Barre-toi, Jack et ne reviens plus jamais !

Toujours à la pointe de l'actualité, le projet Eklabugs (que je ne vous présente plus désormais) renouvelle l'expérience concluante lancée cet été, à savoir celle de se livrer à l'exercice périlleux mais jouissif de la narration fictive de contes. J'ai donc choisi de ressusciter cette vieille légende d'Halloween racontée du point de vue d'un de ses protagonistes. J'espère, comme le chantaient les Stones, que vous devinerez son nom car il est légion.

♦ ♦ ♦


Saviez-vous qu'autrefois, je fus le grand chouchou du vieux ? Jusqu'à ce qu'il me maudisse sous prétexte que je devenais trop zélé et que je lui faisais de l'ombre. Moi, l'éblouissant, génialissime Porteur de Lumière, la mettre en veilleuse ? Nicht ! Pas question ! Ni de me laisser plomber les ailes. Alors, avec quelques potes, je tentai vainement de faire valoir pacifiquement mes droits, ce qui fut fort mal pris par sa bande de faux derches et dégénéra très vite en bataille de polochons dérangée dans laquelle nous laissèrent toutes nos plumes. La suite vous la connaissez : je fus viré sans tambour ni trompette du Paradis et décidai de créer le mien sous terre pour lui damner tous ses pions.

Te voilà tombé du ciel, astre brillant, fils de l'aurore ! Tu es abattu à terre, toi, le vainqueur des nations ! Tu disais en ton cœur : je monterai au ciel, j'élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu ; je m'assiérai sur la montagne de l'assemblée, à l'extrémité du septentrion ; je monterai sur le sommet des nues, je serai semblable au Très Haut. Mais tu as été précipité dans le séjour des morts, dans les profondeurs de la fosse.

Isaïe

Au cours d'une de mes nuits portes ouvertes annuelles, dans une taverne irlandaise du bourg de Wicklow, je tombai sur ce riche avare égocentrique de Jack Stingy (alias Jeannot le Pingre chez vous), venu une fois de plus se noyer la glotte et satisfaire ses autres vices (si vous voyez ce que je veux dire). Le client parfait. Je lui déballai donc mon baratin avant de lui sortir mon contrat en mauvaise et indue forme.

« D'accord pour signer, qu'il me dit, à condition que ce soit vous qui payiez le dernier verre. »

Tu l'as dit, bouffi ! Sur ce, hop hop, je me transformai en pièce de six pence que ce fumier, plus sobre que je ne l'aurais cru, fourra dans sa poche où, Ô Paradis et délation, reposait une de ces p*** de croix d'argent de m*** à l'eau bénite qu'avait dû lui refiler un de ces c*** de suppôts du vieux. Aaaaarrrgggghhh !!!!! Voilà que je me retrouvai coincé de chez coincé comme un vulgaire djinn dans une bouteille.

Ceci dit (et je me dit que) vu sa consommation de carburant à l'heure, ce @$%* allait vite finir par la rendre, l'âme. Et à moi, tant qu'à faire, ça aurait été mieux.

Il dut se dire la même chose parce que finalement il me proposa de me libérer. En échange de... DIX ANS de sursis ! P***, la s*** de hyène qui se fout du chacal !

D'un autre côté, je n'eus pas trop le choix (et p*** comme je le haïs et le hais encore). Et puis, dans certains cas, la gnôle, ça peut conserver longtemps (d'autant que ce sont les suppôts du vieux qui l'ont inventée — eau de vie qu'ils appellent ça — Lazare a même été ressuscité comme ça, ce qui lui a valut d'être canonisé et même d'avoir sa gare et ses trains). Donc si je voulais garder la face, je me devais d'accepter le pile... pire... deal — 'scusez, je ne sais plus ce que dit... aaaaarrrgggghhh !!!!! N'empêche qu'en rentrant ce soir-là, je piquai une profane colère de tous les Moi.

Dix ans plus tard, comme convenu, toujours vénère, je vins prendre ce qui me revenait de droit et le chopai donc au détour d'un chemin, adossé au pied d'un pommier à s’empiffrer du fruit défendu. Parfait, me dis-je, à moi la bonne cueillette. Me reconnaissant, il se souvint de notre accord mais réclama une dernière pomme pour se goinfrer. Comme il n'y en avait plus aucune à terre, en bon prince des ténèbres que je suis (et trop content de damner enfin son fou au vieux), je me fis un plaisir d'aller lui décrocher moi-même la plus belle au sommet de l'arbre du péché. Ssssss.... Mais cet enflure en profita encore pour me niquer avec une de ses saloperies de croix de m*** que cette fois, il s'empressa de graver sur le tronc et rebelote. Aaaarrrgggghhh !!!!! Même pas en mesure de bouillir ni exploser : figé dans le bois, je me trouvai. Je l'aurai, je l'aurai, mauvais dieu de m***, je l'aurai, me jurai-je alors.

Et là, soit il finit par se dire que si le vieux m'avait viré moi, son plus bel ange, son chef d'œuvre de la création, il y avait de grandes chances qu'il ne l'accepte jamais dans ses cieux, lui, ce misérable rebut — ou bien il était juste très con parce que voilà ce qu'il me sortit :

« Je vous rends votre liberté si vous renoncez à tout droit sur mon âme et ce, à tout jamais. »

Qui me trompe une fois, honte à lui ; qui me trompe deux fois, honte à moi. Jamais deux sans trois, la troisième, tu ne l'emporteras point au paradis.

« D'accord » lui répondis-je à contre-rien avant de regagner mes pénates, furax, la queue entre les pattes.

Mais à se croire plus malin que le Malin et à jouer avec mon élément (le feu), Jacko se niqua finalement tout seul. Ha ! ha ! Bien fait ! À son trépas, qui devait fatalement arriver un jour, le vieux lui claqua bien entendu la porte au nez et ce mécréant s'en vint donc, tout penaud, frapper à la mienne.

« Aurais-tu oublié les termes de notre contrat ? En aucun cas et selon tes dernières volontés, je ne puis prendre ton âme. Jamais. Repars d'où tu viens et ne remets plus les pieds ici. Plus jamais. »

Barre-toi, Jack et ne reviens plus
Jamais jamais jamais jamais jamais...

"Hit The Road Jack", Ray Charles (1961)

« Et puis tiens, prends ça ! »

Et là je lui balançai une braise incandescente que ce couillon parvint à saisir sans se cramer les pognes et enferma dans un navet évidé pour s'en servir de lanterne. Comme s'il espérait trouver une sortie, le con !

♦ ♦ ♦


C'est ainsi que naquît la légende de Jack à la lanterne et de son âme apatride que l'on voit errer, à chaque veille de Toussaint, devant la brèche qui sépare le monde des morts de celui des vivants, en attente du Jugement Dernier qui lui accordera ou non le droit d'asile au paradis (fiscal de préférence) ou en enfer. Mais dieu (ou diable), que la justice est lente !

Tomberont les croix
Mon rêve réussira
Tombera le Diable
Les dieux n'existent pas

"Song For A Dream", Indochine (2017)

Projet EklaBugs #27


Cet article participe également au Concours d'histoires spécial Frissons organisé par Le petit monde d'Ella.

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Des images satellite de la NASA dévoilent l'accablante réalité du génie climatique

Comme on dit, une image vaut mille mots. Les photos ci-dessous ont été prises par les satellites de la NASA et sont vraiment inquiétantes. Elles constituent autant de preuves accablantes et irréfutables des agressions continues du génie climatique, de la géoingénierie ou du contrôle du rayonnement solaire à l'encontre de notre planète et de ses ressources nourricières. Des métaux lourds et substances chimiques hautement toxiques (systématiquement pulvérisées dans notre atmosphère par des avions à réaction dans le cadre des programmes de géoingénierie/contrôle du rayonnement solaire) sont manipulés avec de puissants signaux par radiofréquences, lesquels sont émis depuis d’innombrables sites à travers le monde par diverses voies de transmission (installations de chauffage de la ionosphère comme le HAARP, radar marin SBX, radar météo NEXRAD, etc.). L'effet de ces émissions micro-ondes sur les formations nuageuses est très marqué et parfaitement visible (avec dans certaines circonstances, la création de nuages carrés).

Dans la série d'images satellite ci-dessous, on peut observer les impacts de bon nombre de variations de radiofréquences sur la couche nuageuse. L'importance des perturbations occasionnés à l'atmosphère terrestre et à ses bio-systèmes par cette géoingénierie ou guerre climatique a déjà dépassé le stade de la catastrophe et se déroule aux quatre coins du monde.

L'élimination/manipulation cyclonique est l'un des aspects/agendas des ingénieurs climatiques. 85% des tempêtes impactant les États-Unis nous arrivent de l'Afrique. Les systèmes dépressionnaires se déplacent vers l'ouest, au large du littoral africain. Le génie climatique intervient énormément dans cette région, d'où le nombre d'images satellite présentées ci-dessus. Officiellement, on tente de dissimuler ces interventions climatiques en blâmant la « poussière » pour l'élimination des cyclones originaires des côtes africaines. Bien entendu, ces atrocités ne sont pas reconnues. Voici un extrait d'un article de Fox News :

Pour l'heure, une grande partie du golfe du Mexique et certaines régions des Caraïbes enregistrent des températures océaniques légèrement plus élevées que la normale, ce qui devrait, en temps ordinaire, favoriser le développement tropical. Mais l'atmosphère y est tellement saturée de poussière et d'air sec que les cyclones sont étouffés avant même de pouvoir se déployer. (source)

Même si d'aucuns pourraient avoir le sentiment que l'élimination des cyclones est une bonne chose, ce type d'interférence avec les rythmes et systèmes naturels de la Terre est à l'origine d'une longue liste d'effets catastrophiques en aval. Selon les données disponibles, d'autres hypothèses indiqueraient qu'en fait, les ingénieurs climatiques les amplifieraient et les dirigeraient pour servir leur propre agenda. L'ouragan Matthew serait peut-être un exemple de cette guerre climatique d'une ampleur insoupçonnée. A-t-il été fortement manipulé et piloté ? Les éléments de preuve continuent de s'accumuler. Notez sur le cliché satellite ci-dessous les « vagues » atmosphériques entourant le cyclone.

Le site de météorologie spatiale SpaceWeather.com les identifie comme « ondes de gravité » mais est-ce bien ce que ce sont ces ondulation clairement visibles ? Les autres clichés présentés plus haut révèlent sans équivoque une importante manipulation de l'atmosphère par de puissantes émissions de radiofréquences ou micro-ondes et des aérosols. Lesquels affectent la couche nuageuse de manière très caractéristique, les saturant de nanoparticules de métaux lourds électro-conductrices dispersées par des avions à réaction dans le cadre de ces opérations insensées sur le climat.

La structure mondiale au pouvoir a depuis longtemps choisi de soumettre notre planète (et la toile de vie entière qu'elle abrite, y compris la race humaine) à une offensive de guerre d'une ampleur démesurée passant par la destruction de notre climat en intervenant sur les conditions météorologiques. Cette décision a été prise à l'insu et sans le consentement de ses populations. Si nous restons là sans rien faire en permettant à cette insanité de géoingénierie de poursuivre son anéantissement, il ne sera bientôt plus possible de sauver les bio-systèmes de la Terre. Il ne s'agit nullement de spéculation mais de certitude mathématique. Aidez-nous dans cette bataille des plus cruciales à exposer cet assaut climatique guerrier et à y mettre un terme. Nous avons tous un rôle indispensable à jouer dans cette lutte.

Texte original de DANE WIGINGTON traduit de l'anglais par EY@EL
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Regarder tourner les roues

Watching The Wheels

Les gens me traitent de cinglé à faire ce que je fais,
Ils me filent des tas d'avertissements pour ma sauvegarde.
Quand je leur dis que je vais bien, ils me regardent bizarrement :
« Tu n'es manifestement pas heureux maintenant que tu ne joues plus ».

Les gens me traitent de paresseux à gâcher ma vie à rêver,
Ils me filent des tas de conseils censés m'éclairer.
Quand je leur dis que je ça va en regardant les ombres sur le mur :
« La grande époque, ça ne te manque pas depuis que tu as lâché l'affaire ? »

Je reste assis là à regarder tourner les roues.
J'adore les observer,
Ne plus tourner avec le manège,
Il a juste fallu que je lâche prise.

Les gens égarés dans la confusion qui me posent des questions,
Je leur dit qu'il n'y aucun problème, juste des solutions.
Ils hochent la tête en me regardant comme si j'avais perdu la mienne.
Je leur dis : « Il n'y a pas le feu, je reste assis là à faire mon temps. »

Je reste assis là à regarder tourner les roues.
J'adore les observer,
Ne plus tourner avec le manège,
Il a juste fallu que je lâche prise.

Texte original de JOHN LENNON traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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La NASA confesse l'administration de lithium et autres subtances chimiques aéroportées aux Américains

Officiellement, rien n'explique pour pourquoi la NASA vaporise du lithium (un produit pharmaceutique souvent utilisé pour traiter les patients maniaco-dépressifs ou bipolaires) dans la ionosphère à part ce que l'on peut imaginer. Il serait plus simple d'accepter la version officielle si l'agence spatiale américaine ne maintenait pas le secret absolu sur toutes ses études et agissements dans l'espace — mais une chose est sûre, ses propres employés ont reconnu que du lithium ainsi que d'autres substances étaient délibérément et régulièrement introduits dans notre environnement. Il est possible que bon nombre des personnes travaillant pour la NASA n'aient absolument pas conscience des motivations véritables derrière la mise en œuvre d'un tel projet, adoptant paradoxalement les comportements mêmes censés être instillés par ces substances chimiques/pharmaceutiques.

Dans une première vidéo explosive, un employé de l'agence reconnaît la pulvérisation de lithium dans l'atmosphère, ajoutant que c'est « sans danger pour l'environnement ».

Avant de vous fournir la version officielle justifiant l'arrosage de centaines de milliers d'Américains avec des psychotropes, j'aimerais vous fournir quelques liens de référence afin que vous puissiez mener vos propres recherches et vous rendre compte qu'il ne s'agit nullement d'une théorie du complot. Tout ceci est bien réel et vous trouverez ci-dessous un vaste corpus de documents scientifiques corroborant mes dires (tous ces liens sont bien entendu en anglais et la liste complète est à retrouver sur la page originale de cet article — N.d.T.).

Un abrégé de Pub Med intitulé "Feasibility of Aerosol Vaccinations in Humans" (Faisabilité de la vaccination par aérosol chez les humains) expose les avantages d'un accroissement des quantités d'antigènes dans l'administration des vaccins par pulvérisation et comment on pourrait s'en servir dans « les pays en voie de développement et les zones sinistrées ». Y est reconnue également l’inoculation effective de plusieurs milliers de sujets humains par des vaccins aérosols constitués de souches vivantes atténuées des virus de la rougeole et de la grippe A. Ledit résumé analytique affirme en outre que ce type de vaccination serait idéal pour les « populations nombreuses » et qu'on y aurait apparemment recours depuis 2003.

Un autre débat sur le même sujet est consultable dans le New England Journal of Medicine. "A Randomized, Controlled Trial of Aerosolized Vaccines Against Measles" (Un essai contrôlé randomisé avec des vaccins aérosols anti-rougeole) explique comment ces vaccins ont été testés, en Inde, sur des enfants âgés de minimum 9 mois.

L'OMS étudie ce type d'inoculation depuis des années maintenant tout comme d'autres agences « philanthropes » visant clairement à stériliser la population. Notons également que l'industrie pharmaceutique a été exonérée de toute responsabilité dans le traitement massif des populations depuis un décret Congrès de 1986 leur accordant l'immunité légale. Loi qui fut contestée mais maintenue par la Cour suprême des États-Unis en 2011. De nombreuses organisations au bras long cherchent à s'assurer que nous « prenions bien nos médicaments ».

En fait, beaucoup de nations participent, à notre insu, à cette vaccination forcée et au déversement sur nos têtes de n'importe quel virus atténué, concoction chimique et autres « chemtrails » avec une persistance acharnée.

Le Bureau de réglementation de la technologie génétique (OGTR) a même envisagé de répondre favorablement à une demande de licence de PaxVax Australia (PaxVax) pour le déversement intentionnel d'un vaccin OGM composé de bactéries vivantes dans l'environnement dans les territoires du Queensland, Victoria et le sud et l'ouest de l'Australie. Ils avaient prévu d'inoculer le choléra à leur population.

D'après l'OGTR, ledit vaccin se qualifiait à titre de libération limitée et contrôlée en vertu de l'article 50A de la loi australienne de l'an 2000 sur les technologies génétiques.

On ne peut évidemment pas oublier les États-Unis. Michael Greenwood y a publié un article stipulant que :

Selon une étude menée par l'École de santé publique de Yale et les services de santé de Californie, l'incidence de cas d'infection par le virus du Nil occidental peut être considérablement réduite par une pulvérisation aérienne à grand échelle ciblant les moustiques adultes.

J'espère donc que nous avons réussi à démontrer que ces faits sont bien réels. Mais pourquoi ?

À mesure que des nations de plus en plus nombreuses refusent les aliments génétiquement modifiés et l'adjonction de fluor à leur eau potable — lequel a été déclaré neurotoxique par l'une des plus importantes revues médicales au monde —, la structure de pouvoir qui désire une population complice doit imaginer un moyen de modifier notre neurochimie.

Le lithium altère notre manière de penser en modifiant les taux de sérotonine et de noradrénaline sécrétés par notre système endocrinien. C'est un puissant modificateur cérébral, ce qui n'empêche pas cet employé de la NASA dans la vidéo susmentionnée de le déclarer « inoffensif » pour la population. Même les médecins qui prescrivent normalement ce médicament aux malades mentaux le considèrent comme dangereux parce qu'il est difficile d'en déterminer le dosage approprié. Il est certain qu'en pulvériser sans distinction des doses massives dans l'air par le biais d'aérosols devrait donner lieu à des interrogations, mais voici la position officielle de le NASA concernant cette pratique :

Ce projet étudie les particules neutres et chargées dans la ionosphère et comment chacune affecte la manière dont les autres se déplacent, ce qui engendre des courants dans ces régions. Ces fluctuations ont de l'importance parce que toutes nos communications et satellites GPS émettent des signaux via la ionosphère. Toute perturbation de cette dernière affectera également ces émissions ;  les scientifiques veulent donc connaître les causes de ces comportements spécifiques. (source)

Et pour parer à l'éventualité où les sur-médicamentés commenceraient à se rendre compte de ce qu'on leur fait, le gouvernement a imposé le secret au service météorologique (NWS) et à l'administration océanique et atmosphérique (NOAA) du pays qui pourraient être en mesure de facilement réfuter les allégations ridicules de la NASA.

Et surtout, le salaire de chaque employé de la NASA, du NWS ou de la NOAA est payé avec l'argent des contribuables. Ce qui signifie que nous finançons notre propre médication et empoisonnement.

Pour corroborer l'information fournie par la vidéo d'un agent de la NASA (déjà mentionnée dans cet article), le Code 8440 RMMO faisant état de l'objet précis de l'utilisation de la base de Wallops (en Virginie) pour le lancement d'une fusée contenant de la thermite de lithium :

Objectif : Le but premier de cette mission était de tester les méthodes de chargement des cartouches de lithium avant les prochaines missions Kudeki (Kwajalein, avril 2013) et Pfaff (Wallops, juin 2013) et  contrôler leur fonctionnement en condition de lancement de fusée-sonde et de vol spatial.

Type de fusée : Two-stage Terrier MK70 Improved-Orion

Site : Wallops Range

Lanceur : MRL

Date de lancement : 29 janvier 2013

Heure : 17:50 EST

Résultats de l'essai : Les données des thermistances semblent nominales. Bon rapport d'enregistrement vidéo de la plateforme optique aéroportée et nuages de lithium également visibles à l'observation au sol.

Cet appel spécifique nous apprend aussi que l'on déverse du lithium par voie aérienne depuis 1970. Si vous vouliez droguer les masses pour en faire des esclaves décérébrés ignorant qu'ils sont en prison, ce serait certainement le bon moyen d'y parvenir. Pulvériser du lithium dans le ciel avec des tas d'autres bactéries, virus, prions, parasites, champignons, toxines, perturbateurs hormonaux, substances cancérigènes, anti-flore et anti-faune, ainsi que des micro-poussières capables d'altérer les gènes, n'est rien d'autre qu'une guerre biologique contre les citoyens de ce monde. Que vous les appeliez chemtrails ou autrement, l'effet est le même.

La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays. [...]

Nous sommes pour une large part gouvernés par des hommes dont nous ignorons tout, qui modèlent nos esprits, forgent nos goûts, nous soufflent nos idées. C'est là une conséquence logique de l'organisation de notre société démocratique. Cette forme de coopération du plus grand nombre est une nécessité pour que nous puissions vivre ensemble au sein d'une société au fonctionnement bien huilé. [...]

Peu importe comment nous réagissons individuellement à cette situation puisque dans la vie quotidienne, que l'on pense à la politique ou aux affaires, à notre comportement social ou à nos valeurs morales, de fait nous sommes dominés par ce nombre relativement restreint de gens – une infime fraction des cent vingt millions d'habitants du pays – en mesure de comprendre les processus mentaux et les modèles sociaux des masses. Ce sont eux qui tirent les ficelles : ils contrôlent l'opinion publique, exploitent les vieilles forces sociales existantes, inventent d'autres façons de relier le monde et de le guider.

Edward L. Bernays, Propaganda (1928)

Texte original de CHRISTINA SARICH traduit de l'anglais par EY@EL
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Effet 3D dans une photo

Nouveau système d'exploitation (Linux), nouveau logiciel de retouche d'image (GIMP). Même si j'utilise toujours Paint Shop Pro sous Wine, j'ai envie d'apprendre à maîtriser cet outil multi-plateformes dont on dit tellement de bien. Mais cela prend du temps car comme bon nombre d'alternatives libres aux mastodontes de la Daube et de Necrosoft, il a été conçu par des geeks qui ne savent pas trop se mettre à la portée de l'utilisateur lambda, sans doute lui aussi trop pressé pour prendre le temps de potasser un manuel utilisateur. Ainsi va le monde et nul n'est parfait. Donc fin de la parenthèse : je fais l'effort et petit à petit, je commence à le trouver plutôt sympa ce GIMP.

Comme toujours, le tutoriel que je vous propose ici pourra être réalisé avec n'importe quel utilitaire graphique de base. Il est assez simple mais demande un peu de doigté selon les parties que vous aurez choisies de détourer et suppose donc que vous maîtrisiez déjà la technique. L'autre difficulté sera surtout de trouver des images qui s'y prêtent et là on peut passer beaucoup de temps. Coup de bol, j'en ai tout un stock que j'ai organisé en base de données grâce à XnViewMP également multi-plateformes (mais pas dans les dépôts officiels de Linux).

Matériel nécessaire

  • une photo avec un élément bien net pouvant être partiellement détouré et suffisamment d'espace autour pour créer un cadre
  • facultatif : une image qui servira de fond à la composition

Instructions

1. Ouvrir une copie de l'image à retoucher.

2. Menu Calque - Transparence - Ajouter un canal alpha (Paint Shop Pro : Calques - Transformer en calque raster).

3. Ajouter un nouveau calque et le remplir de blanc.

4. Sélectionner tout (Ctrl+A) puis menu Sélection - Réduire (PSP: Sélection - Modifier - Contracter) avec une valeur entre 10 et 15 pixels selon la taille de votre image. Presser la touche Supprimer puis désélectionner tout (Maj+Ctrl+A - PSP: Ctrl+D). Votre image a désormais une bordure blanche de 10-15px.

5. Utilisez l'outil Perspective (PSP: outil Déformation en mode Libre) pour déformer et réduire le cadre à votre convenance de manière à ce que votre sujet choisi puisse en « sortir ».

6. Activez le calque de l'image originale. À l'aide du lasso (outil sélection libre), tracer le contour de tout ce que voulez conserver. Il est conseillé d'augmenter le facteur zoom pour plus de précision et de choisir le mode Ajouter à la sélection actuelle pour procéder en plusieurs étapes si votre sujet est complexe.

7. Une fois la sélection faite, menu Calque - Masque - Ajouter un masque de calque avec l'option Initialiser à sélection (PSP : Calque - Ajouter un masque de calque - Afficher la sélection). Les parties indésirables sont désormais masquées.

8. Activer le calque du cadre et avec le lasso, sélectionner les zones recouvrant le sujet détouré et presser Supprimer.

9. Désélectionner tout et fusionner les calques visibles. Vous pourrez ensuite ajouter une ombre portée à votre image et un calque de fond selon ce que vous souhaitez en faire.

NOTE : Dans l'exemple ci-dessus, avant de fusionner, j'ai d'abord retravaillé mon image pour harmoniser les couleurs avec l'image de fond et autres retouches pour plus de netteté notamment pour l'herbe que j'ai foncé avec le pinceau d'assombrissement puis accentuée en certains endroit avec le pinceau de netteté. Pour les masques de calque, vous pouvez également inverser votre sélection et presser Supprimer mais si vous voulez modifier quelque chose par la suite, cela ne sera plus possible alors que les masques de calque peuvent être édités.

Pour cette image, j'ai dupliqué le calque de l'original pour servir de fond et j'ai travaillé sur la copie. Après l'étape du détourage, j'ai créé une sélection à l'intérieur du cadre central que j'ai d'abord rendue flottante avant de l'envoyer vers un nouveau calque pour lui appliquer divers filtres et ensuite la dupliquer en jouant sur les modes de mélanges. Je n'ai appliqué d'ombre portée qu'à la bordure blanche avant de fusionner.

Voilà, maintenant vous saurez comment donner du relief et du peps à vos images, même aux plus banales.

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La santé naturelle est la solution miracle contre les vampires de la médecine

Il s'avère que les enfants non vaccinés ne sont pas des bombes à retardement prêtes à exploser et à répandre la maladie sur leur sillage.

Il s'agit d'un mythe entretenu par le cartel médical pour des raisons évidentes qui leur sont propres.

Et en réalité, les enfants élevés de manière saine sont forts et dotés de systèmes immunitaires résistants.

Ce que l'on savait, comprenait et acceptait autrefois viscéralement comme une évidence.

Que cela plaise ou non, ceux qui insistent pour injecter à chaque enfant une cinquantaine, voire une soixantaine, de doses de germes et substances chimiques toxiques se rendent complices d'une entreprise criminelle perpétuelle.

Ils sont dotés d'une vision perverse et contre nature.

Il s'avère que stimuler la production d'anticorps — le but de la vaccination — n'est pas une panacée en soi dans l'existence. Ce n'est pas ce qui mène à la santé et cela ne permet nullement un regain de vie automatique.

Il est bien connu que chaque aspect de la vie d'un enfant renforce ou affaiblit la santé et la force de son système immunitaire. Cette connaissance de base a été ébranlée et détournée par des décennies de propagande éhontée de la part des parrains de la mafia corporative, gouvernementale et médicale.

L'ordre établi de la vaccination est devenu un racket de protection. Faites vos injections ou subissez-en les conséquences sociales et politiques.

La santé naturelle est une réalité. Pas un canular.

Lorsque l'Angleterre a été décimée par la variole, ce ne fut pas la seule œuvre d'un virus mais du déversement des eaux usées dans les rues, de l'épouvantable surpopulation, de la dénutrition fondamentale, de l'extrême pauvreté et aussi du vaccin antivariolique :

La variole, à l'instar du typhus, est en voie de disparition (en Angleterre) depuis 1780. Les vaccins dans ce pays sont tombés en désuétude depuis que les gens se sont mis à réaliser à quel point leur importance avait été discréditée par la grande épidémie de variole de 1871-72 (qui survint après une vaccination à grande échelle).

W. Scott Webb, A Century of Vaccination, Swan Sonnenschein, 1898

Et puis il y a ceci :

Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants de moins de quinze ans montre que près de 90% du déclin du nombre de décès infantiles entre 1860 et 1965 avait eu lieu avant l'introduction des antibiotiques et de la vaccination généralisée. Si l'on peut, en partie, imputer ce recul à l'amélioration des logements et une baisse de la virulence des micro-organismes, le facteur de loin le plus déterminant fut une résistance de l'hôte accrue par une meilleure alimentation.

Ivan Illich, Medical Nemesis, Bantam Books, 1977

Améliorez les conditions environnementales et le niveau de vie et vous ouvrez la voie à la santé naturelle. Cela n'a rien de sorcier et ne l'a jamais été.

L'objectif fondamental derrière la promotion anticipée de ces  « épidémies » ratées  tous les deux ou trois ans est de convaincre la population qu'ils ne peuvent vivre dans un état de santé naturelle ; que ça n'existe pas ; que tout le monde doit vivre sous la supervision constante de médecins.

Cela devient le mythe central de notre époque.

La principale forme de reddition.

La santé naturelle est la solution miracle contre les vampires de la médecine.

Combien d'études trouverez-vous qui explorent les facteurs de santé infantile se passant très bien de supervision médicale ? Combien d'études dans les revues scientifiques spécialisées se penchent sur les nombreux groupes d'enfants non vaccinés et en bonne santé ? Aucune.

La santé est essentiellement une non-condition médicale.

L'opération psychologique de la médecine repose principalement sur l'effort d'éradiquer cette compréhension.

Chaque enfant non-vacciné en bonne santé est une réfutation du cartel médical.

Si votre entreprise est basée sur la santé et que vous n'avez aucun scrupule, il tombe alors sous le sens que vous essayiez de trouver de plus en plus de malades, même, et surtout, là où il n'y en a pas.

Vous n’étudierez jamais la santé parce que cela vous conduirait à la faillite.

Texte original de JON RAPPOPORT traduit de l'anglais par EY@EL
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Image couverture : David Dees

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La musique, langage de l'esprit

Quand nous pourrons sentir que ce n'est ni notre voix ni nos doigts mais une réalité enfouie dans notre cœur qui s'exprime, alors nous saurons ce qu'est la musique de l'âme.

Sri Chinmov

Vous êtes-vous déjà emparé d'une guitare ou de votre CD préféré en vous laissant transporter de bonheur et d'extase par la musique ?

La plupart des gens ne comprendront sans doute pas d'où provient ce sentiment d'euphorie mais, selon moi, il émane de quelque chose de spirituel en nous. Je pense que la musique élève notre conscience en nous introduisant dans une réalité spirituelle constituée de pureté de son et de couleur et que c'est la raison pour laquelle elle plaît à tant de monde.

Comme nous l'apprendrons ici, il s'agit d'un langage métaphysique universel que nous pouvons exploiter pour alléger notre vibration et élever ceux qui entendent nos mélodies joyeuses. Beaucoup pensent qu'elle a bien plus à offrir qu'il n'y parait et que nous en retirerons le maximum de bénéfice en nous ouvrant et en acceptant que ce puisse être quelque chose de spirituel.

La musique comporte manifestement une dimension mystique.

Pour moi, elle est en passe de devenir un art de vivre et je ne reste jamais bien longtemps sans prendre ma guitare et fredonner quelque chose. Nous sommes nombreux à le dire et c'est pourquoi tant de personnes s'y sont consacrées au fil des siècles.

La musique les a élevés et elles se sont rendu compte (si non consciemment, du moins inconsciemment) qu'elle est la voie la plus directe permettant de recouvrer une vibration élevée.

Nous nous attarderons sur les paroles de Sri Chinmoy à propos de son potentiel vibratoire élévateur pouvant nous aider à évoluer spirituellement.

J'ai déjà parlé de cet enseignant spirituel qui ne nous a jamais incités à abandonner la réalité physique mais plutôt à nous servir des outils d'expansion de conscience intégré pour accroître notre perception et transcender nos limites.

Sri Chinmoy prônait ardemment le dépassement des limites et l'accomplissement de miracles et, durant son existence, a beaucoup écrit de musique et de poésie.

Il plaidait également en faveur de l'exercice comme moyen d'élévation spirituelle, encourageant les masses à transcender leur perception limitée d'eux-mêmes par l'accomplissement de choses dont ils ne se seraient jamais crus capables avant.

Il était réputé pour ses paroles concernant la musique et l'exercice (parmi tant d'autres choses) et nous allons nous intéresser ici à son opinion concernant la musique et la spiritualité.

Tout d'abord, il nous explique que c'est un langage universel.

La musique est le langage intérieur ou universel de Dieu. Je ne parle ni le français ni l'allemand ni l'italien. Mais quand on joue de la musique, son cœur pénètre directement dans le mien ou bien c'est mon cœur qui entre dans la musique. Et alors nous n'avons besoin d'aucune communication externe ; la communion intérieur du cœur suffit.
[...]
Mon cœur communique avec celui de la musique et de par notre communion nous ne faisons plus qu'une unité indivisible.
[...]
Dans le monde spirituel, après la méditation, il y a la musique, son souffle. La méditation est le silence, dynamisant et épanouissant. Le silence est l'expression éloquente de l'inexprimable. Aldous Huxley disait qu'« après le silence, ce qui permet le mieux d'exprimer l'inexprimable est la musique ». (source)

En matière d'élévation de notre conscience spirituelle, la musique vient juste derrière la méditation.

C'est après elle, ce qui nous permet le mieux d'avoir une vibration plus haute et c'est pourquoi s'y attacher ne comporte que des avantages au niveau de l'âme. Il semblerait également que ce soit un meilleur moyen d'atteindre les masses que la méditation et même si cette pratique de groupe est populaire, elle ne l'est pas tant que les concerts. 

Tout le monde ou presque apprécie un bon concert et j'imagine que les personnes plus ouvertes spirituellement et socialement adorent assister aux spectacles de ceux qui se servent de leur musique pour attirer l'attention sur des questions importantes et ouvrir le débat.

Non contents d'élever notre conscience sociale et spirituelle avec la musique, nous pouvons également le faire pour autrui. Nous pouvons amenez les gens à se pencher sur des problèmes en rapport avec notre société ou notre évolution spirituelle (ou les deux) tout en entrant musicalement en phase méditative.

Sri Chinmoy décrit comme le silence que nous explorons en méditation n'est pas sans rapport avec la musique.

Le silence est à l'origine de tout. De lui découle la musique et il est la musique elle-même. Le silence est la musique la plus profonde et gratifiante du Suprême.
[...]
Le silence est une source se rendant à un endroit pour se changer en fleuve ou à un autre pour se transformer en ruisseau ou en océan où elle prend toute sa dimension. (source)

La « musique divine » explique-t-il prend sa source dans le silence du Soi sacré.

Le silence est le nid et la musique, l'oiseau. Ce dernier le quitte aux premières heures du jour et y retourne au crépuscule. De la même façon, dans le monde spirituel, la musique divine émane du tréfonds de l'âme du silence. (source)

On peut affirmer sans risque que c'est de là que naît toute musique et que même la variété dépourvue d'originalité qu'on nous force à entendre y puise probablement ses sources .

Elle fait l'apologie de la vanité, du matérialisme et de concepts creux souvent en rapport avec l'amour ou la romance qui n’élèveront probablement pas du tout notre conscience spirituelle mais tout, cette musique-là y compris, provient de l'espace silencieux sacré.

Selon Sri Chinmoy, l'ombre, tout comme la lumière, cherche à se manifester sur Terre. La plupart d'entre nous savons comment procède l'ombre (colère, haine, cupidité, envie, luxure, etc.) mais la musique est l'un des nombreux instruments de la lumière pour s'exprimer.

La musique profonde éveille immédiatement et inspire nos cœurs parce qu'elle incarne le Suprême Absolu. Elle est la Lumière cherchant à s'exprimer de manière divine. Et même si l'ombre veut imposer son autorité sur Terre, la Lumière veut manifester sa Réalité et sa Divinité à sa façon.
[...]
La Lumière est l'âme du tout. Elle est celle de la musique, de l'amour et de tout art. Lorsqu'elle se manifeste divinement sous forme de musique, elle devient la musique de l'âme. (source)


La musique, nous dit-il, « est synonyme d'auto-expansion et d'unicité. »

Le Soi se développe grâce à la musique. Et il ne s'agit pas du Soi individuel mais du Soi illimité. La musique est l'expansion de la Réalité illimitée. (source)

Il est possible que notre soi limité retire quelque chose d'important de notre musique, mais c'est en majeure partie le Soi « illimité » qui en profite le plus lorsque nous y mettons tout notre cœur. La musique nous permet de nous connecter à cet aspect illimité de notre conscience et là encore, la méditation est la seule chose qui nous aide à établir plus directement cette connexion.

Certes, s'il est indéniable que la méditation est le chemin le plus court qui nous ramène à la Source, la musique a beaucoup de mérite.

Je pense que notre évolution spirituelle repose principalement sur la méditation, la créativité et le militantisme et, à mon avis, quand davantage de personnes finiront par prendre conscience du potentiel de la musique pour nous aider à nous connecter à notre esprit, je suis persuadé qu'elles l'adopteront au même titre que la méditation et la transcendance matérielle.

Nous ne sommes plus très loin de l'éveil de l'humanité et dès lors où les gens deviendront plus conscients, ils se tourneront probablement vers des choses telles que la musique pour les aider à ressentir leur esprit comme rien d'autre (à part la méditation) ne le peut.

La musique apportera un plus considérable à notre « vie spirituelle » pourvu que nous gardions à l'esprit qu'elle n'est pas séparée de notre spiritualité. Les deux sont une seule et même chose dont il est important de se souvenir pour en tirer le plus grand bénéfice.

Nous pouvons nous servir de la musique pour nous aider dans notre vie spirituelle à condition de savoir que les deux sont comme des sœurs jumelles inséparables.
[...]
Comment séparer deux doigts, deux yeux ? Ils cohabitent côte à côte. Quand un œil ne fonctionne pas bien, nous sentons que notre vue est imparfaite. Il en va de même pour la musique et la vie spirituelle ; l'une complémente l'autre. (source)

La musique complémente l'esprit qui à son tour complémente (et enrichit) la musique. Il ne faut pas les séparer si l'on souhaite élever sa vibration à l'aide de la musique.

La musique aide le chercheur spirituel à aller profondément en lui-même pour retirer la plus grande satisfaction de la vie, de la vérité, de la réalité. En retour, la vie spirituelle permet à la musique d'offrir sa capacité et sa force, qui sont la lumière de l'âme, au monde dans sa globalité. (source)

Certes le monde y gagnerait avec plus de musique consciente et inspirée spirituellement mais en vérité, il y a déjà beaucoup de musiciens lucides qui occupent le devant de la scène de l'éveil culturel.

Ils font ce qu'ils peuvent pour sensibiliser et aider les gens à percevoir cette réalité spirituelle dynamique existant au-delà de notre perception consciente et leurs efforts constants méritent certainement d'être reconnus.

Ces musiciens sont nombreux à contribuer à notre sensibilisation sociale et spirituelle et il ne nous reste qu'à nous ouvrir aux bonnes vibrations qui imprègnent leur musique et à la vérité contenue dans leurs textes. Je pourrais vous en recommander beaucoup (la plupart seraient des artistes de reggae) et leur nombre ne fait que s'accroître.

De plus en plus de personnes réalisent que la musique apporte bien plus qu'une satisfaction des sens physiques. Elle comble l'esprit en nous faisant redécouvrir la félicité de notre être intérieur grâce à l'incroyable pouvoir du son.

Après la couleur (et, bien sûr, le silence à l'état pur), la musique est le plus grand élément de créativité qui nous ait été donné. Je pense que les sons et les couleurs sont responsables au premier chef de notre réalité et que lorsque nous finirons par évoluer vers une vibration plus élevée, nous serons inondés de fréquences sonores et chromatiques plus légères.

On encouragera la musique qui pourrait devenir notre force vive. Elle l'est déjà pour beaucoup de gens, conscients ou non, et continuera de l'être à mesure qu'ils ascensionneront vers d'autres dimensions et découvriront des états de consciences musicaux incroyablement purs constitués de félicité et d'extase sonores.

Je le répète, la musique a bien plus à offrir qu'il n'y parait et je suis certain que nous le réaliserons (ainsi que bon nombre d'autres choses) à mesure que notre conscience grandira.

La musique au-dehors
Provient d'un instrument extérieur.
La musique intérieure
Émane du cœur.
Son nom est unicité.

Sri Chinmoy

Texte original de WES ANNAC traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : jpunks27

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Renaissance

Aujourd'hui je meurs
De mes peurs,
De mes rancœurs.
Enlisée dans la trame
De mes drames,
Et de mes états d'âme.

Une à une,
Sans rancune,
Je les laisse partir.
Un à un,
Sans chagrin,
Je les regarde mourir.

Aujourd'hui je renais
De mes eaux usées,
De mes rêves abusés.
Délestée de mes poids morts,
Sans effort et sans remords,
Je prends mon essor.

© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Secret et mystères remettent en question l'histoire officielle de l'Antarctique

En traduisant cet article (assez superficiel comparé à tout ce que j'ai pu lire et entendre sur ce sujet par ailleurs), je n'ai pu m'empêcher de songer à Indiana Jones et le Mystère de l'Atlantide, ce fameux jeu pour PC que j'aimais beaucoup (un des rares auxquels j'ai jamais joué), acclamé par la critique à sa sortie et primé plusieurs fois. Publié au début des années 90, le scénario était initialement prévu pour un quatrième film censé faire suite à la Dernière Croisade. Pour écrire leur histoire, les concepteurs s'étaient beaucoup inspirés des dialogues de Platon, Timée et Critias, ainsi que d'un livre d’Ignatius Loyola Donnelly intitulé L'Atlantide : Le monde antidiluvien, qui aurait contribué à un regain d'engouement pour la mythologie au XIXe siècle.

Les propriétés magiques de l’orichalcum et les technologies Atlantes décrites dans le jeu sont partiellement issues des études de la spiritualiste russe Helena Blavatsky sur les forces du vril. Le colosse géant produisant des dieux est lui inspiré d’un système de concentration de puissance, la firestone, décrit par l’américain Edgar Cayce. (Source)

Si mes souvenirs (lointains) sont encore bons, on y évoquait l'Hyperborée et l'île de Thulé (voir les notes de recherche que j'ai ajoutées en fin d'article) qui a donné son nom à la société secrète qui inspira une bonne part de l'idéologie nazie dont il est question ici et qui me fait penser à ce qu'on a récemment découvert en Antarctique.

Ey@el

Fin 1946, l'Amiral Richard E. Byrd dirigea des troupes américaines, britanniques et australiennes pour une mission en Antarctique baptisée opération Highjump (opération Grand Saut). 4700 soldats, 13 navires et 33 avions furent mobilisés pour ce qui fut officiellement déclaré comme une expédition de recherche.

La partie de l'histoire dont on parle rarement hors des cercles officiels est ce que Byrd y trouva. Alors que ce que l'on sait traditionnellement de la Seconde Guerre mondiale se borne à affirmer que l'Allemagne fut vaincue en Europe (ce qui est vrai), on ne dit généralement pas grand chose de la fuite des Nazis vers le Sud pour rejoindre leurs bases en Antarctique. Même si les forces alliées remportèrent la guerre sur le terrain en Europe par leur puissance industrielle, ces derniers disposaient d'une technologie bien plus avancée et bon nombre des membres du régime hitlérien se seraient échappés vers le continent de glace après la guerre.

Il est plus que probable que l'Opération Highjump ait été une manœuvre militaire pour attaquer ces forces ennemies et qui échoua visiblement puisque Byrd et son bataillon subirent de lourdes pertes et se replièrent vers l'Amérique du Sud. Le 5 mars 1947, El Murico, un journal chilien, publia un article détaillant l'opération Highjump dans lequel l'Amiral Byrd déclarait dans une interview :

Il importe que les États-Unis prennent des mesures défensives contre les avions de chasse ennemis en provenance des régions polaires [...]
[L'Amérique pourrait être] attaquée par ces avions capable de rallier un pôle à l'autre à une vitesse incroyable.

On pense que des sociétés secrètes allemandes comme le Thulé1 et le Vril2 avaient déjà accès aux technologies anti-gravitiques ou antigravité et avaient créé ce que l'on connaît sous le nom de « vaisseaux cloches », baptisés ainsi en raison de leur forme. On pense que leurs systèmes de propulsion avancés étaient ce qui leur permirent de neutraliser efficacement les treize navires du groupe tactique. Dans les années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, de nombreux scientifiques nazis immigrèrent en Amérique pour y travailler au sein de grands groupes médicaux, aérospatiaux et du renseignement. Une telle situation pousse à se demander si l'on força la main des Américains pour qu'ils acceptent ces réfugiés.

Puis le monde entra dans la guerre froide mais le mystère entourant l'Antarctique persiste.

En 1959, le Traité sur L'Antarctique fut signé par douze nations dont l'Argentine, le Chili, le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Union Soviétique, toutes ayant des bases scientifiques à proximité. Un bond en avant de presque 60 ans nous amène à un autre accord pour la préservation du continent ratifié récemment en octobre 2016, signé cette fois par vingt-quatre pays différents en liaison avec l'Union Européenne. Ce qui en fait la plus grande zone maritime protégée du monde.

Maintenant, il faut se demander pourquoi l'Amérique, la Chine et la Russie coopèrent à la préservation d'une des régions les plus sauvages de la planète quand nombre de leurs politiques actuelles engendrent un accroissement des antagonismes et des tensions et que le reste du monde est devenu une zone de guerre sacrifiable.

Parallèlement, il y a eu une recrudescence d'événements concernant l’Antarctique bien que rapportés principalement par la presse à sensation. Le 21 novembre, un article du Sun évoquait de la découverte de « mystérieuses nouvelles pyramides » enfouies sous le continent de glace, se fondant largement sur une vidéo constituée d'images de Google Earth montrant les détails de structures géométriques pyramidales dans la toundra recouverte de glace. Un autre article, de l'Express cette fois, en faisait également état avec précision et preuves scientifiques à l'appui de la théorie selon laquelle l’Antarctique abritait autrefois la végétation et la vie. Plus récemment, dans un article décrivant également l'existence probable d'une ancienne civilisation du fait des découvertes scientifiques indiquant que le continent aurait pu être dépourvu de glace par le passé, le Daily Star a aussi abordé l’intrigante carte de Piri Reis3, vieille de 500 ans et sur laquelle figure l’Antarctique, des siècles avant sa découverte officielle.

Fait assez curieux, ces derniers mois, plusieurs personnalités importantes se sont rendues dans cette région dans des circonstances mystérieuses ou vaguement définies. Durant l'élection présidentielle américaine, le secrétaire d'état John Kerry s'y est envolé pour y « étudier le réchauffement climatique ». L'ancien astronaute Buzz Aldrin y a également fait un saut récemment et a été contraint d'écourter son séjour en raison d'une urgence médicale.

En outre, ces dernières semaines, d'autres chercheurs renommés ont évoqué l'éventualité d'un « scénario de divulgation partielle » impliquant l'Antarctique4 et la révélation potentielle de technologies secrètes, d'informations sur d'anciennes civilisations et des projets de l'élite pour conserver leur puissante mainmise sur la planète. Toutefois, de telles spéculations dépassent la portée de ce que nous sommes actuellement en mesure de prouver.

Néanmoins, la poursuite des expéditions de recherche combinées au passé politique douteux du continent, les découvertes récentes de structures mégalithiques sur son sol désertique, les visites de personnalités connues et l'actualisation des traités politiques sur l'Antarctique attisent la curiosité du public sur ce qui se passe réellement sur cette terre inhabitée.

Que se passe-t-il donc en Antarctique ?

Notes et références

  1. ^ La société ou ordre de Thulé (en allemand Thule-Gesellschaft) tire son nom de l'île (imaginaire ou engloutie ?) de Thulé, située entre les îles Féroé et l'Islande. Ses premières mentions remontent aux récits du Grec Pythéas qui désigne l'Ultima Thulé comme l'ensemble des terres les plus au nord et tout particulièrement la Scandinavie. La région est supposée habitée par les Hyperboréens, peuple mythique. Virgile, plus tard, l'évoque dans l'Énéide ; Goethe, au XVIIIe siècle, la confond avec l'Atlantide. Cette société secrète était, à l'origine, un groupe d'études ethnologiques s'intéressant tout spécialement à l'Antiquité germanique et au pangermanisme aryen. Ses mythes racistes et occultistes inspirèrent le mysticisme et l'idéologie nazis. (Source)
  2. ^ À la fin du XIXe siècle, le romancier et philosophe anglais Lord Edward Bulwer-Lytton auteur, entre autres ouvrages, de Zanoni et des Derniers jours de Pompéi , publia en 1871 un roman d’anticipation intitulé The coming race ou La race à venir , dont le thème présente des êtres souterrains utilisant les pouvoirs et les mystères du Vril, le feu vivant, force extraordinaire et infinie. L’auteur, membre de la Societas Rosicruciana in Anglia (S.R.A), ordre à vocation théurgique, était bien informé sur cette Force, dont le nom véritable n’est accessible qu’aux seuls Initiés. Il s’en servit comme trame pour son livre après avoir reçu la traduction d’un ancien fragment qui relatait la puissance de cette Énergie universelle à laquelle il donna le nom fictif de Vril. Quelle était-elle ? Qui peut avoir accès à son pouvoir infini ? Ce sont ces questions auxquelles tentèrent de répondre les Nazis dans les années vingt, en créant la Vril Gesellschaft (Société du Vril), ou Loge lumineuse (antichambre de l’Ordre de Thulé) dans le but d’asservir l’humanité. (Source)
  3. ^ En 1520, l'Amiral Piri Reis publiait en Turquie l'atlas Bahriyye destiné aux navigateurs. Ces cartes munies de notes marginales sur peaux d'antilope furent découvertes par Halil Edhem, directeur des musées nationaux, le 9 novembre 1929 au palais de Topkapi à Istanbul. Dans ses notes,Piri Reis révèle l'origine de ces cartes. Au cours d'une bataille navale livrée en 1501 contre les Espagnols, un officier turc du nom de Kemal fit un prisonnier qui avait participé aux trois voyages historiques de Christophe Colomb. Ce prisonnier espagnol possédait tout un lot de cartes fort curieuses. Parmi les documents confisqués par les Turcs à l'Espagnol, il y avait des cartes dessinées par Colomb en 1498, soit six ans après la découverte des Antilles. Pourtant, ces cartes présentent d'une façon complète les continents de l'Amérique du Nord et du Sud, leurs fleuves, le Groenland et l'Antarctique, tous inconnus en 1498. La distance entre l'Amérique du Sud et l'Afrique y est indiquée avec une précision surprenante. (Source)

  4. ^ Pour ceux que ça intéresse et ont l'esprit très ouvert, vous pouvez lire L’Antarctique : Le Processus de Divulgation.

Texte original de JORDAN SARTHER traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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Un truc simple que la plupart des gens oublient de faire

Il faut qu'on cause...
— Non, je n'ai pas le temps.
— Désolé, je ne peux pas là tout de suite.

Souvent, nous sommes nombreux à nous retrouver dans des situations où l'on ne se parle pas suffisamment. Cela peut venir de nous ou de l'autre personne. C'est ce qui se produit dans les relations. Cela vous est-il déjà arrivé ?  Vous n'avez jamais souhaité un peu plus de communication de la part d'un partenaire sans que cela se produise ?

Voyez-vous, au fil de mon parcours, je me suis rendu compte que la communication est sans doute l'un des secrets les mieux gardés pour préserver une relation. Tout le monde n'est pas devin, alors si vous ne communiquez pas, comment voulez-vous que l'autre personne sache ce que vous ressentez, ce que vous voulez et ce qui vous traverse l'esprit ?

Une fois que vous aurez appris l'utilité de la communication, non seulement votre relation s'améliorera mais vous y gagnerez en respect l'un pour l'autre parce que vous saurez sur quelles bases vous vous fondez mutuellement. Mais avant d'obtenir cela, il faut trouver le temps. Beaucoup de personnes souhaiteraient discuter, c'est juste qu'elles n'ont pas le temps.

Il faut donc le trouver. Commencez par faire de la communication votre priorité afin d'améliorer votre relation. Mais surtout, réalisez bien que s'il n'y a aucune communication entre vous, vous n'avez pas à le tolérer. Vous pouvez allez la chercher là où il y en aura à profusion et tous les deux vous vous exclamerez : « Comme il fait bon vivre ! Je peux avoir un signe ? »

Texte original de RALPH SMART transcrit et traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

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