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Et si notre réalité était une prison invisible ? Une structure parfaite, conçue pour enfermer les âmes dans une boucle sans fin ?
La Matrice repose sur deux formes fondamentales : le cube et la sphère.
Le cube à 6 faces est la structure d’incarnation dans un corps carbone — auquel fait d'ailleurs référence le fameux 666 des 6 électrons, 6 neutrons et 6 protons de l'atome de carbone. Il enferme l’âme dans un programme rigide avec ses lois physiques, sa biologie, et sa psyché. Une prison numérique où tout est codé.
La sphère représente l’astral global, la programmation vibratoire de chaque incarnation. L’influence des astres, la destinée tracée… Un cycle prédéfini, où chacun rejoue son rôle à l'infini.
Tout tourne en boucle. Les heures, les saisons, les années, les civilisations, la vie humaine… Naissance, croissance, déclin, mort... et retour à la case départ.
Mais que se passe-t-il aux angles du cube ?
Ces points de rupture, où l'énergie est moins fluide, sont propices aux failles du programme. Les anomalies, les bugs, les expériences qui défient la logique de la Matrice. Peut-être… une porte de sortie ?
À notre décorporation qu'on appelle la mort, une autre illusion nous attend. Un sas holographique situé à la jonction des deux mondes, contrôlé par les Archontes. Une lumière trompeuse, une mise en scène pour forcer l’âme à revenir.
La véritable évasion ne passe ni par le Cube ni par la Sphère... mais par les failles cachées du système.
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1 commentaire:
Quelqu'un, sur Crowdbunker, m'a posé une question pertinente à la suite de cette vidéo : "Comment fait-on pour se diriger vers les failles cachées ?" Je reposte ma réponse ici en complément d'information :
Se diriger vers les failles cachées ne se fait pas en suivant un chemin visible ou une carte préétablie, car ces failles ne sont pas "des lieux" au sens physique du terme. Ce sont des brèches dans le programme matriciel, perceptibles uniquement lorsque l’on cesse d’interagir avec la matrice selon ses règles habituelles.
Plutôt que de chercher à "s’échapper" comme dans un jeu vidéo, il s’agit de voir ce qui est invisible aux yeux du mental conditionné. Ces failles apparaissent à mesure qu’on arrête de jouer le jeu des illusions imposées : la polarité, la peur, l’illusion du libre arbitre.
Autrement dit, au lieu de vouloir forcer un passage, il faut reconnaître l’existence du programme et voir comment il nous enferme dans des schémas répétitifs. C’est dans cette lucidité qu’émergent les véritables échappatoires.
Une clé simple : observer les incohérences du monde sans chercher immédiatement à leur donner un sens connu. Accepter de ne pas savoir, et laisser le réel non-matriciel se révéler par lui-même. La faille n’est pas un endroit, c’est un état de conscience.
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