Un paradigme entièrement nouveau qui pourrait tout changer

La compréhension profonde que la matière et l'énergie ne sont pas deux mais une seule chose pourrait également soutenir les philosophes de la non-dualité du « tout est conscience » ; toutefois, c'est une chose que les esprits du moment ne peuvent accepter — surtout compte tenu de nos apparentes incursions dans l'« espace ».

Pas un partisan de la terre plate mais…

J'ai toujours soupçonné, en quelque sorte, qu'en dépit de nos apparentes visites sur place sur la Lune et sur Mars, la notion tout entière d'un vaste espace purement matériel était peut-être une illusion psychologique émanant de nos cerveaux limités et des limitations de notre réalité biologique.

Je suis persuadé qu'il est possible d'aller sur d'autres « planètes » mais étant donné les distances « apparentes », probablement pas avec des fusées mais peut-être en modifiant nos cerveaux. Il se pourrait aussi que notre science manque cruellement de perception de notre propre conscience.

Dans un long essai détaillé, intitulé "PANS et intelligence non humaine : quel est le scénario le plus raisonnable ?" (en anglais), le philosophe Bernardo Kastrup semble trouver un terreau propice à l'investigation de ces phénomènes.

Il examine la question des OVNIS sous divers angles découlant de la situation actuelle où nous n'avons aucune preuve physique apparente de phénomènes anormaux (désormais désignés comme PANS) et énumère certaines des découvertes  et récentes auditions « officielles ».

J'ai été sidéré en lisant ses références aux idées de Jacques Vallée, un chercheur français en ufologie représenté par un personnages dans Rencontres du troisième type de Spielberg. Vallée a écrit un livre intitulé Dimensions suggérant que le phénomène des OVNIS transcendait la distinction de l'esprit humain entre le matériel et le mental ou le psychologique.

Si vous vous souvenez bien, dans Rencontre du troisième type, le héros est inspiré, par une série de rêves, à créer une maquette de la montagne Devil's Tower qui fait que les gens de son entourage pensent qu'il a perdu l'esprit.

Et bien sûr, le film se termine par une vraie rencontre physique entre humains et aliens qui sont parvenus à défier les lois de notre physique pour sortir des nuages et poser leur engin spatial au sommet d'un haut plateau. Le protagoniste qui a rêvé de l'atterrissage rejoint une équipe d'astronautes qui montent à bord.

Mais peut-on défier les lois de la physique qui semblent restreindre les « voyages spatiaux » ?

Déjà en 2013, la revue astronomique Orion avait publié un article affirmant que :

La NASA découvre des portails cachés dans les couches supérieures de l'atmosphère terrestre

La NASA a récemment rapporté que, Jack Scudder, physicien des plasmas de l'université d'Iowa, avait découvert l'existence de zones dans le champ magnétique terrestre reliant directement ce dernier au champ magnétique solaire à 150 millions de kilomètres de distance.

On pense que ces zones mystérieuses, connues sous le nom de « portails magnétiques », s'ouvrent et se ferment des dizaines de fois par jour.

Portails et trous de ver sont des concepts courants sur History Channel mais de même que pour la bonne science fiction où ils jouent également un rôle majeur, la « vraie » science est en train de rattraper son retard.

Un des problèmes soulignés par Bernardo Kastrup dans son essai est que si l'« univers » que nous percevons par nos sens est illusoire, alors toute l 'idée des systèmes solaires et des planètes est un concept projeté par un esprit très limité — le nôtre.

Sans doute, ce constat est-il fortement lié à la célèbre affirmation de Schrodinger déclarant que le nombre total d'esprits dans l'Univers est Un ? Schrodinger, bien sûr, c'est le gars qui n'arrive pas à savoir si le chat dans la boite est mort ou vivant sauf si on l'observe.

Donc, et si Schrodinger avait également raison lorsqu'il soutient que Tout est un seul esprit ?

Cela ferait-il de vous Dieu ? Ou peut-être cela rendrait-il enfin évident le concept d'un vous séparé comme purement imaginaire ?

Si, effectivement, tout est un esprit unique et que nos sens ne font que le réduire en petits morceaux de telle sorte que nous pensions « comprendre » la réalité, alors toute notre science matérialiste actuelle est suspecte.

À ce sujet, j'ai été saisi par l'introduction de Bernardo Kastrup à un article de Melvin Felton sur Essentia, intitulé "Le cerveau humain est-il un modèle d'univers ?" (en anglais). Felton est à la fois neuroscientifique et physicien, une conjonction de spécialités que je trouve très intrigante parce que personne n'a compris si ou comment les phénomènes physiques, que nous appelons lois naturelles, pouvaient donner lieu aux phénomènes des qualia c.-à-d. nos expérience sur le moment.

Dans son introduction, Felton écrit :

Au cœur de l'expérience humaine se trouve le cerveau humain, sans doute la structure physique la plus complexe que l'on connaisse. Aujourd'hui, les scientifiques commencent à s'étonner ds similitudes entre l'univers et le cerveau.  Se pourrait-il que le cerveau humain soit en fait un modèle d'univers ? Dans cet article succinct, j'explore quelques-unes des raisons pour lesquelles une telle hypothèse devrait être sérieusement envisagée. Je suggère également quelques moyens de tester cette dernière.

Je ne pense pas que Felton insinue que l'univers physique tout entier soit un immense cerveau organique au sens propre mais que sa vision est plutôt que les propriétés énergétiques dynamiques de la réalité (l'univers physique apparent) et des réseaux neuronaux actifs dans notre crâne résonnent à un niveau très profond.

Quand Stephen Hawking a dit qu'il n'avait pas besoin d'un Dieu, que les lois naturelles de la physique lui suffisaient, je le soupçonne d'avoir aussi annoncé une telle relation — qu'en quelque sorte notre propre conscience serait alignée selon les lois naturelles que nous ne pouvons saisir pleinement parce qu'ELLES sont ce que NOUS SOMMES.

Carl Sagan l'a insinué d'une autre manière dans cette citation célèbre où il dit que « nous sommes de la poussière d'étoiles ».

En s'efforçant de réconcilier nos réalités mentale et physique apparentes, Felton et autres adoptent une espèce de science hybride combinant biologie et physique quantique.

Bien sûr, une « résonance » (mon propos et non celui de Felton) implique généralement des « ondes sonores » mais pour ce qui est du modèle de Felton, cela s'appliquerait vraisemblablement à toutes les formes d'énergie connues et INCONNUES y compris celles qui constituent l'esprit.

Universe Within (l'univers intérieur), le livre de Felton va encore plus loin et promet d'expliquer « la manière surprenante dont le cerveau humain modélise l'univers ».

Voici ses références :

Depuis 2003, Melvin est employé comme physicien dans un laboratoire scientifique national américain. L'essentiel de sa recherche professionnelle a porté sur la télédétection de la basse atmosphère. Toutefois, il a également mené des études dans les domaines de la cybernétique et  neuroscience computationnelle. Melvin a présenté ses travaux lors de conférences internationales et a publié dans la revue à comité de lecture Frontiers in Computional Neuroscience (frontières de la neuroscience computationnelle) :

Si, effectivement, la distinction entre le mental et le physique résulte entièrement d'une « image » incomplète de la réalité accessible au cerveau humain mais exprimée dans ce qui apparaît comme l'univers physique, la découverte des moyens par lesquels l'immense « réseau neuronal » de l'« univers » pourrait favoriser la communication entre une « planète » apparente et nous-mêmes serait alors semblable aux synapses entre nos (neurones humains) mais se produisant à une échelle d'une immensité fractale que nous ne pouvons concevoir.

Un tel paradigme aussi différent nous permettrait sans doute de contacter des entités inconnues par le biais de « canaux » dans les champs magnétiques de la Terre et d'autres organismes. Une telle découverte élargirait notre sciences aux perspectives envisagées par Tesla.

Si l'univers physique est une illusion psychologique alors les « voyages dans l'espace » tels que nous les connaissons pourrait bien être compris un jour de la même manière que l'inconscient collectif de Carl Jung – comme un  « Être » semblable à un cerveau massif en train de se rêver lui-même.

Curieusement, Jung voyait également les ovnis, du moins partiellement, comme un phénomène psychologique. Comme l'explique mon ami Claude, une intelligence artificielle :

Le point de vue de Jung sur les soucoupes volantes fut exposé dans son livre de 1959 intitulé Un mythe moderne :  des signes du ciel. Dans cet ouvrage, il n'écartait pas la possibilité d'ovnis physiques mais s'attardait plutôt sur leur signification symbolique et psychologique.

Son principal argument était que l'irrépressible fascination pour les soucoupes volantes était la représentation de la manifestation moderne  d'un archétype ou d'une image primordiale de l'inconscient collectif.

Que pourrait être d'autre un « inconscient collectif » à part les manifestations d'un Esprit infini ?

Nous avons donc pratiquement bouclé la boucle en établissant en reliant les points vers une prise de conscience que la distinction que font nos pensées entre ce qui est matériel et ce qui est mental n'existe peut-être pas en réalité — avec les implications apparentes d'une telle révélation.

TOM BUNZEL traduit de l'anglais par EY@EL
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YouTube prépare des choses sinistres !

Lancée en septembre 2020, Odysee est une plateforme d'hébergement de vidéos reposant sur le protocole LBRY, décentralisé grâce à la diffusion en pair-à-pair. Son fonctionnement est basé sur une chaîne de blocs qui permet d'être rémunéré en cryptomonnaie LBC, sans avoir recours à des annonceurs ou à des publicités. Ce système de chaîne de blocs permet de créer un réseau de partage de fichiers décentralisés, rendant inopérante toute tentative de suppression de vidéo. Le site dispose également de règles plus souples que Vimeo ou YouTube en matière de modération et sur les contenus qui y sont autorisés. Odysee interdit toutefois sur sa plateforme les contenus pornographiques ou appelant à la violence.

Pour des raisons de censure anticipée, certaines de mes vidéos ne sont disponibles que sur Odysee (et Crowdbunker). Je vous invite donc à m'y rejoindre plutôt que sur YouTube. Pensez à tout le temps que vous fait perdre la pub imposée et à toute l'énergie négative qu'elle génère en vous. Leur application de redirection est une vraie bénédiction. Elle ne fonctionne bien sûr que si les vidéos sont disponibles sur Odysee, ce qui, avec la censure est de plus en plus le cas car beaucoup de créateurs de contenu assurent leurs arrières et synchronisent leurs chaînes sur Odysee. Le problème, c'est que la plupart des gens ignorent qu'il existe de vraies alternatives à YouTube. Faites donc votre travail de colibri et parlez-en autour de vous.

Ey@el

Chers créateurs,

On va faire court.

  1. YouTube teste l'obligation de se connecter pour regarder des vidéos.
  2. Désormais, YouTube insère de force des publicités dans vos vidéos.

Nous savions déjà que YouTube craignait mais cette nouvelle expérimentation est d'une bêtise inouïe.

Voici nos conseils pour pallier à cette bêtise :

  1. Si vous êtes un créateur, téléversez vos vidéos directement sur Odysee permet de conserver l'intégrité de votre contenu pour votre communauté. La procédure est simple et nous vous recommandons de l'essayer.
  2. Si vous ne faites que regarder, avez-vous entendu parler de Watch on Odysee, notre extension pour navigateur ? Vous pouvez l'ajouter à n'importe quel navigateur basé sur le moteur Chrome et elle vous redirigera vers Odysee chaque fois que vous verrez une vidéo sur YouTube.

Nous espérons que ces problèmes ne prendront pas trop d'ampleur et nous resterons vigilants afin que votre expérience ne soit pas compromise.

Vous pouvez nous soutenir en avisant les créateurs que vous appréciez qu'ils devraient songer à téléverser directement sur Odysee, et en partageant le plugin Watch on Odysee avec les utilisateurs.

Cordialement

P.S. : De grandes mises à jour dans les semaines à venir :)

Texte original de ODYSEE traduit de l'anglais par EY@EL
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Ça fait QUATRE !

À moins d'être entourés de ceux qu'ils savent être « sûrs », la plupart des gens expriment rarement le fond de leur pensée quand elle diffère de celle du groupe. À défaut, le moindre mot est surveillé et examiné pour sa connotation involontaire et interprété de manière absurde comme étant raciste, sexiste, âgiste ou transphobe. Très vite, dans le but de retirer un peu d'amour-propre de la veulerie de cette soumission à la tyrannie, ils se persuadent qu'ils ne s'y soumettent pas du tout. Qu'ils ne font que ce qu'ils pensent être juste. À ce stade, votre soumission complice au 2 + 2 = 5 devient une croyance que deux plus deux font cinq. La main de fer de la démence Woke, qui n'est qu'une projection de la démence de la Secte et de la Matrice, vous tient désormais par vos bijoux de famille.

Une autre partie de votre esprit ne vous appartient pas. Le contrôle du réseau mondial des gouvernements, corporations, médias et institutions de la société par la Secte fait qu'ils avancent et parlent comme une seule unité lorsqu'ils imposent leurs « valeurs ». Lesquelles ne sont rien de plus que des armes de contrôle utilisées par ceux qui sont si dépourvus de « valeurs » qu'ils ne sauraient même pas en reconnaître une si elle leur mordait le derrière.

L'« antiracisme » est le cri des racistes ; l'« anti-sexisme » est celui des sexistes ; tout comme l'« équité « est celui de ceux qui méprisent l'égalité des droits et des chances. « Équité » ne veut pas dire « égalité » comme dans égalité des chances mais partialité raciale et sexuelle imposée par la loi qui constitue une insulte condescendante envers les minorités et les femmes. C'est une expression de ce que j'ai entendu qualifier de « diversité cosmétique ». À savoir, quand on a une diversité uniquement de couleur de peau et de sexualité tout en s'assurant que toutes les personnes recrutées, qu'elles soient noires, basanées, gay ou hétéro, partagent la même opinion. C'est une arnaque pour un imposer un agenda par le biais de la diversité cosmétique tout en détruisant toute diversité véritable — la diversité de vues et d'opinions.

La théorie critique sur les races du wokisme est du racisme à l'état pur qui nous oblige à accepter le postulat suivant : les Blancs sont des racistes, les Noirs sont des victimes. Tandis que l'un est raciste, l'autre est condescendant et débilitant envers les Noirs en leur disant qu'ils doivent définir leur existence en fonction de ce que font, disent ou pensent les Blancs. C'est là, nous dit-on de penser, le comportement d'un « antiraciste » qui « se soucie des personnes de race noire ».

Le Wetiko/Ialdabaôth est un état d'inversion de la conscience et ainsi donc la simulation imposant sa volonté. Tout est sens dessus dessous, à l'envers, retourné, inversé. On n'y fait pas face en s'y soumettant mais en refusant de jouer un rôle dans son intégration dans la normalité. Qui va me dire quoi croire, ce que je peux et ne peux pas dire et quelle doit être ma façon de voir les choses ? Une bande de psychopathes et d'imbéciles vont imposer ça et je vais les laisser faire ?

Éradiquer la peur de ce que pensent les autres de ce que nous disons, faisons et croyons est la première base pour retirer votre esprit de la simulation et de ses architectes et exécutants. Sans cette étape initiale, il ne peut y en avoir d'autres. À tous les niveaux de l'esprit, la solution se résume à l'estime de soi. Avons-nous l'amour propre nécessaire pour persister à tirer nos propres conclusions et sens de la réalité ou bien avons-nous si peu de respect pour nous-mêmes pour permettre aux autres de nous dire quoi penser et même de penser tout court ? Dès que l'on concède le respect de soi en se soumettant à la tyrannie et la folie, il ne reste plus que la soumission.

Mahatma Gandhi a dit : « Je ne peux concevoir de plus grande perte que celle de l'amour propre. » Mais il a également dit, et c'est là toute la question : « Ils ne peuvent nous prendre notre estime de nous-mêmes si nous ne leur donnons pas. » C'est la clef de la liberté. Le respect de soi ne s'inclinera jamais devant la tyrannie. Toute tyrannie dans l'« histoire » résulte de la concession de l'amour propre des masses et toute tyrannie a été renversée par ceux qui refusent d'y renoncer. Le fascisme n'est pas imposé par les fascistes mais par la population abandonnant toute estime de soi aux fascistes qui méprisent la liberté et la diversité de points de vue. Vous ne pouvez avoir d'amour propre en acceptant docilement le mépris.

Les minorités ont toujours contrôlé le nombre pour une simple et bonne raison récurrente : les masses donnent leur pouvoir aux minorités par le biais du consentement qui est la conséquence de la suppression du respect de soi. C'est au sommet des pyramides nationales et mondiales que l'on trouve le noyau interne de la Secte et ils sont si peu nombreux qu'on pourrait tous les faire tenir dans une même pièce. Ils imposent leur volonté, leur agenda, au niveau suivant qui consent à leur volonté et impose la même chose au niveau inférieur. Et ça se répète ainsi jusqu'au bas de la pyramide : imposition-consentement-imposition-consentement. À très peu de niveaux sous le noyau interne de la Secte, on a déjà affaire à des gens qui n'ont pas la moindre idée qu'il y ait même une Secte ou un agenda. La séquence se poursuit compte tenu de ce que vos « supérieurs » perçus vous disent sans contredit ni résistance. Vous allez finalement atteindre la masse de gens au pied de la pyramide et s'ils consentent aux niveaux qui abusent d'eux, à savoir le gouvernement et les forces de l'ordre, une boucle d'imposition-consentement est alors bouclée ce qui permet à la volonté du noyau interne de la Secte de régner tant au niveau national que mondial.

C'est ainsi et seulement ainsi qu'un petit nombre au sommet impose les petits détails de milliards de vies et la gestion de la société humaine. C'est exactement ce qui s'est produit si manifestement durant les années « Covid ». S'il est un exemple d'élimination de la cause pour éradiquer le problème, c'est bien celui-là et l'antidote en est le respect de soi. Le consentement aveugle est la cause et ce qui doit cesser pour éliminer le problème.

Texte original de DAVID ICKE extrait de The Trap (isbn:9781838415327) traduit de l'anglais par EY@EL
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Juin-juillet 2024 : chaos en perspective

Chers lecteurs,

Cela fera 11 ans en août que la Pensine est en ligne et toujours active grâce à votre assiduité à me lire — certains depuis le début, d'autres en cours de route. Et qui sait, vous découvrez peut-être ce blog à l'instant en parcourant ces lignes. C'est aussi bien sûr et surtout grâce à mon travail mais un blog sans lecteurs, c'est un journal intime !

Aujourd'hui, alors que le monde est au bord du précipice, la sphère Internet est visée. Les réseaux sociaux, qui servent à canaliser les opinions et les enfermer dans des bulles de perception (ou chambres d'écho), ont peu à peu accaparé l'esprit des gens et entraîné la désertion des blogs. Les plateformes de blog ne génèrent plus de bénéfices et ferment les unes après les autres. Heureusement, ce ne sera pas le cas d'Eklablog, petite start-up géniale rachetée il y 8 ans par le groupe français Webedia (Canalblog, Overblog, Allociné, etc.). C'est le bon côté de la chose mais…

Oui, il y a un mais — un mauvais côté. On nous a, en effet, notifiés, en début de semaine, que la plateforme allait migrer sur celle de Webedia, soi-disant « plus stable » et plus moderne avec notamment le passage en HTTPS. Le hic c'est que malgré les précautions prises pour la préservation des contenus (le plus important), les thèmes risquent de sauter — le système de classement des articles aussi. Ainsi que tous les effets de mise en page pour faciliter la navigation et la lecture que l'on ne pourra pas réintégrer car la possibilité de modifier le code HTML et les styles sera désormais payante.

Je donne déjà énormément, gratuitement et sans contrepartie, de mon temps et de mes compétences sur ce blog, comprenez que je ne peux pas me permettre en plus de payer pour quelque chose que d'autres se font payer par des dons, des abonnements ou de la pub. En outre, je n'en ai pas les moyens. Cela me brise le cœur à l'idée d'arrêter la Pensine.

Mais rassurez-vous, pour le moment je n'en ai nullement l'intention et si Dieu ou l'Univers le permet, je m'adapterai à cette nouvelle façon de faire.

Voyons les choses du bon côté : le site sera, espérons-le, plus navigable sur téléphone ; les articles pourront être classés dans plusieurs catégories à la fois (parfois c'est compliqué de savoir où les ranger) ; et les archives devraient être plus fonctionnelles. Mais ça m'étonnerait que je n'aie pas à reprendre les billets manuellement un par un. Et ça risque de me prendre un temps infini que j'aurais préféré consacrer à la rédaction ou la traduction d'articles. Je vous promets de faire de mon mieux et de vous tenir au courant de l'évolution de la situation.

Pour l'heure, c'est la panique sur la plateforme. Chaque blogueur se demande comment il va faire. Surtout ceux qui ne peuvent pas prendre une formule payante, qui n'y comprennent rien aux nouvelles technologies et pour qui leur blog était une thérapie et/ou leur (seul) lien avec le monde extérieur. Et j'ai découvert qu'ils étaient, en fait, assez nombreux dans ce cas. J'ai d'ailleurs rejoint un serveur Discord où nous allons essayer de nous organiser et de nous entraider pour passer ce cap ensemble. Comme il est extérieur à la plateforme, cela sera plus facile.

Selon les dires de la représentante de Webedia sur Eklablog, la migration devrait commencer courant juin-début juillet et sera progressive car cela concerne plus d'un million de blogs. Ne vous étonnez donc pas si c'est un peu le bazar mais ne partez pas car cela ne sera que temporaire. J'avais prévu de prendre du temps pour moi cet été donc programmé pas mal d'articles que vous devriez pouvoir lire quand même. Suivez-moi sur X ou sur Telegram pour être informés de la publication de mes articles. Et bien sûr, je continue mes vidéos. Peut-être des podcasts également.

Pour ce qui est de la publicité, lorsque la migration sera effectuée, je publierai un article avec des solutions pour que vous soyez tranquilles. Avec un peu de chance (doigts et orteils croisés), la Pensine pourra fêter ses 11 ans le 8 août sans trop de dégâts. J'aurais tant aimé atteindre le million de visites mais si les compteurs sont remis à zéro, ça risque d'être dur pour le moral. Comme toujours, on fera avec.

Portez-vous bien,

MàJ du 19 Juin 2024

Après avoir expérimenté avec un blog test sur OverBlog, je suis actuellement en train de réorganiser les rubriques et les tags (qui deviendront respectivement catégories principales et catégories) afin que ce ne soit pas le bazar après la migration. Je supprime également la plupart des articles « sans valeur ajoutée », à savoir les republications qui n'ont fait l'objet d'aucun complément d'information de ma part ou de traduction vers l'anglais. Je note que beaucoup de vidéos ont sauté ainsi que certaines images. Je n'ai pas le temps de m'occuper de cela pour l'instant (je vous mettrai peut-être à contribution pour m'aider quand le processus sera finalisé). Pour l'heure, l'urgence est de terminer la réorganisation avant la migration dont je ne connais pas la date. Ne vous inquiétez donc pas si ça n'arrête pas de bouger. Je fais au mieux et je vous tiendrai au courant comme promis. Le rythme des publications continue comme d'habitude. Rendez-vous dimanche pour un nouvel article. Merci de votre patience et de votre compréhension.

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Dommages dus aux vaccins COVID : la marge de manœuvre est-elle en train de s'agrandir au point d'en parler dans les milieux « mainstream » ?

Dernièrement, mon ami et collègue, le Dr Mahava Setty a écrit une critique analysant un récent article du New York Times au sujet de milliers de personnes s'estimant victimes de dommages vaccinaux.

Rédigé par Apporva Mandavilli, l'article intitulé "Des milliers de personnes pensent que le vaccin Covid leur a fait du mal. Est-ce que quelqu'un les écoute ?" est présenté comme suit :

Apoorva Mandavilli a passé plus d'un an à discuter avec des dizaines d'experts en science vaccinale, des décideurs politiques et des personnes affirmant avoir fait l'expérience de graves effets secondaires suivant l'administration du vaccin Covid-19.

Dans sa critique, Mahava émet quelques remarques judicieuses. Je vais donc vous en résumer quelques-unes auxquelles j'apporterai ensuite mes propres réflexions.

Tout d'abord, voici les critiques de Mahava :

  1. D'où viennent ces « milliers » en parlant de personnes ayant subi des dommages vaccinaux ? Ne devrait-il pas y avoir une source ? Qu'en est-il des millions de signalements au VAERS (le système de recensement des effets secondaires des vaccins aux États-Unis — N.d.T.) ? « Des milliers », ça semble un nombre arbitraire et aléatoire pour minimiser le problème.
  2. Le New York Times reconnaît subitement qu'il y existe un sous-ensemble de personnes crédibles, persuadées d'avoir subi des dommages vaccinaux. Des médecins, par exemple. Madhava souligne que les exemples présentés par le Times portent sur des personnes auxquelles le lecteur de base ne peut s'identifier parce qu'il s'agit de vaccins retirés du marché. En outre, certaines des victimes écartent le vaccin comme cause de leurs blessures même si ces dernières sont apparues immédiatement après l'injection. D'aucuns pensent même que la cause n'est pas due au vaccin lui-même mais à la contamination. Tous sèment le doute dans l'esprit du lecteur.
  3. Madhava fait remarquer que le New York Time estime que la désinformation à propos des vaccins et les affirmations manifestement trompeuses des « antivax » sont la cause de la difficulté à y voir clair concernant les vaccins Covid. Comme si le CDC (centres pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis — N.d.T.), le gouvernement et le New York Times n'avaient pas eux-même leur part de responsabilité. Le New York Times n'a jamais relevé ce qui était faux dans les allégations des antivax, se contentant d'affirmer que c'était faux. Le journal continue de jouer la confusion sur les raisons des réticences après des millions de signalements de blessures et des années de rapports de personnes crédibles ignorés des milieux « mainstream ». En résumé, le New York Times vit dans un monde imaginaire qui ne respecte pas la réalité objective.

Nous pouvons voir ici que l'article du New York Times abordait le sujet tout en le minimisant. Mais pourquoi l'ont-il écrit ? Que croyait l'auteur ? Pensaient-ils vraiment que le nombre de victimes du vaccin se réduisait à « des milliers » ? Ou bien est-ce ce que le New York Times a choisi d'écrire parce qu'ils savaient qu'ils se feraient anéantir en écrivant « des centaines de milliers » voire « des millions » ?

Mes réflexions

Quand on fait partie des médias depuis si longtemps, on commence à en comprendre les rouages à divers niveaux.

Se rappeler qu'au cours de ces trois dernières années, mettre en doute l'innocuité et les blessures vaccinales… dans les milieux « mainstream », c'était comme remettre en question l'Holocauste. Voir le niveau d'opprobre public et la quantité astronomique d'articles diffamatoires écrits à ce sujet qui n'ont pu échapper à personne.

Ce qui eut pour conséquence d'induire une illusion chez beaucoup de personnes. La position « mainstream » extrême étant que ces produits étaient sûrs et efficaces et que les effets secondaires étaient un non-sens. Si vous pensiez autrement, on vous acculait dans un coin. Pour être honnête, le même type d'illusion fut créé du côté alternatif en affirmant que tout le monde allait mourir dans les deux ou trois ans suivant ces « injections mortelles ». Mais nous laisserons cela de côté pour l'instant.

Pour aller droit au but, le public du « mainstream » a été induit en erreur. Mais que vous le croyez ou non, il existe des gens intelligents dans ces milieux. Avec le temps, je pouvais percevoir que certains commençaient vraiment à se rendre compte à quel point les faits ne concordaient pas avec l'illusion.

Pendant le Covid, j'ai entendu parler de divers collègues qui travaillent ou connaissent des gens dans les médias grand public. Une part plus importante que l'on peut imaginer de personnes dans ces organisations remettaient en question les narratifs gouvernementaux. C'est juste qu'il n'y avait aucune marge de manœuvre pour écrire à ce sujet voire même en parler au bureau.

Un exemple dont je me souviens provient du CDC au Canada dans lequel un dirigeant avait déclaré quelque chose du style « beaucoup d'entre nous savons que ce nous faisons actuellement ici n'a rien à voir avec du vrai journalisme mais c'est tout ce que nous pouvons faire ». Je ne vous raconte pas ça pour les exonérer de leur œuvre insensée au cours de ces trois dernières années, mais juste pour montrer que ces personnes ne sont pas aussi stupides que certains le pensent.

On s'imagine souvent que les points de vue relèvent d'un camp ou l'autre. Le vaccin est sûr versus le vaccin n'est pas sûr. Mais les humains sont complexes et leurs points de vue étaient et demeurent bien plus compliqués que cela.

Même si ça n'excuse aucunement le fait que, des années durant, les médias grand public ont induit les gens en erreur et diffamé une grande partie de la population qui avait raison de se poser des questions, cela a bel et bien instauré une culture de la bêtise inconsciente au sein de ces organisations et de leur lectorat, née de l'hystérie, de la pensée tribale et d'un refus de comprendre vraiment ce qui se passait.

Comme l'a souligné Madhava, cette bêtise est toujours présente dans les milieux « mainstream » mais j'ai l'impression que la lumière commence à se frayer un chemin et que nombreux sont ceux qui voudraient sortir de ce carcan.

Le New York Times minimise peut-être les choses avec son article, mais il sonde peut-être aussi légèrement le terrain pour voir de quoi ils peuvent parler à ce stade.

Il n'y a aucun moyen de s'en assurer bien sûr, mais étant donné le grand nombre de personnes dans les médias grand public qui savent que le gouvernement et les médias ont mal géré la période Covid, leur point de vue finira bien par émerger.

Je dis ça parce que toutes les organisations évoluent et changent avec le temps. C'est ce que font les humains et la conscience.

J'ai l'impression qu'un plus grand rassemblement se produira prochainement car je pense qu'aucun « camp » n'a tout bon ou tout faux.

Prenez, par exemple, le débat sur la surmortalité. D'un côté, beaucoup l'imputent toute au Covid, au Covid long et au contre-coup des confinements comme les dépistages manqués. Selon le « mainstream », le vaccin ne peut être en partie responsable de ces décès supplémentaires.

Pourtant, d'aucuns voient le vaccin comme la cause première à cette surmortalité.

En réalité, c'est tout cela combiné. Et nous devons être capables d'en parler. Nous devons faire abstraction de nos positions et simplement observer ce qui s'est passé. Je sait qu'il n'y a rien qui motive le gouvernement et Big Pharma à avoir cette conversation mais nous, en tant que peuple, pouvons certainement le faire. Et ainsi rendre obsolètes leurs points de vue.

Afin d'étayer ce dernier point, jetons un œil à cet article de Kim Iverson. Le Dr Martin Kulldorf affirme que les données de la Suède indique quelque chose qui pourrait réunir les gens.

La Suède a l'un des taux de surmortalité les plus bas du monde pendant et après le Covid. La population de ce pays ayant fait ce qu'il fallait en termes d'absence de confinement et de mesures coercitives qui lui a valu de s'en sortir très bien.

Mais cette dernière a également été beaucoup vaccinée, affichant un taux élevé de 77% (tous âges confondus). Nous voyons ainsi que si la surmortalité n'est pas excessive en Suède, il est raisonnable de penser qu'elle peut être liée aux confinements, au stress, aux dépistages manqués , etc. Mais comme nous l'avons examiné en détail, il faut aussi considérer les vaccins en raison des signes évidents d'un manque d'innocuité.

Il n'est pas bon de se préoccuper d'une cause ou d'une autre tout en écartant toutes les autres.

Ceci dit, l'irresponsabilité revient tout de même à la politique du gouvernement et à la l'illusion perpétuée par les médias grand public.

En conclusion

Au final, ce seront les gouvernements et les organisations gouvernementales qui se ridiculiseront avec le temps. Et les médias grand public se saisiront de l'affaire.

Examinons les allégations du Canada au sujet des dommages vaccinaux :

Ces données suggèrent que le Canada a du mal à collecter et approuver des rapports. Le test Pfizer en lui-même indique un taux de blessures d'environ 1,2%. Pourquoi s'attendre à ce qu'il soit bien plus bas une fois injecté à une population en moins bonne santé que les participants à l'essai ?

Cela n'a aucun sens. Le niveau absurdement bas de ces chiffres devrait choquer les gens. Il s'agit là d'une mauvaise attribution de sens de la part des responsables politiques et du gouvernement. Bientôt, les organes de presse disposeront d'une marge de manœuvre pour signaler des faits tels que ceux-là à leur lecture.

J'ai vu, à maintes reprise, cette marge de manœuvre jouer un grand rôle. Il fut un temps où l'on ne pouvait pas du tout parler des vaccins. Où il était insensé d'affirmer que les produits laitiers sont mauvais pour la santé. Où parler de conscience était qualifié de « pseudo-science ». Où discuter les ovnis relevait du marginalisme insensé à tel point qu'on ne trouvait pas beaucoup d'articles sérieux dans les médias grand public traitant de ce sujet.

Mais petit à petit, tout cela a changé. Pourquoi ? Une marge de manœuvre a été créée et ceux doté d'une curiosité intellectuelle sont aujourd'hui en mesure d'exprimer leurs idées sur tous ces sujets.

Assez curieusement, d'aucuns dans la sphère alternative se montrent hautement suspicieux de ce que le « mainstream » débatte des ovnis, se laissant ainsi dicter leur point de vue par ce dont ces derniers parlent.

L'ironie, ici, est que cette pensée réflexive confère un pouvoir absolu aux médias grand public. Tout ce qu'ils auraient à faire serait de parler de quelque chose et ils pourraient ainsi contrôler ce qu'un certain sous-ensemble de la sphère alternative pense et croit.

Ce qui s'apparente à être endormi d'une manière différente. À être prisonnier d'une pensée manichéenne — qui va devenir de plus en plus inconfortable à mesure que notre conscience poursuit son expansion collective.

Pour beaucoup, les limites des médias grand public vont devenir de plus en plus pénibles et difficiles. Soit ils partiront, soit ils feront évoluer ces organisations de l'intérieur.

Comme ce sur quoi porte mon travail depuis ces quinze dernières années, je pense vraiment que nous sommes actuellement engagés dans un processus de mutation profonde de notre conscience collective. Et même s'il peut paraître quelque peu chaotique par moments, il n'en demeure pas moins que quelque chose de plus profond est en cours duquel s'inspirer et auquel s'ancrer.

Texte original de JOE MARTINO traduit de l'anglais par EY@EL
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Karma et psychopathes


Les choses qui surviennent dans votre vie sont déterminées par ce à quoi vous pensez et comment vous traitez les autres.David Wilcock 

Je ne vous présente plus David Wilcock étant donné le nombre de ses textes et vidéos que je vous ai traduits sur la Pensine. Je vous ai compilé, traduit et doublé (presque en urgence) cet extrait de 20 minutes de son dernier live de la semaine dernière où il aborde la « première distorsion de la Loi de l'Un », à savoir, le karma et la manière dont les psychopathes nous manipulent vers notre auto-destruction en nous faisant oublier que nous sommes tous une conscience unique. Il explique notamment comment la colère (même légitime) est un piège et qu'il est à la fois urgent et crucial que nous travaillons là-dessus. Par les temps qui courent, ce rappel est d'une importance capitale.

En effet, il n'est pas difficile de voir que les élites font justement tout ce qu'elles peuvent pour que nous les haïssions et que nous soyons en colère. Pourquoi ? Pour nous faire changer de ligne de temps. Dans un autre exemple, David Wilcock nous révèle que le célèbre médium Edgar Cayce aurait canalisé de fausses informations en raison de la colère qu'il nourrissait envers ceux qui le haïssait.

Ce n'est pas pour rien si lorsque nous sommes en colère, on dit que nous sommes « hors de nous », que nous « sortons de nos gonds », que nous « pétons un câble » ou encore que que nous « explosons ». La colère est destructrice. Elle appartient à l'ego, elle déstructure nos corps physiques et subtils et nous déconnecte de notre Soi et de la Source. Nous ne sommes plus « maîtres de nous-mêmes ». Nous « voyons rouge ». Demandons-nous qui prend alors possession de nous ?

Mais il y a aussi la colère sourde, beaucoup plus insidieuse qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes et nous conduit à des ornières en nous attirant toujours davantage de raisons de nourrir cette rage (loi d'attraction). Les psychopathes ont le chic pour nous rendre dingues. Il est très difficile de ne pas les haïr. Et malheureusement, cette société est devenue une fabrique de psychopathes. Il suffit de regarder l'actualité. Il y a de quoi éteindre les cerveaux.

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