La santé naturelle est la solution miracle contre les vampires de la médecine

Il s'avère que les enfants non vaccinés ne sont pas des bombes à retardement prêtes à exploser et à répandre la maladie sur leur sillage.

Il s'agit d'un mythe entretenu par le cartel médical pour des raisons évidentes qui leur sont propres.

Et en réalité, les enfants élevés de manière saine sont forts et dotés de systèmes immunitaires résistants.

Ce que l'on savait, comprenait et acceptait autrefois viscéralement comme une évidence.

Que cela plaise ou non, ceux qui insistent pour injecter à chaque enfant une cinquantaine, voire une soixantaine, de doses de germes et substances chimiques toxiques se rendent complices d'une entreprise criminelle perpétuelle.

Ils sont dotés d'une vision perverse et contre nature.

Il s'avère que stimuler la production d'anticorps — le but de la vaccination — n'est pas une panacée en soi dans l'existence. Ce n'est pas ce qui mène à la santé et cela ne permet nullement un regain de vie automatique.

Il est bien connu que chaque aspect de la vie d'un enfant renforce ou affaiblit la santé et la force de son système immunitaire. Cette connaissance de base a été ébranlée et détournée par des décennies de propagande éhontée de la part des parrains de la mafia corporative, gouvernementale et médicale.

L'ordre établi de la vaccination est devenu un racket de protection. Faites vos injections ou subissez-en les conséquences sociales et politiques.

La santé naturelle est une réalité. Pas un canular.

Lorsque l'Angleterre a été décimée par la variole, ce ne fut pas la seule œuvre d'un virus mais du déversement des eaux usées dans les rues, de l'épouvantable surpopulation, de la dénutrition fondamentale, de l'extrême pauvreté et aussi du vaccin antivariolique :

La variole, à l'instar du typhus, est en voie de disparition (en Angleterre) depuis 1780. Les vaccins dans ce pays sont tombés en désuétude depuis que les gens se sont mis à réaliser à quel point leur importance avait été discréditée par la grande épidémie de variole de 1871-72 (qui survint après une vaccination à grande échelle).

W. Scott Webb, A Century of Vaccination, Swan Sonnenschein, 1898

Et puis il y a ceci :

Le taux de mortalité combiné de la scarlatine, de la diphtérie, de la coqueluche et de la rougeole chez les enfants de moins de quinze ans montre que près de 90% du déclin du nombre de décès infantiles entre 1860 et 1965 avait eu lieu avant l'introduction des antibiotiques et de la vaccination généralisée. Si l'on peut, en partie, imputer ce recul à l'amélioration des logements et une baisse de la virulence des micro-organismes, le facteur de loin le plus déterminant fut une résistance de l'hôte accrue par une meilleure alimentation.

Ivan Illich, Medical Nemesis, Bantam Books, 1977

Améliorez les conditions environnementales et le niveau de vie et vous ouvrez la voie à la santé naturelle. Cela n'a rien de sorcier et ne l'a jamais été.

L'objectif fondamental derrière la promotion anticipée de ces  « épidémies » ratées  tous les deux ou trois ans est de convaincre la population qu'ils ne peuvent vivre dans un état de santé naturelle ; que ça n'existe pas ; que tout le monde doit vivre sous la supervision constante de médecins.

Cela devient le mythe central de notre époque.

La principale forme de reddition.

La santé naturelle est la solution miracle contre les vampires de la médecine.

Combien d'études trouverez-vous qui explorent les facteurs de santé infantile se passant très bien de supervision médicale ? Combien d'études dans les revues scientifiques spécialisées se penchent sur les nombreux groupes d'enfants non vaccinés et en bonne santé ? Aucune.

La santé est essentiellement une non-condition médicale.

L'opération psychologique de la médecine repose principalement sur l'effort d'éradiquer cette compréhension.

Chaque enfant non-vacciné en bonne santé est une réfutation du cartel médical.

Si votre entreprise est basée sur la santé et que vous n'avez aucun scrupule, il tombe alors sous le sens que vous essayiez de trouver de plus en plus de malades, même, et surtout, là où il n'y en a pas.

Vous n’étudierez jamais la santé parce que cela vous conduirait à la faillite.

Texte original de JON RAPPOPORT traduit de l'anglais par EY@EL
© La Pensine Mutine. Tous droits réservés. Reproduction interdite.

Image couverture : David Dees

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