EN
Très loin,
Ce vaisseau m'emmène très loin,
Très loin des souvenirs
De ceux qui se soucient
Que je sois en vie ou non.Lumière stellaire,
"Starlight", Muse (2006)
Je courrai après la lumière des étoiles
Jusqu'à la fin de mes jours.
Je ne sais pas si le jeu
En vaut encore la chandelle.
Des bribes par-ci par-là... ceux d'entre vous qui me suivent depuis un certain temps déjà l'auront sans doute aisément compris : Muse m'amuse, Muse est ma muse et "Starlight" le titre-phare qui illumine mes sombres journées (cliquez sur le lien ci-dessus pour l'écouter). À l'instar des Elfes du Silmarillion de Tolkien qui vénéraient la lumière stellaire, j'aime m'allonger sur l'herbe en été pour contempler à loisir la voûte étoilée — et ce malgré les attaques virulentes et sanglantes des mousquetaires de Satan que rien ni même l'eau bénite (la citronnelle) ne semble parvenir à éloigner. Peut-être existe-t-il, tout là-haut dans le ciel, une étoile qui guide les moustiques ? Dans ce cas, je ne cesserai jamais de la chercher pour l'expédier dans un trou noir supermassif : « Nos espoirs et nos attentes, trous noirs et révélations... »
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2 commentaires:
Très beau poème, et superbe graphisme!
[Commentaire publié sur Eklablog]
Merci :) En fait, il ne s'agit pas d'un poème mais des paroles d'une chanson que j'adore. Et le hasard faisant toujours bien les choses, quand j'avais programmé sa parution, je n'avais pas fait attention que ça allait tomber au moment de la nouvelle lune et de l'éclipse solaire. Le billet de demain ira également dans ce sens.
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