de ses pastiches sur les réseaux sociaux a eu des répercussions positives sur sa carrière, elle répond en toute franchise par la négative, parce qu'il n'y pas d'argent à se faire avec des reprises même avec un véritable travail de réécriture derrière. Elle fait ça uniquement pour les gens. Et aussi parce que ça lui fait plaisir.

« Je suis un être humain avant d'être un être civique, je n'appartiens pas à la société française. J'appartiens à la nature, à la planète. J'ai le droit de circuler librement donc je prends ce droit. Et je le fais sans masque et avec masque quand je rencontre des personnes à risque mais le reste du temps, je n'ai pas peur. Je le fais en toute liberté, pour mon bien-être. » (Source)

Un bon moyen de faire passer la pilule rouge auprès des récalcitrants qui se bouchent les oreilles et sortent leur bible BFM (Bêtises et foutaises merdiatiques)  et leur crucifix en hurlant « Vade retro complotiste ! » dès que vous essayez gentiment de leur expliquer, preuves à l'appui, que cette crise sanitaire orchestrée n'est qu'un prétexte à la mise en place de l'Agenda 21 et l'avènement du Nouvel Ordre Mondial déjà entré en vigueur en Chine. La musique a un pouvoir qu'il ne faudrait jamais sous-estimer. Autant elle peut servir à hypnotiser les foules, elle peut aussi servir à les réveiller.

Alors rendez-vous sur la chaine YouTube d'Ingrid (tant qu'on ne la censure pas) et partagez ses vidéos, enregistrez ses pastiches et diffusez-les à vos proches, l'air de rien, en musique d'ambiance. Faites comme les merdias, rabâchez mais en douceur et avec bienveillance car les enjeux ne sont plus à la rigolade. Comptez sur moi pour republier (et traduire en anglais) d'autres pastiches de la belle Ingrid. Merci à elle.

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Être ou ne pas être : tel est l'enjeu

Être ou ne pas être, telle est la question.
Y a-t-il plus de noblesse d'âme à subir la fronde
Et les flèches de la fortune outrageante,
Ou bien à s'armer contre une mer de douleurs
Et d'y faire front pour y mettre fin? Mourir... dormir,
Rien de plus... et dire que, par ce sommeil, nous mettons fin
Aux maux du cœur et aux mille tortures naturelles
Qui sont le lot de la chair: c'est là un dénouement
Qu'on doit souhaiter avec ferveur.[...]
Qui voudrait porter ces fardeaux,
Grogner et suer sous une vie accablante,
Si la crainte de quelque chose après la mort,
De cette région inexplorée,
D'où nul voyageur ne revient, ne troublait la volonté,
Et ne nous faisait supporter les maux que nous avons
Par peur de nous lancer dans ceux que nous ne connaissons pas?
Ainsi, la conscience fait de nous tous des lâches;

William Shakespeare, Hamlet, Acte III, scène 1

Mes chers amis qui vous réjouissez de laisser cette année maudite derrière vous, ne vous emballez pas trop vite car 2021 s'annonce encore plus déstabilisante à tous points de vue ! Oui, je sais, ce n'est pas très sympa de ma part de vous saper le moral comme ça au lieu de vous balancer les paillettes habituelles et le florilège de vœux impies de rigueur qui ne survivront pas le lever du soleil. Malheureusement, je n'ai jamais adhéré au culte de Saint Hypocrite — la notion même de culte m'étant d'ailleurs totalement rédhibitoire. Ce qui ne fait pas de moi une inculte ni une occulte pour autant. Si ? Ah bon ! Rien à battre : l'ego aboie et les consciences passent.

Très souvent, à chaque changement de calendrier, la plupart d'entre nous ressentons ce basculement d'énergies parce que nous sommes constamment influencés par les nombres de manière plus ou moins consciente. Sans entrer dans les détails, la vibration universelle de 2021 sera identique à celle de 2012, à savoir sous l'égide du 5 (2+0+2+1=5), synonyme de transition et de changement. Une énergie instable qui met l'accent sur le repoussement des limites, l'exploration et la mise en avant de nouvelles idées en remplacement de celles qui ne fonctionnent plus, mais aussi et surtout l'opportunité de redécouvrir le sens véritable de la liberté au lieu de fuir la réalité. Car en 2021, le déni n'aura plus sa place. Il ne sera plus question de se voiler la face car en vérité, la neutralité n'existe pas.

Il ne s'agit nullement de prôner la division, mais simplement de comprendre que l'abstention de choix reste un choix malgré tout ; que dans l'univers, tout est infinies possibilités jusqu'à ce que la conscience se pose en observatrice (voir la célèbre expérience de la double fente). Ainsi, que vous soyez dans la confusion ou que vous pensiez avoir l 'esprit clair, toute décision que vous prendrez cette année (y compris ne pas prendre de décision du tout puisque c'est en soi une décision) aura des conséquences sur la ligne de temps sur laquelle vous ferez votre expérience consciente.

Responsabilité spirituelle est d'ailleurs le mot d'ordre car le 5 correspond également à l'arcane du Pape dans le Tarot de Marseille (qui n'a rien à voir avec les Suppôts du Vatican).  Il vous invite à communiquer directement avec la Conscience universelle par l'union du Cœur et de l'Esprit. Son message est  le suivant :  « Écoute ta conscience qui te dicte le chemin dans l'apprentissage de chacun de tes enseignements divins qui passent par la puissance de ma croix bénite que je tiens dans la main gauche de la réceptivité. » (Source)

« C’est surtout l’ego qui joue des tours et vient s’interpeller » explique Murielle Robert, « car il aime tant se sentir indispensable pour la société ou pour la famille ou pour la planète entière et de prendre à charge toutes les responsabilités qu’il "se croit" de s’engager… et cela au nom de tous les principes qu’il "s’exige". Donc point besoin de performance, d’exigences, de principes rigides, encore moins les "je devrais" qui nous éloignent du plaisir et de la joie de vivre. Seulement se donner la permission « d’Être » pour avoir soin de cette âme qui nous envoie des signaux à tous les instants afin que l’on s’occupe d’Elle… la Vraie responsabilité est celle de donner de l’amour à sa propre âme afin qu’elle monte "légère" vers [la Source], d’où`l’Ascension. » (Source)

Et dans le contexte astrologique, 2021 est marquée par la Grande Conjonction de Jupiter et Saturne en Verseau (la première fois en signe d'air depuis le Moyen-Age), le signe d'Uranus le Grand Éveilleur qui représente la tornade. Le 5 symbolise le souffle. L'équation est simple : vent + tornade = boum !

Nul besoin d'une boule de cristal donc  pour savoir que cette année le monde va changer. La question reste surtout de savoir comment. Vous seuls détenez la réponse. Mais sachez qu'il n'y a que deux options : vivre dans l'incertitude où tout est possible ou survivre dans la certitude où rien n'est possible.

Ce qui est certain est qu'il n'y aura aucun retour en arrière possible ni retour à la « normale » tout court. Nous sommes au pied du mur. Nous pouvons choisir d'y rester et finir emmurés vivants ou bien de nous faire la courte échelle et l'escalader. Ce n'est certes plus en se tirant mutuellement dans les pattes à savoir qui a raison, qui a tort, qui est mouton, qui est complotiste que nous pouvons espérer y parvenir. Mais ensemble nous pouvons le faire et aller vers quelque chose de bien mieux que notre ancien monde « normal ».

Que la Force soit avec vous.

Namaste,

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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