Musique et vibrations

Ayant récemment lu, ici et là, des tissus d'inepties concernant la musique qui contredisent tous violemment mon vécu et mon ressenti intuitif personnel en la matière, je me suis empressée de traduire cet article qui risquera forcément d'en agacer plus d'un et d'en enthousiasmer pas mal d'autres également selon les points de vue. Comme vous avez dû vous en rendre compte, même si c'est moins le cas aujourd'hui, la musique a souvent occupé une grande place dans mon existence et dans l'ensemble m'a toujours beaucoup inspirée dans le sens positif. Sans m'épancher dans les détails, je dirais simplement que j'ai constaté, contrairement aux idées reçues et à certaines études qui ont été faites, que mon esprit est souvent plus clair et ma créativité nettement plus stimulée à l'écoute de rock plutôt qu'avec du classique (j'aime pourtant les deux) et que cette tendance affecte également mon niveau vibratoire. Et vous ? L'important, comme le souligne si justement Gregg Prescott, musicien lui-même mais également titulaire d'un diplôme scientifique,  n'est jamais la théorie mais ce qui, à la pratique, élève réellement vos vibrations. Roll Over Beethoven !1

Ey@el

Quelle influence la musique a-t-elle sur votre fréquence vibratoire ? Le hard rock ou le rap l'abaissent-ils ?

La musique est son et le son est une vibration qui se résume à la géométrie et aux maths. Il n'y a qu'à regarder les recherches en cymatique2 pour constater son action.

Beaucoup de personnes idolâtrent leurs musiciens préférés, ce qui en soi implique que « je te révérerai toujours toi plutôt que moi-même ». Ce faisant, vous avez déjà abaissé vos vibrations.

La musique d'ambiance ou new age est ce qui se fait de plus élevé en la matière. Elle s'avère parfaite pour se relaxer ou méditer, mais avez-vous vraiment envie d'écouter ce style musical chaque jour et tout le temps ?

Rap et heavy metal

Nombreux sont ceux qui se demandent comment la musique va influencer leurs vibrations personnelles, surtout quand leur choix se porte sur du hard rock ou du rap.

Selon les individus, ces deux genres musicaux auront un impact subliminal différent sur les champs de l'aura. Certains deviendront agressifs en écoutant l'un ou l'autre tandis que d'autres en retireront un sentiment agréable en dépit de toute négativité dans les paroles.

J'écoute à peu près tout en musique et après avoir joué de la guitare solo et rythmique dans plusieurs groupes de hard, je suis en mesure d'affirmer que ça ne me rend pas plus ni moins agressif. Je peux, par exemple, écouter le "Ain’t Talkin Bout Love" ou "Don’t Tell Me You Love Me" de Van Halen et me sentir formidablement bien après sans sentiment négatif à l'égard de « l'amour ».

Le rap d'aujourd'hui

Le rap, toutefois, est devenu bien plus dégradant et violent comparativement à la vieille école représentée par des groupes tels que Run DMC, LL Cool J ou les Beastie Boys.

En outre, la plupart du gangsta rap d'aujourd'hui détruit toute conception de la féminité divine en dégradant les femmes présentées comme des p***s, tout en se rabaissant les uns les autres en utilisant le mot qui commence par un « N ».3

En tant que musicien, je prête davantage attention à la mélodie qu'aux véritables sens et intentions des paroles. D'aucuns se focaliseront sans doute plus sur le texte. Nous n'écoutons pas tous la musique de la même manière et il en va de même quant à son interprétation.

Influence sur les plantes

Dans un épisode de MythBusters4, que l'on parle gentiment ou méchamment ne faisait aucune différence mais augmentait pourtant la biomasse et le rendement par rapport aux groupes témoins. En d'autres termes, que l'on insulte les plantes en leur hurlant dessus ou que l'on s'adresse à elles avec douceur, elles profitaient davantage que celles servant de référence aux tests.

Les plus grosses et les plus productives ont été obtenues en leur diffusant en permanence du heavy metal à plein volume.

Inversement, une recherche effectuée dans les années soixante-dix par Dorothy Retallack montrait que les plantes prospéraient avec la musique classique mais devenaient maladives et finissaient par mourir sous l'influence du hard rock.

Nous avons donc deux études et deux résultats totalement différents.

Conclusion

L'élément essentiel est la manière dont VOUS ressentez les effets d'un genre de musique en particulier, indépendamment de ce que l'un ou l'autre test démontre. Si son écoute vous fait du bien, quoi qu'en disent les autres ou quoi qu'il ait été scientifiquement prouvé, alors cette musique est parfaite pour VOUS et VOTRE fréquence vibratoire.

Bonne écoute !

Notes et références

  1. ^ "Roll Over Beethoven", Chuck Berry (1956). Littéralement « Laisse tomber Beethoven ») est un tube repris par les Beatles en 1963.
  2. ^ La cymatique est l'étude de l'action sonore, la manière dont le son agit sur la matière physique et sa propriété à générer des motifs géométriques. (Les Couleurs musicales.)
  3. ^ Euphémisme pour « nègre » .
  4. ^ MythBusters (Les Stupéfiants au Québec) est un programme télévisé de divertissement, initialement diffusé sur la chaîne de télévision Discovery Channel en 2003 aux États-Unis, et animé par les spécialistes des effets spéciaux Adam Savage et Jamie Hyneman qui utilisent leurs talents et compétences pour tester la validité de plusieurs rumeurs et légendes urbaines de la tradition populaire. (Wikipédia)

Texte original de GREGG PRESCOTT traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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La culture n'est pas votre amie

La culture n'est pas votre amie disait Terence McKenna. Il avait raison bien sûr. Notre culture n'a rien d'une amie. Elle est la toile sur laquelle nous essayons de brosser le portrait de qui nous sommes. Des particules de conscience à l'intérieur savent que nous sommes ici pour créer et nous exprimer. Pour se sentir bien dans ce monde, il faut pouvoir insuffler ce que l'on est à ce que l'on fait. Pourtant, pour la plupart d'entre nous, être simplement soi-même relève du combat insurmontable.

Loin de nous y encourager, on dirait que notre culture — notre société — s'évertue à contrecarrer nos efforts pour suivre la voie de notre cœur. Nous pourrions renoncer à nous battre et rejoindre les rangs de la majorité non-pensante qui ne voit pas plus loin que le week-end. Il leur arrive de se plaindre de l'état du monde mais ils l'acceptent de façon tacite en s'y conformant. Si nous nous engageons sur cette route, nous n'y trouverons jamais la paix.

Les professions de l'ombre

Ceux dont la voie du cœur se situe dans les « professions de l'ombre » courent un risque plus élevé — notre culture aliénant les libres penseurs et les opposants au statu quo. Tout ce qui se situe en marge représente un défi pour ce « système » qui maintient l'ordre établi par la rétention et le contrôle des informations qui ne soutiennent pas son programme. L'univers hautement subjectif de l'art bénéficie d'une certaine « protection » dans la mesure où les intentions y sont souvent voilées. Mais osez donc, si votre vision du monde n'est pas conforme à la sienne, exprimer vos pensées par la parole ou l'action et vous verrez avec quelle rapidité vous serez marginalisé. Que ce soit en contestant la « version officielle » de l'histoire telle qu'on nous l'enseigne à l'école, de l'actualité mondiale qu'on nous rapporte dans les médias grand public ou encore les récits inventés de toutes pièces et perpétués par les autorités médicales, éducatives ou judiciaires instaurées.

Bref, nous vivons dans une culture de mensonges. Récusez-les et constatez à quel point elle devient hostile. La toile sur laquelle nous essayons de brosser le portrait de nos vies est toute sale et déchirée.

L'astrologie est une profession de l'ombre. Ceux d'entre nous qui sont attirés par cet ingénieux savoir ancien en arriverons probablement à la même conclusion que mon premier professeur — au bout de trois décennies de pratique. « J'ai l'impression d'avoir été incarcéré pendant 30 ans pour un crime que je n'ai pas commis » avait-il déclaré. Telle est la nature de notre culture.

Ostracisés, rejetés, dépréciés, aliénés — pour quelle raison ?

Pour essayer d'appréhender les voies de l'univers, de la nature de la réalité, du sens de la vie. Pour essayer d'aider les autres à se comprendre eux-mêmes et la place qu'ils occupent dans le cosmos afin de mener une existence plus heureuse, plus épanouie, plus paisible et plus saine. Il est beaucoup plus facile de peindre un tableau idyllique — ou de trouver un emploi dans un bureau. Mais pour notre nature, il faut que ce soit vrai.

C'est exactement pour cette même raison que la plupart des méthodes de guérison alternatives sont marginalisées dans notre culture. Le système en place ne veut pas que nous nous soignons nous-mêmes. Il ne veut pas que nous sachions la vérité sur qui nous sommes. Il ne veut pas que nous apprenions à autrui la vérité sur qui nous sommes. Il préfère nous enseigner des semi-vérités et des mensonges en récompensant largement les affabulateurs professionnels. Contestez le système en partageant la vérité et vous pourriez vous retrouver emprisonné — sinon au propre, du moins au figuré.

Pas facile de rester fidèle au chemin qu'on s'est tracé — à la voie de son cœur — quand il se situe dans l'ombre ou, en termes plus clairs, à l'extérieur du système. Vivre au quotidien en un lieu et une époque où la sagesse et la liberté de pensée sont censurées par cette impitoyable machine que nous appelons culture prend des allures de maltraitance spirituelle.

Mais sur la voie de notre cœur nous devons rester.

Car c'est l'âme et non le système qui l'emportera. Lorsque nous quitterons ce monde, nous n'emporterons que notre amour et notre connaissance de la vérité qui perdureront dans la semence du cœur et continueront avec nous dans nos vies à venir, tout comme dans le cœur et l'esprit de ceux que nous avons aimés et qui nous ont aimés. C'est à cette vérité-là que nous devons nous conformer. Tout le reste, dans notre culture, dans le monde qui nous entoure, est limité et disparaîtra en temps voulu.

Reconnaissez puis célébrez les passions de votre ombre — quelles qu'elles soient. C'est là que réside le vrai pouvoir : dans le monde non-manifesté, invisible et secret — le lieu même où nait toute chose dans le monde visible. Ceux qui tirent les ficelles ne veulent pas que vous sachiez cela et pour ce faire, ils écrasent et suppriment tout ce qui s'apparente à de l'ésotérisme tout en exploitant, en secret, son énergie et sa force à leur profit.

La prison se trouve au-dehors

Entretenez tranquillement votre voie du cœur et maintenez votre allégeance. Vous n'êtes pas emprisonné pour un crime que vous n'avez pas commis. La prison se trouve au-dehors. Dans les structures factices et les autorités mayas, c'est ce monde d'illusion que nous appelons réalité. La vérité finira par triompher et la prison s'effondrera. En attendant, observons la partie, préservons notre intégrité et prenons les choses à cœur — je veux dire, avec courage. Nous pouvons annihiler la maltraitance infligée à nos âmes par notre culture en restant fidèles à nous-même — quoi qu'il nous en coûte. Et souvenez-vous, vous n'êtes pas seul — nous sommes nombreux à échapper aux radars, à vivre la vérité de notre monde de l'ombre. Nous sommes les vents du changement qui murmurent, la force qui renversera notre insoutenable culture superficielle et insipide.

Texte original de LINDA GEORGE traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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L'humanité veut-elle vraiment être libre ?

Le don le plus précieux qu'a reçu l'humanité, en plus de son existence et de sa connectivité innée à la Source universelle, est celui du libre arbitre. Nous pouvons choisir. Nous avons, en définitive, le pouvoir de prendre les décisions qui nous concernent. Malheureusement, ce concept est enseveli sous les décombres de l'ignorance et de l'ingénierie sociale et il va sans dire que les choses ne font que se corser à mesure que la vie et son lot d'expériences viennent compliquer l'ensemble de notre processus décisionnel.

Qu'en est-il de la liberté et du libre arbitre ? Sur la scène politique, on les relègue généralement à des traités philosophiques et à des bras de fer idéologiques. Une manière élégante de les rediriger vers un domaine qui n'affectera ni notre conscience ni notre quotidien.

Beaucoup font valoir que, dans le contexte actuel, nous ne sommes pas libres de prendre nos propres décisions, qu'en fait, nous ne disposons parfois même d'aucun libre arbitre comme en témoigne l'histoire. Nous touchons là à la racine du problème : notre impuissance due à ce que nous croyons avoir besoin d'une permission en opposition à notre nature innée de liberté à l'état pur. Il semblerait que nous en ayons été privés à un certain moment. Il apparaît que le libre arbitre est souvent mis de côté ou bien fortement limité dans certains cas, que ce soit par choix, coercition ou collusion.

Mais aussi draconienne qu'elle soit, est-ce bien la réalité ? Après tout, la majeure partie de l'humanité n'a même pas l'air au courant qu'elle est née libre et encore moins d'avoir envie d'exercer pleinement un tel droit inné.

La majesté du choix

Nous avons été couronnés du don ultime : une volonté consciente totalement autonome. Nous pouvons choisir ce que nous disons, ce que nous faisons, ce à quoi nous réagissons ou à quoi nous accordons notre attention et notre énergie. Encore une fois, les choses n'apparaissent pas ainsi au premier abord à la manière dont est structurée la société et à en juger par la condition humaine et son comportement enlisés dans les contraintes. Si la notion de liberté trouve encore un écho distant dans le cœur des hommes, elle a pris plusieurs significations sérieusement remises en cause. Volontairement.

En outre, pour une raison quelconque, on dirait que nous y avons renoncé à des degrés divers en échange de quelque chose. Mais de quoi donc ? La sécurité ? L'acceptation ? Le confort ?

Cela en a tout l'air. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et qui a décrété que nous devions échanger quoi que ce soit ? S'agit-il d'un compromis sciemment conçu pour tenir l'humanité en servitude avec l'illusion du choix ? Si l'on examine la structure politique et économique artificielle et extrêmement centralisée des diverses sociétés de notre planète et la misère de la plupart de ses habitants, il est clair qu'il a quelque chose qui cloche sérieusement. Surtout avec cette classe dirigeante impitoyable de super privilégiés profitant des opprimés qui sont la source de production des richesses.

Libérez-vous de vos chaînes

Notre sentiment perdu de véritable liberté spirituelle inébranlable est-il précisément ce qui pourrait donner à l'humanité le pouvoir de s'affranchir d'un système basé sur un esclavage volontaire soigneusement manipulé ? Est-ce donc ce dont il est question avec cette guerre contre le corps humain, son mental et son esprit ? De nous empêcher de nous souvenir ?

Lorsqu'une personne connait un réveil de sa conscience vraie — ou plutôt la retrouve car la conscience n'a jamais été endormie à proprement parler — quelque chose de profond se produit. Et perdure. Nous accédons à la Source — cette source pure, non filtrée, illimitée, infiniment créative, peu importe le nom que vous lui donnerez. C'est l'endroit où le spirituel et la métaphysique rejoignent le mental et la psyché, là où la science et le savoir s'unissent à la grande Force de vie universelle synchrone.

Tout en substance se rapporte à l'Unique. Il n'y a plus de compartiments. Il n'existe aucune division dans l'unité essentielle et tout prend un sens. Parce que vous vous laissez intrinsèquement aller à adopter un point de vue dans lequel vous vous rendez compte qu'il importe peu de tout savoir ou d'être quelque chose. Vous vous contentez d'être et tout est merveilleux à ce niveau. Une grande lucidité vous envahit.

Bien entendu, des différences existent dans les manifestations ainsi que des conflits apparents à plusieurs niveaux découlant de plusieurs influences, mais dans le contexte de la liberté, c'est là qu'on y trouve sa réalité et sa définition véritables. La souveraineté de l'esprit qui est le droit inhérent à toute chose. Et bon sang, comme il flanque par terre, à toute vitesse, toute et n'importe quelle structure d'aucune sorte créée par l'homme !

Le partie truquée du choix factice

Voici donc l'un des outils de manipulation les plus efficaces de ceux qui dominent l'humanité. Ce concept est né au fil des siècles précédents de la réalisation que les gens travaillaient plus dur et mieux en adoptant une attitude plus complaisante quand ils avaient le sentiment d'avoir leur mot à dire sur leur captivité. C'est tout à fait remarquable. Nous sommes toujours une société féodale, ils ont juste trouvé comment faire en sorte que nous construisions nos propres prisons tout croyant être libres.

Hormis l'exemple le plus flagrant de démocratie bidon et le système de vote facile à trafiquer, des conjectures impérieuses sont délibérément implantées dans la société par le biais de la religion, de la science trompeuse, du frein de l'éducation, de la pression sociale, des médias, etc. D'un coté, on nous sert des platitudes sur l'espoir, le changement et la sécurité tandis que de l'autre, les médias nous injectent divertissement, matérialisme, mode et autres formes de conditionnement au consentement afin d'absorber totalement la population dans un état comateux d'auto-indulgence.

Quant au capitalisme (auquel adhèrent toutes les formes de gouvernement), c'est le but ultime. Votre satisfaction personnelle quoi qu'il en coûte à ceux qui n'auront pas été aussi malins que vous pour apprendre comment obtenir ce qu'ils voulaient.

La peur, cette ennemie de la liberté

Pourquoi les gens s'accrochent-ils à des systèmes limitatifs corrompus voire qui leur font du mal ? La peur de l'inconnu s'avère très forte, en particulier pour ceux qui ignorent tout. La simple appréhension de ne plus avoir à manger suffit à vous piéger. La crainte du manque, de la solitude, de l'agression, de la mort...

Toutes des peurs extrêmement puissantes.

Et des gens effrayés ne prendrons aucune décision consciente mais basée sur l'instinct de survie. Il y a bien sûr un temps pour cela comme dans le réflexe de lutte ou de fuite face à une attaque réelle, mais ce type de réaction est très facile à provoquer par de simples mots, ensevelissant toute possibilité de vivre consciemment.

La hiérarchie des besoins de Maslow1 est un concept qui m'a toujours fasciné. Il y a tant de vérité dans l'idée que si vos besoins essentiels ne sont pas d'abord comblés, vous n'êtes pas en mesure d'envisager les notions plus érudites et spirituelles de l'existence. Tout à fait. Les cultures autochtones ont vécu ainsi durant des millénaires. Cela était partie intégrante sans laquelle la culture basée sur la connectivité spirituelle se serait effondrée. C'est la raison pour laquelle ces peuples indigènes ont été condamnés au génocide par ces parasites qui nous contrôlent.

Ils incarnent la sagesse — la connaissance du fonctionnement naturel des choses par le biais la perception consciente et des principes sous-jacents d'amour, de partage, de don et de coopération tout à fait contraires aux techniques agricoles abusives de nos contrôleurs actuels.

Il n'est question que de domination et rien d'autre. La souveraineté personnelle au delà des limites qu'ils ont fixées n'est même pas envisageable.

L'ennemi intérieur : ceux qui optent pour l'esclavage

La grande question est : seriez-vous prêt à vous battre pour la liberté de quelqu'un qui n'en a que faire ? Cela vaut-il la peine de, pour ainsi dire, affranchir quelqu'un qui choisit de rester enchaîné — et qui risque même de vous pénaliser pour votre tentative ?

Il existe plusieurs célèbres analogies à ce phénomène. Les éléphants, par exemple, qu'on attache à un piquet enfoncé dans le sol afin de limiter leur manœuvrabilité. Ils apprennent bien leurs « limites ». Plus tard, on leur retire la corde mais l'éléphant restera confiné dans son périmètre délimité. La même chose a été rapporté à propos d'autres animaux.

Cela fonctionne.

Sur les humains également. Pendant longtemps, les scientifiques n'ont eu de cesse de mettre cette tendance comportementale à profit, le plus célèbre étant Pavlov et ses chiens qui salivent. Ces expériences ont, depuis le début, attiré l'attention des militaires. Je me demande bien pourquoi. Vous souvenez des sonneries aux interclasses qui résonnaient comme des alarmes d'incendie lorsque vous étiez à l'école ? Remerciez-en les travaux de Pavlov et instauration par les ingénieurs sociaux.

Réaction conditionnée. La même dynamique qui est à l’œuvre dans la publicité, la politique, la religion et n'importe quel autre aspect de conceptions sociale.

Mais ceux qui sont plongés dans un tel coma peuvent-ils se réveiller pour prendre conscience de leur liberté innée et ainsi l'activer ? Qui sait. C'est un phénomène dont il faut être averti. N'oubliez pas que, pour tout le monde, la dépendance entretenue est difficile à ébranler. Mais ne perdez jamais de vue que l'on peut se réveiller à tout moment.

Conclusion : est-ce la connaissance de sa liberté innée qui fait flipper l'humanité ?

Comme l'aurait déclaré le yogi Berra, « Lorsque vous arrivez à un embranchement, prenez-le. » Bien qu'amusant, ce conseil est judicieux : continuez d'avancer et cessez de vous inquiéter autant.

Nous sommes tous au pied du mur quand il s'agit de nous défendre face à l'agression que subit l'humanité et qui s’aggrave de jour en jour sur les plans politique, matériel, social, physique et spirituel. C'est toute la planète qui a pété les plombs grâce aux efforts cumulés d'influences manipulatrices qui semble régner en maîtres sans que personne ne sache comment cela a pu se produire. Nous voilà vraisemblablement relégués au poste d'observateurs, en attente de la décision de quelque tribunal clandestin pour connaître notre sort.

Il est bigrement temps de se réveiller.

C'est une connerie de croire que l'humanité ne doit rien faire et tout accepter. Peu importe avec quelle fourberie, c'est à une rafle du troupeau drogué et ahuri qu'on est en train de procéder. Nous sommes si nombreux à voir les choses clairement pour ce qu'elles sont et pourtant c'est comme si nos cris s'évanouissaient dans la nature.

Quel est ma propre motivation ? Plus notre défi et notre situation s'articulent clairement, plus les activistes demeurent conscients dans la poursuite de leurs efforts et roule ma poule. Nous avons besoin de toucher un public plus large que celui des éveillés, mais grâce au récent recul avec la Syrie ainsi que nombreux autres exemples qui semblent indiquer notre efficacité, nous sommes sur la bonne voie.

Et s'il en existe une meilleure, bien faire ce que nous pouvons maintenant nous y conduira en un clin d’œil !

Notes et références

  1. ^ Abraham Maslow est un célèbre psychologue américain, considéré comme le père de l'approche humaniste, surtout connu pour son explication de la motivation par la hiérarchie des besoins souvent représentée par une pyramide. Il a souligné qu'il était préférable, en thérapeutique, de promouvoir les qualités et les réussites individuelles, plutôt que de considérer les patients comme des « sacs de symptômes ». (Wikipedia)

Texte original de ZEN GARDNER traduit de l'anglais par EY@EL
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Hyde Park

Un petit peu de nostalgie avec l'automne qui s'en va et les beaux parcs londoniens qui me manquent beaucoup.

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La psychologie de la peur

Bien que qualifiée d'émotion par les psychologues, la peur est un sentiment humain assez primitif et peut être considérée comme un simple ressenti. En fait, si les émotions englobent les sensations et les réactions physiques, elle pourrait être la composante essentielle de l'anxiété ou des phobies comme le démontre la psychologie émotionnelle. Je préfère me référer à la peur en tant que ressenti plutôt qu'émoi et afin de clarifier ceci, il convient d'établir la distinction entre sentiments et émotions en psychologie. Pour l'instant, elle est assez floue et n'est guère appliquée par les spécialistes.

Les émotions sont des processus mentaux et physiques complexes parce se basant sur des sentiments qui sont des composantes mentales ou psychiques et des réactions corporelles relevant du domaine physique. Le ressenti joue donc un rôle essentiel dans l'émoi. Les sentiments basiques sont purement psychiques et n'entraînent aucune réaction du corps — c'est pourquoi la peur, avec ou sans manifestation somatique, pourrait appartenir aux deux catégories à la fois. Par exemple, l'angoisse éprouvée par un étudiant lors d'un examen s'accompagnerait de réactions physiques telles qu'une accélération des battements du cœur ou bien des rougeurs au visage, une dilatation des pupilles, etc. La peur, comme composante probable d'un ressenti, quoique très simple, pourrait même être inconsciente sans manifestation corporelle même si moins intense que l'anxiété qui entraîne nécessairement ce type de réaction. De sorte que vous pouvez sans doute vous trouver à jouer une pièce de théâtre sur scène sans aucune sensation physique dans l'immédiat, en étant même calme et normal mais avec pourtant un sentiment d'appréhension exprimé sous forme de malaise.

La peur relèverait donc tout à la fois du ressenti et de l'émotion mais en tant que composante totalement subjective ou mentale du sentiment, elle s'avèrerait difficile à déceler quand elle ne s'accompagne d'aucune réaction physique visible ou sensible comme c'est le cas lorsqu'elle verse dans l'émoi. L'anxiété, par contre, est considérée comme une émotion intériorisée distincte parce qu'elle surgit de l'intérieur en réaction à une menace perçue plutôt que la peur qui elle, est provoquée par un stimuli extérieur. On pourrait définir cette dernière comme une émotion extériorisée ou un sentiment avec ou sans somatisation pouvant être conscient ou inconscient.

La psychologie de la peur ferait donc la distinction entre ses deux formes à savoir l'émoi et le ressenti, entre ses manifestations consciente et inconsciente, avec ou sans réaction corporelle et également entre l'anxiété et les phobies. Il importerait de comprendre pourquoi elle se produit, quels sont ses symptômes physiques lorsqu'elle se présente sous forme d'émotion forte consciente et comment elle diffère du ressenti sans nécessairement aucun signe externe, d'ordre conscient mais plus vraisemblablement inconscient.

Supposons que vous souffriez d'une peur inconsciente des vieilles bicoques hantées et que vous fassiez un rêve récurrent se déroulant dans un tel cadre — le rêve en lui-même pourrait provoquer des réactions physiques mais rien n'indique à l'évidence que la peur en soit la cause. Dans ce cas précis, elle est simplement inconsciente et ce sont le ressenti qui se manifeste dans les rêves et les rêves eux-mêmes que l'on associe à la somatisation et non la peur. Elle est donc, ici, un sentiment plutôt qu'une émotion. Certains psychologues objecteraient toutefois que cette « crainte » pourrait n'être qu'une angoisse floue mais comme ils en identifieraient également la cause (de ce qu'ils qualifieraient d'anxiété) qui est la hantise des maisons hantées, il s'agit toujours bien d'une crainte extériorisée et non d'une angoisse intériorisée. Qu'elle soit de l'ordre du ressenti ou de l'émoi, la peur est donc externe.

Distinguer les sentiments des émotions revient à tenter de faire la différence entre les météores et les astéroïdes dans l'espace — ce qui requerrait une analyse très détaillée des différentes couches de l'esprit. Nous ne disposons pas, à l'heure actuelle, de suffisamment de cadres ou de preuves scientifiques pour faciliter cette distinction. Des études modernes sur la conscience se sont penchées sur ce problème de ressenti. Comme l'a souligné Thomas Nagel dans son très célèbre article "Quel effet cela fait-il d’être une chauve-souris ?", le sentiment subjectif de « quel effet cela fait-il » est très important. Lorsque l'on se penche sur la conscience, les aspects subjectifs des émotions sont tous appréciables et bien que les physicalistes endurcis, qui pensent que l'esprit n'est rien d'autre qu'un courant neuronal, ne tiendraient pas compte que l'émoi puisse comporter un aspect de ressenti, de telles recherches ont prouvé que la sensation ou l'aspect subjectif de l'existence est l'essence même de l'humanité.

Toutefois le sujet de cet article étant la psychologie de la peur, il est indispensable de comprendre pourquoi elle survient et quelles seraient ses indications thérapeutiques. On pourrait la caractériser comme une sensation générale inconsciente désagréable ou une émotion plus complexe telle que l'angoisse et la crainte extériorisée. Elle peut également s'exprimer sous forme de phobies qui sont des craintes pathologiques persistantes dirigées vers des objets ou des situations spécifiques. Il peut s'agir de la crainte des araignées ou du vide (que l'on nomme respectivement arachnophobie et acrophobie — NdT) qui sont des formes exagérées ou extrêmes d'appréhension s'accompagnant de graves réactions physiques pratiquement à la limite de la paranoïa. Le peur pourrait donc se révéler comme un trouble émotif sérieux avec somatisation et se manifester sous forme d'angoisse ou de phobie — elle pourrait être également une sensation générale. Afin de comprendre ce qui la provoque, voici les différents types de peur :

La peur en tant qu'émotion

Accompagnée de symptômes physiques, elle présume une forte réaction émotionnelle à une situation, un objet ou un événement. Comme elle est intériorisée, elle prendrait naturellement sa source dans un ressenti ou un composant subjectif. Autrement dit, la personne « ressentirait » d'abord la peur face à une situation avant d'y réagir. Un tel cas de figure où le sujet a conscience de son émoi et y réagit avec force est le type même de la réaction émotive et ce type de peur se manifeste donc sous forme d'une vive émotion.

La peur en tant que sensation

Elle peut toutefois se manifester sous forme d'un sentiment subjectif, une sensation de malaise ou une perception subconsciente d'un quelconque danger ou menace qui ne susciterait aucune réaction importante du corps. La peur en tant que sensation se révèle inconsciemment dans les rêves, les lapsus, les pertes d'attention, etc.

La peur dans l'anxiété

La peur en tant que sensation peut également servir de support subjectif à l'angoisse car lorsqu'elle est intériorisée voire inexpliquée, celle-ci se manifeste par une sensation de peur. Elle peut donc démarrer sur une appréhension mais d'origine principalement subconsciente, intériorisée et plus généralisée. Mais l'anxiété comporte des réactions physiques distinctes qui la différencie de leur peur en tant que sensation.

La peur dans les phobies

Elle s'articule autour de réactions émotionnelles pathologiques persistantes envers des objets ou événements spécifiques. La différence est que les phobies sont toujours extériorisées contrairement à l'anxiété et là encore, la peur extériorisée en tant qu'émotion ou intériorisée en tant que sensation relèverait des deux. Les phobies ne sont pourtant pas des émotions mais des réponses pathologiques dont la peur en tant qu'émotion complexe est l'un des éléments accompagnant la somatisation. Étant donné qu'elles sont composées d'émois et de réactions vives dont l'expression prend des formes exagérées, les individus sujets aux phobies tendent à réagir de manière excessive et à succomber à la panique en particulier à cause des réactions démesurées et incontrôlables de leur corps.

Pour un traitement thérapeutique par la psychologie, il sera nécessaire de comprendre l'origine de la peur ce qui pourrait se faire grâce aux études neurologiques et à celles sur la somatisation et les états mentaux. Qu'elle relève de la simple sensation ou de la réaction émotive complexe, elle devrait être identifiée dans des situations données et sa forme extrême étudiée avec l'anxiété et les phobies.

Texte original de SABERI ROY traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Mon poumon d'acier

Oh, non, pas encore ces têtes de... transistor !!!! Que voulez-vous, ça m'inspire trop aussi je tapote mon clavier « là où ça me titille éternellement ». Va falloir vous y faire : le rock intelligent et sensible étant, somme toute, assez rare, voire carrément un oxymore (si si il faut l'admettre), on ne va pas cracher dans la potion magique. Et puis après les creeps, on vous avait promis des gaufres. Voici donc — avec Yorke qui fait beaucoup moins dans le pathos et l'auto-apitoiement habituel pour se lancer dans le coup de gueule intégral. En un mot : J'ADORE !

My Iron Lung

Engagement, tu m'éloignes
Chaque jour davantage
Sans le faire exprès
Mais ça fait un mal de chien

Mon cerveau m'informe que je suis en souffrance
Manque d'oxygène
De mon respirateur artificiel
Mon poumon d'acier

Nous sommes trop jeunes pour nous endormir
Trop cyniques pour parler
Ne voyez-vous pas
Que ça nous fait flipper ?

Nous grattons là où ça nous démange éternellement
Cette saloperie de vingtième siècle
Et nous nous estimons heureux de
Notre poumon d'acier

Les psys, ils veulent tout savoir
Sur mon oculus, ma borne clignotante

Sucez, sucez vos pouces d'ados très cons
À qui on a appris à aller sur le pot
Quand il n'y aura plus de jus
On se contentera de fredonner

Ceci est notre nouvelle chanson
Une pure perte de temps
Tout comme la précédente
Mon poumon d'acier

Les psys, ils veulent tout savoir
Sur mon oculus, ma borne clignotante

Et si vous avez peur
Vous pouvez, en effet
Vous pouvez, c'est normal

Les psys, ils veulent tout savoir
Sur mon oculus, ma borne clignotante

Thom Yorke, 1994

À propos de cette chanson

Sorti tout d'abord sous forme d'un mini album du même nom, en octobre 1994, puis sur l'album The Bends l'année suivante, "My Iron Lung" a, en fait, été enregistré en public au cours du concert filmé à Londres pour la vidéo Live at The Astoria (un p****n de bon concert !) où seules les parties vocales ont été refaites en studio. Loin du succès commercial inégalé de "Creep", il ne s'est hissé péniblement qu'à la 24e place des charts britanniques et s'est vu carrément ignorer par les radios américaines et MTV, ce qui n'a guère dû surprendre le groupe.

« Il fallait tout faire péter, on n'avait pas le choix » déclarait Thom Yorke à propos de la nature schizophrène de cette chanson qui donne la sensation d'osciller entre deux morceaux imbriqués se succédant l'un l'autre. Pourtant "My Iron Lung" n'est pas sans rappeler "Creep" à sa manière d’enchaîner la mélodie des couplets aux déflagrations explosives des refrains, à l'image même des émotions contradictoires qui animaient, à l'époque, les cinq musiciens aux prises avec les contraintes restrictives de leur célébrité inattendue — le choc brutal du passage du fantasme de la rockstar à la réalité moins glorieuse du show-biz.

Introspectif, lucide et caustique à souhait, ce morceau-défouloir écrit pendant la tournée anglaise de 1993 (et qui aurait très bien pu s'appeler "Mon Boulet") constitue donc, en quelque sorte, la piqûre d'adrénaline rédemptrice après le choc anaphylactique de "Creep" qui avait transformé la tête radiophonique en juke-box humain (rien d'étonnant non plus avec un nom pareil). Épuisé physiquement et nerveusement par les tournées incessantes et le harcèlement médiatique, voire carrément au bord de la dépression, Yorke y exorcise ses tourments et en profite pour régler ses comptes avec tout le monde.

« Le poumon d'acier » explique-t-il, « est un respirateur artificiel qui servait aux patients atteints de la polio dans les années 50. On les enfermait dans ces grosses boîtes métalliques dans lesquelles on ne pouvait bouger que la tête et ils vivaient ainsi pour le restant de leurs jours. » Référence métaphorique évidente à "Creep" qui lui permet à la fois de vivre et l'étouffe littéralement : « Ceci est notre nouvelle chanson, une pure perte de temps, tout comme la précédente, mon poumon d'acier. »

À noter que les psys évoqués dans le refrain font probablement référence aux médias qui ont dû, j'imagine, le gonfler à lui poser toujours la sempiternelle question de curiosité plutôt malsaine et carrément indélicate : « Mais qu'avez-vous donc là à votre œil1 ? ». De la pâte à Creep, tiens, pardi !

Notes et références

  1. Thom Yorke souffre d'un problème de paralysie congénitale de la paupière qui donne l'impression qu'il « clignote ». Pour info, les bornes Belisha auxquelles il fait allusion sont des globes orange clignotants sur des poteaux peints en noir et blanc, placés de part et d'autre des passages piétons au Royaume-Uni. L'oculus, par contre, est un paronyme de subtitution pour le « Tonton Bill » (traduction littérale), stéréotype du pervers pédophile à l’œil exorbité — un idiotisme intraduisible en français (pour les définitions linguistiques voir le billet "Idiotisme et idiocratie").

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Les médias grand public tentent de salir David Icke

À noter que depuis la publication de cet article, la version en ligne du Daily Mirror a supprimé tous les commentaires publics et bloqué cette fonction suite à un déluge de condamnations et de critiques de ce torchon notoire.

Ey@el

Dans ce qui semble être une tendance croissante chez les médias corporatifs occidentaux, un autre chercheur enquêtant sur le programme mondialiste est devenu la cible d'une nouvelle campagne de dénigrement.

C'est aujourd'hui au tour de David Icke, l'activiste le plus connu et le plus véhément du Royaume-Uni, de faire l'objet d'un rapport de la presse tabloïde dans le Daily Mirror à propos du décès de Luke Monrose, un jeune homme qui s'est noyé tragiquement en Cornouailles en mai dernier.

Oui, vous avez bien lu. L'incident s'est produit en mai mais ce n'est que six mois plus tard que l'on cite le nom de David Icke en conjonction avec cette mort — et ce, uniquement dans les médias corporatifs, et étrangement, à peine quelques jours avant le lancement de sa nouvelle chaine de télévision et station de radio révolutionnaire sur internet qui, comme par hasard, s'efforce d'exposer la corruption de l'élite dirigeante et de ses médias assujettis.

Le 17 mai 2013, Luke Monrose a essayé une technique de méditation de yoga très connue mais extrême. Équipé d'un gilet de sauvetage et de lunettes de plongée, il est descendu s'immerger dans une carrière d'argile inondée.

Il pratiquait souvent cette technique dans sa baignoire.

Emily Retter, une journaliste du Daily Mirror, s'est honteusement servi du décès de ce jeune homme ni plus ni moins comme prétexte pour s'en prendre à Icke en négligeant le fait que la technique de méditation dans l'eau froide est une pratique courante du yoga.

David Icke a déclaré au RINF Alternative News :

Il s'agit d'une attaque personnelle flagrante lancée dans le seul but de nous discréditer, moi et mon travail et, pis encore, c'est une exploitation froide et cruelle de la famille de cet homme à cette seule fin.

J'ai demandé au Mirror de citer des passages de n'importe lequel de mes livres concernant la projection astrale ou tout ce qui pourrait se révéler pertinent avec ce qui est arrivé à Luke.

Ils n'en trouveront aucun parce qu'il n'y en a pas et il est clair que cet article est une affaire entendue de diffamation malveillante.

Cette Emily Retter, qui fait honte à la profession de journaliste, n'aurait jamais lu un traitre mot des livres que j'ai écrits parce qu'il ne faut pas laisser les faits compromettre un bon démolissage en règle.

Elle incarne la raison pour laquelle la presse écrite grand public se meurt et pourquoi on a tant besoin de The People's Voice1.

Les bains dans l'océan étaient pratiqués par les Kumu Hula (maîtres enseignants) pour se purifier. On retrouve ces traditions ou rituels de purification par la baignade dans de nombreux pays comme le Japon, la Turquie, l'Inde, l'Afrique et l'Australie pour n'en nommer que quelques-uns2.

En fait, la passion de M. Monrose pour le yoga n'est mentionnée qu'une seule fois dans l'article et je ne trouve pas la moindre référence à des baignades en eau glacée dans aucun des livres de David Icke.

Ce n'est pas la première fois que les médias corporatifs se servent d'un fait tragique pour salir des chercheurs et des activistes. Plus tôt ce mois-ci, ABC News a mis en cause Alex Jones, un activiste américain qui défend la liberté, en laissant entendre qu'il serait responsable de la motivation du tireur à l'aéroport de Los Angeles3.

C'est là une piètre tactique de leur part visant à discréditer et diffamer les activistes en vue à mesure que l'expansion d'un média indépendant continue de menacer la mainmise des corporations sur l'information.

Notes et références

  1. ^ La Voix du Peuple, en français, est le nom de la nouvelle chaine de télévision sur Internet, composée uniquement de bénévoles, que doit lancer David Icke dans les jours à venir (voir Articles connexes).
  2. ^ Source : truhtheory.com
  3. ^ Source : infowars.com

Texte original de MICK MEANEY traduit de l'anglais par EY@EL
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Exposé sur les dangers des produits laitiers

Ne vous êtes-vous jamais demandé pourquoi les humains sont les seuls mammifères à boire le lait des autres espèces ? Ou bien l'idée ne vous a probablement jamais effleuré l'esprit... jusqu'à maintenant. De nos jours, le lait est bourré d'hormones, son apport en calcium et en vitamine D est inférieur à celui d'autres sources et il est à l'origine d'innombrables problèmes de santé. Les briquettes de lait aromatisé que l'on distribue dans les écoles aux États-Unis sont saturées de sucre, un ingrédient qu'à la maison, les parents s'évertuent tant bien que mal de limiter au quotidien. Comprendre les dangers des produits laitiers et les éviter autant que possible peut contribuer à éliminer bon nombre de pathologies en expansion et ralentir le déclenchement de la puberté précoce chez les jeunes d'aujourd'hui.

Des problèmes de santé causés par les laitages

Le lait actuel contient une soixantaine d'hormones, quantités d'allergènes, de graisses et de cholestérol et il aurait un lien avec l'activation et la désactivation des gènes du cancer. La plupart des gens ont entendu dire qu'il fallait boire du lait pour la solidité et la santé de leurs os mais il existe beaucoup d'autres aliments sans hormones bien plus riches en nutriments tels que les légumes à feuilles vert foncé dont les épinards et les brocolis, le saumon sauvage et le lait d'amande ou de coco. Les sources de vitamines D et de calcium d'origine végétale sont plus facilement assimilables que celles d'origine animale et bien plus saines. Les portions individuelles de fromage en tranches ont subi énormément de transformations, ont une haute teneur en sodium et n'apportent pas beaucoup de calcium. Les yaourts aromatisés comportent généralement une longue liste d'ingrédients parmi lesquels un additif toxique : l'aspartame. La majorité des gens se focalisent sur l'importance de ces deux vitamines alors qu'ils sont carencés en magnésium qui se trouve être également extrêmement important et nécessaire à la bonne santé des os.

Le soja n'est PAS la solution

Beaucoup croient que le lait de soja constitue une saine alternative au lait de vache mais c'est faux, surtout pour les femmes. Le soja a des effets semblables à ceux des œstrogènes féminins ; un excès de cette hormone peut accroître les risques de développer un cancer du sein, provoquer des fibromes, de l'endométriose et réduire la libido. La fonction thyroïdienne est également inhibée par les produits à base de soja.

Des solutions alternatives plus saines

Les laits d'amande et de coco constituent deux excellents substituts au lait ordinaire. Tous deux ont une teneur supérieure en vitamine D et en calcium et ne comportent aucune hormone. Leur autre avantage est qu'ils se conservent beaucoup plus longtemps et ne s'altèrent pas aussi rapidement. Le lait d'amande peut se fabriquer chez soi très simplement pour savoir exactement ce que l'on ingurgite. Ces laits végétaux peuvent remplacer le lait de vache dans les recettes de tous les jours comme le pain perdu, les pâtisseries, les macaronis au fromage, etc. On en trouve plusieurs variétés comme non sucré, à la vanille ou au chocolat noir. Ils ont été très peu transformés, ne contiennent ni graisse hydrogénée ni ingrédient artificiel et sont cachères.

On chasse l'ancien pour laisser entrer le nouveau

Les aliments de nos jours ne sont plus ce qu'ils étaient autrefois ; ils subissent beaucoup trop de transformations et une dégradation chimique sans précédent. Nous devons nous informer et nous interroger les uns les autres sur ce que l'on met dans notre nourriture puis dans notre corps. Faites preuve d'ouverture d'esprit en essayant des nouvelles alternatives plus saines pour vous et vos enfants. Il est important de noter qu'il ne faut pas donner de lait d'amande ou de coco aux nourrissons pour remplacer le lait maternel ou maternisé.

Texte original de DR MELISSA A. BARTOSZEWSKI traduit de l'anglais par EY@EL
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Les Bêtles sont de retour

John :
« Allons, allons bébé, tweete ce chat... »
Paul :
« Oh, les petites bêtes, il y aura une réponse... »
George :
« Doucement pour ne pas faire pleurer ma guitare... »
Ringo :
« Ça a été une longue journée qui a duré toute la nuit... »

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La Cité d'Émeraude

En surfant sur YouTube, j'ai eu la surprise de tomber sur de nombreuses vidéos de Dramarama, ce groupe américain underground que j'avais eu l'occasion d'interviewer il y a... vingt-cinq ans (!!!) et que je croyais mort et enterré depuis longtemps. Donc contente de constater que John Easdale est toujours de ce monde et qu'il a enfin pu goûter à une certaine reconnaissance dans son pays même si c'est dû à une émission de télé-réalité. Rassurez-vous, je ne vais pas faire dans la nostalgie à deux balles ni dans le vide-grenier. Juste eu envie, pour le coup, de vous faire découvrir cette jolie chansonnette acoustique sucrée (mais sans additif dangereux), qui parle de la Cité d’Émeraude — capitale imaginaire du Pays d'Oz dans les romans de Frank Baum, créateur du célèbre Magicien d'Oz — dont son auteur et interprète m'avait griffonné les paroles sur un bout de papier qui a beaucoup jauni depuis — mais rajeuni pour vous grâce à la technologie numérique hé hé.

Emerald City

Je l'ai enfin trouvée
Je m'en approche à tâtons
Je vais bientôt la cerner
Et tout ira bien
Hé hé
Je peux tenir ma promesse

Égaré dans une douce illusion
Je vis de glace au chocolat
Je relâche la pression
Désormais tout ira bien
Haut haut
Je crois que je vais apprendre à voler

À l'agence de location
Les costumes étaient tellement continentaux
Et quelle coïncidence
Ils ont dit que tout irait bien
Ho ho
Je crois que je suis prêt à partir...

John Easdale, 1985

A propos de la Cité d’Émeraude

Située au centre du Pays d'Oz, la Cité d'Émeraude est au bout de la célèbre route de brique jaune qui commence au Pays Munchkin.

[...] La ville est décrite dans les livres d'Oz comme étant construire de verre vert, d'émeraudes et d'autres pierres précieuses. Parfois décrite comme complètement verte, la cité est aussi ornée d'or et ses habitants portent d'autres couleurs que le vert sur leurs costumes.

[...] Des spécialistes de l'œuvre qui voient Le Magicien d'Oz comme une allégorie politique considèrent que la Cité d'Émeraude est une métaphore pour Washington et son papier monnaie vert. Dans leur lecture, la splendeur illusoire de la capitale est comparée à la valeur fiduciaire du papier monnaie, dont la valeur ne tient qu'à une illusion partagée ou à une convention.

Source : Wikipédia

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La spiritualité des animaux de compagnie

Le lien entre un animal de compagnie et son maître est souvent très profond. Les animaux savent toucher notre corde sensible bien plus que n'importe quel humain. Ceci est dû au fait qu'ils sont dépourvus d'ego. Il n'y a donc rien pour entraver leur amour et leur connexion au Divin. Ils aiment inconditionnellement... et nous rendent constamment des services dont nous n'avons pas souvent conscience. Nous les nourrissons, les soignons, les emmenons chez le vétérinaire pour leurs vaccins et, en retour, ils apaisent nos âmes de manière subtile mais perceptible.

Plus nous sommes ouverts à ces cadeaux spirituels qu'ils nous offrent, plus ils peuvent les partager avec nous. Les animaux sont une grande bénédiction pour ceux qui œuvrent pour la guérison. Les guérisseurs apprécient leurs talents et la joie qu'ils procurent à autrui mais se sentent souvent vidés par un manque d'énergie réciproque. Ils donnent tellement sans véritable équivalent en retour. Les animaux, de par leur nature, transmutent l'énergie discordante du stress. Tels des femmes de ménages spirituelles, ils pénètrent nos consciences et épongent les troubles émotifs que chaque journée nous apporte. Ce concept est confirmé par la communauté scientifique. Des études menées ont montré que les personnes possédant un animal de compagnie récupéraient plus vite d'une opération ou qu'âgés, ils vivaient plus longtemps que ceux qui n'avaient pas d'animaux.

La conscience des bêtes est le reflet de celle des humains. Il est possible qu'alors que nous sommes sur le point de faire un bond en conscience, un animal fasse irruption dans notre vie pour symboliser ce changement et nous assister dans cette transition. Quand nous en avons déjà plusieurs et que nous sommes en phase transitoire, il arrive parfois que l'un d'eux tombe malade, s'enfuie ou meure.

En faisant des recherches pour cet article, j'ai découvert des informations passionnantes sur l'évolution animale dans les textes de Paramahansa Yogananda. Ce métaphysicien hindou écrit :

L'attention, l'intuition et l'évolution des animaux peuvent être accélérées par un dressage effectué par une personne intuitive. Écoutez la variété de sons émis par différentes espèces quand elles sont contentes, agitées ou jalouses ; vous serez progressivement en mesure de les interpréter et de les utiliser pour leur parler et les aider à évoluer plus rapidement. En fait, une transmission de pensée peut s'établir entre les humains et leur animaux. La compagnie des hommes peut favoriser l'intuition de ses derniers et donc également leur évolution. Souvenez-vous que Dieu est en tout.

Si vous êtes quelqu'un d'axé sur la métaphysique, vous ne douterez pas que l'âme de votre animal a été attirée vers vous afin de profiter de votre niveau de conscience. S'il subit une élévation d'énergie, c'est peut-être parce qu'il désire passer d'une espèce à l'autre dans sa prochaine incarnation et vous lui apportez votre soutien en le préparant à ce saut. En retour, il vous sert inlassablement à un niveau subconscient. Quel merveilleux équilibre naturel et harmonieux entre vous.

En nous aidant à transmuter nos états d'âmes négatifs, les animaux contribuent à faire de nous des personnes de qualité supérieure. En étant réceptifs et conscients de l'effort inconscient qu'ils produisent, nous devenons plus disposés à les servir et à pourvoir à leurs besoins ce qui contribue à l'accélération de l'évolution de leur âme. Tout le monde en sort gagnant.

Cela ne veut pas dire que notre espèce est supérieure aux autres mais nous connaissons tous des animaux qui sont presque humains comme s'ils se trouvaient à la frontière entre les deux. L'âme de certains a envie de vivre une expérience humaine — et nous pouvons les aider à assouvir leur désir.

Nous avons également beaucoup à apprendre de nos amies les bêtes. Notre ego d'humains est beaucoup plus développé que le leur, ce qui peut, à l'évidence, aussi bien nous servir que nous desservir. Nous devons faire usage de notre volonté avec sagesse. La présence des animaux nous enseigne à rester humbles, à nous montrer plus aimants et moins égoïstes. À travers eux, nous pouvons apprendre à exploiter l'énergie de notre ego pour agir de manière positive et constructive.

Texte original de ALUNA MICHAELS traduit de l'anglais par EY@EL
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Ôter partiellement la couleur d'une photo

Un tutoriel très facile réalisable avec n'importe quel logiciel de retouche d'images comme Paint Shop Pro (utilisé ici), Photoshop, GIMP, PhotoFiltre, etc.

© Diego Sevilla Ruiz

Matériel nécessaire

  • une image en couleurs avec un arrière-plan assez détaillé

Instructions

1. Ouvrir deux copies de l'image en couleurs.

2. Sélectionner la deuxième copie et la transformer en échelle de gris pour obtenir une image noir et blanc. Copier et coller le résultat comme nouveau calque dans l'image en couleurs.

3. Activer le calque du haut en noir et blanc (que l'on vient de coller) et utiliser le lasso pour tracer les contours de l'élément à mettre en couleurs. Supprimer, désélectionner et sauvegarder au format JPEG. Et voilà !

NOTE : Il est possible d'utliser la gomme pour les petites surfaces mais le lasso est généralement plus précis. Procéder par petites touches pour les sujets aux contours très détaillés.

© Warner Bros

Pour cette variante, j'ai réduit la saturation de l'image en couleurs de 35% et j'ai augmenté les teintes bleu et cyan d'environ 20%. Pour le calque noir et blanc, j'ai simplement réduit son opacité à 85% pour obtenir un effet légèrement teinté et homogène.

Amusez-vous bien avec vos photos !

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La collecte des eaux de pluie est désormais illégale dans de nombreux états

Bon nombre des libertés dont nous jouissons, ici, aux États-Unis, sont en train de s'éroder rapidement au fur et à mesure que, de terre de liberté, cette nation est en passe de devenir une terre d'esclavage. Toutefois, ce dont j'ai à vous faire part marque le franchissement d'un nouveau seuil dans l'atteinte à nos libertés. Vous n'êtes sans doute pas au courant mais de nombreux états de l'Ouest, dont l'Utah, Washington et le Colorado, ont, depuis longtemps, mis des personnes hors la loi pour avoir collecté des eaux de pluie sur leur propriété parce que, selon les fonctionnaires en place, la pluie appartiendrait à quelqu'un d'autre.

Pour en savoir plus sur la question, consultez ce bulletin d'information en provenance de Salt Lake City. En Utah, il est illégal de détourner les eaux de pluie sans licence valide comme Mark Miller, concessionnaire Toyota, vient de l'apprendre à ses dépens.

Après avoir construit un important système de récupération des eaux de pluie au sein de sa nouvelle concession pour y laver les voitures neuves, Miller a découvert que son projet était, en fait, un « détournement illégal des eaux de pluie ». Bien que sa récupération pour un tel usage découle de la logique de protection des ressources d'autant qu'il pleut rarement en Utah, cette pratique est tout de même considérée comme une violation des droits à la propriété de l'eau qui, apparemment, appartiendrait exclusivement aux divers organismes gouvernementaux de l'Utah.

« L'Utah est le deuxième état d'Amérique où il pleut le moins. Nos lois devraient peut-être se mettre au courant du fait, » explique Miller en réaction à cette ridicule interdiction de collecter les eaux de pluie.

Les autorités locales de Salt Lake City ont trouvé un compromis avec Miller lui permettant d'utiliser « leurs » eaux de pluie mais le fait que des personnes comme lui ne soient pas vraiment propriétaires des eaux qui se déversent sur leur propriété est un bon indicateur du peu de liberté dont nous jouissons actuellement ici, aux États-Unis. (L'accès aux eaux de pluie qui se déversent sur votre propriété semble être un droit fondamental, non ?)

L'interdiction de collecter les eaux de pluie dans d'autres états

L'Utah n'est pas, non plus, le seul état à interdire la collecte des eaux de pluie. Le Colorado et l'état de Washington ont également instauré des restrictions limitant sa libre utilisation mais qui varient en fonction des régions et des législateurs ayant adopté des lois visant à les alléger.

Au Colorado, deux nouvelles lois ont été récemment votées afin d'exempter de ces restrictions les petits systèmes de récupération du style de ceux que les gens utilisent chez eux.

Avant l'adoption desdites lois, le comté de Douglas, dans le Colorado, a mené une étude sur les incidences de la collecte des eaux de pluie sur les nappes aquifères et phréatiques. Il s'avère donc que permettre aux gens de récupérer les eaux de pluie sur leur propriété réduirait, de fait, la sollicitation des infrastructures d'approvisionnement en eau et améliorerait leur protection.

Pour ma part, je ne pense pas qu'il faille une étude pour en arriver à cette conclusion qui s'impose d'elle-même. Nul besoin d'être un éminent savant pour comprendre qu'utiliser l'eau de pluie au lieu de celle du robinet constitue un moyen intelligent et efficace de préserver cette précieuse ressource, en particulier dans ces régions de l'Ouest où la sécheresse est très préoccupante.

Il ressort, en outre, de cette étude qu'environ trois pour-cent seulement des précipitations du comté de Douglas, censées être détournées par les collecteurs d'eau de pluie, se retrouvent dans les rivières et cours d'eau. Quant aux 97 pour-cent restants, ils s'évaporent ou bien s'infiltrent dans le sol pour y être utilisés par les plantes.

Cela sous-entend pourquoi les bureaucrates ne peuvent pas vraiment utiliser l'argument que la collecte des eaux de pluie les empêchent d'aboutir là où elles doivent. Une partie tellement infime parvient à destination que chaque ménage ou presque pourrait récupérer de nombreux tonneaux d'eau de pluie sans réel impact sur la quantité se déversant, au final, dans les rivières et cours d'eau.

Tout ceci n'est qu'une histoire de contrôle

Aussi longtemps que les gens resteront dans l'ignorance et la désinformation à propos des problèmes importants, le gouvernement continuera à nous retirer, petit à petit, les libertés dont nous jouissons. L'unique raison pour laquelle ces restrictions sur l'eau se sont finalement mises à évoluer au mieux est parce que des gens y ont prêté attention et ont œuvré pour faire reculer la loi.

Bien que, dans certains cas, ces lois sur la restriction de la collecte des eaux figurent au registre depuis plus de 100 ans, elles font progressivement marche arrière grâce aux efforts des citoyens qui ont décidé que ça ne pouvait plus durer.

Parce que si nous n'avons même plus le droit de récupérer la pluie qui tombe autour de nous, qu'avons nous le droit de faire exactement ? La question des eaux de pluie met en lumière un grave problème plus général dans l'Amérique actuelle : la réduction des libertés et l'accroissement du contrôle du gouvernement.

Tout compte fait, aujourd'hui, nous avons été reprogrammés à penser que nous avons besoin de la permission du gouvernement pour faire valoir nos droits inaliénables alors que c'est plutôt ce dernier qui est sensé détenir son pouvoir de nous. La République Américaine a été conçue pour que ce gouvernement soit au service du peuple en protégeant et faisant valoir ses droits et libertés. Mais, de plus en plus, notre propre gouvernement restreint les droits de ses citoyens dans ses actions essentielles et de bon sens comme récupérer les eaux de pluie ou acheter du lait cru (non pasteurisé) chez le fermier du coin.

Nous vivons actuellement sous un gouvernement qui a progressivement détourné nos libertés, nous en ré-accordant, de temps à autre, la jouissance d'un nombre très restreint afin de donner l'illusion de faveurs bienveillantes.

Lutter contre l'asservissement

Aussi longtemps que les gens croiront que leurs droits proviennent du gouvernement (et non le contraire), ils seront toujours ses esclaves. Et quels que soient les droits et libertés que nous pensons encore détenir, ils seront rapidement érodés par un système de pouvoir bureaucratique qui ne cherche qu'à étendre son contrôle.

Parce que le même argument qui est actuellement utilisé pour restreindre la collecte des eaux de pluie pourrait, bien sûr, être utilisé pour décréter que vous n'avez aucun droit sur l'air que vous respirez non plus. Après tout, les gouvernements pourraient proclamer que l'air appartient à quelqu'un d'autre et vous imposer ensuite une « taxe ou redevance sur l'air » et exiger que vous payiez pour chaque inspiration qui vous maintient en vie.

Vous ne croyez pas que ce soit possible ? Laissez-leur juste le temps. En réalité, le gouvernement revendique déjà la possession de votre terrain et votre maison. Si vous croyez réellement posséder votre propre maison, arrêtez donc de payer vos impôts fonciers et voyez combien de temps vous en resterez « propriétaire ». Votre ville ou le comté la saisira et la vendra pour rembourser votre « dette fiscale ». Cela prouve bien qui en est le véritable propriétaire... ce n'est pas vous !

Et qu'en est-il de la propriété de votre corps ? Selon l'Institut National de la Propriété Industrielle, 20% de votre code génétique appartiendrait déjà aux universités et corporations américaines. Votre propre corps, affirment-ils, serait en partie, la propriété d'un autre.

Alors s'ils possèdent votre terrain, votre eau et votre corps, combien de temps leur faudra-t-il ensuite pour revendiquer la possession de votre esprit, voire de votre âme ?

A moins de nous opposer à cette tyrannie, elle s'approchera à pas de loup, jour après jour, jusqu'à ce que nous nous retrouvions totalement asservis par un monde de connivence entre gouvernements et corporations où tout ce qui aura de la valeur sera détenu par ces groupes puissants et imposé à la force des armes par les services d'ordres locaux.

Texte original de BIGS traduit de l'anglais par EY@EL
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Bêtisier

Pouet ! Pouet ! Cacahuète !
Toc ! Toc ! Laissez-moi entrer, ça caille trop dehors !
Mais où donc... Oh, et puis zut, ça fait ch... !
Moi aussi je sais faire comme Zidane, fastoche !

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Organisez vos photos avec XnViewMP

Un logiciel dont je ne saurais me passer ! Impossible d'en énumérer toutes les fonctionnalités tellement elles sont nombreuses. En résumé, il sert à visualiser les images (avec possibilité d'intégration à l'explorateur de votre système d'exploitation), les convertir vers d'autres formats, les redimensionner, les recadrer, les retoucher (fonctions basiques) mais également — et surtout — à les ranger et les organiser par catégories. C'est cette fonction en particulier qui me le fait plébisciter.

Que vous n'ayez que vos photos de famille, de vacances ou de voyages à organiser ou que vous soyez passionnés de graphisme, quand on en a beaucoup d'images, il est appréciable de pouvoir retrouver, à tout instant, ce que l'on cherche, facilement et sans prise de tête. XnViewMP remplit fort bien ce rôle. Évidemment il ne va pas faire le boulot de classement à votre place mais il vous facilitera grandement la tâche en vous permettant, par exemple, de glisser une sélection de fichiers vers une catégorie ou plusieurs (que vous devrez avoir créées au préalable), de renommer, ajouter des commentaires, modifier les métadonnées, redimensionner, déplacer etc... par lots. Comme il peut afficher pratiquement tous les formats d'image, vous pourrez y organiser les pinceaux (ou brosses), textures, motifs, masques, tubes, etc. que vous utilisez avec Paint Shop Pro, PhotoShop ou GIMP. Vous pourrez également noter vos images, leur mettre une pastille de couleur ou encore les cocher pour effectuer une pré-sélection.

XnViewMP est gratuit pour un usage non commercial. ll est disponible en plusieurs langues et fonctionne sur différentes plateformes. Son interface est personnalisable à souhait : plusieurs thèmes disponibles (en plus de celui de votre système d'exploitation) et l'agencement des fenêtres et des barres d'outils s'adapte aux besoins de chacun. Il dispose de deux interfaces (ou modes). Le mode Explorateur permet, entre autres, de parcourir ses dossiers, de prévisualiser ses fichiers ainsi que leurs propriétés et leurs métadonnées. Le mode Vue, quant à lui, sert à l'affichage sous forme de diaporama ou en plein écran avec un zoom panoramique pour les images haute définition. La gestion par onglets permet de passer d'un mode à l'autre mais également d'afficher plusieurs images en même temps.

Fonctionnalités

  • Windows, Mac OS X et Linux sont maintenant supportés en versions 32 et 64 bits.
  • Également disponible en version portable pour mettre sur une clé USB par exemple.
  • Traductions améliorées pour beaucoup de langues ainsi qu'une interface modulaire.
  • Prend en charge plus de 500 formats d'image (incluant les formats multi-pages et animés tel que APNG, TIFF, GIF, ICO, etc..) et exporte vers environ 70 formats différents.
  • Possède un puissant module de conversion par lot simple d'emploi. Ce même module est aussi utilisé dans XnConvert (disponible séparément).
  • Possibilité de lui adjoindre des modules externes comme filtres Photoshop, masques, ExifTools, etc.
  • Lit et affiche de nombreux formats vidéo et audio (les codecs doivent être installés).

Téléchargement

XnViewMP (Windows, Mac, Linux)

Pierre E. Gougelet, le développeur de XnViewMP, est francophone et très réactif. N'hésitez donc pas à lui soumettre les soucis que vous pourrez rencontrer avec son logiciel, il mettra un point d'honneur à y apporter une solution. Il tient également compte des demandes de fonctionnalités qu'on lui suggère. Sinon, le forum est très convivial, toujours plein de gens prêts à s'entraider. Sa vocation internationale fait qu'on y parle essentiellement l'anglais mais le français y a sa place.

Forum de XnViewMP

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À l'affiche

La panthère du lac

À l'approche d'Halloween, je comptais publier un article d'Alanna Ketler sur la symbolique véritable du chat noir que je m'...

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