Problème-Réaction-Solution : le mécanisme caché de la matrice

Et si tout ce que vous percevez comme naturel était, en réalité, un jeu de manipulation ? Un cycle perpétuel qui vous enferme, vous oriente et vous prive de votre souveraineté.

C'est le mécanisme du Problème-Réaction-Solution, l’outil fondamental du contrôle matriciel pour obtenir votre consentement. On crée un problème, un événement déclencheur, une crise fabriquée, qui suscite une réaction de peur, de colère, d'impuissance, et exige une solution, une réponse prédéterminée qui renforce la matrice. Ce schéma est partout. Invisible. Insidieux. Il dicte la marche du monde.

Les religions vous disent que vous êtes coupable, impur, en quête de salut. Vous vous soumettez aveuglément à une divinité, à ses lois, à ses dogmes.

Les politiques créent le chaos, l'insécurité, et l'instabilité économique. Vous réclamez un « sauveur », et en échange, on vous retire vos libertés.

L'économie engendre des crises financières, l'endettement, l'inflation. Les populations piégées cherchent des alternatives. La solution ? Des monnaies numériques centralisées, un contrôle absolu.

La maladie, le vieillissement, un corps carbone imparfait, vulnérable permettent à la technologie de proposer l'ultime solution : que l'homme fusionne avec la machine, perdant ainsi son essence.

Les médias viennent répondre à la solitude, à l'ennui, et au vide existentiel par leurs distractions infinies, les réseaux sociaux, les réalités virtuelles… Une prison dorée.

Chaque sphère de votre vie est orchestrée. Mais il y a pire…

Quand tout semble perdu, une force extérieure intervient. Une « lumière divine », un « sauvetage céleste », un « guide spirituel » … Vous pensez être protégé. En réalité, vous êtes piégé. Un miracle qui vous attache au système. Un « sauvetage » qui vous rend redevable. Une mission spirituelle qui vous enferme dans un nouveau rôle. Rien n’est gratuit dans la matrice.

Mais alors, comment en sortir ?

La clé n’est pas dans une nouvelle croyance, ni dans un nouveau leader. Elle est en vous. Un vrai miracle ne vient jamais de l’extérieur. Personne ne vous sauvera… sauf vous-même. La matrice ne contrôle que ceux qui lui accordent leur pouvoir.

Ouvrez les yeux. Décodez les illusions. Reprenez votre souveraineté.

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On est allés trop loin

Je ressors cet article publié il y a dix ans pour rendre hommage à mon ami François, qui nous a quitté ce 12 mars dernier, avec un clip que je viens de réaliser. Je pense qu'il aurait beaucoup aimé. Merci de partager et de liker. Pas pour moi mais pour lui.

Ey@el

Si je m'étais défendue, il y a quelque temps, de faire dans la nostalgie, là pour le compte, je m'en suis prise une bonne dose d'un coup. C'est que le chanteur, auto-compositeur et fondateur du projet E-Rocket (devenu Sound Rocket après fusion avec le groupe The Life) dont le nom s'inspire d'un schéma de fusée électrique de Nikola Tesla — précurseur de l'énergie libre — François Demercastel est quelqu'un que j'ai eu le plaisir de connaitre et beaucoup apprécier dans mes jeunes années, du temps où nous fréquentions tous deux plus ou moins assidument (oups !) les bancs d'une certaine école d'audiovisuel que je ne nommerai point. Nos goûts musicaux communs (les Beatles, les Who, les Jam parmi tant d'autres) nous ayant naturellement rapprochés, je lui dois d'avoir beaucoup élargi mon horizon musical en me faisant découvrir des tas de groupes géniaux dont notamment les Plimsouls et Lone Justice. Aujourd'hui, nous avons repris contact par le plus grand des hasards (qui comme vous le savez n'existe pas) grâce à la même chose qui nous avait réunis des décennies auparavant : la musique.

Le morceau que je vous propose ici et que François interprète, seul à la guitare, provient d'un podcast d'une radio locale de Rambouillet (RVE) enregistré l'an dernier. Comme je lui ai expliqué, le choix de cette version plutôt qu'une autre qu'il dit préférer (à écouter ICI) s'est imposé à mes oreilles comme étant la plus aboutie — justement parce réduite à l'essentiel, à savoir une voix, une guitare et une mélodie accrocheuse avec un petit gimmick emprunté au "I Feel Fine" des Beatles. Humour cosmique ou private joke : "Gone Too Far" vient remplacer une chanson des Jam que j'avais programmée de longue date, intitulée "Running On The Spot" (qui n'est que partie remise).

Gone Too Far

On pourrait parler du temps qu'il fait,
On pourrait parler de la guerre.
Toutes ces journées où il ne se passe rien
Inspirent autant de solitude que nos années perdues.

On pourrait faire des projets d'avenir,
On pourrait faire comme si.
Tu vois bien que tu ne trouveras aucune satisfaction
À rester là dans l'expectative du plus.

Mais on est allés trop loin
Sans quitter les lieux.
On est allés trop loin,
Sans plus aucune raison de se battre.

On pourrait se découvrir mutuellement,
On pourrait observer le monde autour de nous.
On pourrait, comme des lâches,
Contempler nos pieds qui ne bougent plus.

Mais on est allés trop loin,
À tourner en rond.
On est allés trop loin,
En se disant que c'était pas de bol
(Hors de portée !)

Il y a des pays que tu ne connais pas.
Il y a des villes que tu ne connais pas.
Il y a des gens que tu ne connais pas.
Il y a quelque chose en toi que tu ne montres pas !

On pourrait parler du temps qu'il fait,
On pourrait parler de la guerre.
Toutes ces journées où il ne se passe rien
Inspirent autant de solitude que nos années perdues.

Mais on est allés trop loin,
À tourner en rond.
On est allés trop loin,
En se disant que c'était pas de bol.

On est allés trop loin — ouais !
On est allés trop loin — ouais !

François Demercastel

À propos de cette chanson

« C'est une chanson un peu spéciale, » explique François. « Je l'ai écrite en pensant au temps qui passe, aux rêves qui s'enfuient, aux compromissions par nécessité matérielle — notre lent changement de mentalité face à la vie, la politique, etc. Depuis quelque temps, ce morceau a pris une autre résonance. Mon meilleur ami d'adolescence, après une vie assez triste, lui qui était si vivant, est décédé prématurément de maladie. Il a fait tout son possible des années durant pour ne plus voir quiconque de sa "grande époque". Je me dis, comme dans la chanson : et si l'on s'était revus, de quoi aurions nous parlé ? C'est donc une chanson qui est devenue moins "sujet bateau" et plus personnelle, finalement. »

D'aucuns se demanderont sans doute pourquoi il a choisi de chanter en anglais. Ce à quoi il répond : « J'ai essayé de chanter en français mais d'un seul coup, j'ai moins ! En plus, le français est une langue qui est un peu arythmique dans le sens où les toniques de la phrase ne tombent pas toujours de façon régulière. Donc il faut être extrêmement balaise ou s'appeler Gainsbourg, pour ne citer que lui, pour réussir à vraiment conjuguer ce rythme, en général à quatre temps du rock — et de quasiment tout ce qui rythme notre vie aujourd'hui — avec la langue française qui, elle, ne fonctionne pas selon ce tempo-là. D'autre part, j'en ai mangé, mangé et remangé du rock anglo-saxon et au bout d'un moment ça devient un peu normal et naturel pour moi de le chanter. »

« Un grand plaisir, de l'émotion. Je ne vais pas céder à la nostalgie, promis ! Je vais essayer de ne pas… rester coincé "retourné" » m'a-t-il dit. Pour sûr, on ne risque pas de tomber à court de sujets de conversation avec nos Pensines pleines à ras bord et nos âmes de Peter Pan. Quant à vous chers lecteurs et chères lectrices, si cette chanson vous a plu, je vous invite à vous rendre sur le site de son groupe ou directement sur sa page Soundcloud pour écouter d'autres morceaux. Les commentaires seront également les bienvenus.

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L'effet banahuète

Toujours aussi friande de bananes et de cacahuètes et de desserts rapides, sains et savoureux, j'ai testé cette recette de brownies (sans farine) très moelleux et aériens que j'adore, réalisable en 30 minutes chrono.

Ingrédients

Pour une quinzaine de brownies :

- 4 bananes bien mûres
- 4 cuil. à soupe graines de lin moulues
- 200 g beurre de cacahuète
- 1 pincée de sel
- 1/2 cuil. à café vanille en poudre
- 2 cuil. à café bicarbonate
- cacahuètes (facultatif)
- pépites de chocolat (facultatif)

Réalisation

Mixer les bananes et mélanger avec les autres ingrédients sauf les cacahuètes et les pépites de chocolat

Verser la pâte dans un moule en silicone carré. Pour que ce soit plus savoureux, saupoudrer de cacahuètes réduites en poudre et de pépites de chocolat.

Cuire 20 à 25 minutes à 180°C (tester avec une pointe de couteau).

Démouler à froid et découper en petites parts. Peut se consommer tiède ou froid.

NOTE : Vous pouvez utiliser des moules individuels mais dans ce cas, préférez les moules à financiers moins profonds aux moules à muffins car ils sont un peu compliqués à démouler du fait de leur consistance. Si vous n'aimez pas les cacahuètes (ou y êtes allergique), vous pouvez les remplacer par des amandes ou des noisettes et utiliser de la purée d'amandes ou de noisettes dans les mêmes proportions.

Bonne dégustation !

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Hopium vs pilule noire : un jeu de dupes

Dans le film Matrix, la pilule rouge symbolise le réveil, la sortie de l’illusion. Mais ce que l’on oublie souvent, c’est que cette sortie se fait à travers une autre substance : un programme alternatif, un autre filtre posé sur la réalité. Une pilule, peu importe sa couleur, reste un élément ingéré qui modifie notre perception. Elle peut être un remède qui nous ouvre les yeux, ou un poison qui nous enferme dans une autre illusion, parfois plus insidieuse que la première.

Les pilules et la dépendance aux vérités externes

L’analogie des pilules, utilisée sur les réseaux sociaux, suit un schéma binaire très simpliste :

  • La pilule bleue représente ceux qui « dorment », qui acceptent l’illusion du système sans se poser de questions. Elle correspond aux narcoleptiques, calmants et autres somnifères dans l'industrie pharmaceutique.
  • La pilule rouge est vue comme le symbole de l’éveil, mais dans la réalité, elle devient souvent un dogme : une croyance où l’on pense « avoir compris », où l’on cherche à « convertir » les autres. Elle serait à rapprocher des amphétamines, stimulants et autres produits dopants.
  • La pilule noire, nouvelle venue dans l'arsenal de division et dernière itération de cette dynamique, est celle des désillusionnés qui rejettent tout, y compris ceux qui se disaient « éveillés ». Ce serait le poison.

Mais dans tous ces cas, il y a une constante : on continue d’avaler quelque chose qui vient de l’extérieur, sans jamais se demander s’il est vraiment nécessaire d’ingérer quoi que ce soit.

Étude de cas : la manipulation derrière la pilule noire

Si l’on écoute cette vidéo qui prétend exposer la pilule noire, on pourrait croire qu’elle cherche à clarifier la situation. Mais en réalité, elle ne fait qu’inverser le processus qu’elle dénonce, et cela de plusieurs façons.

L’un des premiers pièges de ce discours est son incohérence logique.

D’un côté, elle dit que les pilules noires « ne croient en rien ». De l’autre, elle affirme qu’elles « pensent que tout est une conspiration ». Comment peut-on à la fois ne croire en rien et avoir une croyance absolue sur quelque chose ?

Cette contradiction sert à décrédibiliser d’entrée une posture qui remet en question les récits dominants.

La vidéo accuse les pilules noires d’être émotives et manipulables, tout en affirmant qu’elles démoralisent les chercheurs de vérité. Mais si les chercheurs de vérité peuvent être démoralisés par ces idées, cela signifie qu’ils sont eux-mêmes dans l’émotion et la réactivité.

En réalité, l’émotion et la polarisation sont présentes partout, et ce discours en joue en projetant cette faiblesse sur un groupe spécifique.

« Ils n'ont pas la capacité de distinguer ce qui est bien de ce qui est mal ». 

Ils ne polarisent pas et ça c'est problématique pour la matrice qui repose sur la polarisation. Le bien, le mal. La vérité, le mensonge.

Enfin l’argument du « manque de pensée critique » et de la « paresse intellectuelle » est une technique classique pour invalider quelqu’un sans répondre à ses arguments.

Le propre d’un individu en quête d’intelligence réelle est justement de ne pas croire en un dogme, mais d’observer et d’analyser. Or, ici, on associe remise en question profonde avec paresse alors que c’est tout l’inverse.

Cette inversion du réel est une technique de propagande bien connue : accuser l’autre de ce que l’on fait soi-même...

À travers cette attaque contre les « pilules noires », la vidéo cherche en réalité à diviser et invalider toute critique globale du système. Elle présente une vision dans laquelle il faut choisir un camp (rouge ou bleu, mais pas noir). Elle nie la possibilité qu’un individu puisse ne pas adhérer du tout à cette structure binaire.

Pourquoi tant d’agressivité d'ailleurs contre ceux qui rejettent tout en bloc ? 

Parce qu’ils n’ont pas de zones taboues.

Les « pilules rouges » aiment se croire chercheurs de vérité, mais leur quête a des limites bien définies. Il y a des sujets qu’ils ne veulent pas aborder, sous peine de mettre en péril leur propre structure mentale.

Parce que si l'on considère ces deux choses que sont l'idéologie politique et l'idéologie religieuse, elles créent des zones interdites où vous n'irez pas faire de recherches, où vous n'irez pas poursuivre. Parce que si vous le faites, il y a de fortes chances que cela mette votre idéologie politique ou religieuse en danger.

Et c'est ce que l'on constate avec la soi-disante droite en politique, qui a complètement détourné les médias alternatifs, en termes de promotion algorithmique et de financement.Il y a certains domaines qu'ils n'iront pas explorer, qu'ils ne remettront pas en question. Il y a des domaines dans lesquels ils n'exigeront aucunes réponses qui pourraient menacer ou mettre en cause leurs héros, Trump, Musk, etc.

David Icke

Les « pilules noires » sont perçues comme dangereuses car elles ne laissent aucune place au confort intellectuel.

Les Américains utilisent le terme « hopium », contraction de hope (espoir) et opium pour désigner cette illusion d’espoir qui anesthésie. Et encore une fois, l'espoir est une attente extérieure à soi et qui ne cadre pas avec la notion d'être souverain.

Les « pilules rouges » ont besoin de croire qu’elles ont compris et qu’elles vont « gagner ». Elles s’accrochent à des narratifs qui leur donnent un espoir contrôlé, mais sans danger pour leur vision du monde.

La pilule rouge n’est qu’un autre programme de la matrice : un anesthésiant mental qui donne l’illusion d’une prise de conscience tout en empêchant de voir trop loin.

Pourquoi certaines vérités ne peuvent pas être acceptées ?

Tout individu a un seuil au-delà duquel sa psyché bloque, sous peine de provoquer une dissonance cognitive insupportable.

Les « pilules rouges » veulent exposer des mensonges, mais ne peuvent pas aller au bout du processus : elles doivent garder une structure narrative cohérente pour éviter de s’effondrer psychologiquement. Certaines réalités sont trop radicales pour être intégrées sans un travail profond de détachement.

Elles ont besoin d’un « ennemi identifiable » et d’une « solution envisageable » pour ne pas sombrer dans l’impuissance.

Les « pilules noires » leur renvoient le fait qu’elles ne sont pas prêtes à aller jusqu’au bout.

L’illusion de l’éveil : changer de programme sans changer de système

Ceux qui prennent la pilule rouge pensent souvent qu’ils sont sortis du jeu. Mais si cette prise de conscience reste enfermée dans un nouveau récit, un nouvel ennemi, une nouvelle mission, alors c’est juste un changement de programme à l’intérieur de la matrice.

Même la pilule noire peut devenir un piège : ceux qui s’identifient à elle tombent souvent dans le cynisme et le rejet systématique. Ils croient voir au-delà, mais en réalité, ils restent dans un mécanisme de réaction, ce qui signifie qu’ils sont encore influencés par ce qu’ils combattent.

Ce que montre bien la vidéo, c’est que la dynamique des « pilules » n’est qu’un jeu d’opposition : la pilule noire, qui pense s’être libérée de l’arnaque des rouges, tombe en réalité dans une autre illusion, celle du rejet total. Elle croit voir plus loin, mais en réalité, elle est toujours enfermée dans un schéma de réaction, qui ne fait que renforcer la matrice.

  • La pilule bleue croit tout aveuglément.
  • La pilule rouge pense avoir compris et veut convaincre les autres.
  • La pilule noire rejette tout et se coupe de toute forme de discernement.

Dans tous les cas, c’est encore une façon d’être manipulé, car au lieu de chercher à voir par soi-même, on adopte une posture binaire (croyance totale vs rejet total). Le véritable éveil ne consiste pas à choisir une nouvelle pilule, mais à comprendre pourquoi on continue de croire qu’il faut en prendre une.

Le sevrage : sortir du besoin de pilules

Si l'on veut vraiment sortir de l’illusion, il faut réaliser que toute vérité préfabriquée, même alternative, reste une construction mentale à laquelle on adhère par besoin de sécurité.

Se libérer, c’est voir sans filtres, sans vouloir à tout prix classer le monde en catégories.

Se libérer, c’est arrêter de chercher des solutions extérieures et développer une autonomie de pensée qui ne repose pas sur des croyances empruntées.

Là où les « pilules rouges » veulent convaincre, et où les « pilules noires » veulent dénoncer, il y a une autre voie : celle de la neutralité lucide, du regard qui observe sans se laisser enfermer. 

Tant qu’on joue à ce jeu, on reste prisonnier du système des pilules.

La seule véritable sortie n’est pas une pilule d’une autre couleur, mais le refus d’avaler quoi que ce soit.

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David Icke dénonce la psyop

Dans cette matrice d'illusion, dont les principaux rouages reposent sur la manipulation, la diversion, la division et la confusion, pour beaucoup, opinions et croyances riment avec vérité, la confondant par là même avec la réalité, qui elle, est immuable alors que la vérité relève de la polarisation dont l'autre pendant est le mensonge, ce qui la rend purement subjective et par définition, dépendante de nos perceptions. 

Cela fait donc 35 ans que David Icke nous met en garde contre ces pièges, nous invitant à nous délester de nos œillères et partis pris. La plupart de ses « théories » avant-gardistes, qualifiées d'extravagantes, ont beau s'être avérées vraies par la suite, les gens continuent malgré tout de le traiter de dingue, lui reprochant de n'apporter aucune solution. À ceux-là, il répond :

Lisez mes livres, mon vieux (il y en a près d'une trentaine au choix) et vous les verrez, les solutions ! Mais la mauvaise nouvelle, c'est que VOUS devrez faire quelque chose plutôt que quelqu'un le fasse pour vous. Ça me fait rigoler (ou grincer) que tant de gens ne voient pas que dénoncer l'arnarque de la psyop Trump-Musk, qui mène au même contrôle par l'IA prôné par Klaus Schwab, est une des « solutions ». 

Ils devraient continuer à suivre leurs sauveurs et quand ils verront enfin à quel point ils ont été floués (certains le voient déjà), au moins, je n'aurai pas à partager leur embarras. Vous réalisez que ceux qui divulguent la vérité étaient autrefois appelés « théoriciens du complot » (une expression inventée par la CIA) ?

Aujourd'hui, les anciens « théoriciens du complot », reconvertis en propagateurs de la propagande Trump-Musk, traitent de « pilules noires » ceux qui continuent à révéler la vérité. Oh, quelle ironie ! La propagande Trump-Musk se déverse sur X, minute par minute, en un flux sans fin, soutenue par des algorithmes garantissant des millions de vues. Je me défends du mieux que je peux contre l'invisibilisation flagrante et c'est moi le problème ? Si j'étais vous, je me trouverais un miroir et réévaluerais la situation.

Dans la vidéo ci-dessus, qui est un condensé d'une cinquantaine de minutes d'un entretien récent d'une heure et demie, réalisé par Josh Sigurdson de World Alternative Media, que j'ai traduit et doublé en français pour vous, il évoque ce qu'il qualifie de « zones interdites » à la recherche car potentiellement dangereuses à la survie de toute idéologie politique ou croyance religieuse. 

« Et donc, moi, dit-il, j'aborde ça, comme je l'ai toujours fait, sans aucun de ces bagages. Ce qui veut dire que vous allez là où l'information et les preuves vous mènent. Sans aucune zone interdite. »

Il parle aussi du complot pour le contrôle de la perception humaine (« Et d'où vient la perception? De l'information. ») ; du détournement des médias alternatifs venus remplacer les médias traditionnels ; des idiots utiles sortis de nulle part et promus par les algorithmes ; du retour à la polarisation politique gauche-droite ; de la psyop MAGA (qui, en passant, veut dire « magie » en latin d'où le « Je suis MAGA gothique noir » lancé par Musk au rallye pré-électoral de Trump au Madison Square Garden de New York en 2024, à prendre littéralement comme « Je suis un mage noir gothique ») pour neutraliser la résistance envers le transhumanisme prôné par Schwab et le Forum économique mondial. N'oubliez pas à quel point le consentement est crucial et essentiel.

À Musk, d'ailleurs, qui déclarait, il y a quinze jours, dans l'émission de Joe Rogan (un ancien des médias alternatifs qui a retourné son pantalon), « Si je détruis complètement la corruption, ils me tueront », il répond : 

Mais vous ne le ferez pas, car ce n'est pas l'idée. Vous ne faites que changer la nature de la corruption pour introduire la société mondiale contrôlée par l'IA. Oui, l'homme « anti-ordre établi » qui a peur de se faire éliminer et qui obtient d'énormes contrats du gouvernement, du Pentagone et de la NASA, y compris un système de satellites espions Starlink pour le gouvernement et l'armée, appelé Starshield. 

« Reuters a révélé en 2024 que ce contrat… entre le National Reconnaissance Office et SpaceX [porte sur] un réseau de satellites espions composé de centaines de satellites fonctionnant en essaim. Les satellites auront des capacités d'imagerie et leur réseau permettra au gouvernement américain de surveiller en permanence la quasi-totalité du globe. » Ce type-là.

Il évoque également tous les oligarques technocrates qui se rassemblent tous autour de Trump. Et bien sûr la Chine et son système de crédit social en passe d'être occidentalisé après avoir été longuement testé et perfectionné depuis la révolution maoiste. Et termine sur son interdiction de séjour dans les pays de l'espace Schengen, prolongée de deux ans, dont les médias traditionnels et alternatifs ne font aucunement mention. 

Et toujours les idiots utiles, les grands donneurs de leçons qui n'ont jamais lu le moindre de ses livres mais qui ont des opinions toutes faites par procuration, qui viennent le traiter sans vergogne d'opposition contrôlée. D'aucuns vont même jusqu'à se conforter que « s'il était vraiment dangereux, ils l'assassineraient ». Et partant de ce postulat, si j'étais les agents de la matrice, je n'essaierais surtout pas de d'éliminer David Icke pour cette bonne raison. 

Comme disait Rabelais, « Je n'ai pas peur des loups mais des moutons ».

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Bienvenue au cirque !

Le cirque, c'est un reflet de la société avec ses trois personnages principaux : le clown blanc, Auguste et Monsieur Loyal, soit le président, le peuple et la police.

Alexis Grüss

Boule de cristal, boules de gomme, bille de clown… ces défis mensuels vont finir pas me la faire perdre, la boule ! Nouvelle escale dans l'univers des forains donc, avec un 3 de carreau qui nous met en garde contre les distractions qui nous éloignent de nos objectifs. Ces petits riens qui détournent l'attention et finissent par rendre notre existence chaotique. Il est même à noter que certaines écoles anciennes de cartomancie retiraient cette carte maudite du jeu afin d'éviter d'introduire « un élément de tromperie dans les tirages ». D'aucuns lui donnent néanmoins une tout autre signification : celle du silence. « Dans un monde saturé de bruit en permanence dont nous voulons toujours extraire le maximum de sens et d'expérience, il est parfois utile de se mettre en retrait et de ne rien dire. »

C'est quoi ce cirque ?

Du latin circus, dérivé du grec kirkos signifiant « cercle », le cirque tiendrait ses origines des jeux organisés en Grèce par Circé en l'honneur de son père Hélios, le dieu Soleil, avant d'être popularisés par les Romains. Au Moyen-Âge, les arènes étant tombées en désuétude, les artistes itinérants, les dresseurs d'animaux et les forains se déplacèrent de villes en villes, à travers toute l'Europe, pour évoluer vers le cirque que nous connaissons aujourd'hui.

Mais de quel cirque parlons-nous au juste? Celui des acrobates, funambules, jongleurs, écuyers, dompteurs de fauves, clowns et autres prestidigitateurs ? Ou bien du show médiatico-politique qui tourne en boucle sur toutes les chaînes et qui nous les brise sans jamais les rompre ? Bah, c'est kif-kif bourricot. 

Des slogans, des peintures de guerre
Mais quel grand carnaval
Un monde parfait
Regarde ce monde
C'est un grand carnaval

"Un Grand Carnaval", Indochine (1987)

Quid des numéros de haute voltige des magiciens de la finance qui jonglent avec les chiffres, des écuyers peu cavaliers, des dompteurs de foule ou cracheurs de feu mouillés comme jamais, tous au service de la femme à barbe et de son Monsieur Déloyal, en déséquilibre sur la corde raide, la queue-de-pie entre les jambes et le gibus au plus bas de sa forme ? Quid des clowns de plateau, la gueule enfarinée et le pif en DEFCON 2 après le rail de trop qui fait exploser la mule ? La faute à qui si tout part en sucette ?

Pas mon cirque, pas mes singes

Quel est donc ce cirque matriciel ? Un chaos organisé qui fournit une distraction permanente, empêchant l'homme de se recentrer sur son esprit ? Une illusion orchestrée dans le but de maintenir les consciences endormies dans une fausse réalité ? Ou bien un théâtre de manipulation dont les acteurs (politiques, médias, spiritualités, etc.) jouent un rôle destiné à canaliser l'énergie des individus vers des schémas préétablis ?

Personnellement, depuis ma plus tendre enfance, j'ai toujours détesté le cirque sans trop savoir pourquoi. Raison qui m'apparaît évidente aujourd'hui.

Le cirque est un spectacle répétitif, un cycle sans fin, où les mêmes actes se reproduisent sous des formes variées, mais avec une structure identique. Cela rejoint la nature cyclique de la matrice, où l’illusion du changement est entretenue, alors qu’en réalité, les âmes sont enfermées dans un programme récurrent avec une histoire qui se répète sans cesse.

Le chapiteau est un espace fermé, décoré pour donner l'illusion de grandeur mais, en réalité, limité. Une bulle coupée du réel, comme la Matrice qui empêche de voir les circuits universels. Un monde artificiel qui distrait et évite de chercher au-delà. Un décor éphémère qui semble réel tant qu'on s'y trouve mais qui disparaît lorsqu'on en sort (à l'image de la reconnexion à l'esprit qui fait effondrer les illusions).

Sous les yeux des masses endormies, âmes passives acceptant ce qui leur est présenté sans chercher à en comprendre la nature véritable et applaudissant ou huant au bon gré du maître de piste, jongleurs, acrobates et funambules tentent de conserver leur équilibre sur le fil extrêmement ténu entre influx électriques de l'Esprit et magnitudes astrales, risquant à tout moment de basculer dans les filets de récupération de la matrice. Ceux-là ne se laissent plus déconcentrer par les huées ou les applaudissements, les roulements de tambour et les projecteurs. Ils savent virevolter d'une piste de réalité à l'autre, tels des virtuoses du DJing.

Les dompteurs archontiques contrôlent les âmes incarnées par des méthodes coercitives (peur, récompense/punition, dressage répétitif) et ces dernières obéissent sans comprendre le véritable but de leur conditionnement. Après leur numéro (incarnation), elles retournent dans leur cage astrale (mort) jusqu'à la prochaine représentation en une boucle sans fin.

Engoncé dans son costume aux couleurs maçonniques et son haut-de-forme de chapelier fou (ou de prestidigitateur), c'est toujours le maître de piste, le directeur du cirque, Monsieur Loyal qui organise le spectacle, fixe les règles en coulisses et impose les rôles. Le démiurge correspond parfaitement à cette figure manipulatrice qui gère la Matrice mais ne se manifeste que sous des formes indirectes (religions, figures messianiques, lois karmiques). En anglais, on l'appelle aussi Ringmaster, à rapprocher sémantiquement du Seigneur des Anneaux.

Envoyez les clowns

Et les clowns ? À l'instar des avatars humains pilotés par les entités de l'astral, ils sont là pour divertir mais derrière le rire se cache souvent une profonde tristesse. Ridiculisés, ils portent des masques (sociaux) et exécutent des rôles absurdes sans comprendre le pourquoi de leur condition.

Mon maquillage a séché et s'accroche à mon menton
Je noie mon chagrin dans le whisky et le gin
Le fouet du dompteur de fauves a cessé de claquer
Les lions ne veulent plus se battre et les tigres refusent de rugir
Allons boire à la mort d'un clown
Y a-t-il donc personne pour m'aider à briser cette couronne ?

"Death of a Clown", The Kinks (1967)

Les premiers clowns documentés remonteraient à l'Egypte ancienne et également à la Grèce et à la Rome antiques avant leur évolution en bouffons de l'époque médiévale. Personnage burlesque à l'origine, l'archétype du clown a peu à peu vu son image détournée : tout d'abord en clown triste (très proche du nostalgique Pierrot lunaire) puis en clown maléfique, engendrant la coultrophobie.

Bien que de nombreuses théories tendent à vouloir démontrer que cette peur des clowns serait directement liée au maquillage de leur visage, d'aucuns soulignent les similitudes existantes entre l'apparition de clowns et les représentations culturelles des démons. En outre, Steven Schlozman, psychiatre de la prestigieuse école de médecine de Harvard, explique comment le bouffon médiéval pourrait alimenter cette vision moderne du clown effrayant : « Les clowns au Moyen Âge, s'ils ne faisaient pas rire le roi, en payaient un prix assez élevé. Beaucoup de bouffons ont été mutilés pour les faire sourire en permanence. » (source)

Dans la matrice démiurgique qui fonctionne toujours par inversion et faux-semblants, le clown incarne cette dualité apparente : il est censé faire rire et divertir mais cache une nature à la fois sombre et inquiétante. 

Les clowns maléfiques les plus connus sont certainement Grippe-Sou de Stephen King (Ça) ; Ronald McDonald, mascotte des restaurants McDonald's ; et le méchant Joker de Batman. Ces trois figures incarnent différents aspects de la corruption matricielle.

Ainsi, à l'instar des archontes, Grippe-Sou, une entité métamorphe qui vit tapi dans les profondeurs et se nourrit de la peur des enfants, est l'archétype même du prédateur astral. Il se cache derrière une apparence inoffensive et ludique, piégeant ses victimes dans des illusions avant de les consommer.

À l'inverse, Ronald McDonald n'effraie pas directement mais conditionne à s'autodétruire en associant une nourriture toxique au plaisir et au jeu, créant un lien affectif dès l'enfance qui rendra ainsi l'addiction alimentaire d'autant plus forte à l'âge adulte. Il est lié aux clowns de foire qui symbolisent l'exploitation de l'innocence vers l'esclavage vibratoire (la malbouffe abaissant drastiquement les fréquences). Tout comme le démiurge, c'est une figure de faux bienfaiteur prétendant offrir du bonheur mais qui, en réalité, empoisonne.

Enfin, le plus complexe du trio, le Joker, s'en distingue en ce qu'il incarne l'agent du chaos matriciel. Il refuse l'ordre social et cherche à détruire la matrice ; il est incontrôlable et agit sans logique apparente. Il semble « éveillé » mais est encore piégé par la matrice. Il pense lui échapper en luttant contre le système mais reste un élément du spectacle. Il ne cherche pas la souveraineté mentale mais la destruction pure — une énergie recyclée par la matrice pour se maintenir en place, le chaos matriciel étant encore une illusion contrôlée qui empêche les individus de réellement s'éveiller.

Les autres caractéristiques importantes du Joker sont ses cicatrices, non sans rappeler les mutilations qu'on faisait subir aux bouffons du Moyen-Âge mais également aux enfants dans les rituels pédosataniques. Parmi les différentes raisons, l'intention de briser l'identité originelle ; l'inversion du sacré, le visage étant en connexion avec l'âme (la défiguration vise à effacer toute trace du divin) ; et l'exploitation de la souffrance et du trauma pour générer de l'énergie astrale et nourrir les entités.

En outre, il faut savoir que dans diverses traditions occultes, le masque (comme celui du clown) est considéré comme un outil de possession qui permettrait aux entités d'utiliser le corps comme réceptacle.

En résumé, le clown maléfique (ou démoniaque) est une figure matricielle puissante qui symbolise à la foi la dualité mensongère du système (joie/souffrance, illusion/réalité) ; la consommation énergétique de la peur (Grippe-Sou) ou de la chair (Ronald McDonald) ; le chaos programmé (comme le Joker qui détruit mais ne libère pas) ; et la corruption de l'enfance (rituels sataniques, manipulation psychique).

Ha ! ha ! fit le clown
Le roi aurait-il perdu sa couronne ?

"Ha! Ha! Said the Clown", Manfred Mann (1967)

Quand allons-nous rompre le cercle de feu et cesser de regarder, sans maudire, les fous rire à gorge dévoyée, d'un jaune hyène hystérique, des sombres facéties des bateleurs des hauts quartiers qui, eux, n'en font point ? Brisons la couronne du faux roi et reprenons possession de nos royaumes intérieurs. Ici et maintenant.

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Les 7 piliers de la matrice

Bienvenue dans cette exploration des 7 piliers de la matrice, les fondements invisibles qui conditionnent nos âmes dans ce monde illusoire. Comprendre ces piliers, c’est dévoiler les mécanismes de manipulation et apprendre à s’en libérer. 

Plongeons ensemble dans cette réalité cachée.

1. La peur

C'est l'arme suprême de la matrice. Depuis notre naissance, elle nous maintient dans un état de soumission : peur du jugement, peur de l'échec, peur de l'inconnu.

Pour échapper à la peur, il faut réaliser qu'elle est une illusion, une projection de l'astral. En développant une supraconscience, nous transcendons ces instincts et retrouvons notre pouvoir intérieur.

2. La soumission

Nous sommes conditionnés à obéir aux figures d’autorité, qu'elles soient politiques, religieuses ou sociétales. Ce conditionnement est un implant de servitude qui nous empêche de nous réaliser pleinement.

S'en affranchir, c'est reprendre son pouvoir personnel ; ne plus se soumettre aveuglément à des dogmes extérieurs ; agir en tant qu’être souverain.

3. L’illusion

Tout ce que nous percevons - le temps, la matière, les émotions - n'est qu'un hologramme, une fausse réalité qui nous empêche d’accéder à la vérité ultime.

Remettre en question toutes nos perceptions, comprendre que la réalité matérielle est un mirage et cultiver une vision supraconsciente sont les moyens de s'en extraire.

4. La culpabilité

Un des pièges les plus subtils de la matrice. La culpabilité nous enferme dans une boucle d’autopunition, nous poussant à souffrir pour « évoluer ».

Comprendre que la culpabilité est une manipulation permet de se libérer du joug des "seigneurs du karma" qui nous font croire que nous devons expier nos fautes.

5. La dualité

Bien contre mal. Lumière contre ténèbres. Ce monde est conçu pour nous maintenir dans un équilibre artificiel, nous empêchant d’atteindre l’unité.

On s'y soustrait en refusant la polarisation ; en comprenant que ces concepts sont des fabrications astrales ; et en adoptant un état de neutralité et d’équilibre.

6. Le contrôle par la pensée 

Nos pensées sont constamment influencées par des parasites astraux. Ces entités injectent des idées pour nous maintenir dans un état de confusion et de réactivité.

Apprendre à discerner ses propres pensées de celles implantées est essentiel pour s'en dégager. Et pour ceux qui le peuvent, développer une télépathie systémique pour recevoir des informations pures et non altérées.

7. La pollution mentale

Le bruit mental constant nous empêche d’accéder à notre intelligence véritable. Cette surcharge affaiblit notre énergie et nous maintient dans la matrice.

Pratiquer le silence mental est un moyen de s'en défaire ; observer ses pensées sans s’y attacher; rejeter les parasites mentaux et laisser émerger l'intelligence pure de l’esprit.

Les chakras

Il existe, en outre, un lien entre ces piliers qui soutiennent le tissu matriciel et les points d'accès que sont les chakras. 

En y regardant de plus près, on constate que chaque roue d'entrée reflète une caractéristique d'un pilier. Ils s'interpénètrent, se renforcent mutuellement, produisant ainsi un maillage étroit qui enferme la créature dans une structure fréquentielle archontique prédéterminée.

Les programmations planétaires reposent sur ces piliers et lorsque l'on arrive à cibler une mémoire ou un schéma récurrent et qu'on le neutralise, l'onde du chakra correspondant s'en trouve modifiée. 

Cela fait partie du processus de transmutation affectant le cerveau qui se syntonise, les chakras qui se sécurisent et la composition chimique sanguine qui se modifie.

La matrice est un programme collectif inchangeable. Mais à l’échelle individuelle, chaque être peut commencer à ressentir une dissonance avec le monde matriciel et chercher à comprendre ce qui l'entrave. 

Etes-vous prêt à briser les chaînes de l'illusion ?

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