Du latin atavus (« ancêtre ») et figura (« configuration donnée, forme, aspect ») une atavofigure est une représentation mentale héritée des ancêtres, souvent issue de la mémoire collective.
Le chemin du supramental est individuel et se prend seul
Lorsque le rêve matriciel devient insuffisant, l'être conscient ouvre les yeux et troque la simulation pour le réel.
Iso V. Sinclair
Un être devient supramental en prenant d'abord conscience que TOUTES ses pensées ne viennent pas de lui, qu'il s'agit d'un parasitage constant de la part des archontes et autres entités de l'astral. En les observant et en s'en s'opposant systématiquement à celles qui ne sont pas intelligentes, qui le font souffrir et/où le sortent du moment présent, il parvient à les filtrer et à regagner peu à peu de l'espace mental jusqu'à ce que cela devienne un réflexe.
La réalité ne se pense pas, seule l'irréalité se pense
Avec la réalité vous avez accès au savoir, tandis qu'avec la vérité vous avec accès à des connaissances. Il y a ici aussi une énorme nuance. Les connaissances appartiennent à l’ego et peuvent se perdre dans le cycle des réincarnations. Le savoir lui vient de l'esprit et est immuable.
Iso V. Sinclair
L'être supramental se déleste de toute croyance ; il ne cherche plus à connaître mais à savoir. Il ne pense pas donc il sait. Il veille aussi à ne plus polariser et à rester neutre dans ses émotions (qu'elles soient positives ou négatives, principe de la polarité), ce qui ne veut nullement dire qu'il n'a plus aucune empathie.
Ey@el
Il existe 9 types d'atavofigures.
Un être Supraconscient évitera à tout prix ce type de traits involutifs.
Le naïf en quête de bonheur, qui est dans la gratitude et pense qu'il existe une aide extérieure.
L'homme ordinaire qui recherche es distractions et les divertissements de ce monde.
Le héros qui s'illusionne en pensant avoir une mission (fictive) pour soi-disant rendre le monde meilleur.
Le marginal qui ne connaît pas les règles du jeu et génère des mouvements de résistance qui, au bout du compte, renforcent la matrice.
Le chercheur de vérité en perpétuelle quête, qui confond sans le savoir vérité et mensonge, tombant dans le piège de la dualité et de la forte astralité.
Le dominateur qui impose ses idées et opinions en discréditant tous ceux qui ne vont pas dans son sens au lieu de simplement les ignorer.
L'amoureux en quête de romance et de plaisirs charnels, qui est dépendant et a du mal à être seul et centrique.
L'aidant, le généreux qui, pour se donner bonne conscience, pose des actes qui paraissent bien de l'extérieur, mais qui, occultement parlant, retardent la personne aidée.
Le spirituel bardé de croyances et soumis aux entités qu'il place au-dessus de lui.
Ces tares sont valorisées dans la matrice mais elles mènent toutes à la déception.
Le naïf verra les entités se moquer de sa grande ignorance, car le bonheur est toujours fluctuant. L'homme Supra aspire à être bien et en paix, pas « heureux ».
L'homme ordinaire verra qu'il a perdu son temps et se retrouvera devant rien.
Le héros verra que jamais ce monde ne changera et que toute mission est un leurre.
Le marginal verra que la résistance est futile ; c'est l'intelligence stratégique qui doit primer et qui vaincra.
Le chercheur de vérité verra sa quête stérile car incapable de voir le réel.
Le dominateur verra qu'il se laisse mener par ses émotions et que sa façade cache une faiblesse.
L'amoureux verra ses rêves partir en fumée, abattu d'avoir mis son attention au mauvais endroit.
L'aidant verra que la générosité est toujours un masque et devra payer cher ce qu'il prenait pour de l'altruisme.
Le spirituel verra l'astral le manipuler et le remettre dans un cycle de souffrance sans fin.
L'être Supra transcende les limitations des atavofigures en cultivant des réflexes qui le libèrent des influences archontiques et le propulsent vers de hauts niveaux de conscience mentale. Il est imperméable aux stimuli de la matrice et modèle quantiquement sa réalité en alignement avec son être réel.
Il est au-dessus de la polarité et navigue avec discernement, intégrité et centricité.
Il y a des figures, comme ça, qui nous inspirent profondément — des artistes,
des philosophes, des combattants du quotidien — qui nous donnent à croire
qu’on peut traverser l’épreuve sans renoncer à l’élan. Qu’on peut être malade
et lumineux. Usé mais debout.
Et quand ils partent prématurément, on parle de « courage jusqu’au bout », de
« force de vie » et d’un amour si grand qu’il finit par devenir
transpersonnel.
Mais à force d’être poli, ce chagrin devient une transaction énergétique. On
pleure en souriant. On remercie la douleur. On dit que c’est « le prix du
bonheur ». Comme si c’était normal. Comme si ce bonheur irradié durant des
décennies ne pouvait exister qu’au prix d’un sacrifice inévitable.
Et jamais personne ne demande : « Mais qui encaisse le paiement ? »
On croit souvent que le bonheur, c’est gratuit. Ou que c’est un dû. Ou qu’il
se mérite à force d’effort, de patience, de gratitude. Mais dans la réalité
matricielle, tout bonheur est fluctuant, éphémère. Et surtout, il a un prix.
Et souvent, ce prix est payé après. Très cher payé. En chagrin. En manque. En
regrets. En consentement.
C'est l'histoire d'un artiste que j'ai suivi dans ma jeunesse et que je ne
nommerai point. Par respect mais aussi parce que l'important n'est pas QUI
mais QUOI. En outre, je ne voudrais pas que ma démarche soit mal interprétée,
voire interprétée tout court. Il n'y a rien à interpréter. Juste un constat
brut. Le reste, l'interprétation, est une affaire de filtre personnel qui
n'appartient qu'à celui qui perçoit au travers.
Cet artiste était d'une gentillesse et d'une considération très rares dans le
showbiz. Il vivait un amour de conte de fée avec son épouse. Le genre de coup
de foudre qu'on n'imagine possible que dans les romans ou les films à l'eau de
rose. Surtout pas dans un milieu comme le sien.
Et ils vécurent très heureux et eurent deux enfants…
Pendant des décennies, il a combattu la maladie en restant lumineux, digne.
L'espoir, la conviction jusqu'au bout. Un homme debout qui se croyait
invincible. Le remède miracle de Big Pharma n'a pas fonctionné. Et ce fut le
choc pour beaucoup. Une récolte de loosh maximale pour la Matrice, car quand
les justes sont victimes d'injustices, cela vient chambouler les faux
sentiments de sécurité que nous procurent nos croyances pour gérer
l'ingérable.
S'ensuivit alors un raz-de-marée d'amour inconditionnel, de gratitude et de
clichés-pansements : «
Il est encore là avec nous… Il nous envoie un signe… Il n’est pas vraiment
parti.
»
Mais le pire fut de lire les déclarations de sa veuve (une femme vraiment
admirable) expliquant qu'elle avait toujours eu le sentiment que c'était le
prix qu'elle était prête à payer pour le genre d'amour qu'ils partageaient. «
Il me manque vraiment énormément, dit-elle,
mais c'est normal, car le chagrin est le prix à payer pour l'amour. »
Le chagrin est le prix à payer pour l'amour !
Une phrase qu’on pourrait broder sur un oreiller, ou inscrire au bas d’une
urne. Mais ce que cette phrase ne dit pas, c’est qui fixe le prix. Et à qui
profite la transaction.
Et puis il y a les contes. Ceux qu’on entend petits. Ceux qui dessinent une
promesse douce : «
Et ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. »
C’est joli. C’est rassurant. Mais ce qu’on ne voit pas, c’est que ce genre de
cliché embarque une attente programmée. Une quête toute tracée, avec un cadre.
Et, en filigrane, un contrat tacite. Sans jamais interroger la validité du
scénario. Parce que tout le monde l’a entendu. Parce que ça fait partie de
l’histoire.
Et avant même que cette histoire ne commence vraiment, il y a déjà cet autre
cliché qui annonce la couleur (mais qui interpelle peu ou pas du tout car
c'est le propre des clichés) : « Jusqu’à ce que la mort nous sépare. »
D'emblée, la fin est annoncée. La séparation programmée comme aboutissement.
Et le jour où ça arrive, on dit : «
C’est normal. C’était écrit. »
Certes, on a tous une fin programmée. Mais ce qu’on ne dit toujours pas, c’est
qu’entre la promesse et la fin, quelqu’un — quelqu’un, ou quelque chose
— récolte. Pas une personne, pas un dieu, pas un système. Mais une structure.
Une matrice. Qui vit du loosh généré par ces histoires qu’on nous invite à
vivre et à pleurer en disant : « Merci, ça pourrait être pire ».
Et si ça pouvait être mieux — beaucoup mieux ? Serait-ce une hérésie ? Mais
pour qui ? Et pour quoi ?
Il joue de l’harmonica… mais il joue aussi de la gâchette.
Cheyenne, Il était une fois dans l’Ouest
Égarée dans l'archipel des Caraïbes, à la recherche d'un vaisseau fantôme,
l'héroïne s'appelle Calamity Eyael. Sauvée de justesse des griffes du
Capitaine Barbossa, elle se retrouve propulsée (par la DeLorean du Doc) dans
le Kansas natal de son grand oncle Charley1, sur la piste du Con, de l'Abruti
et du Tyran. Et déjà, elle entend siffler les balles dans la grand-rue.
Planquons-nous derrière le bar, on dirait que quelqu'un va bientôt mordre la
poussière ! Fallait s'y attendre avec ce satané six de carreau, porteur
d'imprévus et de changement, qui appelle, ce mois-ci, à la prudence dans les
rapports sociaux. Mieux vaudrait donc éviter de froisser tous les excités de
la gâchette. D'autant que le shérif du patelin m'a tout l'air d'être un sacré
couard.
L'Ouest sauvage
Au risque de casser l'ambiance, sachez qu'un cow-boy n'est rien d'autre qu'un
vacher ou un bouvier, soit un garçon de ferme s'occupant du bétail bovin dans
les grands espaces de l'Ouest américain. Tout de suite, ça fait un peu moins
glorieux ! Cette profession, nous explique la Bible en ligne2, dérive
de celle de vaquero, en vogue au Nouveau-Mexique aux XVIe et XVIIe siècles,
mais s'en distingue en ce sens que ces derniers ne sont pas des ouvriers
agricoles. En effet, au XIXe siècle les élevages de l'ouest alimentaient
l'ensemble du pays. En l'absence de chemin de fer, le cow-boy avait donc pour mission de conduire les bêtes
à travers le sud des Grandes Plaines. Cette
transhumance, qui cessa aux alentours de 1890, a donné du cow-boy une image
d'homme libre, solitaire et nomade, en certains points éloignée de la réalité.
Ainsi, contrairement au mythe véhiculé par la littérature, les bandes
dessinées et le grand écran, les cow-boys n'étaient pas du tout des héros,
tireurs d'élite prêts à dégainer pour sauver la veuve et l'orphelin des
Peaux-rouges sanguinaires.
Tout d'abord, la plus grande menace pour ces gardiens de vaches ne venait pas
des Indiens ni des voleurs de bétail mais du bétail lui-même. La nuit, le
moindre hurlement de coyote ou grondement de tonnerre dans les Grandes Plaines
pouvait effrayer le troupeau qui, pris de panique, risquait alors de les
piétiner. Retrouver ensuite les bêtes enfuies pouvait leur prendre plus d'une
semaine.
Traverser les rivières et les fleuves constituait un autre défi majeur, avec
des risques de noyade autant pour le bétail que pour les humains. Parfois,
c'était le manque d'eau qui pouvait mettre leurs vies en péril. Ce à quoi
venaient s'ajouter les morsures de sconses porteurs de rage et les attaques de
loups.
Une fois, je me suis fait descendre par John Wayne. Ouais, c'était vers
la fin. Cette unique scène m'a payé un millier de verres Et m'a
piégé, Mais je vais te le dire, l'ami, À tous les cow-boys,
cavaliers pris dans le tourbillon, Ce soir, les étoiles de l'Ouest
brillent à nouveau de mille feux.
Mais finalement, le pire danger n'était pas tant cette nature sauvage et
indomptée que les sirènes et démons de la « civilisation ». Ces villes de
pionniers qu'on vous montre dans les westerns avaient, en fait, très mauvaise
réputation. Un journaliste de passage à Kansas City3, autour des années 1870,
rapporte qu'« après la tombée de la nuit, la terre civilisée connaît peu de
spectacles de débauche aussi débridés et éhontés qu’un dancing dans les villes
de la frontière ».
On parle même de « Sodomes de l'Ouest » dans lesquelles le cow-boy solitaire
succombe aux plaisirs éphémères du confort citadin et dilapide, en quelques
jours, son salaire durement gagné, dans le jeu, les prostituées — et surtout :
l'alcool.
Toujours la même histoire, en somme. Il n'y a que le décor qui change. On
tourne en rond mais les aveugles appellent cela le « progrès ». Et à force de
tourner en rond, on finit toujours sur le (six de) carreau…
Règlements de compte à K.O. Parking
Force est de constater que nos villes occidentales ressemblent de plus en plus
au Far West d'antan. Mais pas celui de Lucky Luke ni des westerns spaghetti ou du
fantasme hollywoodien incarné par les John Wayne, Gary Cooper et autres James
Stewart — plutôt la version low-cost des cités des enfants perdus,
souvent issus de l'immigration d'apparence incontrôlée mais parfaitement
contrôlable par la matrice qui se nourrit principalement du chaos, et nous
ressert toujours les mêmes scripts : rodéos urbains, embuscades à dos de
scooter, règlements de compte sur bitume défoncé.
Le vent souffle en Arizona, Un état d'Amérique dans lequel Harry zona. Cow-boy
dingue du bang bang, du flingue De l'arme, du cheval et de quoi faire la
bringue, Poursuivi par Smith & Wesson Colt, Derringer, Winchester
& Remington, Il erre dans les plaines, fier, solitaire, Son cheval
est son partenaire.
On troque les fameuses boots contre des baskets Nike-ta-mère ; les saloons
contre des McDo ou des kebabs — mais le scénario reste inchangé : l'ego
à fleur d'arme, le surin facile, l'injustice expéditive du talion aveugle,
privé d'électricité à tous les étages et qui s'éclaire aux bougies d'allumage
du carburateur des bagnoles qu'il fait cramer quand il est content (ou pas
content) plus quelques balles perdues en guise de ponctuation.
Ce serait presque drôle si c'était une caricature de Charlie Hebdo. Sauf que
non. Mais les descendants de l'Adam démiurgique s’habituent à tout. Trop de
fragments à rassembler, pas assez de conscience pour y parvenir. À quoi bon
d'ailleurs ? La « vie » est bien trop courte pour espérer reconstituer le
puzzle à temps. Voilà pourquoi la matrice préfère écourter la durée de
simulation et recycler plus souvent, quitte à saturer les âmes. En d'autres
termes, mourir jeune réduit les risques de prises de conscience inopinées.
Le cow-boy urbain des temps modernes ne chevauche plus que son ego
planétaire.
Dans de nombreux endroits aux États-Unis et certainement dans d'autres
endroits du monde, l'image du cowboy est devenue, pour certains, négative. Le
mot « cowboy » implique un individu fort et têtu dont l'individualisme dépend
de la capacité à faire tomber l'individualisme des autres.
Viggo Mortensen
Il n'a rien de solitaire : il se déplace en meute de prédateurs prédatés. Il
se veut rebelle et fort, mais ce n'est qu'un lâche de la pire espèce —
un collabo à la solde du système, avec plus de boutons de contrôle que le
tableau de bord d'un avion de ligne.
Sauf qu'il lui manque tellement de cases que la partie s'apparente davantage à
un vieux PacMan sous amphétamines (ou à une partie de Démineur) qu'aux
échecs.
Je suis un cow-boy, Je chevauche une monture d'acier. Je suis
recherché mort ou vif.
Recherché mort ou vif ? Qu'importe ! Même pas un aventurier de l'identité
perdue. Juste un figurant, qui se figure être la star du film — celui qui
tourne en boucle.
Mais voici un scoop : tant qu’on croit que le chaos est dehors, on reste dans
le film. Et c’est rarement nous qui écrivons la fin.
Les Mystères de l’Ouest
Qui se souvient de cette fameuse série culte des années 60 mettant en scène
James West et Artemus Gordon, deux agents secrets opérant dans l'Ouest
américain de 1869 à 1877 ? Remise au goût du jour avec Will Smith dans un
remake explosif (et quelque peu chaotique) à la fin des années 90, elle
transformait le western poussiéreux en un laboratoire d’expérimentations
rétro-futuristes. L’Ouest y devenait un décor prétexte à toutes les folies
technologiques et conspirations absurdes — comme si la fiction avait flairé
que ce Far West-là n’avait jamais été réel, mais déjà simulé.
Et si c’était là le vrai mystère de l’Ouest ? Un territoire déjà hors-sol,
peuplé de mythes, de cow-boys surjoués, de machines improbables et de
justiciers au brushing impeccable. Bref, un théâtre mental, parfait pour
tester des récits de pouvoir, de contrôle et d’héroïsme codé.
Quarante-sept loques, Entassées dans une ruelle.
Au nord, à l'est, à l'ouest, au sud, Tous logés à la même enseigne,
Patientant en coulisses Jusqu'au grand boum.
Moi, je suis dans une chambre Et j'attends ma copine.
C'est une vraie garce mais je m'en fous.
J'adore ses yeux et sa crinière rebelle.
Danser sur nos rythmes préférés,
Parés pour les années 90,
Et la vie dans le grand Ouest sauvage.
Peut-être que l’Ouest n’a jamais existé autrement que comme décor — un décor
que la matrice recycle à volonté. Aujourd’hui encore, elle le décline dans nos
villes, nos écrans, nos fantasmes d’indépendance.
Même spirale. Même casting. Nouveau décor. Rien de neuf à l’Ouest du cube démiurgique.
Comme aurait pu dire Jean Yanne, s’il avait survécu à TikTok : «
On est tous des cow-boys… sauf qu’on s’est fait chourer la selle et qu’on
tire à blanc. »
Notes et références
^ Ceci est véridique : mon grand-oncle, né à la fin des années 1890, s'appelait réellement Charley et était bien originaire du Kansas.
^ Philippe Jacquin, Vers l’ouest : un nouveau monde
^ Clin d'œil croisé aux films Midnight Cowboy (Macadam Cowboy en français) de John Schlesinger (1969) avec Jon Voight et Deux heures moins le quart avant Jésus-Christ de Jean Yanne (1982) avec Coluche.
Cookie : Anciennement petit gâteau sucré, qu'on acceptait avec plaisir. Aujourd'hui : petit fichier informatique drôlement salé, qu'il faut
refuser avec véhémence.
Luc Fayard
La recette de cookies vegans (sans gluten ni sucre ajouté) la plus simple et
la plus rapide au monde avec juste deux ingrédients de base et des arômes et
textures à varier à l'infini selon les goûts et les envies.
Ingrédients
Pour une douzaine de cookies :
- 2 bananes
- 120 g flocons de sarrasin - 60 g pépites de chocolat - 1 cuil. à
café cannelle en poudre - 1/2 cuil. à café vanille en poudre - 1
pincée de sel
Réalisation
Écraser les bananes et mélanger avec les autres ingrédients.
Répartir
la pâte en petits tas (environ 1 cuillèrée à soupe) sur une plaque à four
recouverte de papier cuisson (ou un tapis en sillicone) en applatissant avec
le dos de la cuillère.
Cuire 12 à 15 minutes à 180°C jusqu'à ce que les cookies soient bien dorés.
NOTE : Vous pouvez remplacer le sarrasin par de l'avoine ; les pépites de
chocolat par des raisins secs ; et la vanille par 2 bouchons de rhum. Faites
vos expériences avec des éclats d'amandes, de noix, noisettes, etc. en
variant les arômes et n'hésitez pas à venir nous faire part du résultat de
vos essais.
Manger sainement ne veut pas dire manger tristement.