Coco Sian Ryder est issue d'une lignée emblématique de la musique britannique (Donovan, Happy Mondays, Rolling Stones). Dans ce long entretien accordé à Gareth Icke (fils de David Icke), elle évoque son enfance, baignée dans la créativité, à distance des excès du show-business, mais aussi marquée par des zones d'ombre, des manipulations et des souvenirs étranges.
Elle souligne que le milieu artistique est saturé de déséquilibres psychiques, de perversions et de comportements malsains, pas toujours visibles de l'extérieur, et aborde le « côté sombre » de l'industrie musicale, teinté de contrôle mental et d'occultisme, illustré par le Club des 27 (celui des rockstars décédées à l'âge de 27 ans) dont fait partie Brian Jones — le père de son oncle Julian (fils de sa grand-mère maternelle).
Il est également question d'infiltration par un réseau mondial interconnecté, mêlant sectes, services secrets, industrie du spectacle, organisations criminelles et finances. Ces groupes coopèrent selon un principe de réciprocité occulte, « je connais quelqu’un qui connaît quelqu’un… », avec pour but le pouvoir, l’argent, et le contrôle spirituel et mental des masses. Elle insiste d'ailleurs sur le caractère « organique » de ce réseau — non pas une seule conspiration centrale, mais une multitude d’alliances temporaires et fluides.
Selon elle, certains artistes sont consciemment impliqués alors que d'autres sont manipulés sans en être conscients, mais toutes les grandes vedettes (Mick Jagger, Taylor Swift) agissent comme des antennes, des relais énergétiques. Elles ne sont pas la cible finale : leur influence sert à conditionner les masses.
À cet égard, Coco établit un parallèle entre les programmes de contrôle mental (Monarch, MK Ultra) et la manipulation de masse contemporaine, notamment durant la crise du Covid. Elle raconte également comment les artistes sont isolés méthodiquement, entourés d’agents de manipulation qui les coupent de leurs proches comme elle a pu l'observer dans sa propre famille.
Enfin, elle rejette l'idée naïve, popularisée dans les années 60, des « messages à l'envers », expliquant que le vrai conditionnement se fait à un niveau subconscient et symbolique, en insistant sur la présence de symboles pédocriminels et d'allusions ésotériques dans la culture populaire moderne.
En conclusion, elle invite à apprendre les bases du contrôle mental et les tactiques de manipulation pour s'en libérer, indiquant que la conscience est la meilleure protection car « c'est la conscience qui dissout les sortilèges ».
En résumé, sans tomber dans le piège matriciel involutif de « l'évolution » et de « la spiritualité » — qui, soit dit en passant, n'a rien à voir avec l'Esprit mais avec le Marchand de sable et son vaste réseau de bacs interconnectés, véritables circuits de recyclage vibratoire —, il est question d'une industrie énergétique de la distraction où la créativité est recyclée en vecteur d'asservissement vibratoire ; d'une assimilation progressive des consciences par la culture populaire, via la fascination, la polarisation et la suggestion hypnotique ; et la nécessité de discernement vibratoire car ce qui « fait rêver » nourrit aussi la ruche archontique.
En parlant de discernement vibratoire, d'ailleurs, j'ai souri quand Coco Ryder a mentionné Taylor Swift et Bono. J'ai toujours eu une aversion viscérale immédiate et inexpliquée pour la première. Et pour le second, discuter brièvement avec lui dans les années 80, m'avait laissé une impression très bizarre voire malaisante. Pourtant il m'aura fallu toutes ces années pour cesser de rationaliser mes lectures vibratoires — un sujet que j’aborderai très bientôt dans une courte capsule.
Un grand merci à Rudy, qui a prêté sa voix pour le doublage de Gareth Icke — et toutes mes excuses pour l’inconstance de la mienne, qui part un peu en vrille par moments.
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