Au fait, mais qu'est-ce qu'on fête ?

Comment vous ne savez pas ? Mais cela fait tout juste un an aujourd'hui, jour pour jour, que la Pensine est officiellement en ligne — officiellement car officieusement j'ai commencé à m'atteler à ce projet en juillet 2013. À l'époque, j'avais même failli renoncer à cause de ce fichu ordinateur qui faisait encore des siennes. Si le but était de tester ma motivation et bien, on dirait que je ne m'en suis plutôt pas trop mal tirée. J'en suis d'autant plus ravie qu'il n'est ressorti que du bon de cette aventure démarrée sur un coup de tête ou plutôt au feeling comme beaucoup de choses dans ma vie depuis quelque temps.

Plus de 26.250 visites à ce jour — c'est, en tout cas, bien plus que je n'aurais pu l'espérer en débarquant de nulle part et surtout en n'étant (volontairement) pas référencée sur Google ; mon tout premier article ("Idiotisme et idiocratie : vers l'avènement du novlangue") immédiatement repris sur plusieurs blogs ; enfin, et surtout, tous ces commentaires encourageants : merci, merci, merci à tous ! J'ai également eu l'immense privilège d'être élue Blog du jour par l'équipe d'Eklablog au bout d'à peine quatre mois d'existence, ce que je n'aurais jamais pu imaginer car d'ordinaire il faut avoir davantage d'ancienneté pour espérer briguer ce titre honorifique et surtout générateur de visites. Et grâce au coup de cœur de Stéphanie donc, j'ai eu l'immense satisfaction d'accomplir la mission que j'avais le sentiment d'avoir reçue, à savoir de toucher un lectorat aussi étendu et diversifié que possible afin de ne pas cantonner l'information au cercle fermé des « théoriciens du complot ». Défi remporté donc puisqu'à ce jour, ma plus jeune lectrice a douze ans alors que d'autres en affichent plus de soixante. Alors jeunes et moins vieux, merci encore de vos visites quotidiennes et de vos avis fort appréciés.

Pour marquer le coup, comme certains s'étaient plaints qu'il n'y en avait point au menu la dernière fois, j'ai décidé de vous refourguer une nouvelle fournée de creeps sans gluten. Les musiciens de la tête radiophonique étant indisponibles, je n'ai trouvé que ce dingo au grand cœur de Jim Carrey pour venir faire le service. OK, ce n'est pas le chanteur du siècle mais il est nettement plus marrant (et plus grand) que Thom Pouce.

Et pour celles et ceux qui m'ont pourri la vie et rendu service en m'offrant l'opportunité de tester mes limites (même si c'était visiblement loin d'être le but escompté mais peu importe), voici une autre recette, pur produit du terroir, qui est un peu... beaucoup... franchement... affreusement indigeste — carrément exécrable, je dirais même. Visez-moi un peu ce refrain qui tue : « J'suis une crêpe, j'suis mystérieux. Bordel, qu'est-ce que je fous là ? »

Moi, en tout cas, je le sais même si j'ai commencé un peu à ralentir la cadence afin de pouvoir me consacrer à d'autres projets que je n'avais jusque-là pas osé entreprendre. Merci encore de votre fidélité et de votre assiduité qui m'encouragent à continuer.

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