Le monde change

Tout comme feue Claire Séverac et tant d'autres femmes courageuses qui, depuis des décennies, bravent le ridicule, la censure, les menaces, les inversions accusatoires et les étiquettes diverses et avariées de « secte », « gourou », « complotiste » et tant d'autres du même acabit (que vous devriez désormais connaître par cœur tant l'imagination et la créativité de ces imbéciles est pauvre et limitée), Anne Givaudan œuvre à la reprise de souveraineté des êtres humains sur Terre. Elle est, selon ses propres termes, une auteure, conférencière et thérapeute des âmes et des corps, initiatrice des soins esséniens. Dans une toute récente interview sur la chaîne YouTube Reconnexion Starseed où elle parle principalement du phénomène « walk-in », elle a évoqué les événements actuels auxquels notre monde est confronté depuis la psyop covidienne et l'éveil croissant et tangible des populations qui rend difficile l'avancée de l'agenda des élites mondialistes manipulées par les forces de l'ombre. Ce sont donc ces passages en particulier que j'ai choisi de retranscrire et d'adapter pour vous ci-dessous — la vidéo complète, quant à elle, dure un peu plus d'une heure.

Ey@el

Qu'est-ce qu'on fait de ce qu'on est ? Qu'est-ce qu'on va faire ? Est-ce qu'on est d'accord ? Est-ce qu'on arrête de dire oui à des choses qui sont complètement inconséquentes, inimaginables ou inacceptables ? Est-ce qu'on continue de de faire ça ? Jusqu'où ils vont pouvoir aller ?

Ils ont fait des tests et là, ils se disent « Bah, maintenant c'est bien parce que pour n'importe quelle pandémie qu'on pourra créer ou qu'on pourra imaginer, on sait que les gens vont obéir ».

Mais en même temps, je pense qu'il risque d'y avoir des surprises parce que les gens n'obéiront pas forcément de la même façon et c'est ce que certains craignent. Et ils craignent tellement cela qu'ils en sont en ce moment davantage à chercher à nuire à la population mondiale ou en tout cas, à se protéger de l'évolution des humains. Parce que c'est ça qui leur fait peur. Les gens se réveillent et se disent « Bon, maintenant on nous a eu une fois, on ne nous aura pas ».

Et c'est bien ce que craignent justement les côtés de l'ombre parce que ça là ils savent pas comment faire. Ils savent très bien gérer les révolutions, les bagarres, les gens qui vont aller manifester et tout ça. Ça ne les dérange pas parce qu'ils savent très bien comment ils peuvent faire, comment empêcher ça ou comment réagir par rapport à ça. Par contre, ils sont complètement ignorants par rapport à comment gérer de la solidarité entre les gens ; comment gérer le non ; comment gérer le fait que tout d'un coup les gens reprennent leur pouvoir et refusent une autorité stupide. Pour ça, ils sont incompétents et c'est là notre pouvoir.

On ne peut pas lutter avec les mêmes armes. On peut pas se dire « Tiens, on va les destituer ». Ça ne veut rien dire : il y en a un autre qui arrivera parce qu'ils ont tout prévu. Donc que ce soit l'un ou l'autre, ça n'a aucune importance de toute façon. Ce ne sont que les pantins d'autres êtres donc ce n'est pas ça qui va aider. C'est vraiment à un moment donné de se dire comment on peut faire parce que il y a beaucoup d'utilisation d'une magie opérationnelle extrêmement puissante — d'une magie noire extrêmement puissante et on ne peut pas lutter simplement en disant « On va se battre, on va faire ci, on va faire ça ».

Par contre, en reprenant notre pouvoir, oui, ça peut marcher.

Les Élites de l'ombre

Ceux-là, à partir du moment où ils perdront leur pouvoir ils seront anéantis. C'est comme un ballon qui se dégonfle. Ce sont des ballons de baudruche pour l'instant qui nous font croire qu'ils ont du pouvoir et nous on le croit. Les humains le croient mais à partir du moment où on arrête de leur donner du pouvoir c'est comme s'ils se dégonflaient. Je dirais qu'à un moment donné, ils n'auront plus d'existence. Et si on arrête les nourrir, il n'y a plus rien, c'est fini.

Bon, c'est pour ça que quand j'ai écrit les dossiers du gouvernement mondial, c'est vrai que j'ai eu affaire à eux mais si on tient la rampe c'est tout bon. Il y en a qui sont morts quand même. Il y a Claire Séverac, par exemple. Bon, elle a été … il y a beaucoup d'êtres qui ont été suicidés ou malades mais pas d'une maladie tout à fait normale. Donc c'est vrai, il y a des risques mais en même temps si on laisse tout faire …

La peur de la mort

À partir du moment où on n'a pas peur de la mort, on n'a plus peur de la vie et à ce moment-là on peut agir. C'est c'est ça qu'il faut se dire.

C'est ce qui arrive par exemple chez des gens qui font des choses incroyables ou même au niveau sportif — à n'importe quel niveau — c'est qu'à un moment donné, ils ont surpassé ou dépassé la peur de la mort et à ce moment-là ils commencent à vivre et peuvent vivre à tous les niveaux. Sinon la peur et l'amour,ça va jamais ensemble donc tant qu'on a peur, il y a des choses qui ne pourront jamais se réaliser.

Ils ont joué beaucoup là-dessus ces dernières années et c'est comme ça qu'ils ont eu la plupart de la population. On arrivait à des choses extrêmes qui étaient ridicules. Mais ils ont testé leur pouvoir pour voir comment, psychologiquement, ils pouvaient amener les gens jusque là. Et maintenant, ils se disent que « Bah, ils vont pouvoir le refaire ». C'est pour ça que je dis que ce n'est pas fini.

Ce n'est pas fini mais les gens se réveillent.

Moi, je dis toujours aux personnes « Ne restez pas toutes seules, mettez-vous à des endroits où vous pouvez être avec d'autres avec qui vous pouvez parler ; avec qui vous pouvez communiquer ; avec qui il se passe quelque chose ».

Le formatage des enfants

Il faut sortir de ce mensonge qui crée des êtres pauvres qui se sentent seuls, qui sont malheureux et qui, en fait, sont formatés alors qu'au départ ils avaient plein d'idées.

Un petit, tant qu'il n'est pas à l'école, ça va. Il a plein de possibilités et puis après il est formaté. Ce n'est pas dû aux instituteurs mais au programme.

On veut faire des personnes qui obéissent et qui ont un enseignement limité et maintenant, en plus ,on les met par cases. C'est-à-dire qu'ils doivent être spécialisés dans un domaine et ne peuvent donc pas avoir une vue d'ensemble sur tout le reste, ce qui est grave. Ça ne va faire que des spécialistes.

Et il y a pire avec les histoires sexuelles qui arrangent bien tous les pédophiles.

L'écroulement des vieilles structures

On est comme dans un jeu d'échecs où on positionne sa Tour, sa Reine. Qu'est-ce qu'on veut ? Est-ce qu'on veut continuer comme ça ? Non.

Alors est-ce qu'on accepte que les vieilles structures tombent, que financièrement il y aura peut-être des catastrophes — économiquement, politiquement. Mais, en fait, c'est logique.

Si on ne lâche pas, on va être malheureux et ce n'est pas le but. C'est normal que les vieilles structures se détruisent donc on ne va pas essayer de les recolmater — de refaire du neuf avec du vieux et des choses comme ça.

Au contraire, il est important que ça puisse s'écrouler le plus vite possible. La médecine est en train de s'écrouler mais en même temps les gens sont en train de chercher des médecines alternatives alors on veut les en empêcher avec des lois stupides. Ceci dit, loi ou pas loi, ils le feront quand même.

Je viens de recevoir le livre d'un médecin justement qui voulait être guérisseur au départ mais est devenu médecin et il parle de onze personnes qui étaient toutes condamnées et qui s'en sont sorties — pas forcément grâce à la médecine, certaines peut-être un peu mais surtout grâce à elles-mêmes. Et c'est très intéressant parce que je me dis que, maintenant, il y a même des médecins qui sont en train de faire des thèses là-dessus.

Ça veut dire que le monde change.

Texte original de ANNE GIVAUDAN traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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